Terma 29- Mes autres sodomies surprises, au foot :

- Par l'auteur HDS Noura -
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Auteur homme.
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Récit libertin : Terma 29- Mes autres sodomies surprises, au foot : Histoire érotique Publiée sur HDS le 14-03-2018 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Terma 29- Mes autres sodomies surprises, au foot :
Terma 29- Mes autres sodomies surprises, au foot :Trois jours plus tard, je suis allé chez mon ami, mais il n’était pas dans son studio, alors je suis passé au bar de l’autre quartier. Le serveur m’a informé qu’il y a un match important et que celui que le cherchais devait être au stade. J’ai pris un billet et j’ai cherché sur les gradins. Le match était bien avancé et comme tout le monde était assis, j’ai pu repérer mon ami et je l’ai rejoins rapidement. Il était très content et comme l’autre fois, il s’est vite totalement investi dans le match. Comme j’étais en manque de zob, je lui ai caressé le contenu de sa braguette mais il m’a repoussé. Comme j’insistais, il a rigolé et il a appelé un de ses copains, un autre noir assis pas très loin, et il m’a conseillé de le suivre.
J’ai suivi son copain qui m’a vite mené vers les toilettes. ça m’était égal que ça soit celui la ou l’autre, moi j’avais besoin en urgence d’un zob pour ma terma et ce gars semblait faire l’affaire, comme son copain. En effet, dans un cabinet, il s’est découvert le zob et j’ai été très satisfait, car son zob bandait déjà et était aussi gros et aussi long que celui de son ami. Je lui tourné le dos et descendu mes vêtements pour lui découvrir ma terma, puis je me suis appuyé au mur en me penchant au maximum. Il m’a écarté les jambes et cuisses avec autorité et doigté mon anus. Puis il a frotté sa bite lubrifiée par sa salive tout le long du sillon de mes fesses pour gonfler encore plus son zob. Je lui ai dis « achtar ! dakhlou fi qari ! raha naar chaâla fi teremti ! » (vite ! enfonces le dans mon cul ! ma terma brule !).
Comme son copain, il a rigolé bruyamment et avec vigueur il a enfoncé son zob dans mon cul. Mon anus n’a pratiquement pas résisté pour engloutir le gros zob qui s’est enfoncé jusqu’au fond de mes entrailles. Il m’a tenu les hanches et rapidement, il s’est lancé dans une course endiablée de vas et viens à la mesure de la faim de ma terma. J’étais content et le plaisir commençait à suinter dans ma terma. Je n’ai pas pu résister de crier « zébék khchine ki sahbek ! lazem twarini darak mine ba3ad ! ». Lui se contentait de niker et de haleter avec force « aahh ! aaahh ! ».
Au bout d’une vingtaine de pilonnages et de lissages de ma terma, il arriva à son top et tenant bien mes hanches, il éjacula avec abondance son sperme dans le fond de mon cul. Il resta un moment dans mon intérieur pour se vider au maximum, puis il se retira. C’est alors seulement qu’il parla « qarak s’khoune wa h’lou ! kheir mine ta3 labnaate ! lazam nikak fi studio sahbi ! » ( ton cul est chaud et doux ! meilleur que celui des filles ! il faut que je te nike dans le studio de mon ami !). Puis il ferma sa braguette et fila vers le match. Moi, je me suis vidé et nettoyé rapidement. J’aurais souhaité une seconde sodomie car ma terma n’était pas entièrement rassasiée. Que faire ? retourner au match et attendre la mi temps pour une baise avec mon premier amant ?
Non ! J’ai décidé de refaire le coup de la dernière fois. J’ai attendu et au bout d’un moment, un gars s’est présenté dans le cabinet à coté pour pisser. Je me suis mis en position comme la dernière fois et commencé à me branler et haleter avec bruit. Et ça a marché. Comme j’avais laissé ma porte exprès un peu entrouverte, le gars a jeté un coup d’œil dans mon cabinet et il m’a vu me doigter le cul bien offert à sa vue. Aussitôt, il plongea. Il rentra dans mon cabinet et ferma la porte, puis sans même me parler, il repoussa mes doigt et mis les siens à la place dans mon cul. Il me tripota un peu le sphincter, puis je l’ai entendu cracher, puis j’ai bien ressenti sa salive sur le sillon de mon cul. Il s’est un peu branlé, certainement aussi avec un peu de salive sur le zob. Immédiatement apès, il enfonça son zob dans mon anus, largement ouvert par la première sodomie.
Ensuite il commença la danse du plaisir dans ma terma. J’étais content de l’avoir piégé et ma terma sera satisfaite par cette seconde sodomie de suite. Il savait s’y prendre, ce gars, car il me secouait la terma nettement mieux que le précédent amant et son zob remuait très bien à l’intérieur de mon cul. Il me frottait les parois du sphincter avec insistance, parfois avec lenteur, parfois brutalement. Ces brusqueries augmentaient mon plaisir et mes jouissances commençaient à m’étourdir. Je lui dis « sa7eite ! haakdha ! houk zébék dakhal qari ! ra’h ihabbal ! » ( très bien ! c’est comme ça ! frottes ton zob dans mon cul ! il m’affole !). Je l’entendais rire au milieu de son souffle accéléré et bruyant. Il doit se dire qu’il est tombé sur une bonne occasion. Moi aussi je suis bien tombé sur ce spécialiste de la terma.
Il me sodomisa longtemps, plus de quinze minutes, il me semble, puis il me dit « e’nzidak ! wala ch’ba3ate ? » ( je continue ! ou bien ça te suffit !). J’étais certes très satisfait mais je voulais savoir s’il se vantait et j’ai répondu « aahh ! zidni chwya ! zébéb m’tiine ! ya3raf inike ! zidni ! zidni ! aahh ! » ( aahh ! encore un peu ! ton zob est puissant ! il sait niker ! encore ! encore ! aahh !). Il rigola encore plus fort, content d’avoir été à la hauteur et avoir contenté cette belle terma large, blanche et si douce. Alors, il continua en appuyant ses vas et viens et en les modulant. Ces mouvements modulés amplifiaient mes jouissances et lui aussi je l’entendais expirer ses « aaahh ! aaahh ! » au même rythme que moi. Nous nikions en phase, zob et terma en communion.
Après encore une dizaine de pilonnages calculés, il répéta « e’nzidek wala yasser ! ya terma al’3atchana ! ! » ( je t’ajoute encore ou ça suffit ! ô terma assoiffée !). Et moi « le’h ! atlag hliib zebek ! atlag ! » (vas-y ! lâche ! libères le lait de ton zob ! libères ). Alors, il fonça, et en deux fortes vas et viens, il s’agrippa à mes hanches et projeta plusieurs jets puissants de son sperme dans mes fondements. Il hurla et se libéra en force « aahhh ! aaahhh ! ». Moi, j’ai reçu ce cadeau en le goutant avec calme malgré qu’il me brulait de jouissances le fond de mon cul. Nous sommes resté ainsi un bon moment, puis il s’est retiré doucement. Je me suis retourné rapidement et je lui ai pris le zob à la main, avant qu’il ne le cache. Je l’ai embrassé, sucé et léché et j’ai dis à son maître « choukrane ! hadhi neika jate b’soutfa ! lakine h’louwa ! harra bi chahwa! choukrane « ( merci ! cette sodomie est venue par surprise ! mais elle a été formidable ! brulante de plaisir ! merci !). Puis il est parti en me souriant.
Je me suis nettoyé et retourné au stade car la mi temps n’était pas encore arrivé. Mon ami m’a demandé si la sodomie de son copain a été bonne « wach ! sahbi nakake m’li7 ? zabou k’bir kima n’ta3i ! » ( alors ! mon ami t’a bien niké ? son zob est est gros comme le mien !). Je lui ai lancé un sourire hypocrite et répondu « neikaate al youm ou 7ad‘houm ! sawal teremti ! ta7kilak ! » ( les sodomies de ce jour sont uniques ! questionnes ma terma ! elle te racontera !). Par la suite, bien sur, dès le début de la seconde mi temps, comme l’autre fois, il m’a amené aux toilettes et on a fait une sodomie « fissa3 ! fissa3 ! » (rapide ! rapide ! » avant de revenir au match.
Ensuite, j’ai réussi à m’éclipser car je ne voulais pas aller chez lui. J’ai essayé de repérer mon second sodomiseur dans la foule, sur les gradins, mais je n’ai pas réussi. Je désirais sincèrement aller avec lui pour gouter encore sa technique de sodomie. Mais comme c’est un amateur de foot, ce sera facile pour moi de le retrouver au prochain match, ainsi que l’autre copain noir de mon ami. Ces deux la, je vais les mettre dans mon agenda, dans le calendrier de ma terma , car ce fut merveilleux. En retournant chez moi, j’avais encore dans ma chair, le gout de leurs zobs et ça me démangeait encore. On verra dans deux jours, au prochain match !
Deux jours plus tard, il y avait match et j’ai cherché dans la foule qui achetait les billets d’entrée. Rapidement, j’ai repéré mon premier amant de couleur et son copain. On s’est dit bonjour mais j’ai refusé avec énergie de les accompagner et je me suis presque fâché, alors ils ont abandonné l’idée. J’ai continué à chercher et enfin, j’ai retrouvé mon dernier amant à la technique formidable. Dès qu’il m’a vu, il m’a salué par geste de la main et un large sourire, alors je l’ai rejoins. Comme il était déjà dans la chaine, il a décidé de nous acheter les deux billets et un quart d’heure plus tard, on était assis cote à cote sur les gradins du stade.
Il m’a demandé « wach n’dirou lyoum ? » (que fais t’on aujourd’hui ?) et moi « ki yabda l’match, n’rou7ou n’jibou barti ! teremti métou7 cha zébék ! » ( dès le début du match, nous irons faire une partie ! ma terma sevrée est impatiente de ton zob !). Il rigola en silence et attira ma main sur sa braguette. Il bandait déjà et moi j’avais hâte de gouter son zob et sa technique. Quelques minutes plus tard, le match démarra. Nous avons attendu un peu, puis, discrètement, on s’est éclipsé vers les toilettes.
A l’intérieur d(un cabinet, j’a carrément enlevé mon pantalon et mon slip et lui en a fait autant. Puis, il s’est placé derrière moi, alors que je me courbais, appuyé au mur et les jambes et cuisses largement écartées. Il m’a léché les fesses, le sillon et mon anus, m’a vrillé ses doigts dans le cul et très rapidement, son zob m’a pénétré, d’abord doucement, puis avec force et presque avec violence. Nous étions affamés de sexe tous les deux. « zébék rah s’khoune lyoum ! wach biik ? » ( ton zob est brulant ce jour ! que t’arrive t’il ?). Il m’a avoué « rani mine youmène, madwass m’3a marti ! ma nakat hach ! hakhdha zébi rah 3atchane wa s’khoune ! » ( je suis fâché avec ma femme depuis deux jours ! et je n’ai pas baisé ! c’est pourquoi mon zob est affamé et brulant !).
Et moi « hadha zahri wa z’har teremti ! a’tfach fina bi zébek ! nike bil for ! ag3ar wa a7ragli teremti ! » ( c’est ma chance et celle de ma terma ! venges toi sur nous avec ton zob ! nike avec force ! défonces et brule moi la terma !). Et il fonça en me pilonnant avec violence, en secouant mon derrière sur son zob à droite et à gauche. Il sortait doucement sa bite puis la plongeait en vitesse dans mes entrailles jusqu’aux couilles qui claquaient sur mes cuisses, à chaque enfoncement. Après une dizaine de vas et viens, il commença à entrer dans le désir et criait son plaisir « aahh ! afra7 ya zébi ! fi terma albaydha ! al kahba ! a’terma a’skhouna ! »( aahh ! sois heureux ô mon zob ! dans la blanche terma ! la putain ! la chaude terma !). Moi aussi j’étais déjà dans la jouissance complète et je l’imitais dans ses cris de plaisir « hakhdha ! ziid ! khali teremti tachta7 3ala zébék ! » ( comme ça ! continues ! fais danser ma terma sur ton zob !).
Nous continuâmes ainsi un long moment et lorsqu’il s’est figé pour éjaculer, je l’ai supplié de ne pas le faire, mais de continuer encore un peu à me frotter le cul car c’étais follement agréable, jouissif. Je savais qu’il était maître de son zob et de son plaisir depuis notre dernière sodomie « e’ssa’n’na ! ma tatlaqach h’libik ! rani zahi bil 7ak a’nta3 zébék dakhal qari ! e’ssa’n’na ! » (attends ! ne lâches pas ton lait ! je suis en plein plaisir avec les frottis de ton zob à l’intérieur de mon cul ! attends). Il s’est bloqué et s’est même retiré doucement, mais sans sortir de mon cul. On a soufflé un moment, le temps que son zob se calme et que son jus revienne dans ses couilles. « hani sa’naytak ! bessa7 zébi rah m’gonflé afon ! grib yatartag ! » (voila je t’ai attendu ! mais mon zob est gonflé à fond ! presque à exploser !) et moi, après un moment de calme, « houk dhorka ! houkli qari bah n’3awade nouskhoune ! » ( maintenant frottes ! frottes moi le cul pour le réchauffer de nouveau).
Et il rebelote ses vas et viens avec modulation dans ses vitesses et entrées – sorties. Sa technique est affolante pour moi et ma terma. Ces mouvements aléatoires de son zob dans mon cul font que je suis dans mon esprit et mes sens toujours en l’éveil, toujours en attente de surprises et de plaisirs . Tout en me sodomisant à sa manière, il me dit « rani nachtiike ! a3liha rani n’dirlak wach t’hab ! » ( je t’aime ! c’est pourquoi j’accepte de te faire ce que tu désires !) et moi, avec un ricanement « gouli rak t ’hab teremti ! mich ana ! zébék jatou 3ala goustou’h ! nilke ! nike ! wa khalina mine lakhrouti ! » ( dis moi plutôt que tu aimes ma terma ! et non moi ! elle est au gout de ton zob ! nike ! nike ! et arrête de raconter des fadaises !). Je l’entendais aussi ricaner de mes paroles et il accentua son pilonnage.
Encore une dizaine ou plus, je ne sais plus, de vas et viens et tournoiements de son zob à l’intérieur de mon cul et mon amant arriva encore une fois au top. Il se bloqua et immédiatement il se libéra du sperme de ses couilles dans le fond de mes entrailles. Presqu’une dizaine de jets puissants de son jus chauds, brulants, m’ont inondé le fond de ma terma. A chaque jet, il plongeait encore plus, son zob dans mon cul comme pour l’enfoncer plus loin, et tout en hurlant « haki ya kahba ! haki ya marti ! n’faraq fi qarek qlawya ! » ( tiens ô putain ! tiens ô ma femme ! je vide mes couilles dans ton cul).
Malgré les jouissances qui m’étourdissaient, durant ces moments de plaisir, j’ai retenu ce qu’il disait. Et lorsque, calmé, il se retira de mon cul, je lui ai demandé « rak dafakate fi qari ana ! la fi qaar martak ! ya sahbi ! fahamni ! » ( tu t’est vidé dans mon cul ! et non dans celui de ta femme ! ô mon ami ! expliques moi !). Il secouait son zob pour vider les dernières gouttes et m’avoua « ki kounoute fi qarek ! kanate marti fi rassi ! nasskheib rani e’nike fiha ! n’saytak ! assma7li ! » ( quant j’étais dans ton cul ! ma femme était dans ma tête ! je croyais que j’étais en train de la baiser ! je t’ai oublié ! excuses moi !). Et moi « ma3lii’h ! al mouhim teremti z’haate bi zébek ! » ( ça ne fait rien ! l’essentiel, ma terma a pris tout son plaisir avec ton zob !).
Je me suis assis sur le bidet pour vider son sperme et il était debout devant moi, encore tenant son zob qui n’avait pas beaucoup dégonflé. Je lui ai demandé de rester car je désirais une autre sodomie différente. Puis, j’ai ajouté « martak, t’nike ha mine n’terma ? » ( ta femme , tu la baise de la terma ?) et lui « a’nike ha mine souwat’ha g’bal ! mine baâd mine qarha ! n’taâk h’lou kima n’ta3ha ! ana nahbal 3ala trami n’sa wa r’jaal !» ( je la baise d’abord dans sa chatte ! ensuite dans son cul ! le tien est aussi doux que le sien ! moi je suis fou des terma des femmes t des hommes ! ). Ainsi, parce que nos deux terma sont douces, presque identiques, il m’a confondu avec sa femme, le salaud ! Enfin, je lui pardonne sa sodomie m’a donné beaucoup de plaisir, et on va continuer.
Ensuite, on est passé à la seconde neika que je voulais à la manière que j’aime. Je l’ai obligé à s’assoir sur le bidet fermé. Puis, j’ai léché, sucé et branlé son zob jusqu’à le gonfler au maximum. Son zob avait un gout succulent, peut-être à cause des traces de sperme, en tout cas je le suçais avec gout. Quant il fut au point, écartant mes jambes des deux cotés de ses cuisses, je me suis assis sur son zob, face à face. J’ai pris son zob à la main et farfouillant entre mes fesses, par derrière, j’ai réussi à le pointer sur mon anus. Puis, je l’ai enfoncé doucement. Aidé par les restes de sperme et comme il était déjà assez ouvert, mon anus avala en vitesse le gros zob. Alors je me suis assis carrément sur lui et le zob s’est enfoncé jusqu’aux couilles. Puis j’ai commencé à danser sur lui en remuant du derrière de tous les cotés. Ces mouvements ont mis le zob en très bonne position dans mon cul et je sentais qu’il me remplissait merveilleusement.
Ensuite, en m’appuyant sur les épaules de mon ami, je faisais des mouvements verticaux sur son zob. Me soulevais et m’enfonçais alternativement sur son pieu de chair, je modulais moi aussi mes gestes et mes vitesses. Mon ami ayant remarqué ma technique me fit la remarque : « rak ta3raf tachtah 3ala e’zéb ! t’hab t’farah wa t’zahi teremtek ! zahiha ! al3ab bi zébi lamtanane ! al3ab !» (tu sais danser sur le zob ! tu aimes faire plaisir et faire jouir ta terma ! fais la jouir ! joues avec mon zob gonflé ! joues !).
Son zob était effectivement gonflé et dur comme un pieu de fer. Mais , paradoxalement, il était aussi comme un muscle puissant et doux en même temps, surtout quant il s’enfonçais jusqu’au fond de ma terma. J’avais l’impression qu’il allait sortir par devant, dans mon ventre, je le sentais presque ! Et je l’ai avoué « zébek ki yadkhoul kamel ! n’hiss yag3arli karchi ! a’daqdiqa h’loua ! t’habal ! 7ata zébi ana rah tanane ! » ( lorsque ton zob s’enfonce complètement ! je sens qu’il va sortir par mon ventre ! sa caresse est douce ! affolante ! même mon zob s’est gonflé !). Alors, il avança sa main vers mon bas ventre et pris mon zob excité. Et, avec gentillesse, il commença à me branler pendant que moi, je dansais sur son ventre et masturbais mon cul sur son zob.
On continua ainsi un long moment jusqu’au moment où j’ai remarqué qu’il faisait des grimaces de plaisir. Je savais qu’il allait atteindre son top et risque d’éjaculer brusquement. Alors, n’y tenant plus, il m’agrippa par les hanches et prit la direction des événements. Il me secouait, me soulevait et m’abaissait brusquement sur son zob avec vigueur et hurlement de plaisir. Moi aussi j’étais dans les vapeurs au milieu de cette danse endiablée. Et, enfin, il arriva au plaisir. Il me colla sur son zob, bien assis sur ses cuisses , et il lâcha ses missiles de sperme dans mes fondements. Etourdi par la jouissance, j’étais san force et je risquais de m’écrouler par derrière sur le sol. Heureusement que ses mains me retenaient fermement par les hanches et le dos. Et, après un long moment d’arrêt et d’intense plaisir commun , on s’est calmé et je me suis redressé. Debout, il se nettoya rapidement le zob et moi j’ai pris sa place sur le bidet pour me vider et me nettoyer.
Ensuite il est parti sans m’attendre. Après mon nettoyage, j’ai rejoins les gradins, très satisfait de mes deux sodomies. Au lieu de rejoindre mes deux blacks pour d’autres sodomies, j’ai préféré quitter le stade. Je, savais, maintenant, comment retrouver mes amants, chacun selon sa spécialité et mon désir, chaque fois que ma terma me démangerait. Les gens vont au stade pour les plaisirs du foot, mais moi, j’y allais plutôt pour les plaisirs du sexe, de la terma et de la sodomie jouissante.

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