COLLECTION HISTOIRE COURTE. Une cuite mémorable (1/1)

- Par l'auteur HDS CHRIS71 -
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : COLLECTION HISTOIRE COURTE. Une cuite mémorable (1/1) Histoire érotique Publiée sur HDS le 11-07-2018 dans la catégorie Dans la zone rouge
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COLLECTION HISTOIRE COURTE. Une cuite mémorable (1/1)
• Alors bel étalon, on émerge !
• Pardon, qui êtes-vous, je crois vaguement que je vous ai déjà vu, mais mon crâne me fait mal à exploser et j’ignore ou et quand.
• Si tu ne te souviens pas que tu m’as baisée toute la nuit, c’est que tu en tenais une bonne, il est vrai que tu as eu du mal à monter jusqu’à ta chambre, mais je dois reconnaître que tu m’as fait énormément jouir.
• Ne me dites pas que je vous ai baisé, vous pourriez être ma mère.
• Pourquoi pas ta grand-mère, pourquoi ce vouvoiement, cette nuit quand tu me sodomisais, tu me disais tu !
• Sodomiser, c’est sûr que c’est quelqu’un d’autre que moi, j’ai toujours refusé ces pratiques écoeurantes, tu n’as pas de l’aspirine !
• N’inverse pas les rôles, c’est ta chambre, ta valise pas la mienne, j'habite dans un autre quartier de la ville, il va falloir que je rentre, j’avais du vague à l’âme hier en fin d’après-midi et c’est pour cela que je suis sortie dans le but d’aller au restaurant.
• La mémoire me revient, je me vois dans un bar et non pas un restaurant, je m’emmerde et je bois deux, voire trois whiskys.
• Ça, c’étaient les premiers, j’étais assise à côté de toi et tu as voulu me payer un verre, tu étais insatiable, je n’arrivais pas à te repousser, tu mettais tes mains partout sur moi.
Tu me disais que j’étais la dernière merveille du monde, tu ne te souvenais pas combien il y en avait, je crois qu’un moment, j’étais devenue la centième de ces merveilles.
Ne me dis pas que c’était du flan, j’y ai cru surtout quand ta main est venue sous ma jupe et que tu m’as caressé la fente, c’est à ce moment que le patron du bar nous a foutu dehors.
• Je me souviens de ça, je voulais lui casser la gueule.
• J’ai réussi à vous séparer, c’est à ce moment que tu as voulu à toute force m’embrasser.
J’ai résisté au début, tu dois avoir l’âge de ma fille, d’ailleurs, c’est un peu à cause d’elle que je suis sortie hier au soir.
Tu permets que je te caresse, j’ai tellement aimé quand tu m’as baisée que j’aimerais recommencer, comme je te l’ai dit, tu es un bon étalon et ma chatte quelque peu délaissée cette dernière année, c’est réveillé sous tes assauts.
• Suce-moi, tu es vieille, mais si je t’ai déjà sauté, pourquoi ne pas recommencer.
Oui, comme ça, je crois que j’ai dû beaucoup aimer te sauter, tu sembles être une belle salope.
• C’est dur de faire deux choses à la fois, te sucer et te parler, je te masturbe, je peux te parler, que veux-tu savoir.
• Tu parlais de ta fille à cause de qui tu es sortie pour te retrouver au bout de ma bite.
• Ma fille, source de mes ennuis dans ma jeunesse.
• Qu’a-t-elle fait ?
• Venir au monde alors que j’ignorais qui était son père, un soir comme toi hier, j’ai pris la première cuite de ma vie, comme toi, lorsque je me suis réveillée, j’étais couverte de sperme.
Comme toi, les choses me sont revenu par petits morceaux, j’avais mal au vagin, une copine m’avait parlé de la perte de son pucelage et le mal que cela lui avait fait.
J’avais donc été pénétré, le plus grave, c’est que j’ignorais combien m’avait pris quand je regardais le nombre de mecs qui nous entouraient, quinze jours plus tard, mes règles toujours à l’heure sont devenues lettres mortes.
• Tu aurais pu le faire passer.
• Dans nos familles, très cul béni, certaines personnes vous aident à trouver un mal de substitution, ça été le cas pour moi, quelques jours plus tard, j’épousais mon mari qui pensait m’avoir engrossé.
C’était un fils de bonne famille et notre mariage à permis à nos deux familles de multiplier les terres que nous possédions.
Ma fille est née et à ce jour, elle est persuadée qu’il est son père.
• Tu me masturbes bien, regardes, je suis très tendu, si j’ai baisé ta vieille chatte, on peut recommencer, viens sur moi.
• Merci, j’ai tellement joui pendant cette nuit, que ce n’est pas de refus, tu seras mon souvenir pour mes vieux jours.
C’est bon, tu me remplis comme aucun homme ne la fait.
• En as-tu eu beaucoup aux cours de ta longue vie ?
• Attends, j’ai du mal à parler en montant et en descendant sur ta pine, c’est partiii.
• Dis, quand tu jouis, tu jouis, heureusement que j’ai une main de libre pour te bâillonner.
Je comprends, tu n’es plus en état de répondre, tu digères l’orgasme qui vient de te traverser, tu m’as dit que je t’avais sodomisé, veux-tu recommencer, je voudrais sentir comment ça fait d’avoir mon nœud resserré dans ta rosette.
• Attends, je reviens sur terre, j’ai saisi ce que tu souhaites, je me mets en levrette, c’est dans cette position que la pénétration est la plus totale, quand je parlais de ma fille, la semaine dernière, je l’ai surprise sur notre canapé la bite d’un nègre placé dans le même trou.
Mais c’est sa vie, je vais devoir rentrer, à midi elle nous présente son fiancé, s’il savait la salope qu’il va épouser, car ils souhaitent se marier, il se sauverait en courant.
• C’est drôle, j’ai moi aussi rendez-vous avec ma fiancée, elle doit me présenter à ses parents.
• Ce serait drôle que par un fait du hasard, ce soit mon amant qui soit son fiancé, mais aucune chance, il arrive aujourd’hui à Paris.
• Tu es sacrément serrée du trou de cul, je n’aurais jamais pensé que ce soit si bon, j'ai mal entendu, j’étais concentré pour éviter de te faire mal, si j’ai bien compris ta fille, c’est presque une pute.
• Pas tout à fait, mais tout comme, j’étais chaude du cul, elle s'est pire, j’ignore comment elle a fait pour accepter son futur époux, depuis qu’elle sait ce que le mot sexe veut dire, seul l’autobus ne lui ait pas passé dessus.
• Ça aurait pu être ma fiancée, mais la mienne est vierge, elle souhaite se présenter dans sa robe immaculée le jour de notre mariage, c’est certainement pour ça que je n’ai pas été très regardant dans ma cuite à te sauter.
N’aie pas peur, ma queue dans ton cul compense bien tes rides et vergetures.
• Comment je dois le prendre, mais je vais jouir aussi, mon Dieu que tu es gros ?
• Ah,je vais éclater et te remplir les intestins, j’ai rarement joui aussi fort, heureusement que tu m’as fait connaître ce plaisir, je m’en souviendrais toute ma vie.
• Sors de moi, il faut que j’aille me préparer, mon mari ne serait pas satisfait que je sois en retard, s’il savait les turpitudes que sa fille chérie fait, il tomberait de haut, il croit toujours qu’elle est adolescente.

Ma vieille maîtresse se lève, va dans la salle de bain, quelques minutes après un signe de main et elle me quitte, je la remplace dans la salle de bain, à cause des grèves de deux jours, je suis venue une journée plus tôt et j’ai couché à l’hôtel.
Ce qui m’est arrivé cette nuit, c’est comme si j’avais enterré ma vie de garçon avec cette vieille cette nuit et ce matin.

À l’heure ou mon train était prévu, je retrouve Clotilde dans la salle des pas perdus de la gare de Lyon, nous prenons le métro, ma petite chérie se colle à moi, je la conduis vers mon hôtel pour y poser ma valise.
J’avais réservé une chambre pour aujourd’hui et par chance la chambre hier était libre.
Deuxième coup de chance, le réceptionniste qui me donne ma clef n’est plus le même, cela m’évite des questions embarrassantes s’il m’avait dit comment vous allez depuis hier.
Nous montons dans la chambre qui a été faite et où le parfum de la veille salope que j’ai baisé cette nuit flotte encore.

• Embrasse-moi mon amour, mais tu bandes, je te fais si envie que cela.
Nous sommes bêtes, je suis bête, on a un peu de temps pour rejoindre mes parents, faisons l’amour.
• J’en ai tellement envie, tu le vois, non, tu le sens, laisse-moi te déshabiller.
Tu es belle, au oui, je rentre en toi, je vais jouir depuis le temps que j’attends.
• Merci, mon cœur, levons-nous, regarde tes draps, le sang de mon hymen.
Dépêchons, maintenant nous risquons d’être en retard.

J’ai joui dans la chatte de ma future, le sang de l’hymen de Clotilde me fait plaisir, ce n’est pas l’autre salope, la fille de ma vieille qui aurait pu me montrer la même tache après ce que sa mère m’en a dit.

• Tu es prêt, on entre, tu vas connaître mes parents, je te rappelle que c’est des culs fermés, ne leur faisons pas voir que nous l’avons fait, c’est notre secret.
Bonjour maman, je te présente mon fiancé.

C’est ainsi que je rencontre un couple, l’homme, je ne le connais pas, mais la mère, c’est ma vieille de ma nuit, plein de choses montent à mon cerveau, la fille qui se pend à mon bras est la salope que sa mère m’a décrite.
Cette salope m’a fait le coup de la poche de sang qu’elle avait dans sa main et a dû faire éclater sous elle pour me faire croire qu’elle était vierge.
Nul doute que dans trois semaines, j’apprendrais que je l’ai mise enceinte et qu’il faut nous marier en urgence.
La peur m’habite d’un coup, la mère dans ses débauches à bien dit qu’elle l’avait vu se faire baiser par un noir dans le salon où nous sommes et si mon enfant naissait métisse, inventeraient-ils une ancêtre noire du temps des colonies ?

La mère m’a bien sûr reconnu, je devrais me sauver en courant, je me baisse vers la main de ma belle-mère et maîtresse et je lui fais un baisemain comme j’ai appris à les faire dans le milieu où j’ai été élevé.

Je vais épouser la fille et ainsi, je pourrais continuer à baiser la mère malgré ses seins tombants et son ventre ridé, deux salopes à ma disposition pour le prix d’une, j’ai du bol dans notre malheur.
Mon père avant que je monte dans le train m’a dit de bien réussir à me faire épouser car il a fait de mauvaises affaires et nous sommes ruinés, grâce à cette union arrangée par des personnes compréhensives dans notre milieu, la toiture de notre manoir pourra être réparée.
La mère a blousé mon beau-père pour réunir leurs domaines et lui faire avaler Clotilde, je vais les blouser pour sauver le mien, quelle chance d’avoir pris cette cuite mémorable hier me faisant rencontrer par hasard une vieille salope et aujourd’hui m’en faisant découvrir une deuxième.

Je vous quitte, nous allons passer à table, sous la table, ma belle-mère, ayant enlevé son escarpin me caresse le mollet, j’ai eu raison de ne rien dire, papa va être content de moi.

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