Claudia, ma meilleure amie devenue salope (4) (partie 2/2)

- Par l'auteur HDS Ardiero -
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Auteur homme.
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Récit libertin : Claudia, ma meilleure amie devenue salope (4) (partie 2/2) Histoire érotique Publiée sur HDS le 12-04-2018 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Claudia, ma meilleure amie devenue salope (4) (partie 2/2)
Et voilà la suite !

Chapitre 4 : Jeux de masques (partie 2/2)


- Hé ho Arthur t’es sourd !


La voix de Mehdi finit par me sortir de ma torpeur. Je me secoue et bredouille une réponse avant d’hésiter entre rentrer dans la pièce avec eux, m’enfuir en pleurant ou m’évanouir en relâchant mes sphincters. J’ai l’impression que je vais fondre sur place et me transformer en flaque. Tous le monde me regarde l’air intrigué. Je n’ose pas croiser le regard de Claudia, cette dernière se racle la gorge puis se lève.


- Viens Arthur je vais te montrer...euh...où tu dors, me dit-elle sans me regarder.

- Ok, je répond d’une voix éteinte.


Elle avance dans le couloir devant moi et pour une fois je ne pense même pas à regarder son fessier ferme, rond et bombé moulée dans un short de pyjama rose. Elle s’arrête devant la porte d’une des chambres.


- Donc...je dors là ?

- C’était une diversion je voulais juste te parler loin des autres, répond-elle.

- Ah.

- Tu nous a fait quoi là ? C’était super gênant…Dit-elle l’air agacée.


Je sens une bouffée de colère s’emparer de moi. Comment peut-elle m’en vouloir d’être choqué après...après ça !


- Oh rien j’ai juste était surpris d’apprendre que ma meilleure amie raconte à des gens sa vie. Vie dont laquelle je ne suis personnellement pas au courant, dis-je sur un ton amer.

- Oh...alors c’est ça le problème...j’ai cru que...enfin bref. Ok désolé je comprend, j’ai bien remarqué que tu me parlais moins depuis que j’ai cette “relation” avec Tanguy. Mais j’ai cru que c’était parce que je sortais avec ton pote et que tu ne voulais pas le gêner en prenant trop de place. Mais tu sais Arthur c’est pas pour ça que tu dois te mettre en retrait t’es toujours mon meilleur ami et t’aura toujours une place importante. Je t’aime pas “moins” parce que j’ai un... “copain”. C’est bien ça non ? Tu me parlais moins parce que tu pensais qu’il fallait laisser de la place à mon “couple” ?


Je réfléchis quelques secondes, bouche-bée et je répond un petit “oui exactement Claudia” alors que dans ma tête ça ressemble plutôt à “MAIS BORDEL DE ****** ELLE A VRAIMENT RIEN COMPRIS CETTE *****”.

Zen Arthur, restes calme. Je remarque intrigué qu’elle ne trouve pas les mots exacts pour décrire sa relation avec Tanguy comme si elle insinuait qu’elle ne sortait pas encore vraiment avec lui. Lui il a l’air de penser le contraire pourtant.


- Ok cool alors ! Et pour...ce que tu as entendu en entrant dans la pièce là…continue-t-elle en rougissant.

- Qu’il était...bien monté, dis-je (ou plutôt grogné-je alors que les mots sortent de ma gorge avec difficulté).

- Oui je comprend que ça t’ait choqué, mais c’est juste que toi et moi on a jamais vraiment parler de ça mais bon autant être sincère avec toi, tu m’as connue petite fille mais c’est plus le cas...la vérité...c’est que je suis sortie en secret avec Jean sans te le dire.

- Quoi ?! M’exclamé-je.

- Désolé Arthou ! S’excuse-t-elle en me prenant les mains tout en accrochant mon regard avec ses grands yeux saphirs. “Je sais que j’aurais du te le dire mais c’était mon premier copain et tu sais comme je m’assumais pas à l’époque. Bref tout ça pour te dire que depuis lui j’ai atteint quand même un âge où on se découvre physiquement.”
- C’est à dire ? Demandé-je.


Elle soupire, et s’adosse au mur, les mains derrière le dos, ce qui a pour effet de sublimer le volume de sa splendide poitrine. Son tee shirt de pyjama rose à l’air d’être sur le point de se déchirer.


- J’ai plus l’âge ou on se fait juste des petits bisous timide quoi, y’a déjà eu des petites caresses et des mains un peu baladeuses et...oh la la c’est gênant d’en parler avec toi !

- T’as...couché avec Tanguy ? Laissé-je échappé sans pouvoir m’en empêcher.

- Bien sur que non ça va pas la tête ! S’exclame-t-elle en écarquillant les yeux. Non ce que je voulais dire c’est qu’il faut pas que tu sois si choqué du commentaire que j’ai fais juste avant. Je suis pas non plus au niveau de Natasha ou de Lola mais je suis plus une sainte nitouche comme j’ai pu l’être jusqu’à y’a un an ou deux.

- Ok...je comprend, répond-je.


Ravi d’avoir pu mettre les choses au clair avec moi elle me fait un câlin, écrasant sa forte poitrine et collant son ventre plat contre moi. Je passe mes bras autour de son corps de rêve et l’odeur de ses cheveux châtain légèrement humides me fait fondre. Puis elle retourne dans la chambre et je redescend l’escalier. Mes pensées se chamboulent dans mon esprit, malgré mon comportement, Claudia n’a pas compris qu’elle me plaisait. Alors comme ça elle est sortie avec Jean…A l’instant je sais qu’elle était sincère avec moi, ça se voyait dans ses réactions et je lui fais confiance, mais je découvre également que parfois, elle ne me dit pas tout et porte un masque...

Je tremble de rage en tournant en rond dans le salon vide, des images tourbillonnant dans mon esprit. Un coup je la vois avec JB, s’embrassant, ce dernier ne se gênant pas pour attraper à pleine mains ce bonnet D dont je rêve tant. La seconde d’après ce sont des images fugaces d’elle et de Tanguy qui se bousculent dans mon esprit. J’imagine Claudia glisser rapidement la main dans le caleçon de Tanguy puis la retirer en gloussant avec son petit rire gêné si mignon. Je m’aperçois à ma grande honte que je bande. Je met un coup sur la table puis je sors en fulminant. Xavier et Tanguy ne sont toujours pas revenus de leur petite excursion au village. Mais Alicia est assise dans l’herbe, dos à un arbre poussant près de la façade de la maison. Elle est en train de fixer le ciel l’air boudeur, je m’approche d’elle et m’assoit sur une chaise contre le mur de la maison.


- Ça va toi ? Lui demandé-je.

- Comme d’hab…

Elle secoue ses longues boucles dorées puis se retourne à moitié vers moi. De la tristesse brille dans ses yeux noisettes.


- Ah encore Mehdi ? Il continue à t’ignorer ? Demandé-je.

- J’ai suivi ton conseil ça n’a pas marché, même en me servant de mes...enfin mes atouts quoi, répond-elle avec une moue boudeuse.


Etant sensible à sa tristesse (je suis bien placé pour comprendre ce qu’elle ressent) je lui fais une confidence.


- Au contraire ! ça a été efficace il m’a parlé de toi !

- Ah ??? Et il a dit quoi ?

- Qu’il glisserait bien sa queue entre tes grosses loches.


Bon, ça c’est ce que Mehdi m’a dit. Evidemment je peux pas répéter la même version à Alicia. Alors je lui dit plutôt :

- Qu’il...euh, que tu l’as pas laissé indifférent. Il faut juste que tu montres un peu plus d’assurance !

- Je vois...merci Art’ !


Elle se lève et me fais un câlin. Comme je suis assis, je me retrouve la tête entre ses énormes seins. Dieu ! Qu’ils sont chauds et moelleux ! Si j’avais une fille pareil amoureuse de moi...Mehdi est un crétin parfois. Elle m’adresse un de ses sourires angéliques et s’apprête à s’en aller quand je lui glisse un dernier conseil :

- Y’a un truc qui peut bien marcher avec Mehdi…il aime pas les filles qui le draguent parce qu’elles sont “acquises”. Essaye de le chauffer sans montrer que c’est volontaire, ignore le un peu tout en le séduisant...et si ça marche pas rends le jaloux.


Alicia se gratte les cheveux en réfléchissant, puis hoche la tête avant de rentrer dans la maison. C’est alors qu’une silhouette sort de l’ombre de l’arbre auquel Alicia était adossée.


- Natasha ?? T’écoutes depuis combien de temps ? M’exclamé-je.

- Assez pour découvrir qu’Alicia cache bien son jeu...elle est intéressée par Mehdi alors...merde, marmonne la brune en s’asseyant par terre devant moi, en s’adossant contre mes tibias.


Elle ne tient pas très bien debout et je comprend qu’ils ont du boire en haut. Il y’a un petit silence puis :

- Et toi par Claudia.

- Que... Quoi ?? M’étouffé-je presque.

- J’ai vu la tête que tu fais quand tu la voit avec Tanguy. Et surtout ta réaction de tout à l’heure quand elle parlait de sa…
- Oui c’est bon j’ai compris, l’interrompé-je.


Natasha penche la tête en arrière pour me regarder. Ce faisant elle me donne une vue royale sur son décolleté où se nichent deux demi sphères blanches et fermes. Elle se racle la gorge puis déclare :

- C’est peut être pas plus mal comme ça. Les couples et les relations entre nous ça n’aura qu’une seul effet, faire des embrouilles et disloquer la bande.

- Ah c’est pour ça que t’es comme ça avec Mehdi...commencé-je avant de me mordre la langue (merde je l’ouvre trop).

- Alors il t’as raconté...Ouais c’est pour ça, il aurait pas été dans ma bande d’amis je serais peut être sorti avec lui. Ou à la limite on aurait pu être sex friend mais je sens qu’il veut plus donc bon...il vaut mieux viser en dehors de la bande.


Je réfléchis à ce qu’elle vient de dire mais avant de pouvoir répondre on entend des braillements dans l’allée qui mène à la bâtisse. Xavier et Tanguy arrive en courant et en riant. Le copain de Pénélope n’est plus avec eux. Ils nous expliquent qu’il leur a dit de rentrer en leur laissant le joint. Ils s’assoient avec nous et nous propose de tirer une taffe.

Dix minutes plus tard, je suis dans le flou, mon corps est lourd et répond mollement à mes ordres. Natasha a du fumer bien plus que moi, elle a finit le joint à elle seule, mais elle semble à l’inverse de moi être plus excitée et dynamique. On discute et on rigole fort, profitant de la nuit estivale et de l’éloignement par rapport au reste du village pour faire du bruit. Tanguy ramène sa petite enceinte et met de la musique, pendant un temps j’oublie tout mes problèmes.

A un moment, on arrive sur des musiques un peu plus sexy et Natasha qui est debout se met à se déhancher lascivement. Elle porte un short de sport gris et un tee shirt blanc à travers lequel on voit son soutien gorge noir. Son beau corps athlétique est mis en valeur par l’éclairage jaunâtre de l’entrée. Très vite les garçons commencent à l’encourager et sa danse se fait plus chaude.

Tanguy démarre la musique “Earned it” de The Weeknd et Xavier et lui se mette à scander “Un strip-tease ! Un strip-tease !”.

Natasha leur répond par un doigt d’honneur, puis Xavier demande “un lap dance au moins ?”. Natasha fais mine de réfléchir et nous dis “pourquoi pas”. Le blondinet commence à s’exciter et essaye de se relever du sol mais Natasha le pousse du bout du pied et me désigne du doigt.


Ah, pour faire un lap dance il faut quelqu’un d’assis, et je suis le seul sur une chaise.

Natasha se met à danser en face de moi. Elle commence par secouer un peu ses épaules ce qui fait tomber un peu son tee shirt et dévoile son épaule gauche. Elle continue à onduler en marchant doucement vers moi, remontant son tee shirt et nous révélant son ventre plat. A chacun de ses mouvements, ses muscles roulent sous sa peau blanche. Elle continue ses mouvements lents en s’approchant toujours plus de moi. Lorsqu’elle arrive à quelques centimètres de ma chaise, elle me fait un clin d’oeil puis fait brusquement demi tour pour retourner d’où elle était partie.

En s’éloignant elle roule son fessier rebondi de manière délicieuse ce qui arrache un sifflement à Xavier et Tanguy, en la voyant s’éloigner je sens la frustration monter en moi.

La belle ukrainienne enchaîne alors sur des mouvements brusques, secs presque violents. Elle joue des hanches et du ventre en marchant à nouveau vers moi. J’ai de plus en plus chaud alors qu’elle ne m’a même pas encore touché. Mais elle sait créer l’attente. La belle ukrainienne trace des huits et des cercles avec son nombril tout en levant les bras en l’air, agitant les mains au dessus d’elle, leurs faisant prendre des formes variés. Distrait par ses mains je ne m’aperçoit qu’elle m’a atteint que lorsque ses genoux touchent les miens.

Son visage affiche une expression exalté, son gueule d’ange est barrée d’un grand sourire et ses yeux verts pétillent dans la nuit chaude. Elle m’enjambe et me chevauche sans me toucher, laissant volontairement un centimètre entre mon torse et sa poitrine, entre mes cuisses et ses fesses, entre mon visage et ses seins…
Ses seins parfaitement fermes qu’elle agite devant mon visage. Sa taille ondule en une parodie de l’acte sexuelle, son mouvement de hanches est divin et à cet instant on s’imagine tous ce qu’elle pourrait faire dans un lit...


Elle finit par s’assoir sur moi et sourit en rougissant. Comme vous vous en doutez je bande très fort, mon pénis plaqué par mon short le long de ma cuisse droite. Elle se relève et à mon grand étonnement, n’enjambe que ma jambe droite, la plaçant entre ses cuisses. Pour l’instant sa danse était sexy mais rien d’abusé, mais là...elle commence à se frotter à moi de façon presque vulgaire. J’entend les commentaires des autres sur le côté.


- Wahou cette cambrure, siffle Tanguy.

- Pourquoi y’a qu’Arthur qui profite ? C’est à nous après ? Grogne Xavier.


Je ne sais pas quoi faire de mes mains jusqu’à maintenant, mais Natasha les attrape et les pose sur sa taille déliée. Je la tiens fermement alors qu’elle continue à danser contre moi. Mes mains dans son dos musclé glisse un peu vers le bas et j’admire la courbe de sa cambrure, sa chute de rein est presque aussi belle que celle de Claudia. J’effleure également la naissance de ses belles fesses, ces deux sphères incroyablement fermes remuant dans son short au rythme de sa danse.

C’est impossible qu’elle n’est pas sentie mon érection et pourtant elle continue à frotter ma bosse avec l’intérieur de sa cuisse gauche. Elle glousse, les yeux un peu vitreux puis attrape son tee-shirt et le relève doucement en ondulant de plus en plus vite.


- Waw, elle va vraiment le faire ? S’exclame Tanguy.

- Vous m’avez déjà vu en maillot c’est pas quelque chose d’exceptionnel, rit Natasha avant de le lever en entier, dévoilant son bonnet B maintenu par un soutien gorge noir en dentelle.


J’entend les autres pousser des glapissements d’étonnement et ma propre mâchoire se décroche. Elle fait tourner le tee-shirt au dessus de sa tête puis le lance au visage de Tanguy. Je m’aperçoit que Tanguy et Xavier se sont rapproché et sont en train, sans aucune gêne, de se toucher à travers leurs jeans. En voyant ça, Natasha lèvent les yeux au ciel puis soupire.


- Bon c’est assez pour ce soir j’aimerais pas faire exploser vos caleçons ! Déclare-t-elle en se levant.

- Non, répond-je en la tirant vers moi, la faisant se rassoir, cette fois-ci dos à moi.


Elle me regarde l’air choquée et je m’insulte mentalement mon impulsivité irréfléchie, qu’est ce qui m’a pris ? Mais elle me sourit et me dit “Arthur en mode autoritaire ?...j’aime bien”. Elle commence à twerker sur moi sous les applaudissements de Xavier et Tanguy. Elle se penche en arrière et me lèche le cou avant de souffler dessus. Tout les poils de mon corps s’hérissent et mes mains passent de sa taille à ses hanches. Puis à ses fesses bombées. Je peux voir ses seins ronds qui remuent dans son soutien gorge noir et ça ne m’aide pas à me calmer. Je tire sur sa culotte qui dépasse et essaye de baisser son short mais elle bondit de mes genoux avec un rire gêné.

Face à nos cris de déception, Natasha sourit, puis le pas de moins en moins sur, continue à danser en caressant son derrière rebondi à travers son short. Elle se cambre dos à nous puis effectue un mouvement de vague en se penchant en avant jusqu’à toucher le sol des mains tout en gardant ses longues jambes tendues. Ainsi cambrée elle nous tend ses belles petites fesses. Elle glisse deux pouces dans l’élastique du vêtement, le baisse un peu et…

- Putain Xavier t’es sérieux ! S’exclame l’ukrainienne en reprenant ses esprits.


Je me retourne et aperçoit Xavier qui a sortit un petit pénis rosâtre. Il est en train de se branler devant la danse de Natasha ! Xavier bredouille des excuses en refermant sa braguette et Tanguy éclate de rire, rapidement suivit par moi puis Natasha qui récupère et renfile son tee-shirt.


- Bon c’est tout pour ce soir, allez bonne nuit ! Dit-elle en rentrant.

- Putain Xavier t’es chiant, s’exclame Tanguy en lui mettant un coup dans l’épaule.

- Désolé les gars, répond le blond en se frottant la tête.

- De quoi tu te plains Tanguy ? T’es pas avec Claudia toi ? Je pense pas qu’elle apprécierait de savoir que tu bandes pour sa pote, lancé-je à mon ami sur le ton de la moquerie.


Il rougit et ne répond pas (et bim !). Finalement on reste un moment puis, n’entendant plus aucun bruit dans la maison on comprend qu’il est l’heure d’aller se coucher, il est presque trois heures du matin.

En montant à l’étage je croise Mehdi dans le couloir, il a l’air tout dépité.


- Yo, pourquoi tu tires cette tronche, lui demandé-je.

- Oh rien, c’est juste que je me demande pourquoi on a invité Jean, il va toutes nous les piquer là...répond-t-il en détournant le regard.

- Comment ça ?

- Laisses tomber gros...bon je vais me brosser les dents moi.


Je le suis donc dans la salle de bain. Lorsqu’on s’approche on aperçoit Claudia et Cassandre qui en sortent, les mains et le visage mouillés elles sont toutes rouges et gloussent entre elles. Elle se taisent en voyant Mehdi et ce dernier recommence à "bouder".

Cinq minutes après, alors qu’on se brosse les dents face au miroir, on aperçoit dans le reflet quelqu’un passer dans le couloir en sifflotant. C’est Jean qui...est torse nu et porte son masque de gorille. On l’entend toquer à la porte de la chambre d’à côté (la salle de bain se trouve entre deux chambres et de chaque côté une porte permet d’y accéder depuis ces dernières). Une seconde après retentit un petit cri de surprise féminin et Mehdi s’approche de la porte menant à la chambre, qu’il entrouvre pour voir à l’intérieur. Natasha se tient sur le lit, les bras autour de ses genoux, en tee shirt et leggings. Jean-Baptiste se tient dans l’entrée, son corps musclé remplissant l’encadrure de la porte, il s’avançe vers elle.


- Comme on se retrouve ! Déclare-t-il, la voix étouffée par son masque de gorille.

- J...Jean ?! C’était toi à la soirée tout à l’heure ? Répond Natasha, l’air ahurie.


Moi et Mehdi on se bouscule pour réussir à voir dans l’entrebâillement de la porte mais soudain j’entend la voix de Claudia crier mon nom dans le couloir. Je laisse donc Mehdi tout seul et je sors à grands regrets. Quand j’arrive dans le couloir la porte de la chambre où sont Jean et Natasha se referme en claquant. Claudia s’approche de moi.


- Tu viens dormir ? Demande-t-elle.

- Ok je te suis, répond-je.


En passant devant la deuxième chambre, celle de l’autre côté de la salle de bain, la porte s’ouvre et on voit Xavier se faire “jeter” hors de la pièce. Claudia et moi gloussons devant son air dépité.


- Toi t’as essayé de taper l’incruste dans le lit de Cassandre et elle t’as viré non ? Demandé-je.

- Non celui d’Alicia, je me suis blotti contre elle, et elle en a fait de même ! Mais Cassandre s’est énervé en disant que j’étais un pervers et...me voilà.

- Pauvre petit Xavier...bon ben bonne nuit mon chou, le taquine Claudia en lui faisant un bisou bruyant sur la joue.

- Attend, y’a pas une petite place avec toi ? Demande-t-il en retenant la portugaise par la hanche.

- Non désolé ! Répond Claudia en s’en allant avec moi, j’entend Xavier râler derrière.


Elle ouvre la porte de la troisième chambre et m’y fait entrer. Il y’a juste un grand lit, je jubile en comprenant qu’on ne dort pas seulement dans la même chambre mais dans le même lit. Claudia m’invite alors à m’installer dans le lit et à me retourner pour qu’elle puisse se changer. Je m’assois, regrettant de ne pas avoir un miroir face à moi, comme dans nombre de récits érotiques que j’ai eu l’occasion de lire. Malheureusement dans la vraie vie, aucune fille n’est assez inconsciente pour ne pas remarquer que l’on puisse la mater dans un miroir.

J’entend la porte s’ouvrir et quelqu’un siffler d’un air appréciateur.


- C’est là qu’on dort ? Hein ? Tu fais quoi Arthur ? Demande la voix de Tanguy.


Je me retourne pour voir Tanguy qui me fixe l’air surpris. Claudia est entre nous deux et elle n’a pas fini de s’habiller, portant juste une petite culotte tendue autour de ses larges hanches en plus de son tee shirt extra large qui cache malheureusement ses formes. Malheureusement elle est dos au mur et face à moi.


- Ah...j’avais oublié ça, marmonne Claudia, quand j’ai fait les chambres on...enfin j’avais prévu de dormir avec Arthur.

- Ouais mais maintenant on sort ensemble.

- Je t’ai déjà dit que on sortait pas encore...(elle me lance un petit regard gêné) Enfin je compte pas dormir en “couple” le temps du séjour.


Tanguy me fait les gros yeux, son regard signifie vraisemblablement quelque chose comme “s’il te plaît mon pote barres toi !”. Ne voulant pas passer pour un lourdingue je me dirige vers la sortie à contre cœur.


- Non mais laisse Claudia je vais pas vous gêner je vais dormir ailleurs il y’a plein de place, expliqué-je d’une voix éteinte.


Claudia hésite puis fronce les sourcils avant de se diriger d’un pas ferme vers moi. Elle m’attrape par la main et me tire vers le lit.


- Je t’ai dis que je ne laisserais pas ma situation mettre de la distance entre moi et mon meilleur ami, me chuchote-t-elle, puis elle reprend à haute voix, j’ai dis que je dormirai avec Arthur et on est chez moi ici je fais ce que je veux. Tu peux dormir avec nous Tanguy il y’a de la place pour trois.


Tanguy semble agacé mais il ne dit rien et s’assoit sur un côté du lit. Claudia enfile un petit short, toujours en gardant ses fesses hors de portée de nos yeux avides. Puis elle part se brosser les dents (du coup je me demande ce qu’elle faisait dans la salle de bain avec Cassandre...) Je m’enfonce dans le lit de l’autre côté de Tanguy (du côté fenêtre) et il y’a un petit silence gênant.


- Désolé, dis-je à mon ami.

- Pas grave, c’est son choix à elle.

- Tu le prend vachement bien quand même, m’étonné-je.

- Faut bien ! Tant que j’ai pas réussi à mettre un doigt dans sa chatte rien n’est acquis et j’ai intérêt à être gentil et aux petits soins avec elle si je veux me la faire un jour, rit-il alors que je serre les poings.


Claudia finit par nous rejoindre et elle éteint la lumière nous plongeant dans le noir. Elle se faufile dans le lit entre nous deux, c’est un grand lit deux places donc on est pas serrés mais nos pieds ou nos épaules sont obligés de se toucher un peu. Claudia roule sur le côté et je la sens qui se tourne vers moi, son souffle chaud caressant mon épaule. Elle passe une main autour de mon bras et je me rapproche d’elle en constatant l’invitation. Ses gros seins chauds et fermes se collent contre mon bras. Mais je ne savoure cet instant que peu de temps, car quelques secondes après je sens une main se glisser entre sa poitrine et mon bras.

Et ce n’est ni la mienne ni celle de Claudia.

Cette dernière soupire d’agacement alors que Tanguy l’enlace, la tirant un peu vers lui. Au début je sens que Claudia résiste mais très vite elle se laisse aller et son corps s’éloigne du mien pour se rapprocher de celui de Tanguy.

Je me tourne vers la fenêtre, dos à eux. Parfois des rayons de lumière traversent les volets lorsqu’une voiture passe au loin et je préfère ne pas voir les choses sombres ce que cette lumière pourrait me révéler.

J’essaye de m’endormir au plus vite mais ce n’est pas facile surtout lorsque j’entend Tanguy déposer des petits bisous sur la peau de la latina, peut être sur son épaule ou sur son cou. Heureusement Claudia lui chuchote qu’ils doivent dormir et les bruits cessent. Je m’endors finalement…

J’émerge doucement de mon sommeil à cause de bruits étranges. La tête un peu dans les vapes j’ouvre les yeux et m’aperçoit qu’en dormant je me suis mis sur le dos, la tête tournée vers Tanguy et Claudia.

Ces derniers sont en train de se rouler une pelle.

Le bruit de leur respiration et les mouvements du matelas ne laissent aucun doute la dessus, de même que les bruits produits par leurs lèvres. Je suis comme paralysé, ne sachant pas quoi faire pour mettre fin à ce supplice, incapable de me rendormir mais aussi incapable d’agir autrement que par l’immobilisme.

Le peu de lumière qui traverse les volets ne me permettait pas de voir au début mais très vite mes yeux s’habituent et je découvre Claudia sur le dos, avec Tanguy, redressé sur un coude qui l’embrasse tout en lui malaxant un sein à travers son tee-shirt. Il remplit entièrement sa main et en déborde même.

Les deux sont toujours habillés mais la main de Tanguy se glisse à présent entre les sublimes cuisses de Claudia, je ne peux pas voir si c’est sous ou par dessus la culotte qu’il la touche mais elle se met à pousser des petits gémissements avant de lui saisir la main.


- Bon allez on dort maintenant, chuchote-t-elle.

- Mais j’ai trop envie de toi, t’es trop sexy…
- J’ai dit non, en plus y’a Arthur à côté !


Tanguy pousse un grognement puis se retourne. Au bout de quelques minutes pendant lesquels les battements assourdissants de mon cœur ralentissent doucement, Tanguy se met à ronfler.

Je tourne doucement la tête vers eux et tombe nez à nez avec Claudia qui s’est à nouveau approchée de moi. Ses yeux de biches sont grands ouverts et mon cœur manque un battement.


- Ça fait longtemps que t’es réveillé ? Me demande-t-elle d’un murmure inaudible.

- Non c’est la faute à ses ronflements, dis-je en souriant même si elle ne voit pas mon visage (je suis dos à la fenêtre)

Elle glousse puis pose une joue sur mon bras, l’air pensive. Je déplace mon bras et elle se fige mais je veux juste le mettre sous sa tête. Elle se redresse et je place donc mon bras droit autour d’elle, sa tête vient se poser sur mon torse et elle passe un bras autour de mon ventre.

On ne s’est pas retrouvé dans une position aussi câline depuis la dernière fois chez elle. La lumière d’une voiture éclaire brièvement la chambre et me dévoile sa silhouette pulpeuse étendue sur le côté contre moi. Je devine la forme de ses seins à travers son tee-shirt et plus que jamais je prends conscience de la fine épaisseur de vêtements qui nous sépare.

Juste une épaisseur de tissu, mais aussi en réalité tellement plus.

Elle blottit davantage sa tête contre mon torse, comme si elle écoutait les battements de mon cœur. Timidement, de ma main qui l’entoure, je passe le bout des doigts dans son dos, d’abord dans un geste rassurant, comme on caresserait une enfant qui a peur. Puis sur un autre registre, glissant mes doigts le long de sa colonne vertébrale. Elle se détend et pousse un petit soupir de contentement. Mais mon bras n’est pas assez long et mes gestes sont compliqués.

Elle fait alors un geste qui me surprend, elle passe une jambe sur moi et se met à moitié sur mon corps. On ne bouge plus puis je la tire encore un peu vers moi pour la placer totalement sur moi, les jambes de part et d’autres des miennes, ses seins contre mon torse et son visage dans mon cou.


Elle se redresse brièvement pour faire jeter en arrière ses long cheveux soyeux de manière à ce qu’ils ne soient pas dans mon visage. Je profite de ce moment où elle se tient au dessus de moi pour admirer le ballottement délicieux de ses seins, qui s’agitent devant moi de manière provocatrice, libérés de soutien gorge mais restants droits et pointant fièrement sous le large tee-shirt.

Elle se recolle contre moi, pressant son corps parfait contre le mien, ô combien moins parfait. Je peux maintenant lui caresser librement le dos et je ne me gêne pas pour le faire. Elle remonte une de ses mains et la passe dans mes cheveux bouclés, caressant le derrière de ma tête. Ce geste me met en confiance et je passe les mains sous son tee-shirt ample. Elle se raidit un instant mais se détend lorsque je reprend mon massage de son dos.

Ma narration ne peut évidemment pas vous faire imaginer l’état dans lequel je suis alors plongé. Mon esprit est assailli d’une tempête de pensées contradictoires, que mon instinct tente de balayer afin de juste profiter de ce moment. J’ai déjà une demi-molle et, avec la sensation de sa taille de guêpe sous mes doigts elle ne risque pas de disparaître. Sa main dans mes cheveux me masse le cuir chevelu avec douceur et je sens son souffle chaud dans mon cou lorsque je passe mes mains sur sa cambrure si prononcée avant de descendre toucher le haut de ses larges hanches.

Son souffle d’ailleurs, s’accélère au fur et à mesure que je me rapproche du bas de son dos, admirant du bout des mains son grain de peau parfait, cette texture uniforme et veloutée. Les seuls bruits dans la pièce à part nos deux respirations sont les frottements de nos vêtements entre eux et les ronflements de Tanguy à moins d’un mètre de nous (Je n’oublie pas ce dernier, car même si je baigne dans le parfum des cheveux de Claudia, elle est imprégnée une autre odeur plus masculine, comme un douloureux rappel qu’elle appartient déjà à un autre.)
Mais moi j’entends un autre bruit, celui de mon cœur qui bat à en faire éclater ma poitrine, celui de mon sang qui pulse dans mes tempes et s’en va irriguer à grands flots mon pénis gonflé de désir pour mon amie. J’ai désormais une érection puissante et je me rends compte gêné, qu’elle la sent peut être.

Voir surement.


Je descend doucement les mains vers ses cuisses, qui sont nues car elle porte un petit short assez court. Je les caresse doucement et elle lâche alors mes cheveux, elle se met un peu sur le côté libérant un de mes flancs qu’elle écrasait juste avant et descend une de ses mains pour me caresser les côtes et le ventre. Ma respiration se fait brusquement forte elle aussi alors qu’elle soulève un peu mon tee-shirt pour poser une main douce et fraîche sur mon ventre.

J’arrête de lui caresser les cuisses tellement je suis bien, l’odeur et la chaleur dégagé par sa peau m’enivre. J’attrape sa taille des mains et me met à lui toucher aussi le ventre, traçant le contour de son nombril et de ses côtes, elle frémit et se plaque contre mon corps. Son ventre m’échappe mais désormais elle est cambrée contre moi, et je peux voir son fessier divin par dessus son épaule. Alors comme rendu fou, je me met à pétrir ses côtes et ses cuisses.

Je n’ai plus qu’une envie, entièrement la toucher, la sentir, la palper, serrer et malaxer ses formes dans mes mains, la découvrir toute entière de mes doigts, de mes yeux mais aussi de ma bouche, repoussant les limites de sa pudeur et entièrement l’explorer de mes lèvres.

Elle a toujours une main sous mon tee shirt alors je décide de faire de même et soulève son tee-shirt. Je me prépare à essuyer un refus mais elle m’aide en se soulevant un peu. Je tire donc le vêtement jusqu’en dessous de sa généreuse poitrine et j’ai maintenant accès à tout son ventre et à ses côtes délicates. Je passe mes mains sur sa peau fine tendue sur une chair ferme et je sens qu’elle a la chair de poule. Il ne fait pas froid pourtant, si ?

Et soudain j’ouvre les yeux et je me réveille, je suis sur le canapé du salon, entre Mehdi et Xavier qui ronfle. Je secoue la tête déçu...

Vous y avez cru ? Et bien moi ça ne m’aurait même pas étonné, ce moment paraît si irréel que j’ai l’impression d’être dans un rêve. Toujours ce tourbillon d’émotions, je ne sais plus que penser, que ressentir. Alors je m’accroche à elle, priant pour ne pas me réveiller. Elle de son côté, continue à me câliner le ventre et les cheveux mais elle a aussi commencer à légèrement onduler, sous le rythme de mes caresses.


Très vite je ne peux plus résister, et je m’aventure vers la frontière entre son ventre et ses seins, touchant doucement le début de leur courbe. J’ai dû toucher une zone sensible car elle a un petit spasme et me mord brusquement l’épaule. Je sursaute, et pour me venger je lui mordille son épaule par surprise. Elle pousse un petit cri en glissant contre moi et je m’empresse de lui mettre ma main sur la bouche pour la faire taire.

On tourne la tête vers Tanguy mais il n’a pas réagit au bruit. Puis elle remet la tête dans mon cou et on continue comme si de rien n’était. On a toujours pas échangé un seul regard, ni un seul mot, comme liés par un accord tacite. Je lui jette un coup d’oeil et je vois que même si elle détourne le regard elle sourit dans le noir. Je reprend donc le pétrissage de ses hanches, tout en faisant des va et vient de mes doigts le long de ses flancs, partant de son bassin accueillant, remontant vers les flancs de son ventre musclé avant de m’échouer le long de sa cage thoracique, presque au niveau de ses aisselles lisses.

Au fur et à mesure de mon geste elle se cambre plus fort, écrasant ses gros seins contre moi. Je ferme les yeux pour profiter de la sensation et une fois fermés, l’impression qu’il s’agit d’un rêve se fait plus forte. Mais quand je les rouvre c’est pour voir son dos arqué dans le noir, selon une courbe qui magnifie ses belles fesses galbées.


- Huummm, soupire-t-elle au contact de mes doigts, accentuant son ondulation.


C’est un moment d’oubli, une petite bulle séparée du monde dans laquelle nous nous plongeons un instant. Mais comme une bulle j’en sens la fragilité, un rien pourrait briser ce moment et je perdrais tout ce qu’il m’offre, peut être à jamais.

Tanguy remue un peu sur le côté. Bon dieu, s’il se réveillait ! Sa copine est désormais en train d’onduler plus franchement contre moi, frottant et glissant son ventre, ses seins et son bassin contre mon sexe dur qu’il est impossible de ne pas sentir. On a je crois, dépassé le cadre d’un câlin entre amis, aussi proche puissent-ils être.

La température dans l’espace qui nous sépare doit être de dix degrés plus élevée que le reste de la pièce. C’est peut être à cause de cette chaleur torride entre nous, m’échauffant l’esprit, que me vient l’audace de tirer sur son tee-shirt, passant une main dessous. Elle se fige brusquement et relève la tête, mais je me contente de faire remonter ma main sur le côté, sans toucher ses seins pour atteindre son cou. Mon geste a entièrement soulever son tee-shirt et elle est désormais seins nus contre moi.

Elle semble hésiter, et timidement je tire sur sa nuque pour rapprocher son cou de ma bouche, avant d’y déposer un premier baiser. Elle se détend et reprend ses caresses, mais cette fois seins nus contre moi (merde si seulement j’avais dormi torse nu !). Je ne peux malheureusement pas les voir dans notre position mais juste les sentir...alala. Je continue à lui faire des bisous dans le cou et sa respiration qui était jusque là très forte, laisse place à des petits gémissements alors qu’elle continue à se frotter à moi, ses tétons, désormais j’en suis sûr, pointant contre mon torse à l’image de ma queue se pressant contre son ventre.


- Ah...aaahh...humm...


Je comprend alors que cette situation a autant d’effet sur elle qu’elle n’en a sur moi. Comprendre que je ne suis pas le seul à ressentir ce plaisir indescriptible me remplit de satisfaction et m’excite encore plus. Claudia se décolle un peu de moi pour s’ajuster et j’en profite pour baisser les yeux, espérant pouvoir enfin voir ses seins après toutes ces années mais elle grogne en posant une main paniquée sur mes yeux.

Je sourit et les yeux cachés par sa main je lui embrasse encore le cou, tout en caressant sa nuque. J’enfonce mes doigts dans sa chevelure et masse aussi l’arrière de sa tête. Alors à nouveau elle pousse un petit soupir de plaisir et se remet à onduler, plaquant son bassin et son ventre contre les miens par à-coups. Je la tient par les hanches pour guider son mouvement et tout en me noyant dans son odeur, je concentre toute mon attention sur le doux va et vient de son bassin et sur la sensation de nos deux entre-jambes en fusion. Bientôt les ronflements de Tanguy disparaissent sous les petits bruits que fait Claudia avec sa bouche, des petits gémissements contenus qui à chaque fois lui échappe à contre cœur. Mais ils sont comme ce moment : incontrôlables.

Je me redresse un peu contre le coussin derrière moi et à mon grand désarroi elle en profite pour rebaisser le tee shirt sur ses seins. J’ai tôt fait de continuer mes caresses dans son dos, tout en tirant sur son tee-shirt ce qui moule et amplifie le volume de sa divine poitrine.


- Humpf...hhhuummm, gémit-elle la bouche contre mon cou.


J’ai juste envie de prolonger ce moment d’érotisme à l’infini. Même sans aller plus loin, même sans lui faire l’amour, cette tendresse et cette chaleur me comble. Et au fond je sais qu’elle ne me laissera pas avoir plus que ça. Mais un homme étant ce qu’il est...je ne peux résister à l’envie de voir jusqu’où l’on peut aller, jusqu’où on peut maintenir l’illusion que tout ça n’est qu’un jeu amical.

Alors je me met moi aussi à onduler, à me frotter contre elle de mon bassin. Cette fois ci elle ne se fige pas, elle se contente de continuer, synchronisant son mouvement sur le mien et contractant ses belles cuisses autour de moi. C’est alors comme si j’étais pris de pulsions, un côté animal en moi se réveille et je ne peux m’arrêter. Je pétrit à pleine mains ses hanches et ses cuisses, fini les caresses tendres du début. Elle semble surprise par ce côté plus violent que je lui montre, sa respiration s’accélère encore plus et son corps se secoue d’un frisson.

Claudia m’embrasse alors dans le cou.

Dieu que c’est bon ! Je me sens tout à coup con, elle le fait tellement bien que mes baisers depuis tout à l’heure ont dû lui sembler pareil à des léchouilles. En parlant de ça, elle passe soudain sa langue le long de mon cou, remontant jusqu’à la naissance de ma mâchoire. Je pousse aussitôt un petit grognement et j’essaye de lui faire pareil. Vu sa réaction j’ai maîtrisé le mouvement, il faut dire que ma prof est...motivante. Elle continue à légèrement m’humecter la peau de sa salive avant de souffler légèrement dessus, me procurant une sensation aphrodisiaque.

Le désir brûle en moi, plus ardent qu’il ne l’avait jamais était jusqu’à cette nuit. Je l’ai désiré trop LONGTEMPS. Certains d’entre vous comprendront de quel sensation je parle, les autres me prendront pour un fou. Mais ça n’a guère d’importance, je suis lancé et même le réveil de Tanguy ne pourrait pas m’arrêter.


D’ailleurs ça m’étonne qu’il continue à dormir, si le bruit de nos corps se frottants ou de nos respirations se changeants en gémissements ne le font pas, la chaleur qui irradie de nous et les grincements du lit auraient dû le faire. Mon érection est plus forte que jamais et je m’aperçois que ma queue est en fait sortie de mon short ! Le bout dépasse d’au moins sept ou huit centimètres mais Claudia ne peut pas s’en apercevoir car mon gland frotte contre son short à elle qu’elle porte assez haut.

L’extérieur de nos corps est parcourue de frissons, fraîches au toucher, mais pour ce qui est de nos faces internes (là où nous nous touchons) elles sont brûlantes, humides, nos sueurs se mélangent.

J’ai envie d’elle...

La fournaise entre ses cuisses se frotte désormais sans ambiguïté contre ma queue tendue, je peux presque sentir ses lèvres cogner contre mon gland. Ma peau glisse contre la sienne alors que je redescends un peu, m’allongeant plus pour que ma tête descende au niveau de son décolleté. Je continue à lui embrasser le cou en caressant ses cuisses et elle est maintenant à quatre pattes, à califourchon et cambrée sur moi, son souffle chatouillant le sommet de mon crâne.

J’ai envie de la baiser.

Mes mains remontent, je ne peux plus résister à ses fesses, depuis le temps que je les vois remuer devant moi. Elle sursaute lorsque j’attrape le haut de son cul, pas encore les fessiers eux mêmes, j’ai encore peur de dépasser les limites, mais je ne suis plus en train de masser son dos et elle le sait.


J’ai envie de la prendre ici et maintenant !

Et tout en massant ces globes de chairs généreux, mon attention se porte vers le bonnet D juste sous mon nez, sa grosse poitrine généreuse, j’ai envie de la saisir à pleine mains, la triturer quitte à lui faire autant de mal que de plaisir et d’enfoncer ma tête dedans jusqu’à m’y noyer…
J’ai ENVIE de la faire hurler de plaisir à côté de son copain...

J’embrasse son décolleté, en descendant de plus en plus bas, sa peau est douce et chaude, ses seins sous mes lèvres, fermes et accueillants. Je me retrouve la tête dans la ligne qui les sépare et elle ne dit toujours rien.

J’ai VEUX prendre cette cochonne et de lui exploser la chatte toute la nuit.

Je suis maintenant en train de dévorer le haut de ses nichons et je descend mes mains un peu plus dans l’objectif de toucher son superbe gros cul. Ce faisant je baisse son short qui descend de sous son nombril à pile au milieu de son pubis. Et ma bite qui était déjà sortie, vient alors cogner le ventre de Claudia qui se fige. Mon membre brûlant est pressé contre son bas ventre et elle le sent dans toute son ampleur. La peau de mon mandrin effleure un pubis totalement imberbe et d’une douceur incomparable, c’est vraiment une petite coquine.


Je DOIS la pénétrer, lui faire sentir mon membre veineux et…

- Stop, arrêtes, murmure-t-elle.


CES SEINS, ils me rendent fou, j’ai envie de descendre plus bas pour mordiller ses tétons, ça serait un juste retour des choses, après tout cette salope me chauffe depuis…

- Arthur j’ai dit stop ! dit-elle plus fort.


Je n’ai que faire de ses protestations, elle fait ça depuis tout à l’heure pourquoi ne voudrait-elle pas aller plus loin ? Je sais qu’elle en a envie, cette chienne dégage une énergie sexuelle irrésistible et…

- Mais putain casses-toi !


Elle roule sur le côté en me repoussant et je me prend une gifle.

Mentale la gifle, pas physique hein.

Le rêve est brisé, la bulle éclate.

Je me met à bredouiller des excuses en me rhabillant tout en cachant mon pénis, symbole suprême de ma honte. Je suis mortifié, heureusement qu’on est dans le noir, ça cache au moins le rouge sur mes joues et mes yeux larmoyants. Claudia est assise à côté, les bras autour de ses genoux repliés contre elle et elle ne dit rien.

De honte je passe à colère.


Elle n’a PAS le DROIT. Comment peut-elle me refuser ça après m’avoir autant chauffer ?! Je me lève du lit et comme un enfant incapable de comprendre qu’on lui refuse quelque chose je m’apprête à sortir.


- Je vais dormir ailleurs, lui dis-je sur un ton glacial.

- Non attends Art’ ! Chuchote-t-elle, toujours assise sur le lit.

- Quoi ?


Elle ne répond rien, se contentant de me fixer, comme si elle renonçait. Je me retourne donc.


- Je vais plutôt aller dormir avec Natasha ou Alicia, ça sera mieux.


A ces mots, elle bondit presque du lit vers moi et m’attrape la main puis m’oblige à m’asseoir à côté d’elle.


- Je suis désolé c’est ma faute, j’ai...perdu le contrôle. Restes avec moi. S’il te plaît ?

- Arrêtes c’est ridicule. Laisses moi juste m’en aller.

- Mais je veux pas que tu partes, répond-t-elle d’une petite voix.


Il y’a un moment de silence et de ténèbres. Brisé par une voiture passant dans la nuit. Sa lumière éclaire les grands yeux bleus de Claudia qui me serre avec ses deux mains. Je soupire puis me rallonge à côté d’elle. Elle garde ma main dans les siennes ce qui m’oblige à me mettre en position cuillère. J’essaye d’abord de reculer, je n’ai plus envie d’avoir de contacts physiques, si...tentants avec elle. Mais elle serre ma main contre ses seins et recule se plaquant dos à moi. Puis elle tourne la tête hésite, et se penche vers mon cou.

Je me fige surpris, elle pose ses lèvres pulpeuses sur mon cou et...aspire. Encore une qui a trop regarder Twilight ?

Mais non, elle recule au bout de quelques secondes...elle m’a fait un suçon.


- T’es à moi, murmure-t-elle dans mon oreille avant de se retourner.


Je ne trouve plus la force de dire quoique ce soit, je suis comme anesthésié, elle a réussi à me calmer grâce à son charme et je me retrouve à flotter dans le vide, ne sachant presque plus où je suis. Toute mon excitation retombe et je me sens infiniment fatigué.

Je me retrouve alors plaqué contre elle, elle glisse ma main sous son tee-shirt, ma paume contre son ventre juste sous ses seins lourds dont je sens le dessous du bout de l’index et du majeur. Puis elle remue un peu du bassin et ma queue, toujours dure comme la pierre vient s’encastrer entre ses deux mappemondes. Satisfaite, elle s’immobilise et finit par s’endormir.


Pour ma part je garde les yeux ouverts une grande partie de la nuit.

Pris dans une tempête dont vous et moi sommes les seuls témoins.



Fin du chapitre 4

J’espère que vous avez passez une bonne lecture, laissez un commentaire vos avis m’aident à m’améliorer et surtout me motive pour la suite ^^

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Texte coquin : Claudia, ma meilleure amie devenue salope (4) (partie 2/2)
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