La première fois d’Albert le routier

- Par l'auteur HDS Romainro -
Récit érotique écrit par Romainro [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : La première fois d’Albert le routier Histoire érotique Publiée sur HDS le 09-06-2018 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Note attribuée à cette histoire érotique par HDS :
(9.0 / 10)

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La première fois d’Albert le routier
Je vous avez bien que vos mails et vos commentaires stimuleraient la mémoire de notre ami Albert le routier, voici donc ses premiers émois sexuels. Encore une fois je prendrai le rôle d’Albert pour que l’histoire soit plus clair.

J’ai 27 ans et je suis encore puceau, tous mes potes routiers se foutent de moi. Etant un mec de la campagne et élevé dans la religion je n’avais pas le droit de faire l’amour avant le mariage!
Mes seuls expériences sexuelles était des branlettes entre potes dans les toilettes du collège et des petites petites pipes avec l’un d’entre eux.
Un jour alors que je dois livrer en Angleterre je fais un stop sur Paris, à l’époque on pouvait encore se garer en ville. Mes potes me disent par la cibi de les rejoindre à Pigalle et je me retrouve dans un bar à putes.
Nous buvons un verre quand Robert descend le grand escalier qui mène à l’étage, pour me saluer il me tape sur l’épaule et me dit:« Je te présente Angel, profites en bien c’est notre tournée! » et ils éclatent tous de rire. Angel m’attrape par le bras et m’entraine en haut jusque dans une chambre. C’est une belle brune avec de magnifiques formes mais je la trouve trop vulgaire à mon gout.

Elle se met totalement nue sur le lit et écarte les cuisses. Je suis tétanisé, je ne sais pas quoi faire, elle le remarque et viens voir. Elle me caresse l’épaule et me demande si c’est la première fois que je viens voir une fille de joie. Je lui dit que oui et que je suis toujours vierge, elle me répond que ce n’est pas un problème et commence à me caresser le sexe à travers le pantalon.
Je ne sais pas si c’est le stress ou autre chose mais je ne bande pas malgré ses caresses, alors que je n’ai aucun problème de ce côté.
Elle a beau me branler, me sucer… rien à faire je n’arrive pas à être assez dur pour faire quoi que ce soit. Nous abandonnons mais je lui demande de rester un moment dans sa chambre pour ne pas perdre la face avec mes potes. Nous nous rhabillons et attendons silencieusement sur le lit.
Quand je redescends mes potes sifflent et applaudissent en coeur et me demandent:« Alors? ».
Je rougis et ne sais pas trop quoi répondre.

Cette expérience m’a quand même un peu frustré mais je ne vais pas en rester là surtout que depuis que j’arpente les routes de France et d’Europe j’ai trouvé une source d’excitation.

Un jour, je suis devant la pissotière à me vider quand un mec s’installe à côté de moi. Il sort sa bite mais je n’ose pas la regarder, par contre lui ne gêne pas pour me mater. Quand je secoue mon sexe pour faire couler les dernières gouttes, sa main se pose sur la mienne et prend le relais. Immédiatement ma queue gonfle et je retire ma main pour le laisser faire. Il me fait me retourner vers lui, crache sur ma bite et fait aller et venir sa main le long de ma tige. Il met des pressions différentes avec ses doigts et varie le rythme. Cela fait plus de 15 ans que personne d’autres que mes docteurs ne m’a touche cette zone. Sa main est très douée pour la branlette car assez rapidement il me fait jouir. Pendant que j’expulse le premier jet il ouvre la bouche en grand et la place face à mon gland pour récupérer le reste de mon sperme qu’il avale entièrement.
Je me dépêche de me rhabiller et je retourne à toute vitesse dans mon camion pour quitter cette aire, partagé entre le plaisir et la honte.

En fin de compte c’est l’excitation qui prend le dessus parce que je m’arrête à l’aire suivante. Cette fois je ne vais pas aux toilettes mais dans la petite foret qui est derrière. Là les choses sont beaucoup plus sérieuse parce que je vois toujours des mecs se branler mais d’autres se faire sucer et il y en a même qui écartent leurs fesses et se font allègrement sodomiser. Je n’ose rien faire, même pas sortir ma queue mais je retourne vite dans ma cabine pour me vider tout seul en revoyant ces scènes.

Ce soir de 1969, je reviens de Rouen en direction de Paris, je m’arrête sur l’aire de L’Epone (très connue dans le milieu gay à l’époque). Je me gare pas loin des toilettes et du haut de ma cabine j’observe les mecs qui déambulent. Certains vont dans les toiletterais la plupart se dirigent vers le petit bois. Une fois la nuit tombée je me décide enfin à quitter ma cabine, avec une bouteille d’eau qui traine et un t-shirt je me nettoie la bite et le cul.
Je rentre dans les toilettes, plutôt insalubres, il y a 3 urinoirs, seul celui du milieu est libre. Je m’y installe, je sors mon costume 3 pièces et commence à pisser. Je remarque que mes 2 voisins se branlent lentement. Celui qui est à ma droite tend sa main gauche et commence à me caresser au même rythme qu’il s’occupe de sa queue.

Comme je me laisse complètement faire il s’agenouille et commence à me lécher le gland. Il fait doucement pénétrer mon sexe dans sa bouche jusqu’à me faire toucher sa glotte puis il me fait aller et venir entre ses lèvres. L’autre mec s’est tourné vers nous et continue de se branler jusqu’a rependre toute sa semence au sol.
Juste quand j’étais sur le point de lui remplir la bouche il me recrache et me propose de continuer dans le bois, je me rhabille et évidement je le suis.
Une fois bien enfoncé entre les arbres, il me plaque contre un tronc, s’agenouille, baisse mon pantalon et mon slip et reprend sa pipe alors que ma queue qui est restée gonflée. Je suis entièrement dans sa bouche, sa langue joue avec mon gland et mon frein pendant que sa main me tripote les couilles.

Après plusieurs minutes à faire glisser ses lèvres le long de ma tige, il me demande de le sucer et prend ma place contre le tronc. Sans remonter mon slip je m’agenouille pendant qu’il libère sa queue. Il est monté à peu près comme moi (17X4). Je commence par le caresser et admirer son sexe. J’hésite un petit moment mais son bâton de chair me donne trop envie alors j’ouvre la bouche et gobe son gland. J’essaye de le sucer comme lui vient de le faire, je fais courir mes lèvres le long de sa bite tendue. Je lui titille les points sensibles avec ma langue et je lui malaxe les couilles en même temps. Je ne suis pas aussi doué que lui avec ma bouche mais ça à l’air de lui plaire puisque ses gémissements sont de plus en plus fort.
Par contre ça attire trop de monde et il y a maintenant 5 mecs autour de nous. 2 ont la main dans leur slip tandis que 2 autres ont le pantalon complètement baissé pendant que le dernier est à genoux, il suce une des bites pendant qu’il branle l’autre.

Je recrache son sexe et lui demande si on peut plutôt continuer dans mon camion. Arrivé dans la cabine je tire tout de suite les rideaux et après nous être complètement déshabillés nous allons sur le matelas et continuons à nous sucer mais en 69 cette fois (mon premier 69 en 1969 ça ne peut être qu’un bon signe pour l’avenir!).
Il explore de plus en plus mes fesses, quand un de ses doigts se pose sur ma rondelle je me contracte un peu. Il arrête de me sucer et me demander si je suis vierge du cul, je lui réponds que pas seulement du cul. Alors il me demande si j’ai envie d’être sodomiser parce qu’il a très envie de me déflorer. Je fais oui de la tête.

Je me met à 4 pattes sur le matelas, il (je ne connais pas son nom) écarte mes fesses à 2 mains et sa langue vient masser ma rondelle. Une fois qu’il sens que je me suis détendu en plus de sa langue il fait des cercles avec un doigt tout autour de mon anneau. Sa langue m’abandonne et ses cercles sont de plus en plus serré. Son doigt est devant l’entrée de mes entrailles et avant de commencer à appuyer il me demande de pousser comme si j’étais aux toilettes.
Il m’a effectivement bien préparé parce que son doigts me pénètre sans problème. Il y va quand même tout doucement et s’arrête après le passage de chaque phalange pour me laisser m’habituer. Puis une fois que son doigt et complètement planté en moins il commence à le faire coulisser dans mon canal anal. Il accélère le rythme et rapidement un deuxième me pénètre. Maintenant je n’ai plus que du plaisir, la douleur a totalement disparu et il doit l’avoir compris. Il fait encore quelques allers retours en moi et retire ses doigts un a un.

Apres avoir encore un peu lécher mon cul c’est maintenant son gland qui se pose sur ma rondelle. Je l’entend cracher sur mon cul et je le sens rentrer tout doucement, je sens chaque centimètre me pénétrer même s’il de temps en temps il s’arrête pour me laisser souffler et qu’il me répète de me détendre. Je plante ma tête dans les coussins pour ne pas hurler ma douleur.
Ca y est il est entièrement en moi et commence à me ramoner, j’ai une queue qui coulisse dans mon cul et malgré la douleur je commence à prendre du plaisir. Il accélère le rythme et au bout de 10 minutes il se met à me ramoner comme un fou. Ses mouvements sont de moins en moins doux et délicats mais lui a l’air d’apprécier parce qu’il gémit de plus en plus fort.
Il me donne une fessée, se plante totalement au fond de mon cul, je sens son sexe encore plus gonflé puis mes entrailles se remplissent de son sperme pendant qu’il reprend des mouvements mais cette fois beaucoup plus doux, ce qui me donne enfin un peu de plaisir.
Une fois que sa queue commence à ramollir il se retire entièrement, s’essuie le sexe avec mon drap, se rhabille et quitte mon camion sans me dire un mot, même pas un merci!

Je reste un moment à genoux sur mon matelas, je sens le sperme sortir de mon cul et couler le long de ma cuisse. Je pars à la recherche de la bouteille d’eau et de mouchoirs pour me nettoyer. Quand je sens le sopalin recouvert de son sperme je me remet à bander. Je commence à me caresser en gardant sous le nez le papier mais mon cul me fait mal et je n’arrive pas à prendre réellement du plaisir.

J’ai continué à avoir mal au derrière pendant plusieurs jours et je me suis juré de ne plus jamais recommencer même si au fond de moi je sais que j’ai aimé ce moment étrange. Mais le désir à ses raisons que la raison n’a pas.
Je suis en pose devant les urinoirs, un mec me matte en se caressant pendant que je pisse. Une fois que j’ai fini ma miction, hypnotisé par sa bite je m’agenouille et je le suce. Sa queue est plus courte et plus fine du coup j’ai très envie de réessayer avec lui. Je lui propose de m’accompagner dans mon camion. Sur le chemin je lui explique ma dernière expérience et il me dit que vu son petit gabarit les mecs qu’il a baisé ne se sont jamais plaint de douleurs bien au contraire.

Une fois allongé dans la cabine il me prépare bien le cul, il a de la vaseline et il s’en sert pour me doigter. Avant de me pénétrer il s’enduit le sexe avec ce qui lui permettre de rentrer en moi comme dans du beurre. Ses mouvements restent tendres, il s’inquiète aussi de mon plaisir et me caresser les couilles et la queue alors qu’il continue à coulisser en moi plutôt lentement.
Je prends de plus en plus de plaisir et le manifeste avec des petits gémissements. Lui aussi prend du plaisir et continue à me labourer en variant les rythmes mais à aucun moment il me lime comme un bourrin. Au bout d’une bonne vingtaine de minutes à aller et venir entre mes fesses et me caresser il me demande s’il peut venir en moi, entre deux gémissements j’arrive quand même à lui dire oui.

Il m’attrape par les hanches, ses mouvements sont plus amples pour me sodomiser le plus profondément possible. Quelques secondes plus tard je sens sa queue gonflée dans mes entrailles, ses jets sont beaucoup plus puissants et provoquent ma propre jouissance alors que je ne me branle même pas. Mon cul se remplit doucement de son jus alors que ma queue humidifie mon matelas.
Une fois qu’il s’est entièrement vidé, il se retire tout doucement et nous nous allongeons l’un à côté de l’autre. Nous avons passé la nuit ensemble (ça aussi était une première pour moi). Le lendemain nous nous sommes réveillés à 5h et avant de me quitter il m’a laisse le sodomiser (encore une première). Son cul avait bien plus l’habitude d’être visité que moi puisque je m’enfonce en lui sans problème et je prends un plaisir incroyable.

Malheureusement nous ne nous sommes jamais revu mais par la suite bien d’autres queues l’ont remplacé dans mes entrailles et moi aussi j’en visité pas mal, mes précédentes histoires vous le prouvent…

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Texte coquin : La première fois d’Albert le routier
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