Une opportunité 8

- Par l'auteur HDS Accent -
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Auteur homme.
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Récit libertin : Une opportunité 8 Histoire érotique Publiée sur HDS le 21-04-2018 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Une opportunité 8
UNE opportunité 8
Claude a pris son plaisir et prétend devoir honorer un autre rendez-vous.Il s'adresse à la recrue qui vient de signer, les yeux fermés, les contrats compromettants:
- Excuse-moi de ne pas t'accompagner, tu sauras trouver l'adresse. On te recevra avec les honneurs. Je me sauve pour faire signer une autre candidate.

- Pourras-tu encore faire respecter les usages avec cette concurrente? A la fin tu débandais lamentablement. Tes rendez-vous sont trop rapprochés. La pauvre fille sera déçue d'une contreperformance de ton zizi en déroute. Reste avec moi et remets cette visite à un autre jour
- Ce ne serait pas sérieux ni respectueux envers elle. Par ailleurs je ne respecte les usages en question qu'avec mes meilleurs sujets. Tu devrais te sentir honorée de faire partie de l'élite qui bénéficie de mes précieux conseils et de mon expérience des femmes. Mais un rendez-vous est sacré, je dois être ponctuel.

Ce que ce salaud si bien organsé n'a pas prévu ce matin, c'est ma présence et ma fureur en bas de l'escalier. J'ai compris son jeu. Il promet beaucoup, il charme, il passe un bon moment puis il disparaît. A la femme de se débrouiller pour la suite et tant pis pour le mari qui ne saura peut-être jamais qu'il est cocu. Patricia a été sa victime. Le chantage à l'emploi a fonctionné. Ce Weinstein de province se sert de ses fonctions pour obtenir les faveurs des femmes attirées par la facilité des gains importants annoncés au début de la conversation. Les malheureuses étouffent leurs scrupules, lorsqu'elles en ont, elles acceptent de passer le casting proposé pour juger leurs aptitudes à se produire sur une scène. Le casting mène inéluctablement à un ou deux coïts, en plusieurs fois autant que possible : la cérémonie de la signature permet de confirmer que la proie a mordu à l'hameçon de Claude.

Ces ménagères ne voient pas où serait le mal à montrer un sein ou les deux, alors elles se dévêtent à la demande : un peu, un peu plus, complètement et elles finissent nues, sont harponnées par la queue de l'examinateur, passent à la casserole le coeur léger puique c'est pour la bonne cause, à l'avantage de leur couple. Le mari y trouvera son compte en billets de banque En fin d'examen elles essuient leur sexe inondé et, à l'instar de ma femme Patricia, elles sont courbatues, lasses des excès de plaisir mais versent des larmes de bonheur et de reconnaissance, certaines d'avoir réalisé doublement une excellente affaire.

Au moment où Claude veut passer la porte d'entrée, je le saisis par un bras, je lui montre un couteau de boucher. Il blêmit et passe sans faire de difficultés dans ma cave et de là dans mon garage. Il n'en mène pas large, comprend très vite qui je suis et craint d'être égorgé comme devrait l'être un cochon de son espèce. Le petit Weinstein de provincei échange des emplois contre des câlins et des parties de cul. Quand les femmes oseront-elles dénoncer leur gros porc ?

Je conclus facilement un marché avec ce maquignon indigne, tant il est étonné, abasourdi d'avoir été pris en flagrant délit. Il ne nie pas, il tremble de trouille. Je lui lie les mains dans le dos, j'entrave ses chevilles, il pourra avancer à tout petits pas, mais ne pourra pas courir. Je le domine et j'en profite. Je rafle dans ses poches les clés de sa superbe voiture attrape-nanas. Il devient mon passager sans défense, je démarre.

Le vigoureux salopard qui a détruit mon couple avec sa queue, à coup de gourdin dans le ventre de Patricia ne peut rien me refuser, terrifié par la taille de ma lame. A ma colère succède la satisfaction de déjouer partiellement ses plans. Je lui fais décliner son nom, son prénom, la date et le lieu de sa naissance. C'est un peu le revers de son casting avec ma femme. Je saurai tout de lui. Je joue à l'administratif pépère. Je le fous moralement à poil. Il est plus réticent quand je l'embrouille en réclamant l'adresse de sa prochaine candidate. En a-t-il une ? Lorsque j'ajoute que je veux assister à leur accouplement, il perd pied, il se dégonfle et préfère me donner sa propre adresse afin que nous ayons une conversation à propos de ses intentions avec ma femme, car il l'a séduite, sans vouloir installer vraiment une liaison. C'était une passade, rien de sérieux. C'est fini.

Selon son discours, je dois lui laisser la chance de m'expliquer comment il procède pour lever des modèles pour le web.

- En premier, il les faut jolies, plutôt jeunes. Les matures assez rares servent à mettre en valeur les plus fraîches. Il les faut aussi crédules, assez simples pour gober les promesses.

Après une rapide formation, je pourrai l'imiter, connaître des dizaines ou des centaines de filles à la fois cupides et amatrices d'aventures sexuelles hors foyer légitime. Quand j'aurai exercé sous la houlette d'un expert comme lui, je verrai la vie d'un autre oeil. Se faire une ou deux mignonnes par semaine c'est le paradis sur terre. L'idiot, sans l'avouer, pour me convaincre de ne pas faire usage de mon arme, me promet de me révéler toutes les ficelles du métier. Il devient lyrique, enthousiaste. Et puis, que je ne m'inquiète pas pour Patricia. Il peut ou lui bâtir une carrière dont je serai fier ou la faire renvoyer avant de commencer. Tout dépendra de mes voeux selon que je l'aime ou que je la déteste.

- Jure moi que tu l'épouseras, si je la quitte.

- Mais ce n'est pas possible : je suis déjà marié. On n'a pas le droit d'avoir deux femmes. Mais je te jure que je ne toucherai plus jamais ta Patricia.

- C'est vrai ? Tu te l'es envoyée hier aprèd-midi chez moi. Je t'ai vu la défoncer ce matin. De plus tu l'as prise en vitesse dans cette voiture à la sortie de son travail hier soir. Tu es accroc.

- Ah ! non. Le soir nous nous sommes contentés d 'un flirt poussé.

- Patricia me l'a avoué hier soir quand j'ai constaté qu'elle perdait ton sperme en marchant. Tu as poussé le flirt un peu loin, non ? Cela ne serait pas arrivé et je n'aurais rien remarqué si tu utilisais des capotes anglaises quand tu tringles une de tes victimes
- Ho, ho! Victimes ? Les grands mots tout de suite ! Pas si victimes que ça. Ta Patricia a adoré se faire ramoner la cheminée en souvenir de notre adolescence. Elle est prête à recommencer dès demain au studio de notre site. Il serait étonnant qu'elle se plaigne du traitement de faveur que nous avons choisi pour elle à l'occasion de son embauche.

- C'est de ça que nous allons discuter avec ta femme, nous voilà arrivés chez toi.

- De grâce, pas ça ! Ne parle pas de mon travail à mon épouse. Elle est issue de bonne famille et ne connaît pas la teneur réelle de mon emploi. Ne la scandalise pas . Combien veux-tu ? J'ai un chéquier dans ma valisette. Mille euros ?

- A combien estimes-tu les dommages causés dans notre couple par tes manigances si amusantes pour toi ? Mille euros ? Tu te moques de moi. Ta femme évaluera mieux que toi l'étendue des dégâts.

- Alors dix mille. Plus? Faut pas exagérer, Patricia ne vaut pas grand' chose. Si tu avais vu comme il m'a été facile de l'emballer.

- J'ai vu. Trop tard, une belle jeune femme approche : C'est elle ta femme ?

- Elle te plairait, hein ? Simplement elle 'est pas accessible. C'est une femme fidèle.

Cela signifie qu'elle est trop bien pour moi. Ce Claude ne connaît pas mon esprit de compétition. Je reçois ses parolrs comme un défi. La blonde exquise ouvre ma portière et s'étonne ;
- Claude, tu as embauché un chauffeur ? Je croyais que tu détestais rouler à côté d'un autre conducteur. Bonjour monsieur, vous descendez... Et toi, tu es calé dans ton siège? Excusez-moi, je suis Eloïse l'épouse de ce fantaisiste... Mais qu'as-tu, es-tu blessé ?

- En partie seulement. Son amour propre est plus atteint que son corps. Je vous ramène un mari ligoté et pas fier de ce qu'il m'a fait subir à moi et à ma femme.

- De quel droit ? Vous êtes de la police ? Qu'a-t-il fait cette fois ? C'est grave ? Il a conduit en état d'ivresse ?

- Il n'est ni blessé ni ivre. Il a été pris par moi, en flagrant délit d'adulrère, dans mon lit en train de saillir ma femme.

- Quoi ? Tu as recommencé. Alors fous le camp; je ne veux plus jamais te voir. S'il vous plaît, emmenez le loin d'ici. Je vous offre une bonne commission pour aller le déposer au diable. Cochon, salaud. Tu ne penses donc qu'à ta queue, tu es incorrigible. Pourquoi me l'amenez-vous ? Son cerveau est là
Elle donne un coup de poing entre les jambes de Claude, approximativement dans les coucougnettes au moment où je l'aide à glisser de son siège.

Claude tente sa chance, contre :
- Ce type est fou, il raconte n'importe quoi. Ne l'écoute pas, c'est un déséquilibré.

Je m'empare de la mallette; je l'ouvre et je tends le contrat à la femme hésitante.

- Voyez le contrat qu'il a conclu avec ma femme en échange de relations sexuelles multiples.Si vous voulez le punir pour adultère, j'ai des solutions intéressantes à vous suggérer. Pourrions-nous entrer dans votre pavillon ? Je m'occupe de le conduire à condition que vous portiez sa mallette.

La blonde nous précède dans la montée du perron. Je pousse le salaud sans ménagement et j'admire en même temps la valse de la croupe féminine. Ce couillon a une femme magnifique et ne sait pas s'en contenter. Cette fois l'épouse couve une colère que je souhaite exploiter. Enfin le sinistre individu repose sur une chaise dans le séjour salon. La décoration est riche, la femme splendide. L'oiseau va se faire plumer. Eloïse lit puis me tend le formulaire:
- Je ne comprends rien à ce papier. Attends, je croyais que tu plaçais des assurances. C'est quoi cette histoire de spectacle à caractère érotique ?

- Si vous permettez, je résume. Contre la promesse de gains importants, Claude offre des emplois de modèles sur le web à des jeunes femmes. Elle offriront leur beauté à l'admiration des internautes sur des sites spécialisés, dévoileront leurs charmes et pourront , dans des spectacles payants se montrer en train de forniquer avec des partenaires dans toutes les positions possibles.

- C'est vrai ? Si ces femmes sont des adultes consentantes, je n'applaudis pas, bien que je trouve ce genre de spectacle répugnant. Que lui reprochez-vous d'autre ?

- Il fait miroiter de gosgain pour appâter.Ensuite il prétend s'assurer que les candidates possèdebnt les qualités requises. Il s'agit de caractéristiques physiques dont il se proclame juge. Celles qui recherchent un emploi sont forcées. de dévoiler leur corps.

- Adultes volontaires encore une fois . Je suppose qu'elles enlèvent leurs vêtements, que Claude ne les arrache pas. Que trouvez-vous de repréhensible dans cette démarche? Elle ne me scandalise pas. Combien avez-vous vu de femmes en bikini sur les plages ou même de femmes topless. Ne seriez-vous pas puritain? Vous vous offusquez pour peu de choses.

- Accepteriez-vous, madame, alors que nous ne sommes pas sur une plage pleine de monde, mais seulement devant votre mari et moi de montrer ainsi votre corps?

- Et pourquoi pas ? Vous me provoquez, me croyez incapable de me montrer en string ? Eh bien ! Regardez, je vous scandalise ?

- Au contraire je suis ravi du spectacle. Puis-je vous demander d'exécuter ensuite ce que votre recruteur sollicite de ses candidates ?

- Vous m'amusez. Que dis-je faire maintenant de si terrible? Je suis prête. Ordonnez et je ferai ce qu'il faut pour plaire à mon mari. Quoi, Claude, tu ne veux pas ? Raison de plus pour que je joue. Allons, mon ami, parlez.

- Veuillez vous asseoir sur la table de salle à manger. Reculez un peu, encore. Très bien. Maintenant couchez-vous sur le dos.

- Mais ce sont des jeux innocents. C'est tout ?

- C'est ici que cela se corse. Je serais fort étonné que la suite vous enchante.

- Ah ! Enfin du sérieux ? Commandez, je suis à votre disposition, en petite tenue . Je garde mon soutien-gorge et mon string. Faut-il que j'écarte les cuisses ? Vous ne me touchez pas.Où allons-nous qui puisse révolter un homme normal.

- Je vous pose donc la question suivante, telle qu'il l' a posée à mon épouse, mot pour mot:
"T'es-tu déjà masturbée devant ton mari ?"
Ma femme a répondu non. Sous prétexte qu'elle aurait à le faire pour ses clients internautes, il lui a demandé de se masturber, là sur la table. Le jeu vous semble toujours aussi anodin ? Oseriez-vous écarter la ficelle de votre string et vous toucher, vous caresser, vous pénétrer avec vos doigts jusqu'à l'orgasme ? Ou vous dégonflez-vous arrivée à ce stade
Eloïse interroge Claude
- Tu as osé réclamer ça à sa femme ? Elle l'a fait, elle s'est masturbée et s'est fait jouir devant toi ? Et moi je n'en aurais pas le courage devant toi et lui ? Voyons.

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