COLLECTION DOMINANT DOMINE. Erreur de salle au cinéma (2/2)

- Par l'auteur HDS CHRIS71 -
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Récit libertin : COLLECTION DOMINANT DOMINE. Erreur de salle au cinéma (2/2) Histoire érotique Publiée sur HDS le 16-06-2018 dans la catégorie Dans la zone rouge
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COLLECTION DOMINANT DOMINE. Erreur de salle au cinéma (2/2)
Pour la Saint-Valentin, Christian mon mari me sort, il m’emmène au cinéma voir La Ch’tite famille de Dany Boon, suite à une erreur d’aiguillage du caissier, nous nous retrouvons dans une salle où il est projeté « Domination », un film sadomasochiste ou Sharon l’actrice a tourné les scènes fort réalistes sans filtrage.

De retour à la maison, pendant que Christian est sous la douche, je me sers d’une pince à linge pour voir l’effet que fait la douleur sur mon propre corps.
Elle reste peu longtemps sur moi, mais j’ai le temps de voir que mon intimité réagie et Christian en profitent pour me faire l’amour comme nous ne l’avons pas fait depuis la naissance de Fanny notre fille.

Le lendemain midi au bureau, je suis seule pendant la pose, je veux commander des objets dont les fameux crochets avec des poids pour mes seins, mais suis-je prête à franchir le pas comme Sharon le fait dans le film.
Deux pinces pour réunir des feuillets entre eux sur mes seins, la troisième sur mon clitoris, les premières, est-ce la tentative avec une pince à linge dans ma buanderie, je les supporte en serrant les dents, réussissant à être une bonne soumise, mais mon clitoris, c’est autre chose, je hurle.

La reprise du travail ne va pas tarder, Huguette ma collègue peut entrer à tout moment, je me rajuste, mes seins, j’enlève les pinces, le sang revenant dans les pointes me fait un mal de chien, je n’ai pas le temps d’enlever celle sur mon clitoris, je rabaisse ma jupe précipitamment.

• Allô, Jacqueline, je dois recevoir un colis, c’est un cadeau pour Christian pour son anniversaire, puis-je le faire arriver chez toi, il sera livré dans quatre jours.

Accord en poche, je reprends mon travail, je porte ma main sur ma chatte plusieurs fois dans l’après-midi, j’adore la douleur, vivement que mon colis arrive, je vais pouvoir passer à un degré supérieur.
Trois fois, je vais aux toilettes, deux fois, je suis à la limite d’ôter la pince, la troisième fois, je récupère les deux pinces de mes seins et je les place sur mes grandes lèvres, je me mords pour ne pas hurler.
Hurler à ce moment de la journée, c’est impossible des clients sont présent et maître Dupond vient de revenir, jusqu’à mon retour, je les garde, je n’ai qu’un seul problème, je sens ma mouille couler sur mes cuisses, mais je veux voir si comme Sharon, je suis plus forte que la douleur.

Quand j’arrive, maman est là s’occupant de Fanny pendant que Christian pose le carrelage dans la cuisine.

• Marie chérie, quand tu fais tomber des pinces à linge dans la buanderie, ramasse-les, j’ai marché sur l’une d’elles, je l’ai éclaté avec mon poids, risquant de me tordre la cheville.

Il s’approche de moi, je me rends compte de ma folie, que vais-je lui dire, s’il me met la main sur le sexe et sens les pinces, une fois de plus, je vais vite à réfléchir.

• Attends, je suis sale, je vais me doucher et surtout me mettre à l’aise.

Je me sauve comme une voleuse, j’entre aux toilettes, la douleur du sang revenant dans la pointe de mes seins, n’est rien comparé à celui revenant dans mon clito et mes grandes lèvres, je suis une bonne soumise, pas un mot ne sort de ma bouche.
Dans la salle de bains, la panière à linge me permet de me débarrasser des objets me donnant un plaisir que je ne me serais jamais cru capable de supporter.

• Marie, ton colis est arrivé, je peux te le déposer en allant faire mes courses, je passerais vers dix heures.

À midi, je suis seule, Jacqueline a déposé le colis, elle voulait savoir ce que j’avais acheté pour mon mari, piégé la petite Marie.

• C’est un secret, je te le dirais après lui avoir offert.

Ma copine est partie un peu mal à l’aise, moi qui d’habitude lui dis tout, mais je me fiche de ça, je verrais plus tard, j’ai quelque temps avant la date, par compte le premier crochet qui me pique le mamelon, m’apporte une douleur immense, mais deux minutes après, les deux seins sont percés et les masselottes sont pendues me donnant la douleur doublée de mon plaisir.
J’en ai acheté quatre, sans le moindre moment de peur, je perce ma grande lèvre droite suivi de la gauche, je suspends deux cents grammes sur chaque crochet, le bourreau de Sharon lui en plaçait cent cinquante grammes.
Comme la veille, j’enlève les poids de mes seins en laissant les crochets, en me regardant dans la glace, mon soutien-gorge est assez épais pour les cacher.
Le soir, je prends un tram bondé pour rentrer chez moi, le plus angoissant ça été au moment de monter, les deux poids sur mes grandes lèvres se sont entrechoqués, les voyageurs cherchaient ce qui avait fait un tel bruit.
Par compte, chaque fois qu’un dos ou une autre poitrine s’appuyait sur les crochets, ils bougeaient me faisant divinement mal.
En entrant dans la maison, Christian travaillait à l’étage, j’ai foncé dans la buanderie pour tout enlever et tous cacher, j’ai bien fait, car quand je suis monté à l’étage, Christian a voulu me faire l’amour, il m’a déshabillé et ma sucé les seins.
Les crochets fraîchement enlevés laissent deux petits trous, je me place en levrette sur notre lit, lui cachant aussi l’état de mon sexe, il faudrait que je trouve le moyen de lui avouer que le spectacle de Sharon et de son bourreau avait déclenché en moi des envies de soumission sadomasochiste.
J’avais peur qu’il ne pense que la mère de sa fille soit une salope et se détourne de moi, ce coup-ci, je réchappe à ce dilemme, mais tôt ou tard, je vais être rattrapé.

Le lendemain, j’appelle mon travail prétextant une migraine carabinée.

Aucun doute, je suis la sœur jumelle de Sharon, la seule différence, c’est que je suis sur la corde raide, car je dois faire très attention à ce que Christian ne remarque pas les trous dans mes seins ou dans ma chatte, sans oublier les marques sur mes fesses.
Quand je parle de corde, Sharon tout au long du film que je regarde de nombreuses fois sur mon portable, faisant éclater mon forfait, se fait attacher, me rendant verte de rage.
La scène ou elle est maintenue par des menottes les bras tendus au-dessus de sa tête, ou son maître la fouette sur les seins, son intimité sans oublier ses fesses quand elle tournoie, je la connais par cœur à la seconde exacte.
La tension sur ses bras doit être maximale, j’aimerais ressentir ce qu’elle ressent, mais je dois me contenter de mes petits moments à moi, même si je prends des risques pour mon emploi.

Ce soir, repas aux chandelles, dès que je rentre, Fanny étant chez maman, c’est le fameux repas d’anniversaire dont j’ai parlé avec Jacqueline pour le cadeau qui était mon cadeau rien que pour moi.
J’ai eu du mal à trouver un objet pouvant entrer dans la boîte, comme il bricole souvent et que je l’entends souvent dire qu’il lui manquait une scie circulaire à main, je suis allé chez le marchand près de chez nous, je l’ai transféré dans la boîte de mon colis et j’ai fait un paquet cadeau.

• Ma chérie, merci pour ce magnifique cadeau, dans trois semaines, c’est ton anniversaire qu’aimerais-tu que je t’offre ce jour-là, une cafetière ou un fer à repasser.

J’ignore si sa question était ironique, il est vrai que je l’aurais mauvaise, s’il m’offre ce genre de cadeau, ce serait un motif de divorce, mais j’ai cherché au plus pressé, la grandeur et le poids conditionnant mon achat.
Pour me rattraper, dans le noir, nos rapports étant toujours dans le noir depuis quelques jours, ayant imposé l’extinction des feux sous couvert de problèmes à mes yeux quand il me prend dans la position du missionnaire, je me donne à lui comme jamais, hurlant de plaisir.
Je hurle, car mes seins et ma chatte sont devenus ultra-sensibles à force de m’attacher des crochets et d’y mettre des poids.

• Mon cœur, merci de m’amener Fanny, j’espère que Christian t’emmène au restaurant pour ton anniversaire, ce que je sais, c’est que toi, tu organises une fête dimanche.
• Je me dépêche de rentrer, il faut que je passe ma robe du soir, il m’a dit qu’il serait là à vingt heures.

Une fois changé, j’arrive dans la salle à manger, il est en smoking près d’une table avec des chandelles allumées, le repas froid qu’il a dû se faire livrer est très bons, mais j’espère que mon cadeau va être à la hauteur.

• Marie, lève-toi, je vais te bander les yeux, tu vas me suivre sans un mot, fais-moi confiance.

J’exécute son ordre, je suis contente, si je dois me dépasser pour aller jusqu’à la surprise, j’échappe au fer à repasser qu’il m’avait promis.

• Attention aux marches.

Pourquoi me conduit-il au seul endroit où il y a des marches, notre cave voûté ou le cafetier rangeait ses bouteilles et ses tonneaux de bière, ça fait des mois que nous devons la débarrasser.
Nous devons être en bas, quelques pas incertains sur la terre qui la compose, il me saisit une main, puis l’autre et je dois être menotté, mes bras sont tirés vers le haut, ma robe m’est carrément arrachée.
Pendant de longues minutes, je reste comme ça pendu dans le vide, au bout d’un moment, je sens que Christian me prend l’un de mes seins en main, la douce piqûre d’un crochet se fait sentir vite suivi du deuxième.
Les poids sont accrochés les tirant divinement vers le sol, ma chatte est attaquée pareillement, je sens que l’on m’écarte la chatte et un objet volumineux m’est introduit.
Je devrais crier, mais j’ai une telle maîtrise de la douleur au fil des semaines ou je me suis maltraitée qu’aucun son ne sorte de ma bouche.

Mon bandeau m’est enlevé, mon maître est là, comme dans le film, j’ignore comment mon maître a su que j’avais envie de soumission, a-t-il vu les traces de mes turpitudes sur mon corps.
Jacqueline lui a-t-elle parlé du colis et ayant un doute a-t-il été sur le site Internet voire mes commandes, la cave est transformée en salle de torture comme dans le film.
Quand il prend un fouet et que les coups pleuvent recouvrant les marques que je m’étais faite, je m’en fiche, Sharon est battue, elle a arrêté d’être masochiste, alors que moi, c’est mon premier jour sous la houlette de mon maître.
Quand mes seins, malgré les crochets et les poids sont attaqués, me donnant encore plus de plaisir au point que la lubrification de mon corps fait tomber le gode, je sais qu’il va y en avoir des dizaines voire des centaines.
Merci au caissier du cinéma qui s’est trompé de numéro.

« Aïe, quel coup, je sens du sang couler sur mes fesses, attention, « Aïe », c’est dans ma tête que je le pense, pas question qu’un cri de douleur ne sorte de ma bouche, ne suis-je pas une bonne soumise. »

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