Ma rencontre avec un journaliste - 1er volet
Récit érotique écrit par Milla [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 25-03-2018 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Ma rencontre avec un journaliste - 1er volet
Ma rencontre avec le journaliste : 1ere partie
Lorsque je travaillais encore à france 3 j'eus l'opportunité de faire la connaissance d'un journaliste cdd qui habitait Paris et venait pour quelques semaines travailler à Amiens.
Lorsqu'il est entré dans mon bureau ou il venait signer son contrat, j'ai immédiatement senti son regard s'enfoncer dans le mien et su qu'à cet instant il se passait quelque chose entre nous. ses yeux bleux acier me dévisageaient, on aurait cru qu'il avait vu un fantôme. il balbutia un :- bonjour, je suis pierre -oui je sais répondis-je c'est moi qui vous ai convoqué pour le remplacement d'un journaliste souffrant, vous êtes là pour 15 j je crois? je vais vous conduire à son bureau.. il acquiesça de la tête..
- voilà c'est ici, si vous avez des questions, vous savez ou se trouve mon bureau lui dis-je avec un petit sourire, comme pour lui faire comprendre que j'avais remarqué son regard insistant et presque interrogateur qui m'avait laissé perplexe.
Il était presque 17h et la conférence de rédaction se terminait pour laisser la place à l'effervescence du journal du soir ou tous se bousculent dans les couloirs, des salles de montage, au mixage pour se terminer en régie où il débutera 2h plus tard.
une tête se faufile à ma porte:
- c'est moi qui présente le journal ce soir, vous serez encore là?
- oui bien sûr! les assistantes sont souvent les dernières parties !
- super je serais content que vous me disiez si ma prestation à l'antenne vous à convenu et comment vous m'avez trouvé?
- eh bien oui pas de soucis, je vous dirais cela ce soir- j'ai une petite question....seriez -vous disponible pour me raccompagner jusqu'à à mon hôtel car je ne connais personne ici et ne connais pas trop non plus les horaires de bus, enfin si cela vous pose un problème, je me débrouillerais ne vous en faites pas.. cet homme m'intriguais en même temps qu'il m'attirais , il etait different des autres journalistes, de part sa façon de se vêtir déjà car le costume dans la profession , on en voyait très peu! et lui justement je le trouvais "classe" particulier dans sa façon de parler, de se mouvoir, on aurait dit un aristo de la haute bourgeoisie, c'est d'ailleurs sans doute pour cela que, ne correpondant pas trop au profil "journalistique" de la station il s'etait de suite marginalisé sans le vouloir.....!!
Ma réponse ne se fit pas trop attendre..
- non je n'ai rien de spécial à faire et je vis seule donc oui j'ai le temps si cela vous arrange
je sentis de suite l'intérêt que ma réponse avait suscité...j'etais seule et donc libre.. mais je l'avais dit intentionnellement..que cherchait-il exactement? je voulais savoir...
- alors j en serais ravi ...puis il rajouta -puisque vous êtes libre, peut être pourrions nous aller dîner quelque part à votre convenance?
- pourquoi pas lui répondis-je mais il faudra que je passe chez moi sortir mon chien avant cela- je vous accompagnerais à sa promenade, et cela me fera l'occasion de connaitre votre "chez vous"
à ces mots un soupçon me traversa l'esprit... et si..et si.. une fois chez moi.... je chassais ces idées de ma tête, après tout n'avais-je pas affaire à un aristo? ces personnes savent très bien se tenir pourquoi ferait-il exception à la règle?
Lorsque je travaillais encore à france 3 j'eus l'opportunité de faire la connaissance d'un journaliste cdd qui habitait Paris et venait pour quelques semaines travailler à Amiens.
Lorsqu'il est entré dans mon bureau ou il venait signer son contrat, j'ai immédiatement senti son regard s'enfoncer dans le mien et su qu'à cet instant il se passait quelque chose entre nous. ses yeux bleux acier me dévisageaient, on aurait cru qu'il avait vu un fantôme. il balbutia un :- bonjour, je suis pierre -oui je sais répondis-je c'est moi qui vous ai convoqué pour le remplacement d'un journaliste souffrant, vous êtes là pour 15 j je crois? je vais vous conduire à son bureau.. il acquiesça de la tête..
- voilà c'est ici, si vous avez des questions, vous savez ou se trouve mon bureau lui dis-je avec un petit sourire, comme pour lui faire comprendre que j'avais remarqué son regard insistant et presque interrogateur qui m'avait laissé perplexe.
Il était presque 17h et la conférence de rédaction se terminait pour laisser la place à l'effervescence du journal du soir ou tous se bousculent dans les couloirs, des salles de montage, au mixage pour se terminer en régie où il débutera 2h plus tard.
une tête se faufile à ma porte:
- c'est moi qui présente le journal ce soir, vous serez encore là?
- oui bien sûr! les assistantes sont souvent les dernières parties !
- super je serais content que vous me disiez si ma prestation à l'antenne vous à convenu et comment vous m'avez trouvé?
- eh bien oui pas de soucis, je vous dirais cela ce soir- j'ai une petite question....seriez -vous disponible pour me raccompagner jusqu'à à mon hôtel car je ne connais personne ici et ne connais pas trop non plus les horaires de bus, enfin si cela vous pose un problème, je me débrouillerais ne vous en faites pas.. cet homme m'intriguais en même temps qu'il m'attirais , il etait different des autres journalistes, de part sa façon de se vêtir déjà car le costume dans la profession , on en voyait très peu! et lui justement je le trouvais "classe" particulier dans sa façon de parler, de se mouvoir, on aurait dit un aristo de la haute bourgeoisie, c'est d'ailleurs sans doute pour cela que, ne correpondant pas trop au profil "journalistique" de la station il s'etait de suite marginalisé sans le vouloir.....!!
Ma réponse ne se fit pas trop attendre..
- non je n'ai rien de spécial à faire et je vis seule donc oui j'ai le temps si cela vous arrange
je sentis de suite l'intérêt que ma réponse avait suscité...j'etais seule et donc libre.. mais je l'avais dit intentionnellement..que cherchait-il exactement? je voulais savoir...
- alors j en serais ravi ...puis il rajouta -puisque vous êtes libre, peut être pourrions nous aller dîner quelque part à votre convenance?
- pourquoi pas lui répondis-je mais il faudra que je passe chez moi sortir mon chien avant cela- je vous accompagnerais à sa promenade, et cela me fera l'occasion de connaitre votre "chez vous"
à ces mots un soupçon me traversa l'esprit... et si..et si.. une fois chez moi.... je chassais ces idées de ma tête, après tout n'avais-je pas affaire à un aristo? ces personnes savent très bien se tenir pourquoi ferait-il exception à la règle?
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