GROUPE DE VACANCES 52

- Par l'auteur HDS Charly Chast -
Auteur homme.
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Récit libertin : GROUPE DE VACANCES 52 Histoire érotique Publiée sur HDS le 27-05-2018 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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GROUPE DE VACANCES 52
GROUPE DE VACANCES 52
EP 52 : RAPIDE PASSAGE AU CHATEAU


Il faisait encore nuit, j'avais envie de pisser et de boire. Un peu d'eau pas de bière, plus de bière … J'avais la bouche pâteuse, trop sucé ? … Non ! Trop picolé ! Peut être ! Régis dormait à côté de moi, les deux autres avaient disparu. Je me levais pose pipi et j'allais dans la cuisine, j'avais un peu mal au cul … Bon j'en avais vu d'autres, et là, ça ne m'étonnait pas vraiment. Mais je gardais encore une sensation très agréable là, dans mon ventre. C'est cette douce sensation de se sentir encore bien rempli.

Au moment ou j'avalais ma dernière gorgée d'eau … Pas de bière … Beuh … Pas de bière … J'entendais une voix …

''… Mais c'est pas vrai ! Alors c'était pas des conneries ce qu'on m'a raconté ! Wouah … ! Alors c'était bien vrai ! ''

Un jeune homme dans mes âges s'approchait, il dormait sur le canapé et je ne l'avais pas vu en arrivant et c'est sans le vouloir que je l'avais réveillé. Il était nettement plus grand que moi et ne devait pas être loin des deux mètres. Il avait un sourire éclatant, une peau d'un noir profond, des cheveux très courts presque rasés, des yeux noirs, une silhouette mince et musclées. Il s'approchait de moi.

Lui : Alors tu es réel, j'y avais pas cru, j'ai pensé qu'ils m'avait raconté des bobards.

Ses yeux parcouraient mon corps de haut en bas, il semblait apprécier ce qu'il découvrait … Je vous avais bien dit que j'étais très mignon ! … Ses yeux s'attardaient en particulier sur un point précis … Mon dispositif de chasteté PK !

Je regardais son visage, il s'en dégageait de la force et aussi une grande douceur, sont torse était musclé, une musculature douce, pas de muscles hypertrophiés mais pas un poil de graisse … Il faisait du sport lui aussi ! Mes yeux continuaient leur exploration et ce qui pendait entre ses cuisses était tout simplement monumental ! Seuls quelques godes parmi les plus gros que j'avais déjà utilisés dépassaient ça ! J'en frémissais, je sentais ma prostate qui semblait s'alarmer à l'avance, mon cul se contractait, se détendait, se dilatait même peut être comme pour me dire que ça devrait passer. Je sentais ma bite se manifester dans sa cage.

Karim : Salut, moi c'est Karim, et toi tu es …
Moi : Jedje ! Euh … Djé !

Il souriait de ma réponse.

Karim : Et bien Djé, ça te tentes si on fait un peu plus ample connaissance ?

J'avalais ma salive, il n'était plus qu'à quelques centimètre de moi, je sentais sa chaleur, mes jambes chancelaient, j'avais penché ma tête en arrière pour pouvoir continuer à le regarder dans les yeux. C'était la pression dans ma cage de chasteté, une forte mais douce pression !

Sans attendre il posait ses deux mains sur mes bras, j'étais tétanisé. J'avais l'impression qu'il allait me soulever et m’emmener avec lui. J'avais l'impression, ou j'en avais envie … ? Doucement il me tirait vers lui, je voulais faire un geste, pas pour me dégager … Certainement pas mais, j'appuyais trop fort sur la bouteille d'eau qui se transformait en geyser … On était trempés …

Toujours avec le sourire, il me retirait doucement la bouteille des mains et la posait sur la table.

Karim : On va la laisser là, ce sera moins dangereux !

Je sentais que si j'essayais de dire quelque chose j'allais bafouiller aussi je préférais me taire. Doucement me prenant par un bras il me conduisait jusqu'au canapé qui était déplié et me faisait tomber doucement dessus. J'étais pétrifié. Sa peau était d'une extrême douceur, je sentais ma bite et cette pression devenue maintenant intense ( Si certains d'entre vous connaissent des érections matinales , et je l'espère pour vous, je peux vous dire que c'est rien à côté de ça ), c'était pas douloureux, le dispositif de chasteté CTC était vraiment d'un grand confort mais là c'était vraiment intense, à en devenir désagréable. J'avais la sensation que ma queue était écrasée … En fait … Elle n'était pas plus écrasée que d'habitude elle était simplement plus expansive …

Il s'était allongé à côté de moi et me caressait avec beaucoup de douceur. Je lui rendais ses caresses sans aucune avarice. Il me tirait vers lui tout en se s'approchant de moi, je sentais sa queue qui se redressait entre mes cuisses, il bandait et sans surprise, c'était énorme. J'en avais vu d'autres mais des comme ça uniquement en plastique jamais en vrai … Je sentais à nouveau ma prostate frétiller et ma queue protester.

On s'était encore rapprochés, on s'embrassait, chacun couvrait l'autre de caresses, il roulait sur le dos je me retrouvais sur lui, son corps était doux, son corps était chaud, il me caressait le dos, ses mains descendaient jusqu'à mes fesses, un doigt se glissait entre et rapidement s'introduisait dans mon cul. C'est à ce moment là seulement que je remarquais que je n'avais plus du tout mal au cul ! Et en même temps je me disais que ça n'allait pas tarder à recommencer !

Je roulais sur le dos sans cesser de l'embrasser il se retrouvait sur moi. Son corps était chaud, son corps était lourd, c'était doux. Il me mordillait le lobe de l'oreille, il me mordillait tendrement le coup, ma queue voulait tout faire éclater, elle poussait contre le dispositif de chasteté … Le dispositif tenait bon ! Je lui caressai le dos, les fesses, il était pratiquement imberbe et c'était un grand plaisir de sentir une peau aussi douce sous mes doigts !

Brusquement d'un mouvement rapide il se relevait, posait mes chevilles sur ses épaules, me repliait les jambes en s'appuyant sur moi, et m'enfilait doucement mais fermement sa queue dans le cul. Il y allait doucement comme pour ne pas me blesser, il y allait fermement car il fallait que ça passe ! Et ça passait ...

Je sentais ma prostate protester au moment ou je sentais son gland se poser contre mon anus, je sentais mon anus se contracter au moment ou je sentais sa bite le toucher, je sentais un pression douloureuse au moment ou il commençait à forcer, je sentais mon anus se dilater, se distendre, je sentait un grande douleur au moment ou il commençait à me pénétrer. J'avais l'impression que ça allait déchirer mais … J'en avais vu d'autres … Je sentais mon anus se remplir centimètre après centimètre, je sentais enfin ma prostate à l'agonie qui me donnait un intense plaisir … Après une certaine douleur c'était un intense plaisir qui me submergeait.

Tout mon corps se détendait sauf mon anus qui lui se distendait. Karim me pénétrait bien à fond, il se laissait tomber de tout son poids et m'écrasait, mes genoux se retrouvaient presque sous mes bras, ça va je suis encore souple à mon âge ! Il penchait la tête en avant pour m'embrasser, j'en profitais pour le saisir par les épaules et le tirer en plus vers moi. Là j'avais du mal à respires par moment, il s'en rendait compte et me laissait juste assez de liberté de mouvement pour me soulager en m'écartait bien les jambes.

Il se retirait totalement d'un mouvement ample et lent. Je voulais gueuler mais aucun son ne sortait de ma bouche. C'était à la fois douloureux et jouissif. Douloureux tant mon anus était dilaté, mais … Wooha , oh oui ! Encore ! … C'était jouissif … ( bein oui quoi, j'adore me faire défoncer le cul !)

( je dis ça au cas ou il y en a qui n'auraient pas encore compris … Et je rajoute même que vous pouvez le répéter , c'est pas comme la fois ou je vous avais avoué que j'étais puceau … Vu qu'il y en a qui ne peuvent pas s'empêcher de cafter … )

Il revenait et s'enfonçait bien à fond, ma prostate paniquait, je jouissais encore. Il se retirait et je sentais mon anus distendu qui s'alarmait, un plaisir d'un autre type me faisait jouir encore un peu plus. Il revenait à la charge …

Chacun de ses mouvement me retournait les intestins et me remplissait le cul avant de me le vider totalement. Il accélérait le rythme ce qui me rendait fou, je hurlais, je gémissais, je pleurais, j'en redemandais …

Mon cul était en feu, mon ventre explosait, mon corps tremblait, ma gorge restait muette, mes yeux étaient en larme, je jouissais sans plus rien contrôler. Je me cramponnais à ce que je trouvais. Un oreiller ? c'était pas efficace ! Karim ? C'était pire, j'étais embarqué avec lui dans ses mouvements qui ne faiblissaient pas ! J'en ai vu d'autres, je sais encaisser … Mais là quand même !

Il finissait par conclure avec quelques mouvements particulièrement violents, un hurlement de plaisir qui allait me rendre sourd, une étreinte qui me coupait complètement ma respiration avant de se laisser tomber sur moi de tout son poids …

Rapidement il me lâchait les jambes qui reprenaient une position normale, très écartées et repliées juste en dessous de ses fesses. Il ne s'était pas retiré et je sentais encore sa présence en moi. Il était peut être grand mais il était également mince et pas si lourd finalement. J'appréciais son contact chaud et sa peau douce comme du satin encore un long moment …


Régis : Alors là ! C'était quelque chose … !

Je sursautais, Karim également, il se relevait et se retirait. Il gardait encore une grosse bite molle qui pendait lourdement entre ses cuisses, je sentais mon cul se refermer et en même temps un bien être qui envahissait tout mon corps …

Karim : Ça fait longtemps que tu es là toi ?
Régis : Ça fait un bon moment, vous étiez tellement occupés que vous ne m'avez même pas vu arrivé … Je dois dire que c'était quelque chose ! Wouha … Ça décoiffe !

Régis s'était installé dans un fauteuil et avait profité du spectacle, il bandait, il s'était masturbé et venait d'éjaculer au moment ou Karim s'était laissé retombé sur moi ! On passait à la douche, ça faisait plus d'une demie heure que Karim me défonçait et me limait le cul. Je récupérais, et j'avais encore cette impression d'être bien remplis, impression agréable, presque jouissive !

Je remontais dans ma chambre, les jours sont encore long à cette période de l'année et le soleil allait bientôt se lever. Je m'allongeais sur mon lit et somnolait un bon moment en attendant le petit déjeuner.

Je sursautais en entendant frapper violemment à la porte ! C'était Luc ! Pour une fois il frappait avant d'entrer celui-là mais comme je traînais à répondre ou tout simplement qu'il trouvait que je traînait à répondre il entrait sans vraiment attendre d'y être invité.

Luc : Jérémy ! C'est la tuile ! Il faut qu'on parle !
Moi : Mais qu'est ce qui t'arrive enfin ? Je dormais, je rêvais aussi mais je ne sais plus à quoi !
Luc : C'est la tuile … Bob !

Je me relevais brusquement !

Moi : Bob ! Qu'est ce qui lui arrive ? Il va bien ? Vous êtes fâchés ?
Luc : Il va bien et on n'est pas fâché ! Mais …
Moi : Mais … ?
Luc : La fac, enfin l'ancienne école ferme la section qu'il voulait faire l'année prochaine … La nouvelle école ouvre une section de ce genre, et s'il veut faire les études de son choix il va devoir aller dans une autre ville !
Moi : Mais bon ce n'est pas si grave ! C'est pas une raison pour me réveiller comme ça après la nuit que j'ai passée !
Luc : La nuit que tu as … ?



Luc : Ouai bon je ne veux même pas savoir ! Non, c'est la tuile, il n'a pas les moyens économiques de se payer des études, une chambre et tous les frais annexes dans une autre ville ! Il n'est pas plein aux as lui !
Moi : Et tu veux que je l'aide financièrement ?
Luc : Oui ! Mais lui il ne veux pas ! Je sais pas comment on va faire !
Moi : Bon ! Restons calmes ! Bob est un garçon adorable et si tu y tiens je suis d'accord pour l'aider financièrement pour ses études, s'il ne veux pas qu'on lui donne de l'argent on peut toujours envisager un prêt à zéro pour cent … Mais si lui ne veut pas ! Qu'est ce que tu veux que je fasses !
Luc : Tu ne vas pas prendre une douche !
Moi : C'est déjà fait !
Luc : Mais tu viens de te lever, là, devant moi !
Moi : Mais enfin … Luc tu est vraiment très curieux ce soir !
Luc : Ce matin ! … On est le matin ! Ah oui ! C'est vrai ! La nuit que tu as passé !
Moi : Une nuit terrible …
Luc : Du genre ?
Moi : Au moins vingt quatre centimètres !
Luc : Là, moi je préfère ne pas insister … On se lève … Petit déjeuner … Bob est sous la douche et il nous retrouve au restaurant !

J'avais encore le tournis quand je me relevais … La vache ! La nuit avait été dure et pas seulement pour la tête … J'avais de nouveau un peu mal au cul … Et cette douce et agréable sensation d'être pénétré avec douceur … Un pantalon, un T-shirt, des sandales et j'étais prêt pour descendre. Luc attendait, il était tendu, contrarié, enfin il avait pas l'air content quoi !

Nous étions parmi les premiers clients au restaurant. Régis n'était pas de service ce matin. Bob arrivait un peu plus tard, il faisait la gueule !

Moi : Luc m'a un peu expliqué la situation Bob !
Bob : Oui, et bien il n'y a rien à dire, rien à rajouter … Je si veux faire les études que j'avais choisies il ne reste plus qu'un seule solution !
Luc : Un autre école, tu sais, c'est possible !
Bob : Non ! C'est pas possible !



Bob : Il faudra que je me résigne. Apparemment ça vous réussi à vous !

Il nous regardais, son regard passait de moi à mon frère, la nouvelle était récente et il fallait qu'il encaisse le coup ! Il n'avait jamais souhaité porter ce truc , il n'en avait même jamais été question. Il avait appris la nouvelle la veille et c'est pour cela qu'il semblait déjà faire la gueule la veille au soir.

Luc : Tu devrais faire une essai … !

Bob le regardait d'un air pas vraiment convaincu !

Luc : Au moins tu sauras si tu peut supporter ou si il faut chercher une autre solution … Ça serait toujours mieux que de te retrouver dans une situation que tu pourrais ne pas supporter …
Moi : C'est une idée ça ! Et en six mois on pourrait toujours chercher un appart dans une autre ville !



Bob : Djé !
Moi : Oui !
Bob : C'est vrai ça que tu es d'accord pour m'aider si je vais étudier dans une autre ville ?
Moi : Avec plaisir … Tu fais un peu partie de la famille … Non ?
Bon : C'est sympa … Merci ! C'est vraiment sympa !

Le sourire revenait lentement. Luc avait alors une idée qui me paraissait complètement loufoque.

Luc : Et si on allait passer les derniers jours de vacances au Château ?

Bob et moi le regardions avec beaucoup de surprise.

Bob : Et c'est tout ce que tu as à me proposer … Dans six mois je vais me trouver avec un truc autour de la queue et tu voudrais que ça commence tout de suite ?
Luc : Non mon idée est de te donner la possibilité d'essayer et de voir … C'est tout et il n'est pas question que tu porte ce truc d'une manière permanente. Si tu ne me crois pas … C'est simple c'est moi qui garde les clés et tu sais que je ne te laisserais pas longtemps …
Bob : D'accord !
Luc : … Enfermé dans ce truc. Tu peux compter sur moi …
Bob : J'ai dit d'accord !
Luc : … Tu t'imagines bien que moi je te préfère sans …
Moi : Il a dit d'accord !
Luc : Il a dit d'accord ? Bon ! Je m'occupe de tout !

Luc sortait son téléphone …

Luc : Bonjour … C'est Joël ? … Oué c'est Luc, c'est bien moi tu m'as reconnu … Bonjour Joël, ça va toi ? … Il faudrait que je parle à Monsieur Le Conte … Oui … Tu lui dit que c'est de la part de Luc …

Je me retournais ver Bob …

Moi : Alors là Bob il n'y a aucune chance que Mr Le Conte le prenne au téléphone, c'est un personnage important, comme tu as pu le voir. C'est au mieux un de ces secrétaire qui va répondre …

Luc : Bonjour M'sieu l'Conte … Oui Luc Brosso, c'est bien moi, il faut que je vous demande un tout petit truc … Merci c'est gentil … Voilà …

Luc expliquait alors la situation à Mr Le Conte … Je l'écoutait totalement incrédule … Ça se terminait par …

Luc : Encore merci M'sieu l'Conte et à ce soir !

J'y croyais pas !

Moi : Monsieur Le Conte t'as répondu ?
Luc : Bein oui ! Tu croyais que je parlais à qui ?
Moi : Monsieur Le Conte t'as répondu ?
Luc : Bon il a été un peu long à répondre mais il était en réunion ! Il nous attend ce soir au château ! On a largement le temps de faire la route … On est plus loin que si on partait de la maison mais il n'y a que de l'autoroute … Et on a deux chauffeurs !

Je restais l'air médusé, incrédule, les yeux écarquillés …

Luc : Bein quoi ? J'avais dit je m'occupe de tout … Non ?

J’hallucinais complètement ! Décidément Monsieur Le Conte aimait beaucoup mon frère. Luc parvenait même à l'avoir au téléphone pendant une réunion … C'était là un très gros privilège ! Bob faisait encore la gueule … Il ne semblait pas convaincu par cette histoire. Mais Luc lui garantissait qu'il ne serait pas … , qu'on ne l'obligerait pas à porter ce truc, sauf au château bien sûr … Ce qui ne faisait que cinq jours … On ne l'obligerait jamais à plus !

On montait faire nos bagages, je passais rapidement dire au revoir à Régis, je payais les chambres et on se retrouvait à la voiture. Je confiais les clés à Bob, il conduit très bien, j'en ai fait l'expérience. Moi, je m'installait à l'arrière et continuait ma nuit … J'étais dans un sommeil profond en plein rêve quand j'entendais hurler à mon oreille …

Luc : Debout ! On a assez dormi comme ça ! C'est l'heure de manger … On est au resto et j'ai réservé un table …

Je sursautais, je relevais la tête et en effet on était devant un restaurant, sur le parking. Je regardais l'heure et c'était bien l'heure de manger, mon estomac d'ailleurs commençait à manifester ! Luc n'avait pas choisi un routier, c'était un restaurant très classe … Je dois dire que ça ne m'étonnais pas vraiment de sa part. Et puis il avait ma carte bleue !

Après le repas les sourires revenaient. Bob semblait moins tendu.

Moi : Alors bob, pas trop inquiet de ce qui t'attend ?
Bob : Luc m'a raconté … Il m'a raconté plein de choses sur le château … Je suis un peu inquiet bien sûr mais je lui fait confiance, et de toutes façons je sais qu'il ne …
Luc : Que je ne pourrais pas me passer de ta grosse queue bien longtemps !

Bob jetais une coup d’œil à droite et à gauche et piquait du nez dans son assiette, il devenait tout rouge …

Moi : Alors ce coup ci c'est pas moi, j'ai rien dit !

Bob rigolait, il ne relevait pas la tête mais il rigolait … Personne n'avait entendu … Heureusement ! Après le repas c'est moi qui prenais le volant, j'étais maintenant complètement reposé et je tenais la forme. On ne faisait qu'un pose pour se détendre, moins d'une heure avant d'arriver. Il était encore tôt quand je garais la voiture devant le château. A l'entrée on nous attendait et la porte s'était ouverte toute seule à la grande surprise de Bob qui semblait hésiter dans le genre … '' Je regrette , je ne regrette pas '' … Il ne savait pas à quelle sauce il allait être mangé !


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