30-Ma femme et moi à la plage

- Par l'auteur HDS Noura -
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Auteur homme.
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Récit libertin : 30-Ma femme et moi à la plage Histoire érotique Publiée sur HDS le 26-03-2018 dans la catégorie Dans la zone rouge
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30-Ma femme et moi à la plage
30-Ma femme et moi à la plage Je vous ai conté qu’en vacances, ma femme a eu un amant qui la baisait chaque jour, en matinée, dans une cabine de la plage. Et moi, tous les deux ou trois jours, je la prenais aussi le soir, par sa chatte ou par son cul le soir. Malgré cela les besoins sexuels de ma femme ne semblent pas être satisfaits et je le constatais dans ses changements d’humeur et ses nuits agitées. Pour avoir la paix, il nous fallait trouver une solution et c’est elle, comme toujours qui a eu l’idée finale. Elle m’a proposé de briser notre solitude à deux chaque soir et d’essayer d’inviter nos voisins. Ainsi, on pourrait un peu s’amuser tout en offrant un petit repas familiale. Comme toujours, j’ai été d’accord.
Elle avait déjà, les jours précédents, lié amitié avec une six jeunes, trois filles et trois garçons qui habitaient ensemble dans la maison voisine à la notre. Très libres d’attitude et de mœurs, ils circulaient toujours en boxers très courts serrés pour les garçons, à tel point qu’on voyait nettement les profils de leur sexe et leurs couilles. Les filles étaient souvent en soutiens ficelle et slips de bain si courts qu’ils ne cachaient presque rien de leur anatomie sexuelle. Elle leur a menti en disant que c’était son anniversaire et ils ont gentiment accepté de passer une partie de la soirée avec nous.
Les autres invités, c’était un veuf d’un certain âge, qui n’était autre que son amant, et son grand fils, d’après lui, de quarante ans environ. Ils logeaient seuls dans une maison, un peu plus loin, dans la rue adjacente. Elle les a invités pour leur faire partager notre fête et un bon repas type familial. Donc, les jeunes voisins invités n’étaient la que pour la galerie, pour camoufler la vrai raison qui était une liaison nocturne, chez nous, avec son amant et son fils, en plus de leur plaisir chaque matin dans la cabine de la plage. Mais je me demandais comment elle allait s’y prendre pour se faire baiser pendant la soirée. Mais sur ce point, je fais confiance à l’imagination de ma femme.
Nous avons fait honneur à son repas et aux boissons non alcoolisées et vers 22h, les jeunes nous ont quittés en nous remerciant. Mais le veuf nous adit qu’il avait acheté un gâteau pour ma femme mais qu’il l’avait oublié chez lui. Alors, il nous a invité à continuer la fête chez lui et faire honneur à son gâteau. Moi, j’avais refusé mais ma femme a accepté avec joie, et après délibérations, j’ai été obligé d’aller avec eux. J’étais sur que cela faisait partie de son plan sexuel. Avant d’arriver chez eux, il a demandé à son fils d’aller acheter quelques boissons. Chez eux, une petite maison comme la notre, , nous avons dressé dans la cuisine, la table, partagé et mangé le gâteau suivi de boissons.
Seulement, si moi et ma femme nous avons bu des jus, le veuf et son fils ont ingurgité quelques bouteilles de bière. Au début j’ai été un peu surpris, mais comme ma femme ne disait rien et riait toujours avec eux, je n’ai rien dit. A un moment, ma femme leur a expliqué que nous n’avons jamais bus de boissons alcoolisées. Mais le veuf lui a affirmé que la bière venait du mais et que son degré d’alcool était très faible. Il a ajouté, en rigolant à gorge déployée, que c’était surtout gênant car il fallait aller plusieurs fois aux toilettes pour évacuer le surplus, et il a ajouté en chuchotant à l’oreille de ma femme, « pour pisser », que j’ai bien entendu. C’était sa première intimité avec ma femme, que j’aurais du stopper mais je n’ai pas réagi.
Ma femme a pouffé et il lui a donné une bouteille pour essayer, d’abord elle a refusé en me jetant un cou d’œil, me testant. Encore une fois, je n’a rien dit, alors, l’homme a insisté juste pour l’expérience et ma femme a accepté. A la première bière, elle a grimacé sur le gout mais le veuf a insisté, alors, elle a fini normalement la bouteille. Puis, elle m’a offert une bouteille, en insistant mais j’ai refusé. Elle s’est alors presque fâchée en disant que je faisais cela juste pour l’empêcher, elle , de boire et de faire une nouvelle expérience. Elle voulait quitter la maison, mais elle savait que j’allais accepter et j’ai obéi à son désir. Ensuite, ce fut plus facile, nous avons tous bu, une bouteille après l’autre, en plaisantant et rigolant sur je ne sais plus quoi.
Ma femme buvait, sans hésiter, chaque bouteille que le veuf lui tendait. Elle rigolait et tintait les bouteilles en compagnie des deux homme et moi je restais la à les regarder, et je buvais lentement sans réagir. Ma première bouteille, je l’ai gardée longtemps pour essayer de me freiner et rester lucide. Et, c’est ainsi que, j’ai pu voir que ma femme ne tenait plus son équilibre dès la fin de sa troisième bouteille. Ma femme est déjà allé deux fois aux toilettes pour « pisser ». Elle se retenait et se penchait parfois à son voisin, le fis du veuf qui en profitait pour la serrer contre lui. Son père lui a jeté un méchant coup d’œil et le fils s’est retenu et a remis ma femme à sa place. Moi aussi, j’ai pris gout dès la seconde bouteille et dès le début de la troisième, j’étais un assez étourdi et j’avais un peu mal au coeur. Alors j’ai arrêté et sommeillais à demi sur ma chaise, la tête sur la table.
J’ai toutefois remarqué que ma femme s’était levée pour dire qu’elle allait, encore une fois, aux toilettes pour pisser. Elle avait bien prononcé, cette fois ci normalement et à haute voix, le mot « pisser » et le veuf l’a aidé, en la soutenant, vers les toilettes. J’avais compris que c’était enfin le signal qu’elle lui a donné pour la suivre aux toilettes. Elle a dit « pisser » à haute voix pour bien faire comprendre que le mari dormait et qu’elle était maintenant libre de son corps pour celui qui veut bien le prendre et faire plaisir à sa chatte et sa terma. Le veuf l’a suivi avec excitation et désirs.
Ils y sont restés longtemps, très longtemps, peut être plus d’une demi heure, dans les toilettes. C’était nettement plus qu’il ne faut pour « pisser ». J’étais certain qu’ils ont passé tout ce temps a baiser et satisfaire leurs désirs gonflés depuis les débuts de la soirée, chez nous. J’ai essayé de me relever, je ne sais pas pourquoi d’ailleurs, mais heureusement, je n’ai pas pu, d’ailleurs. Le fils m’a tendu une bouteille en me la fourrant avec vigueur dans la bouche. J’étais conscient et en même temps inconscient, en tous cas, incapable de réagir physiquement. Pourtant, ma tête pensait toujours presque normalement, car j’étais certain que son père baisait et sodomisait ma femme actuellement dans leurs toilettes.
Plus tard, quant le veuf est revenu, il était seulement en tricot de peau et short. Il m’a observé avec soins, et j’ai fais semblant de dormir. Il a discuté avec son fils et a appelé ma femme. Alors, seulement, elle est revenue des toilettes, en peignoir de bain. Je savais qu’elle était nue par dessous. Elle titubait un peu et parlait avec difficulté mais elle a pu indiquer au fils, à la main, de la rejoindre. Alors, le fils s’est levé prestement et a rejoint ma femme vers la chambre et non vers les toilettes. Le veuf est revenu encore une fois m’ausculter et j’ai même fais semblant de ronfler.
Alors, il a rejoint le couple dans la chambre à coucher et il a refermé la porte derrière lui. En tendant l’oreille, car j’étais assez conscient, je les ai nettement entendu. Immédiatement, la chambre s’est rempli de gémissements de plaisir et de cris de jouissances sexuelles. Les deux homme étaient en train de se délecter da la chatte et de la terma de ma femme pendant que je faisais semblant de dormir à la cuisine. Ma femme a bien réussi son plan, depuis le début de la soirée. Elle voulait son amant pour le soir et elle l’a eu et avec lui un supplément, son fils.
Difficilement, je me suis levé vers l’évier où j’ai bu longuement et je me suis débarbouillé le visage. Maintenant, j’étais assez conscient et même mes jambes reprenaient leurs forces, alors je me suis rapproché de la chambre et jeté un cou d’œil par le trou de la serrure. Une scène érotique m’attendait, une scène que quiu ne m’étonnait plus de ma femme qui faisait de ses amants ce qu’elle désirait, ainsi que de son mari, d’ailleurs.
Le fils était couché sur le lit, dos au matelas, et ma femme assise sur lui, se branlait la chatte avec son zob. Par contre, le veuf était debout derrière mafemme et plongeait son zob dans sa terma. Je voyais nettement le vas et viens de son gros zob dans le cul de ma femme et ça m’excitait. Et en même temps, je distinguais aussi nettement le gros zob du fils, par-dessous celui de son père, et qui entrait et sortait de la chatte de ma femme. Entre les deux homme, ma femme se donnait à fond et gémissait sans retenue. Elle grommelait et parfois criait des mots que je ne comprenais pas. C’était le plaisir et les jouissances de ses deux trous qui la faisaient chanter de joie. Les deux hommes, eux aussi, criaient leur plaisir. Au milieu de leurs souffles hachés par le désir, il criaient le plaisir qui montait dans leurs szxzs et j’ai pu distinguer quelques mots tels que « ya zébi ! ya zébi ! » ( $o mon zob ! ô mon zob !) plusieurs fois et parfois « qarék ya kahba ! » (ton cul ô putain ! ) et « nikak ya qahba » (je te nike ô putain !) et une fois « hali ! hali soutek ! » (ouvres ! ouvres ton cul !).
Depuis le début sur l’idée sur l’invitation, chez nous, puis chez eux, je savais ce qui allait arriver, mais le comment seulement m’échappait, je le laissais à l’imagination de ma femme. Et maintenant, je voyais et entendais les résultats que j’avais accepté d’avance. Et ça m’excitait de voir ma femme prise entre deux hommes en pleine action devant mes yeux. D’ailleurs, mon propre zob savait tout cela. Et, c’est pourquoi il bandait déjà depuis un moment, automatiquement. Alors, pour le calmer, me calmer, je suis allé aux toilettes pour me masturber avec vigueur.
Comme le plaisir tardait, j’ai plogé un de mes doigt dans mon anus, comme d’habitude derrière la cabine de la plage, et immédiatement, le plaisir a jailli et j’ai abondamment éjaculé sur le mur des toilettes. Puis, je suis revenu à la cuisine, assis sur ma chaise, la tête sur la table, faisant semblant de dormir, pendant que j’entendais les autres continuaient à prendre leurs plaisirs et jouissances. Ma femme va être, ce soir, superbement satisfaite.
Il a fallu, aux deux hommes, plus d’une heure, dans la chambre, pour user leurs zobs sur la chatte et la terma de ma femme. Et enfin, j’ai entendu puis observé sous mes paupières, le veuf sortir, tout nu de la chambre et se diriger vers les toilettes. Puis ce fut ma femme, elle aussi, à poil, qui l’a suivi. Ils sont restés plus d’un quart d’heure, ensemble, dans les toilettes. Elle a du lui faire une pipe ou simplement lui nettoyer le zob avec ses lèvres et le sucer pour finir, car j’ai entendu, faiblement certes, mais j’ai entendu un cri de plaisir des toilettes. Ce fut celui de l’homme qui criait son plaisir et son éjaculation après le plaisir de ma femme à son zob. Puis, tout habillés, ils ont rejoint la cuisine. Le fils est ensuite sorti de la chambre, aussi nu que les autres et a rejoint les toilettes.
Plus tard, quant ils furent tous bien habillés et assis à la cuisine, ma femme m’a secoué et j’ai fais semblant de me réveiller. Je suis allé aux toilettes pour me laver le visage, puis nous les avons quitté. Mais, avant, ma femme leur a dit qu’elle a été contente de leur soirée, et, sans me consulter, comme d’habitude, elle leur a promis de revenir les voir demain soir, et c’est elle qui apportera le gâteau et eux, les boissons si délicieuses. Oui, ils nous fourniront, à moi, les bières pour m’endormir, et à ma femme, deux gros zobs gonflés pour satisfaire sa terma et sa chatte affamées.
Sur le chemin du retour, ma femme m’a reproché, hypocritement, de m’être endormi, mais ce fut la faute à la bière lui ai-je répondu simplement. Lui demandant ce qu’ils ont fait pendant mon sommeil, elle a haussé ses épaules en affirmant que je fils s’était aussi endormi et qu’elle avait passé la soirée à jouer aux cartes avec le « vieux » veuf jusqu’à mon réveil. Et tout cela dit, sans sourciller, avec un semblant de sourire, sous les lèvres, que j’ai décodé facilement.
Le lendemain, sur la plage, et à son heure habituelle, ma femme s’est levée pour, soi disant, aller nous ravitailler en victuailles au magasin du coin. En réalité, je savais qu’elle allait rejoindre, comme chaque matinée, le veuf dans leur cabine, ou peut-être maintenant chez lui, pour satisfaire sa chatte et sa terma, c’était donc inutile de la suivre. Par contre, j’ai remarqué le fils du veuf, la bas près du marchant de glaces. Une idée bizarre dans la tête, je me suis levé pour aller le rejoindre. On s’est salué et il m’offert une glace et nous avons bavardé un moment sur notre soirée. Il m’a dit que lorsque je me suis endormi, ils ont joué à la belote tous les trois jusqu’à mon réveil. C’était assez différent de ce m’a dit ma femme. Tous mentaient et c’était normal, puisqu’ils ont passé leur temps à savourer les délices de la terma et de la chatte de ma femme.
Puis il est parti en me rappelant notre rendez vous de ce soir chez eux. Après son départ, le marchant m’a jeté un drôle de coup d’œil et m’a demandé comment je connaissais ce gars. J’ai dis que j’avais été invité chez lui et son père hier soir. Alors le jeune marchant s’est rapproché de moi et dans la confidence, il m’a renseigné. D’abord, il avait compris que j’étais étranger à la région et qu’il m’avait déjà vu avec ma femme, habillée en traditionnelle. Donc, il veux m’avertir.
Il m’a dit que ce gars la et son copain, plus âgé, qui n’est pas du tout son père mais son complice dans leurs coups fourrés de mœurs sexuels. S’ils m’avaient invités, c’etait qu’ils avaient des mauvaises intentions sur ma femme et sur moi. En effet, il m’a avoué que tout le monde savait qu’ils couraient derrière les chattes et les terma de toutes les femmes et des terma des hommes et des jeunes garçons. Sachant que nous sommes des gens sages et traditionnels, il faut éviter ces deux lascars qui ont déjà eu plusieurs bagarres avec des maris et des jeunes et même eu affaire avec la police. Pour bien nous avertir, et avec une moue de la bouche, il nous informe que ces gens ne refusent rien, ni les chattes et les culs des femmes, ni les terma des hommes et des jeunes garçons. Je l’ai remercié et lui ai promis de les éviter au maximum. Le pauvre, s’il savait ce qu’ils ont fait à ma femme hier soir.
Mais, le soir même, suivi de ma femme prête à tout pour satisfaire ses désirs sexuels, nous sommes allés à leur invitation et nous avons tous joué la même comédie que la veille, et j’ai joué mon rôle à merveille, mais sans me branler cette fois-ci. Ces soirées se sont répétées pendant plus d’une semaine, et chaque fois, je m’endormais à la troisième bière pour leur permettre de prendre leurs plaisirs. Mais, un soir, ils ont aussi invité un troisième compère, un quinquagénaire du voisinage, soi disant veuf lui aussi. La suite est facile à deviner.
Mais à la fin de la soirée, ce nouvel invité, qui a, certainement gouté aux délices de ma femme, m’a tenu à l’écart pour me faire des propositions. Comme il croyait que j’étais au courant et complice des plaisirs de ma femme, offerte aux hommes, il m’a avoué qu’il n’était amateur que de cul et que celui de mon épouse était certes très valable, mais il désirait expérimenter le mien, c'est-à-dire ma terma. Totalement choqué, je l’ai bien observé, pensant qu’il plaisantait, mais il était sérieux, tellement sérieux, qu’il m’a touché à pleine main ma terma pour la tripoter et ausculter sa consistance.
J’étais paralysé de surprise. Il m’a enfoncé plusieurs doigts joints dans le creux de mes fesses vers les environs de mon anus et il m’a avoué, qu’à première vue, ma terma est bandante et que son zob venait de se gonfler pour elle. Il m’a conseillé d’envoyer ma femme à la maison et proposé d’aller prendre un verre chez lui, tout de suite, car il a une envie terrible de ma terma.
Certes, j’étais estomaqué, mais sa main et ses gestes brusques et surtout directs et sans nuances, sur mon cul m’ont ébranlés. J’étais excité et, pendant un moment, j’ai eu la tentation de le suivre, mais, rapidement, j’ai repris mes esprits et je lui ai promis une autre fois. Il savait, dès qu’il avait remarqué mon hésitation et mon manque de reflexe pour repousser immédiatement sa main, que j’étais amateur de zobs pour ma terma. Ila remis sa main sur mes fesses mais je l’ai repoussé cette fois car c’était trop flagrant vis-à-vis de ma femme et de ses amants. Heureusement qu’elle discutaient toujours avec ses amants devant leur porte sans s’occuper de moi. Pour demain soir, je dois faire aussi mon plan pour l’après soirée.

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