COLLECTION JEUNE – VIEUX. Grand-père (1/1)

- Par l'auteur HDS CHRIS71 -
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : COLLECTION JEUNE – VIEUX. Grand-père (1/1) Histoire érotique Publiée sur HDS le 13-06-2018 dans la catégorie Dans la zone rouge
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COLLECTION JEUNE – VIEUX. Grand-père (1/1)
• C’est incroyable, que vais-je faire de toi, tu as encore loupé ton bac, que vas-tu devenir, une traînée comme ta sœur.
• Pourquoi t’en prends-tu toujours à elle, tu ne l’as jamais aidé, c’est tous juste si tu ne l’as pas fait partir pour qu’elle devienne une pute.
• Tu es injuste Julie, il est vrai que nous avons eu des différents, mais tu es trop jeune pour que je t’explique.
• Trop jeune, je vais avoir dix-huit ans et elle en avait vingt et un.
• Alors, je vais te dire la vérité, elle m’a piqué mon amant, te souviens-tu de Julien ?
• Le jeune garçon que j’ai vu deux trois fois à la maison.
• Oui, il avait vingt-cinq ans, il était venu réparer la toiture qui avait une fuite.
• Ah oui, les tuiles cassées par la grêle.
• C’est ça, il est venu un mardi, vous étiez en cour et j’étais seule, il m’avait dit au téléphone qu’il viendrait à 14 heures, mais il est passé à 10 heures, je venais de sortir de ma douche, j’ai eu le temps de mettre un peignoir quand il a sonné.
Tout de suite, j’ai vu qu’il s’intéressait à ma poitrine, je suis devenue sa maîtresse, la suite, je la garde pour moi, je suis ta mère et même si ça a été un bon amant, je suis gêné de t’en dire plus.
• Et pour Adèle ?
• Adèle, je l’ai retrouvé sur notre canapé deux mois plus tard en train de lui tailler une pipe, c’était un mercredi et tu étais à ton cours de danse, je suis rentré des courses, j’avais croisé mon poste de travail à l’hôpital, j’aurais dû être de l’équipe du matin.
Quand il m’a vu, il a décampé, elle m’a dit qu’il avait sonné pensant que j’étais là or il ignorait que j’avais changé de poste donc que j’aurais dû être absente, J’ignore comment, ils s’étaient connus et où, mais le ton a monté et elle est parti avec sa valise.
• Tu l’as cherché ?
• Pourquoi veux-tu que je m’abaisse à rechercher une fille qui me prend mes amants.

Le ton a monté quand elle me dit cette dernière phrase.

• Ça ne résout pas le problème de ton bac, refaire une année pour que tu ne foutes rien comme cette année, c’est jeter mon argent par les fenêtres, même si je t’aime et que je suis encore prête à faire un effort.

Elle hurlait, et comme nous étions dans notre petit jardin, tous les voisins devaient en profiter, c’est à ce moment que la sonnette de la porte d’entrée, c’est fait entendre, il y avait un renvoi à l’extérieur.
Maman part voir et revient avec monsieur Louis notre voisin.

• Entré monsieur Louis, asseyez-vous, je vais chercher du café.

Elle revient rapidement, une cafetière est toujours pleine, elle en bois toute la journée.

• Vous venez-vous plaindre, nous avons fait trop de bruit avec notre dispute, cette grande gourde à encore loupée son bac, je ne sais plus quoi en faire.
• Oui, j’ai entendu, c’est pourquoi je suis venue, à 66 ans, je suis à la retraite et ma pauvre Louise m’ayant quitté, j’ai beaucoup de temps libre, inscrivez Julie pour qu’elle redouble, je vous propose tout au long de l’année de la faire travailler, j’étais professeur d’université.
• Viendrez-vous chez nous ?
• Non, vous savez que j’ai eu un accident de travail il y a dix ans et que j’ai du mal à marcher, une voiture m’ayant renversé quand j’allais à la Fac.
• Je vous comprends, Julie qu’en penses-tu ?
• Moi, tu sais.
• Je te sens pleine d’enthousiasme, d’accord monsieur Louis, il n’est pas question que vous travaillez gratuitement, je vous propose 20 € par cour.
• Je suis là pour vous rendre service, l’argent, vous savez à mon âge !
• J’y tiens.
• Je vais garder cet argent chez moi et j’en ferais cadeau à Julie le jour ou elle aura son bac.

C’est ainsi que le lundi suivant, je me retrouve assise à la table de monsieur Louis, il tient avant la rentrée de me remettre à niveau.
Je la fais cours, il y avait trois jours que nous travaillons ensemble quand monsieur Louis me pose une question saugrenue dans la bouche d’un vieil homme, certes la leçon de philo qu’il avait choisie parlait de ce sujet.

• Julie, es-tu vierge, comme il est dit dans ce texte ?
• Pourquoi ?
• J’aimerais savoir si je parle à une jeune fille ou à une femme, l’approche philosophique du texte sera différente.
• Si vous voulez savoir si j’ai connu le loup, oui !

À ce moment, il me met sa main sur ma cuisse dénudée, je m’amuse ou en veux venir cet homme.

• Veux-tu gagner de l’argent ?
• Que dois-je faire, bien sûr, j’ai des besoins comme toute jeune femme.
• Je manque de femme depuis la disparition de la mienne, je voudrais faire l’amour avec toi.

Je suis une fille à l’esprit vif, je le vois venir.

• C’est pour ça que vous m’avez parlé de ma virginité ?
• Bien sûr.
• Tu veux faire de moi une pute, à quel tarif ?
• Une pute, un grand mot, une jeune femme qui me donnerait du plaisir contre le billet que ta mère veux me donner que je multiplierais par deux.
40 € fois 30 cours, 1 200 € net d’impôts par mois.

Je me lève courroucer, je me lève et je pars vers sortir.

• Réfléchie bien, la nuit porte conseil.

Je reviens à la maison en ayant pris le temps de laisser passer celui que j’aurais dû rester à travailler.
Pendant deux jours, j’élabore un plan que je trouve crédible, jusqu’à la mairie ou je me rends avant de retourner chez Louis, qui m’ouvre.

• Tiens, signe ici et pour te faire voir ma bonne volonté, je te ferais une fellation en attendant mieux.
• Tu as réfléchi, tu as compris ou es ton intérêt, que veux-tu que je signe ?
• Une demande de mariage, j’ai déjà rempli ma partie, j’irais demain publier les bancs.
• Tu veux m’épouser, mais la différence d’âge ?
• Peu importe, j’ai perdu ma virginité, suite à une erreur de ma part et je ne recommencerais que la bague au doigt.
• Et ta mère ?
• Inutile de lui dire, ça restera entre nous, j’ai déjà idée à ce que je vais lui dire.
• Tu m’amuses, je n’ai aucune famille, j’accepte de t’épouser, mes quelques biens te reviendront à ma mort.

Il signe, je lui défais le pantalon et je lui suce la queue, mon plan fonctionne, je vais même jusqu’à avaler son sperme.
Le temps légal, je suis en mairie avec lui, il dit « oui », je dis « oui », le soir il me prend, je me mets en levrette pour éviter de voir ses muscles distendus par l’âge.
Je profite des vacances pour être chez lui sans que maman ne s’aperçoive que quelque chose à changer en moi.
Il va sans dire, que les alliances qu’il a achetées sont rangés dans nos tables de nuit.
Je vais sur l’ordinateur que je lui aie fait acheter sous couvert de m’aider dans mes cours pour le Bac.
Maman le paye chaque semaine, elle voulait que je donne à Louis les billets, je veux qu’elle lui porte, cela fait parti de mon plan.
Louis a de la vitalité, car chaque fois, on travaille, il tient à profiter de sa jeune épouse, ça dure quelques jours, quand je lui fais une demande insolite.

• Louis, je suis allée sur internet, je me suis amusé avec un garçon et je lui ais dit que j’étais une pute, il va venir me sauter dans une heure, tu le recevras, il te donnera 500 € que tu mettras dans le tiroir où je t’ai demandé de garder mon argent.
Tu me l’amèneras dans la chambre d’amis.

Je pensais qu’il hurlerait, mais il savait que, c’est lui qui m’avait fait pute et il a réagi comme je l’espérais.
Le client arrive, je suis en tenue affriolante que je lui ai fait acheter sur internet et que nous avons reçu la veille ce qui lui a permis de passer une chaude soirée, maman étant de poste de nuit.
C’est au moment ou le mec va entrer en moi que j’entends que l’on tambourine à la porte du pavillon.

• Police, monsieur, ou est votre femme.

J’entends Louis qui leur parle au bord des larmes.

• Dans la chambre, porte de droite.
• Que fait-elle ?
• Je veux un avocat.

La police constate que je suis en position plus que scabreuse pour une femme mariée.
Je me retrouve au poste de police pour interrogatoire.

• Madame, raconter nous comment vous vous êtes retrouvée dans cette chambre avec un homme qui semblerait être un client.

Je joue bien celle qui s’épanche après ce qu’elle a subit.

• Tout est parti de mon Bac que j’ai loupé, je me suis disputé avec maman dans notre jardin, monsieur Louis a entendu et a proposé de me donner des cours pour que je réussisse l’an prochain.
Un jour, il m’a demandé si j’étais vierge, je lui ai dit que j’avais été dépucelé par Julien un ouvrier couvreur qui était venu à la maison.
Louis m’a fait du chantage pour que je lui appartienne, j’ai cédé.
• Pourquoi ne pas avoir été voir votre mère !
• Car, quand je me suis disputé dans le jardin, j’ai reproché à maman d’avoir fait partir Adèle ma sœur, Louis a dû entendre de son jardin, elle m’a dit que ma sœur lui avait volé son amant, c’était Julien.

Les policiers ont retrouvé Julien, il a confirmé qu’il était fier d’avoir eu la mère et les deux filles au bout de sa queue.
Reprenons mon interrogatoire.

• Pourquoi vous êtes vous marier ?
• Il m’a fait du chantage pour que je le suce, j’ai eu peur de perdre maman comme ma sœur, j’ai trouvé ce subterfuge pour gagner du temps, il m’a imposé d’aller chercher les papiers, il tenait à me baiser.
• Il ne reconnaît pas ce point, il dit que c’est vous qui êtes venu avec.
• Et vous le croyez.
• Difficilement, il dit aussi que c’est vous qui lui avez demandé d’acheter un ordinateur.
• Il est drôle, il était dessus toute la journée.
• Comme l’a dit la femme dissimulant sa voix, nous avons bien trouvé des mails qu’il a échangé avec plusieurs hommes dont celui trouvé dans votre lit, vous saviez qu’il prenait des photos de vous.
• Toujours son chantage à maman !

C’est vrai, j’ai monté un site et j’ai mis des photos que j’ai prise pendant qu’il récupérait après que j’ai baisée avec lui.
J’ai contacté des hommes par tchat leur envoyant des Mail sous le pseudo Léon.
Bien sur, je garde ces informations pour moi, mon plan fonctionnant.

• Comment vous a-t-il obligé à vous prostituer, il dit que c’est vous qui avez tout accepter.
• À dix-huit ans, je suis étrangère à tout ça, il m’a dit ce soir, va dans la chambre, met ta tenue sexy que je t’ai offerte, un homme va venir et tu le laisseras faire ce qu’il voudra.
• Et l’argent ?
• Il m’avait proposé de lui appartenir, qu’il me donnerait quarante euros, chaque fois, la seule chose que je sais, c’est qu’il rangeait de l’argent dans un tiroir, j’ignore combien il y avait et combien le client qu’il avait fait venir lui a donné.
• Il dit que c’est vous qui avez monnayé vos charmes lui faisant du chantage que vous le quitteriez.
• À oui, il est drôle, je n’ai jamais touché un billet, même ceux que maman lui donnait.

Bref un interrogatoire qui a rapidement mis Louis en porte-à-faux, un point que vous devez connaître, le coup de téléphone à la police, j’ai acheté un portable à carte dans une grande surface.
J’ai pris rendez-vous avec mon client par Mail me faisant passer pour mon mari demandant 500 € que le client a accepté de lui donner, je me suis présentée comme une voisine qui avait appris que son voisin un homme assez vieux prostituait une jeune fille.
Le client a reconnu que l’homme qui lui avait ouvert lui a pris les billets de 100 et il l’a vu ouvrir un tiroir et ranger les coupures.
Le portable doit reposer au font de la rivière qui travers notre ville, la police n’est pas près de le retrouver, la voisine bien sûre, ils ont enquêté, introuvable, ils ont eu des doutes que ce soit ma sœur ou ma mère qui les aient prévenus.
Les billets, après analyse ADN, aucune trace du mien dessus, résultat après prison préventive, Louis a écopé de 15 ans de prison pour proxénétisme, quant à moi, je vis chez moi dans ma maison avec le compte en banque de mon mari.

• Entré Juliette, vous êtes une jolie femme, j’ai bien fait de faire appelle à vous, voici votre enveloppe.

Louis voulait que je sois sa pute, je reçois chez nous ou dans les hôtels de la région, je suis sympa, je lui fais parvenir de quoi cantiner et payer sa télé dans sa cellule, son avocat est mon amant, il me dira quand il sortira, j’aurais amassé assez d’argent pour disparaître et changer de vie.

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