Il faut toujours se méfier de l’eau qui dort

- Par l'auteur HDS Romainro -
Récit érotique écrit par Romainro [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : Il faut toujours se méfier de l’eau qui dort Histoire érotique Publiée sur HDS le 24-06-2018 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Il faut toujours se méfier de l’eau qui dort
Après une relation de 5 ans encore une fois ratée, j’ai trouvé un appartement pour enfin reprendre ma liberté total. Jusque là je créchais soit chez un pote soit chez des compagnes de nuit. Juste à la sortie de ma station de métro il y a une presse/tabac/loto. Quand je rentre du travail c’est une jeune étudiante qui tient la boutique.
Ca a commencé par de simples « Bonjour », « merci » et « au revoir », mais son corps me donne envie d’en découvrir plus sur elle. C’est une belle brune d’un peu plus de 20 ans, elle doit faire environ 1m65 elle est assez fine mais quand même avec de belles formes. Quelque soit le temps le temps, elle porte un décolleté qui laisse deviner une belle poitrine (je pense 95C), je la vois rarement quitter le comptoir mais j’ai quand même réussi à admirer son joli petit cul rebondi qui me semble très ferme.

Maintenant je sais qu’elle s’appelle Karine, elle est étudiante en sociologie, ce job à mi temps est très pratique puisqu’elle habite à deux pas. Je lui donne le nom de ma rue, qu’elle connait très bien mais ne me propose toujours rien. J’ai 17 ans de plus qu’elle alors je peux seulement me faire des films. Malgré tout, chaque soir en sortant du métro je m’arrête dans sa boutique, je regarde des livres des magasines… et j’en profite pour discuter avec elle et admirer son joli corps.

Cela fait maintenant 3 mois que nous nous voyons presque quotidiennement, on se tutoie. Evidement j’ai des aventures mais je ne peux m’empêcher de fantasmer sur son corps. Aujourd’hui elle porte une robe rouge qui fait ressortir ses seins et quand j’ai la chance qu’elle quitte son comptoir pour venir parler avec moi j’admire son cul extrêmement bien moulé dans ce tissu rouge.
Je vais pour quitter la boutique quand elle me dit:« Je ferme à 20h, passe mon prendre et on ira boire un verre chez moi »Evidement j’accepte avec un grand sourire qui la fait rigoler, logiquement on est sur la même longueur d’onde, alors je me dépêche de rentrer chez moi pour me doucher, me parfumer et enfiler des habits plus décontracter.

A 19h55 j’arrive devant la presse, je l’attends dehors. Elle fait la caisse, ferme le rideau et je la suis jusqu’à son appartement sans dire un mot. Elle déverrouille sa porte et l’entrouvre, puis Karine se tourne vers moi, empoigne mon t-shirt et au passage quelques poils et me dit:« Entre et suis moi! » sur un ton plutôt autoritaire donc impossible de refuser, alors je la suis docilement.

Toujours en agrippant mon t-shirt, elle m’emmène jusque dans un salon ou contre un mur je découvre une croix de saint André, je n’en avais jamais vu en dehors des clubs. Je reste un peu con la bouche ouverte, elle pose son doigt dessus et me dit « Chut »Puis elle me pousse vers le canapé, Karine reste debout devant moi. Elle commence à enlever ses talons puis comme une professionnelle et elle ouvre la fermeture éclaire de sa robe qu’elle fait tombe d’une manière très sexy. Elle ne porte rien en dessous. Avec ses deux mains elle se caresse le corps, les seins, le ventre… jusqu’à ce que ses doigts caressent sa toison brune très fournie. Son index et son majeur écartent ses lèvres intimes (cette région n’a aucun poil) et je vois déjà perler des gouttes de mouilles, mon boxer aussi commence à s’humidifier tellement que je bande et que je suis excité par ce corps et ce spectacle.

Karine se caresse d’une main le clito et de l’autre elle titille ses lèvres qu’elle garde grandes ouvertes. Elle me dévoile toute son intimité et sa grotte me donne très envie. Ses doigts se baladant depuis quelques minutes dans un silence uniquement brisé par ses gémissement quand elle me dit:« Tu aimes ma chatte? Elle te fait envie? Dis moi que tu as envie de la toucher, d’y goutter et de boire tout mon jus »Je suis troublé par sa voix si douce et si autoritaire à la fois, je ne sais pas quoi dire mais sur un ton plus sévère elle rajoute:« Réponds! »Alors je dis simplement oui. Karine s’approche de moi et m’attrape par les cheveux d’une main alors que l’autre est toujours posé sur son sexe. Ses yeux fixent les miens, intimidé je les baisse. Je la sens sourire et je l’entends me dire:« Voilà, tu as compris maintenant »Elle laisse un long silence puis à nouveau douce et sévère à la fois elle rajoute« Tu ne prends aucune initiative! Tu fais tout ce que je te dis sans rien dire! Et tu m’appelles Maitresse! C’est clair? »J’ai trop envie d’elle alors je n’ai pas d’autres choix que de répondre:« Oui Maitresse! »
D’habitude c’est moi qui domine les femmes, mais vu son appartement ça doit être une experte en la matière malgré son jeune âge. Je connais les règles du jeu et j’ai envie de me laisser aller. En tout cas ce n’est pas ma queue qui dirait le contraire vu que je bande à en avoir mal depuis qu’elle a commencé a se déshabiller.
Elle soulève ma tête par le menton, de nouveau elle plonge son regard dans le mien et recule. Elle n’a pas arrêté un instant de se caresser, sa chatte dégouline, ses poils sont trempés… elle gémit de plus en plus fort.
Elle a 2 doigts sur son petit bouton qui est maintenant bien gonflé et 3 autres qui vont et viennent dans sa grotte inondée. Elle crie sa jouissance et je me retiens pour ne pas moi aussi venir dans mon boxer alors que je ne me touche même pas.

Une fois qu’elle a repris ses esprits, Karine m’attrape pour me faire lever et me pousse contre la fameuse croix de saint André. Elle arrache mes vêtements, en instant je me retrouve entièrement nu. Elle plaque son corps contre le mien et le fait onduler. Je sens chaque centimètre de sa peau, mais aussi ses cheveux, son odeur et son excitation.
D’une main elle effleure ma bite, électrisé je me tend encore plus. Elle commence à me branler mais du bout des doigts, négligemment, alors qu’elle continue de frotter son corps contre le mien. Bien qu’elle ne m’ait pas attaché je reste immobile, comme elle me l’a demandé je la laisse prendre les initiatives.

Au bout de plusieurs longues minutes elle s’agenouille devant moi et d’un coup s’empale sur ma queue jusqu’à me faire rentrer dans sa gorge. Elle me laisse planter en elle et tire la langue pour venir titiller mes couilles avant de me recracher. Karine empoigne ma queue, serre ferrement son pouce et son index à la base de ma tige et ses 3 autres doigts compressent une de mes couilles un peu trop fortement ce qui me fait légèrement débander. Elle ne desserre pas ses doigts pour autant mes fait coulisser ma bite entre ses lèvres très fermées et titille mon frein du bout de la langue ce qui me redonne immédiatement de la vigueur.

Elle fait ainsi une dizaine d’allers retours le long de mon sexe, avant d’encore une fois me faire rentrer jusque dans sa gorge. Cette fois ce n’est pas sa langue qui s’occupe des mes couilles mais ses deux mains qui me les serrent comme le ferait un outil. Encore une fois je me retiens pour ne pas me rependre dans sa gorge qui m’entoure comme une moule. Au bout de plusieurs dizaines de secondes elle recrache ma queue, entièrement recouverte de sa salive.

Immédiatement Karine pivote sur ses fesses, penche son dos en arrière et se tient avec les mains, puis lève ses jambes pour venir entourer mon sexe, toujours bien tendu et dégoulinant de salive, avec ses pieds. Elle commence à me branler énergiquement alors que je ne suis toujours pas remis de sa pipe!
Elle les serre l’un contre l’autre autour de ma tige et les fais coulisser sur toute ma longueur. Sinon elle fait courir les doigts d’un de ses pieds sous ma bite et me titille bien le frein alors que son autre pied me malaxe les couilles…Tout ceci me rend fou, j’ai envie de lui sauter dessus et de la baiser sauvagement mais je sais très bien que si je tente quoi que ce soit tout s’arrête alors je continue à me laisser faire et être son jouet sexuel, et en plus j’aime de plus en plus.

Trop rapidement elle arrête tout, elle se lève, va chercher une couverture qu’elle étend sur le sol et me somme de m’allonger. J’attends qu’elle viennent s’empaler sur ma queue mais Karine décide de plutôt poser sa grotte aux plaisirs sur ma bouche et me dit:« Dévores moi! Et fais le bien! »Ma langue se fraie un passage entre ses poils et vient lécher son clito, elle s’assoie un peu plus sur moi alors je le sers entre mes lèvres. Ca doit être ce qu’elle voulait parce qu’elle commence à gémir. J’aspire son petit bouton, je le coince bien entre mes lèvres et ma langue le triture dans tous les sens. Je la sens complètement couler dans ma bouche. Quand je remplace mes lèvres par mes dents autour de sa chair ses gémissements se font de plus en plus fort.
Elle s’assoie carrément sur mon visage et se frotte encore plus contre ma bouche, sa mouille a un goût de plus en plus sucrée, j’i du mal à respirer. Je sens son vagin se contracter autour de mon menton et elle part pour un deuxième orgasme.

Immédiatement elle se lève et vient se placer en levrette devant moi et m’ordonne:« Baise moi! J’ai envie de ta bite! »Je ne vais pas me faire prier. J’empoigne bien ma queue, j’ai un peu ramolli par le manque d’air, je presse mon gland et je commence enfin à m’introduire tout doucement en elle. Au fur et à mesure que je m’enfonce je gonfle et durci encore plus et quand mes couilles viennent taper son clito, je sens que sa main s’en occupe déjà.
Je commence à la ramoner doucement quand elle me crie dessus:« Je t’ai dit de me baiser! »Alors j’attrape ses hanches et j’alterne les coups de boutoir et le planté du bâton tout au fond de sa grotte. Je sens sa main s’exciter de plus en plus entre ses cuisses. je suis bien dans son sexe qui est plus que moite. Je m’en donne à coeur joie à chaque fois que je m’enfonce en allant taper le plus violemment possible ses fesses avec mon pubis et son petit bouton avec mes couilles.

Je continue à aller de plus en plus fort en elle, je sens sa cyprine dégouliner le long de ma cuisse. J’adore le bruit de nos sexes qui se frictionnent dans son jus. Je lui défonce le cul depuis 10 bonnes minutes, profitant de chaque instant quand elle m’ordonne d’arrêter et de sortir. Je m’exécute.
Elle me fait m’assoir sur le canapé et vient s’empaler sur ma tige en me faisant face. C’est elle qui m’aine à nouveau la danse. Karine monte et descend sur mon sexe tendu telle une écuyère sur sa monture. J’ai envie de toucher sa poitrine, de l’embrasser, de lui mordre les tétons mais je n’ose rien faire. Je la laisse juste nous donner du plaisir à un rythme fou alors que sa main plonge encore une fois contre son petit bouton.

Après un long moment à onduler son bassin je sens son sexe se contracter, ses gémissements deviennent des cris et ses ongles se plantent dans mon dos. Ca m’électrise tellement que sous un des spasmes de son sexe je commence à gicler en elle. Elle retire ses griffes de mon dos, sort ma queue qui est toujours en train de vider et me fait finir de me répandre sur sa chatte.
Une fois que j’ai tout sorti et elle aussi, elle attrape ma bite et la frotte contre son sexe dans le mélange de nos deux jus.

Quand je suis entièrement mou, elle se lève, une grande quantité de liquide coule de ses lèvres intimes et perlent sur le sol. Elle se penche en avant me dévoilant son petit trou, je vois nos jus couler le long de ses cuisses. Karine attrape mes affaires me les jette dessus et me dit« Maintenant dégage »Je me dépêche de me rhabiller et quitter son appartement pour rentrer chez moi. Une fois dans mon lit je me branle en repassant à tout ça, sur mon dos brulant je sens comme ses ongles comme si ils étaient restés planté en moi. Je me suis caresser un long moment jusqu’à lâcher 4 très abondantes giclées de sperme.

Le lendemain quand je repasse à la boutique, Karine fait comme si on ne se connaissait pas et me vouvoie, les jours suivants c’est la même chose alors je ne suis plus jamais retourné dans cette presse. Dommage parce qu’elle est sur mon chemin et surtout parce que j’ai vécu un super moment que j’aurai bien aimé renouveler.

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