LUNE DE MIEL AU PARADIS

- Par l'auteur HDS Tamalou -
Récit érotique écrit par Tamalou [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : LUNE DE MIEL AU PARADIS Histoire érotique Publiée sur HDS le 30-04-2018 dans la catégorie Dans la zone rouge
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LUNE DE MIEL AU PARADIS
L'endroit était plutôt glauque, mais la boisson alcoolisée offerte par Sylvio, les rythmes sud-américains à pleine puissance et le savoir-faire de son cavalier eurent tôt fait de la désinhiber. Elle se pressait d'elle-même contre le poitrail du jeune homme, frottant ses seins contre le torse musculeux. Les bras levés, les mains accrochées à ses épaules puissantes, plus la jambe qu'il avait glissé en riant entre ses cuisses pour danser, faisaient remonter sa courte robe plus haut que raisonnable et, malgré les lumières rares, on pouvait distinguer ses fonds de culotte, heureusement assortis.
Sylvio, adroitement, caressait ses flancs, ses reins, descendait ses mains baladeuses en riant beaucoup. Son sourire éclatant, ses caresses et surtout le morceau de viande qu'elle sentait grossir contre son ventre exacerbait le désir de la jeune épouse. Elle n'avait plus qu'un désir, s'allonger et laisser Sylvio prendre possession de son corps.

Quand Sylvio l'a allongée sur le lit et s'est agenouillé entre ses jambes, la pauvre Anita, soûlée de drogues, d'alcool et de caresses n'avait plus la force de lui résister. Elle se contorsionna pour faire glisser sa culotte et frissonna lorsque la langue habile creusa le sillon de sa chatte humide, tremblante de peur de réveiller son époux Robert qui dormait juste à côté d'elle, et du désir de sentir l'énorme colonne de chair noire la pénétrer.


Le jour même, M. Robert Ivoire et la jeune Mme Anita Ivoire étaient arrivés à l'hôtel en fin de matinée après un voyage long et fatigant depuis la métropole. La station balnéaire était nichée dans un paradis tropical au bord d'un lagon aux eaux turquoises. Ces vacances étaient leur voyage de noces, offert par la tante d'Anita convertie à l'adoration du sexe interracial et récemment nominée «Reine de Pique». C'est dans cette résidence qu'elle avait été elle-même endoctrinée après voir eu le béguin pour un jeune apollon noir qui lui avait fait craquer le cœur.

L'accueil était sympathique avec un cocktail de bienvenue pour les faire patienter en attendant que leurs bagages soient apportés dans leur bungalow. Ensuite, un passage rapide en chambre pour découvrir le lieu idyllique niché dans la verdure et les fleurs, où ils allaient profiter de leur lune de miel, se changer rapidement pour une tenue plus adaptée et direction le copieux buffet afin de se restaurer. Le paysage, la douce brise marine, la nourriture, tout était magnifique sous un ciel sans nuage. L'après-midi se passa dans une douce torpeur, balade le long du front de mer, baignade dans les eaux tièdes du lagon, pour finir au bord de la piscine de l'hôtel, la douche pour enlever le sel et chahut dans l'eau pour se détendre. Il y avait un bar au bord de la piscine et les deux amoureux assoiffés s'approchèrent pour voir la carte.
Le serveur, Sylvio, un noir athlétique, les surveillaient du coin de l’œil depuis un moment et s’approcha:
« Nouveaux?» Pas difficile à deviner, les récentes plaques rouges ne dissimulait pas encore leur bronzage cachet d'aspirine. « Je peux vous offrir notre cocktail spécial bienvenue? OK, vous m'en direz des nouvelles!» Il leur servit une boisson rafraîchissante enrichie de deux concoctions. Pour Robert, le cocktail de stérilisation, de couleur orangé, était agrémenté d'un puissant somnifère pour qu'il laisse madame tranquille pendant la soirée. Pour Anita, la boisson verdâtre était améliorée par un puissant aphrodisiaque qui allait transformer la jeune épouse en chienne lubrique. Leurs bouches occidentales, gâtées par le bain de mer, ne détectèrent pas le goût acidulé des médicaments ajoutés. La soif et le contact agréable avec le jeune serveur noir ne tardèrent pas à les faire revenir à la fontaine. Devisant gentiment, à la question qu'est-ce qu'on peut faire ici le soir pour s'amuser, Sylvio répondit:
« Ici, le soir, pas grand-chose, c'est des couche-tôt. Pas faire de bruit, la tranquillité des vacanciers, ici pour se reposer, patati patata, pratiquement à vingt deux heures c'est l'extinction des feux. Moi je vais dans une boîte avec des locaux, c'est au bout de la rue, y a de la bonne musique, les boissons sont pas chères, si vous voulez je finis mon service à vingt et une heure, je passe vous prendre et je vous emmène. Avec moi, vous ne paierez pas l'entrée.»

Après un solide repas bien arrosé, Robert refusa la balade sentimentale proposée par Anita. Il s'était levé tôt, le voyage fatigant, le changement d'air, la baignade, plus la boisson agrémentée de somnifère, il ne tenait plus les yeux ouverts.
« Ce que je te propose, je fais une petite sieste pour être en forme et te faire passer une nuit d'enfer, pendant ce temps tu te balades en attendant que Sylvio vienne nous chercher».
Anita se pomponna, enfila des sous-vêtements coordonnés en dentelle noire, sa petite robe noire de cocktail, ses talons aiguilles noirs. Se jugeant sexy, elle sortit profiter du romantisme de cette fin de journée. Des couples se promenaient main dans la main tandis que d'autres s'isolaient sous les frondaisons odorantes. L'air sentait l'amour et le sexe, Anita, seule, se morfondait avec son bas-ventre en feu à cause de l'aphrodisiaque.
Elle rentrait à son bungalow pour se soulager avec une masturbation bienfaisante lorsque Sylvio apparut.
« Ah, te voilà, tu sais pas la meilleure, Robert s'est couché pour faire la sieste et m'a laissée seule. Charmant!»
Elle pénétra dans la chambre pour tirer son mari du sommeil, mais rien n'y fit, ni les cris, ni les secousses, rien.
Sylvio se marrait, pas étonné: « Bon, tant pis, je te laisse, bonne nuit!»
« Ah! Non, pas question, moi je veux m'amuser, profiter, je t'accompagne!» Puis, d'un petit air mutin: « Si tu es d'accord, bien sûr!» Évidemment, il était d'accord et ils partirent main dans la main pour la boîte de nuit.

L'endroit était plutôt glauque, mais la boisson alcoolisée offerte par Sylvio, les rythmes sud-américains à pleine puissance et le savoir-faire de son cavalier eurent tôt fait de la désinhiber. Elle se pressait d'elle-même contre le poitrail du jeune homme, frottant ses seins contre le torse musculeux. Les bras levés, les mains accrochées à ses épaules puissantes, plus la jambe qu'il avait glissé en riant entre ses cuisses pour danser, faisaient remonter sa courte robe plus haut que raisonnable et, malgré les lumières rares, on pouvait distinguer ses fonds de culotte, heureusement assortis.
Sylvio, adroitement, caressait ses flancs, ses reins, descendait ses mains baladeuses en riant beaucoup. Son sourire éclatant, ses caresses et surtout le morceau de viande qu'elle sentait grossir contre son ventre exacerbait le désir de la jeune épouse. Elle n'avait plus qu'un désir, s'allonger et laisser Sylvio prendre possession de son corps.
Espiègle, elle lui déclara: « Je suis fatiguée, j'ai trop présumé de mes forces, je voudrais rentrer, tu me raccompagnes?»
Elle espérait que Sylvio lui ferait faire un petit détour par sa chambre, mais il la raccompagna directement à son bungalow. Il voulait la posséder sur le lit conjugal, à côté du mari plongé dans un sommeil artificiel.

Quand Sylvio l'a étendue sur le lit et qu'il s'est prosterné entre ses jambes, la pauvre Anita, soûlée de drogues, d'alcool et de caresses n'avait plus la force de lui résister. Elle se contorsionna pour faire glisser sa culotte et frissonna lorsque la langue habile creusa le sillon de sa chatte humide, tremblante de peur de réveiller son époux Robert qui dormait juste à côté d'elle, et du désir de sentir l'énorme colonne de chair noire la pénétrer. Longtemps, il la caressa, la lécha, la suça sur toutes les zones érogènes de son corps, descendant, remontant, de sa bouche et des mains, la retournant pour s'occuper des fesses charnues. Plusieurs orgasmes successifs ont éclatés dans son cerveau confus et, quand ses gémissements devinrent gutturaux et continus, il comprit qu'il ne devait plus tarder à couvrir cette chienne lubrique. Se déshabillant rapidement, il s'allongea entre ses cuisses ouvertes et, d'une seule poussée, fit pénétrer son arbre magique jusqu'au fond du vagin accueillant. Il resta immobile le temps de l'accoutumance. La grosseur, la longueur, la sensation de puissance de l'arbre noir n'avait rien de commun avec ce qu'elle avait connu. Elle se sentait remplie, possédée, dominée par le mâle alpha, objet de ses fantasmes. Sur elle, Sylvio roucoulait doucement, lui racontant des bêtises, qu'elle était belle, chaude, et qu'il était très amoureux. Anita, complètement perdue dans sa luxure, balançait ses hanches pour augmenter la montée du plaisir. Sylvio, lui saisissant une jambe, la leva très haut pour la niquer à grands coups de reins de plus en plus rapides, sortant presque entièrement sa queue de la petite chatte, pour la replonger avec élan jusqu'au fond de son puits d'amour. Les orgasmes se succédant sans temps mort, Anita se mit à couiner des «han» suraigus à chaque pénétration. Elle ne se souciait plus du mari endormi, elle prenait son pied, c'est tout. Après s'être vidé les couilles plusieurs fois dans la chatte en fusion, Sylvio roula sur le côté, les bras en croix. Aussitôt, Anita se rua sur l'organe mâle, le léchant, le suçant, le bécotant jusqu'à ce qu'il soit parfaitement propre avant de passer aux bourses maintenant vides. La drogue l'avait rendue impudique et obscène, et la fièvre prodiguée par le jeune étalon noir l'avait transformée en une chienne lubrique, une pauvre petite chose sans défense entre les mains de son amant. Pendant qu'elle le caressait, léchait, bécotait, suçotait, ses cuisses, son entrejambe, son sexe, le ventre, le torse, il lui caressait les fesses en lui promettant:
« La prochaine fois, je te casserai le cul, salope!» ce qui la fit frissonner de désir.
Quand il la quitta, elle eut beaucoup de mal à s'endormir, la chatte débordante du sperme de son amant, rêvant de grand amour et de bacchanales à côté de son ronfleur de mari.

Ils se réveillèrent tard le lendemain matin. Robert, pâteux et hébété, serait bien resté à flemmarder au lit mais Anita, la chatte en fusion, attrapa ses bijoux de famille dans l'espoir d'un déjeuner protéiné mais rien n'y fit. Les caresses, succion, léchage et autres grivoiseries le laissèrent sans réponse. Flasque, détendu mais inopérant, pour lui aussi la drogue faisait son effet. Comme une chatte en chaleur, Anita ronronnait dans le cou de son mari, sans lâcher l'objet de sa convoitise, jusqu'à ce que sa frustration se mue en colère: « Bon à rien, t'es qu'une chiffe molle, c'est pas un homme que j'ai dans mon lit, mais une crevette … Tu vas te réveiller et me baiser, OUI?»
Robert roucoulait doucement vers elle, ne comprenant pas ce qu'il lui arrivait: « La fatigue, le changement, trop dormi, on va faire un tour à la piscine, ça me réveillera, après tu verras ...»
Mais la piscine ne pouvait pas faire de miracle, Sylvio n'étant pas au bar ce matin-là, ils se contentèrent de viennoiseries et d'un bon café avant d'aller se promener en ville en attendant l'heure du repas. Pour se venger, Anita dépensa une somme indécente dans les magasins de fringues, achetant tout et n'importe quoi devant un Robert médusé. Retour à la piscine, Robert s'installe dans un transat pendant qu'Anita va au bar commander les apéros. Cocktail pour monsieur, comme ça il va me foutre la paix, Cuba Libre pour moi, pas la peine de me chauffer plus sinon je prends feu. Après le repas, Robert prends la direction du bungalow:
« Il me faut une sieste, sinon je vais tomber» Et d'ajouter, devant la mine renfrognée de sa femme: « Va te promener, je te rejoins bientôt!»
« Tu parles comme c'est agréable, tu vas passer tes vacances à dormir?» Puis s'échappant, légère et insouciante, à la recherche de son amant.
Heureux présage, il trainait devant l'hôtel avec un pote à lui, un black bien gaulé.
« Tu viens te baigner avec nous?»
« Je sais pas, vous allez où?»
« Une petite crique déserte, un peu plus loin, on peut faire du naturisme, c'est bon pour nos culs noirs!»
Excitée et heureuse, elle glissa son bras sous le bras des garçons, et encadrée par les deux bellâtres, s'en alla, la chatte en feu, vers son destin de pute à blacks. La crique était déserte et isolée, mais le sable était remplacé par des roches plates, d'origine volcanique, sur lesquelles on pouvait s'allonger. A peine arrivés, les garçons se dénudèrent et se jetèrent à l'eau en riant. Anita suivit prestement le mouvement, et ils se retrouvèrent à batifoler dans l'eau, embrassant une bouche, puis l'autre, se cramponnant à leur vit en semi-érection. Mais la jeune femme était sous l'emprise de ses sens en ébullition et elle remonta vite sur le rivage, s'allongeant les jambes écartées et les appelant pour la rejoindre. Ils ne la firent pas attendre et vinrent s'étendre chacun d'un côté, s'emparant de sa féminité, de la bouche et des mains, suçant, palpant, pendant qu'elle secouait leurs bites maintenant bien développées.
Le noir musclé mordillait son lobe d'oreille, pétrissant son sein nu, tordant son mamelon érigé pendant qu'il lui murmurait chaudement: « On va te baiser l'un après l'autre et après, quand je t'aurais cassé le cul, on te prendra en doublette, ma petite salope d'épouse infidèle.»
Les mains pétrissaient son corps comme un morceau de viande, les drogues la rendant plus impudique et plus chaude, elle s'écria: « Ooh, oui, prenez-moi, maintenant, je suis prête, fourrez-moi vos queues dans tous mes orifices, faites de moi ce que vous voulez, je vous appartiens, mais baisez-moi, MAINTENANT!»
Les jambes écartées, ils pénétrèrent sa chatte trempée l'un après l'autre, se retenant pour la faire jouir au maximum en économisant leurs forces, jusqu'à ce que, ivre de luxure, elle se positionne d'elle-même à genoux, la joue au sol, écartant ses fesses à deux mains, en les suppliant: « Allez-y, maintenant, prenez-moi le cul, je suis prête!»
Sylvio lui cracha sur la rondelle et sans autre préparation, l'agrippant par la tignasse pour la maintenir cambrée, lui planta son gros bâton noir dans le cul, d'une seule poussée rectiligne. Elle hurla de douleur, mais comme il ne bougeait pas, planté au fond de son cul, elle finit par s'habituer à l'énorme morceau de viande noire qui distendait des chairs. Pendant ce temps, le copain s'occupait de sa chatte et de ses seins en les malaxant fermement.
Sadique, Sylvio questionna: « Alors, ton petit mari blanc, avec son petit oiseau tout mou, il te donne autant de plaisir?»
« Ooh, non, avec lui je simule pour qu'il soit content, mais il me chatouille à peine. Il n'y a qu'avec sa langue...»
«Très bien, désormais, il ne pourra utiliser que sa langue. Son petit oiseau blanc, tu le mettras en cage, et quand tu voudras baiser, tu iras trouver le nègre avec sa grosse bite, OK? Si tu fais ce que je t'ordonnes, je te donnerai autant de plaisir que tu pourras en supporter, salope, mais défendu le sexe avec le petit blanc!» Et pour accentuer ces fortes paroles, il commença son va-et-vient dans le cul de la femelle, sortant lentement du tube dilaté presque entièrement, pour se replanter au fond du trou d'un coup de rein rageur.
« Tous les hommes noirs sont comme ça ... Aucun mec blanc n'égalera jamais … Désormais, tu seras une chienne pour la grosse bite des hommes noirs, eux seuls peuvent te faire jouir comme ça!» Bien sûr, à cette cadence, il éjacula rapidement dans les entrailles de la femelle, et le copain prit sa place.
La femme blanche corrompue n'était pas déçue par son acolyte, les hanches agrippées par de grandes mains noires et chaudes, le trou du cul distendu par un énorme braquemart. Grignotant son oreille, lui titillant le clito et les tétons turgescents pendant que le deuxième larron la sodomisait, Sylvio rabâchait sa leçon:
« Parfait ... Tellement chienne ... Esclave du sexe interracial ... J'adore, petite pute … Maintenant, tu vas bien m'écouter, ton mari, tu vas le mettre en cage … Une petite cage, pour son petit oiseau … Plus jamais … Plus jamais il ne te baisera, ni dans la bouche, ni dans la chatte, ni dans le cul … Juste sa langue, pour te nettoyer les orifices, quand tu baiseras avec un frère noir … » Anita, désespérée, gémissante, haletait lourdement pendant qu'elle le regardait fixement, son esprit stupide s'abattant sur sa volonté tandis qu'elle subissait l'assaut du jeune africain supérieurement musclé.
Son amant d'ébène ricana. Après quelques jours de copulation intensive, elle serait complètement endoctrinée et dressée. Robert était déjà presque impuissant et allait être encagé jusqu'à la fin de leur lune de miel. Il ne la toucherait plus jamais sexuellement.
Anita gémit joyeusement tandis que les deux gaillards noirs se moquaient d'elle dans leur sabir, ne sachant pas qu'elle passerait les prochains jours ici, exploitée, abusée et tyrannisée par toute une troupe de gourdins noirs, maintenue en état hypnotique par les drogues. Et, qu'elle adorerait cela.
Ses mains se débattaient pour manipuler le gros chibre géant que Sylvio enfonçait dans sa gorge, ouvrant sa bouche toute grande, sa longue langue rose glissant sous sa queue, la sueur brûlant ses yeux, pendant que le deuxième vaurien se répandait dans son fondement à grandes giclées de sperme.
Pressant fermement sur la nuque, les doigts agrippés dans la tignasse, il se fourrait de plus en plus profond dans sa gorge jusqu'à ce que son petit nez blanc vienne se poser dans son buisson de poils pubiens.
Elle ne réalisait pas quel était son potentiel, mais son corps réagissait avidement, conditionné et contrôlé par sa luxure et les drogues ... Elle comprenait ce qui lui arrivait, elle savait qu'elle glissait vers l'adoration de ce gigantesque manche d'ébène, qu'elle raffolait de son parfum musqué, déjà accro à cet amant dominateur et cruel.

Lorsqu'elle rejoignit Robert près de la piscine, il émergeait à peine d'une après-midi de farniente. Le secouant, elle l'obligea à prendre un bain avant de le traîner en ville acheter la cage de chasteté demandée. Il eut beau protester, Anita fut inflexible, conditionnée par les desiderata de son amant noir. De retour à l'hôtel, ils eurent droit aux cocktails maison, celui du garçon allégé de son somnifère.

Après le repas, ils rejoignirent Sylvio qui les conduisit à la boîte de nuit. Le marlou rallia sa bande de potes, et Robert se retrouva coincé au bout du bar, un verre à la main, entouré d'une bande de demi-sels qui babillaient dans une langue incompréhensible, pendant qu'Anita s'éclatait sur la piste de danse cernée par une bande de gamins qui la pelotaient sans vergogne. De temps en temps, Robert cherchait à jeter un coup d’œil en direction de sa femme, mais outre que les jeunes noirs étaient très grands, ils faisaient mine de chahuter ce qui l'empêchait d'assister au manège de sa femme sans défense au centre de cette bande d'excités avides de chair blanche et fraîche. L'alcool aidant, Robert se souciait de moins en moins de son épouse et c'est elle qui revint, lui tendant son sac à main:
« Tiens, garde-moi ça, je vais aux toilettes»
À un moment, il lui sembla que sa femme s'était absentée depuis longtemps. Il fendit la foule des jeunes noirs et se dirigea vers le couloir des toilettes. À droite, celles des hommes, à gauche, celles des femmes. Plein de monde dans chacune, mais aucun visage connu. Au bout du couloir, une porte ouverte sur l'inconnu. Un parking. Hésitant sur la marche à suivre, il s'avance, ne sachant où chercher sa jeune épouse. Au fond du parking, un groupe de jeunes noirs s'agite. Il s'approche et découvre l'objet de leur convoitise. Une femme, courbée sur le capot d'une voiture, les reins cambrés, les jambes écartées, prise en levrette par un gars, les mains agrippées à ses hanches, qui besogne la fille soumise à grands coups de rein, tandis que trois autres attendent leur tour, la queue à la main. La pute servile en train de se faire baiser par une bande de jeunes coqs noirs, au fond d'un parking, c'est sa jeune femme, Anita.

Tétanisé, il ne sait quoi faire. Les mettre en fuite, difficile. Ils sont nombreux et costauds, et ce n'est pas un bagarreur, Robert. C'est même tout le contraire. Aller chercher les copains de Sylvio, pas une bonne idée. Ils voudront la sauter aussi. Elle va y passer la nuit, à se faire monter et démonter par des chibres trop grands pour elle. Le mieux, c'est d'attendre un peu plus loin qu'ils aient finis de la baiser. Ça a duré longtemps et, en plus, il lui a fallu subir ses commentaires entrecoupés de gémissements, de râles et de petits cris aigus:
« Ooh, putain, ça va loin … Tes couilles frappent mon clito tout gonflé, quel pied … Ma chatte appartient aux nègres, maintenant, je suis une pute à Blacks … Je veux un enfant noir, balance ta semence au fond de mon utérus, fous-moi enceinte … Ooh, oui, ouvre-moi en deux, fracasse-moi, je suis ta chienne.»
Robert regardait fixement le glorieux spectacle ... L'arbre géant enterré jusqu'à la garde, palpitant en elle, avant de ressortir totalement. Son gland proéminent entrant frapper le col de l'utérus, ses grosses boules gonflées broyant son pubis trempé de sa mouille.
« Ooh ... Bonne chienne blanche ... Si étroite ... Ton mari impuissant ... Pathétique ...» commença-t-il à dire, ses hanches recommençant à la pistonner alors qu'il claquait ses fesses d'une main ferme.
«... Petit blanc … Race inférieure ... Tu veux un bébé noir, n'est-ce pas … Ooh ... Demande-moi de t'engrosser, chienne blanche ... Ton ventre appartient aux nègres maintenant, n'est-ce pas? ...» Criait le diabolique salaud noir, grognant de plaisir en éjaculant.
Robert subissait sans comprendre ce déchaînement de violence verbale et sexuelle, mais dû s'éloigner un peu, cette vision réveillant son petit oiseau dans sa cage qui devenait douloureux. Oh, bien sûr, pas de quoi satisfaire madame, mais gênant tout de même quand on ne peut plus laisser pousser une petite érection.
Finalement, la bande d'ordures a finit de ses vider les couilles dans sa jeune épouse, la laissant amorphe et repue sur le capot de la voiture. Alors qu'ils s'éloignaient, Robert se précipita au chevet de sa jeune femme.
« Ma pauvre chérie, les salauds, qu'est-ce qu'ils t'ont mis, comment es-tu tombée dans ce traquenard?»
« C'est pas eux, c'est moi, je les ai trouvés devant la porte des chiottes, ils glandaient, alors j'ai demandé s'ils voulaient me baiser à tour de rôle, et ils ont acceptés!»
Soudain, la terre s'ouvrait sous les pieds de Robert qui vacillait en entendant la confession de sa salope de femme.
« Mais, comment?» balbutia-t-il, incrédule.
« Leur énorme sexe noir est si bon pour ma petite chatte. Si gros, si long, si épais. Cette sensation d'être remplie, gavée. Et leurs manières frustes, être dominée, asservie, reléguée au rang d'objet sexuel. Avec les noirs, pas de discussion possible, tout se règle par le sexe. Ce sont des dominants, des mâles alpha, endurants et performants. J'aime cette sensation d'être utilisée au maximum de mes besoins et de mes envies. J'ai réfléchi. Je vais faire comme ma tante, me faire tatouer une Reine de Pique juste au-dessus de l'aine, et je vais devenir une prêtresse du sexe interracial, toujours disponible pour n'importe quel étalon qui voudra s'accoupler avec moi. Je ne choisirai pas mes partenaires, j'obéirai au mâle et je m'agenouillerai devant lui pour le servir au mieux de mes compétences. Si tu veux rester avec moi, tu peux, mais tu dois m'accepter comme je suis, me servir, m'honorer, sans aucune jérémiade ni récrimination. Si tu l'acceptes, ta récompense sera de me lécher la chatte et l'anus pour me nettoyer des fluides qui s'écoulent de mes orifices. Tu es d'accord? Alors, commence maintenant.»

Les avis des lecteurs

Histoire Libertine
Raciste viol et drogue, le top !!!!! L'irrespect total !!!!

toujours bien écrit
Pourtant l'histoire est horrible
Pourtant quelque chose m'attire, quelque chose que je sens peut être entre les lignes
Contactez moi cher Tamalou

Histoire Libertine
Bof. Une baise avec drogue et alcool c'est juste un viol. Ca n'a rien d'agréable. Juste machiste et un brin raciste.

Histoire Erotique
waouh!!!Excellente histoire! vivement une suite aussi trash.
Merci de ce bon moment de jouissance



Texte coquin : LUNE DE MIEL AU PARADIS
Histoire sexe : Une rose rouge
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