Enfant très bien gâté par dame nature

- Par l'auteur HDS Butineur84 -
Récit érotique écrit par Butineur84 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : Enfant très bien gâté par dame nature Histoire érotique Publiée sur HDS le 13-06-2018 dans la catégorie Pour la première fois
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Enfant très bien gâté par dame nature
Je me présente,
Je m’appelle Sergio, j’ai 17 ans et 6 mois, je suis d’origine IVOIRIENNE par mon père et BELGE par ma mère, ma famille est française par la naturalisation de mon père qui est légionnaire, actuellement en mission au TCHAD pour 6 mois.
Je suis étudient dans un CFA à AUBAGNE, je prépare un BEP de monteur en Installation de chauffage basse température et sanitaire, je suis assez grand pour mon âge, je mesure 1,72ml.
Au bahut, après le sport, on prend une douche collective et je suis toujours gêner, car je suis pas comme les autres, on m’appelle BABAR, mais ce n’est pas par ce que j’ai de grande oreille.
Les personnes et les lieux sont volontairement modifier,
Je remercie toutes les femmes qui m’ont permis de faire l’amour et de donner du plaisir. -1-

Un jour d’été, je faisais le « mur » avec des collègues, lorsque je me suis tordu la cheville en sautant la clôture du CFA, un prof à appeler les pompiers qui m’ont évacué à l’hôpital, je perdis connaissance dans l’ambulance quand ils ont voulu me la remettre en place, je reprie conscience dans une chambre d’hôpital, ma jambe droite dans une hâtelle suspendue, une infermière me finissait le bandage, elle me sourit ;
- Bonjour, vous aller bien !
- Bon, bonjour, je me sens faible !
- Ce n’est rien, vous êtes en salle de réveille !
- En salle de réveille ?
- Oui, vous avez étais opérer !
Je m’endort à nouveau, drogué par l’opération, je récent une sensation bizarre, j’ouvre les yeux et je voie l’infermière qui me fait une pipe, elle me suce la queue goulument, étant dans le cirage, je ne pouvez pas bougé, elle retiras sa blouse et sa culotte, et m’enjambas à califourchon , son dos face à moi, ce mie le gland dans sa vulve et commenças à descendre dessus tout doucement en ce tortillant elle me baisé, à grand coups de reins et des petit cris de plaisir, elle mordillé un mouchoir, elle ce plaquas sur moi et fit des mouvements latéraux qui comprimé ma bite, je ne pouvez plus me retenir et lui envoyas une grand giclé de sperme, elle jouit au même moment, puis ce retiras, prie sa blouse et culotte, partie dans la salle de bains, s’essuies la chatte avec un mouchoir en papier qu’elle jetas dans la poubelle, puis elle partit en me souriant .
Le lendemain, ma mère arrive vers 10h00, avec Mme F………. Sophie, notre voisine de palier, elle est une grande amie de ma mère, (il y a 6ans, elle a perdu son mari dans un accident de la route, ma mère l’a soutenue dans son malheur, c’est souvent qu’elle me garder quand ma mère été occupé)
(Ma mère) - Comment vas-tu mon fils !
(Moi) - Bien, mais j’ai mal !
(Sophie) – ne t’inquiète pas, on va s’occuper de toi pendant ta convalescence !
(Moi) – tu as eu papa au téléphone, il est au courant ?
(Maman) – oui, mais tu connais ton père, pour lui, c’est ta faute !
(Moi) – oui, je sais !
(Sophie) – tu devrais t’assoir !
(Ma mère) – non ça vat !
Sophie s’assied en face de moi sur un fauteuil médical qui est régler très haut, je voie ses cuisses entre ouverte avec sa jupe relever sur ses genoux, elle a une culotte blanche très serré qui laisse apparaitre la forme de sa vulve charnue, elle me sourit ;
(Sophie) - Alors comment as-tu fait ton compte ?
- Je ne sais pas comment j’ai fait, mais voilà le résultat !

(Sophie) – tu devais courir après des filles !
- Je, je ………………. !
(Sophie) – sa doit bien te démangé, a l’âge que tu as !
Je ne répondis pas, elle me sourit, ma mère me montrât du linge propre pour quand je sortirais, et le rangeas dans le placard,
Elle me fit une bise et me dit ;
- Tu n’as besoin de rien, mon fils !
- Non, merci man ! (Sophie m’embrassa sur le bord de la bouche, comme si elle avait glissé)
Elle prit congé avec Sophie, la journée passa, le soir, après que l’on m’est changé le bandage, je m’endormie comme un loir.
Le lendemain matin, à 9h30, ma mère ayant fait le nécessaire pour la sortie, une infermière m’apporte une paire de béquille, et me donne une enveloppe avec une note « à lire chez vous »
Un taxi nous attend et nous voilà partie, ma mère me dit ;
- Tu as un arrêt de trois semaines avec un kiné a domicile pour la rééducation de ta cheville !
- Bien, mais je ne vais pas pouvoir sortir avec cette chaleur (il faut dire qu’il faisait 34°)
- Non, et Sophie va se relayer avec moi pour te surveiller et te faire des révisions, j’ai vue avec ton professeur principal pour tes devoirs !
- Mme B…………, tu es allé voir Mme B………… !
- Oui, elle est très gentille, elle a même proposé de venir te voir !
Ont arrivent à la maison, je suis gauche avec ces béquilles, Sophie arrive pour nous aider ;
(Sophie) – alors, on va être chouchouter à la maison !
Je lui fais un sourire, et on monte les escaliers, avec ses béquilles, je soufre, mais en montant a cloche pieds, j’y arrive, arrivé au 2eme étage, ma mère ouvre et tout le monde entre, je m’installe au salon, sur le canapé, ma mère part dans sa chambre et Sophie s’installe en face de moi, sur un fauteuil, je flâné dans mes pensées, quand je fus attiré par ma mère qui amener un plateau avec du thé et un biscuit ;
- Sophie, du thé ?
- Oui, merci !
- Sergio, tu en veux ?
- Non, non, merci !
Sophie se penche pour prendre la tasse, son chemisier étant déboutonné sur deux ou trois boutons, je surpris sa poitrine opulente, elle se redresse et me sourit, j’éraie dans mes pensées, ma mère et Sophie parler comme d’habitude, je distingue ces mamelons érigé qui frotte la toile en coton du chemisier, une des béquilles tombe du fauteuil, je me penche pour la ramassé, Sophie qui été la plus proche de moi, ce lève pour m’aidais, elle s’appuie sur l’accoudoir pour prendre la béquille , un de ses seins se comprimas, ce qui laissas de la place pour distinguer l’autre très clairement, il était de belle tenue, rond avec ce mamelon que je deviner, granuleux et charnue.
-3-
L’heure du repas sonnas, Sophie prie congé ;
- Je reviens dans la soirée, j’ai à faire cette après-midi !
Elle partit, ma mère me proposas des tournes-dos et purée pour déjeuner, une fois le repas fini, je partie dans ma chambre m’allongé, je m’endormie, mes songes me tourmenté,
« Pourquoi elle me regarde comme un gâteau à dévorer »
Je m’endormie, je fus réveillé par le son de la radio du salon, je me lève et alla au WC, en sortant, je rejoins ma mère dans la pièce, elle lisait des revues de Roman Photos, je lui souris et comme je m’assoie, je retire une revue qui se trouvé là, sur le coussin, ma mère me fit signe de lui rentre en me disant ;
- Donne-moi ça, ce n’est pas pour toi, tu es trop jeune !
Je lui fais passer, elle me le prit avec un mouvement sec, j’écouté la radio, ont sonnas à la porte, ma mère se levas et alla ouvrir, le concierge lui donnas un paquet, elle referma la porte et vient dans la pièce, toute émoustillé ;
- Un colis de ton père !
Elle prit une paire de ciseaux et l’ouvrit, mon père lui envoie régulièrement des colis, il y avait des lettres qu’elle mit de côté, des tuniques locales, des photos, mon père m’a envoyé des polos de tennis a manche courte, ma mère me les donne pour que je les range dans ma chambre,
La soirée arrivât, on tape à la porte, Sophie entras, elle était habillée différemment, elle avait une jupe ample avec un chemisier blanc presque transparent, elle me faisait bander, j’ai toujours fantasmé sur les femmes mures, elle propose à ma mère de prendre le relai pour la surveillance, ma mère acceptât, elle partit dans la salle de bain ce changé, elle en sortie habillé avec une tenue stricte et me dit ;
- Je vais à la paroisse pour notre répétition ! Il est vrai qu’elle est un peu « grenouille de bénitier »)
- Bonsoir man, a plus tard !
Elle sortit, Sophie me proposât de me faire a mangé, elle partit dans la cuisine, j’écouté la radio, il y avait un match de foot, Sophie revient au bout d’un moment avec un plateau qu’elle posât sur la table basse, elle avait préparé des pattes a la carbonara (sa spécialité, elle est italienne d’origine)
On mange et elle débarrasse, puis elle revient dans la pièce et s’installa sur le canapé, me fit signe de venir à côté d’elle, comme je m’assoie au bord, elle s’approche de moi et me dit ;
- Tu sais que je suis veuve et que j’ai plus d’homme dans ma vie depuis le décès de mon mari !
- Oui, oui, je sais et je comprends !
- Depuis que je te voie en pleine puberté, tu ne veux pas que je t’éduque, sa resterez entre nous !
- Je, je ne sais pas !
- Vient contre moi, je vais t’apprendre !
Elle se déboutonnas son chemisier, ses seins fut expulser entre le tissu tendu, ils étaient gros et lourd, ses mamelons très granuleux étaient comme une sucette de bébé, je commençais à avoir chaud,

Elle me retira mon pull, et me caresser la poitrine tout en me faisant des bises sur le corps, elle dirigea
Sa main sur mes cuisses, lorsqu’elle sentie ma queue érigée, elle me regarda droit dans les yeux et me dit ;
- Tu, tu es monté comme un cheval !
- Je, je …………. !
- Tu vas me montrer ça !
Elle me retiras tout doucement mon pantalon de survêtement, ma bite ce cabras sous mon caleçon, elle me sourit et caressas la toile , elle ouvrit la braguette et sortie mon gland , elle commenças a me sucé, tout doucement en pivotant sur le canapé, elle retiras sa jupe et sa culotte, une chatte très velue apparue, qu’elle me présentas devant ma bouche, elle santé un mélange de parfum et d’urine, elle reprit la sussions de mon gland, je lui passa machinalement la langue sur ses lèvres, elle acquière un soubresaut et me plaquas sa chatte sur la bouche, je lui saisit entre la langue et le palet, son clito qui ressemblais a un cornichon, elle suffoquer de plaisir, je lui glissas deux doigts dans la chatte, elle ruisselait de cyprine,
Elle se dégage de cette position et vient se positionner sur moi, je suis impressionnée par ses énormes seins qui pende devant mon visage, elle prend ma bite et se positionne dessus, elle s’emboite dessus et tout en soufflant, elle ce fait pénétrais jusqu’as la garde, je lui saisis un mamelon dans la bouche et le tète comme un bébé, elle donne des coups de reins à chaque chevauchée, ce mais à hurler des mots ;
- Tu, tu anh anh anh, tu es montéééé commmmee un ânnne , mon salooooot, que c’est bonnnn !
Elle commence à entrer dans une transe et me sert le membre avec ses muscle interne, cette sensation es délicieuse, je prends mon pieds, je lui mordille les mamelons, elle me plaque le visage sur sa poitrine, et ce mais à me pilonner de plus en plus vite, j’éjacule de grande giclait en elle, Sophie ce contracte et hurle de bonheur, une fois qu’elle a repris son calme, elle ce relève et un jus blanchâtre de sperme et de cyprine mélangé lui ruisselle sur l’intérieur de la cuisse, elle partit dans la salle de bain , quelque minutes plus tard, elle revient en culotte avec un gant de toilette, à chaque mouvement, ces seins ce balancé de droite et de gauche, elle me fie un nettoyage complet, j’en profite pour lui malaxé cette poitrine qui me fait envie, une fois la toilette faite, elle me fait des bisous sur la tête de mon gland, je me mais a rebandé de plus belle, elle n’en revient pas ;
- Tu en as encore envie !
- Oui, je suis fou de toi, Sophie !
- Bon, encore un peu, mais ta mère ne va tarder à venir !
Elle baissas sa culotte et ce mis à genoux sur le canapé, en me redressant, j’étais a bonne hauteur, elle écartât ses fesses, je voyer sa chatte devant moi, je saisie ses hanches et ma bite après quelques tâtonnement, je la pénétras d’un coup de rein, elle accuse le coup, je lui mets des coups de bite de plus en plus vite, elle se mais à jouir en même temps que moi, je la remplis de ma semences, elle s’affale sur le canapé dans un état second, je m’assoie à côté d’elle, Sophie me sourit et me dit ;
- Toi, tu es un bon coup, tu vat en faire, des heureuses !
-5-
Elle repartie dans la salle de bains, je me rhabille du temps, elle sort, habillé, comme si de rien ne s’était passé, elle me sourit et s’installe sur un fauteuil, prend un livre et m’ignore, une demi-heure plus tard, ma mère arrive ;
- Alors, vous deux, ça s’est bien passé ?
- Oui ! (Réponses de tous les deux)
Sophie nous quittât, il était minuit et demi, je partie dans ma chambre me couché, je m’endormie comme un bébé, le lendemain, en me levant à 8h30, ma mère me dit ;
- Tu t’habille vite, il y a l’infirmière qui va venir à 9h00 pour ton pansement !
A 9h00, la sonnette retentie, ma mère ouvrit, une charmante brune, genre « lolita » été devant le palier avec un sac ;
- Bonjour !
- Bonjour, le malade est la ! (Ma mère me montre du doigt)
Elle me rejoint dans le salon, elle s’accroupie et me demande de retiré mon pantalon de survêtement, Puis commenças à me défaire le bandage, elle me fait remarquer que ma cheville a bien désenflé, elle me passe de la pommade sur la cheville en remontant sur le mollet avec une façon de me regarder étrangement, elle me fixé, ses mains commence a remonté sur ma cuisse, ma mère entre dans la pièce, l’infirmière me lâche, et me refait mon bandage, le téléphone sonne, ma mère décroche, pendant qu’elle parle, l’infirmière me donne une feuille plier en quatre et me fait signe de me taire,
Elle replie ses affaires et prie congé, maman me dit ;
- C’était le kiné, il t’attend cette après-midi !
- A oui, mais comment je vais y aller !
- Une ambulance vient te chercher !
- Ah bon, ok !
- Tu prends une serviette et un slip de bain !
- Pour aller à la piscine ?
- Non, pour ta séance de kiné !
On mange et à 13h30, l’ambulance arrive, il me conduit dans un centre médical dans le centre, je sonne à la porte du kiné et entre dans la salle d’attente, quelques minutes plus tard, le kiné ouvre la porte de communication avec son cabinet, le kiné est une charmante rousse de 30 ou 32 ans ;
- Bonjour !
- Bonjour, je suis enchanté !
- Vous allez dans la cabine qui se trouve la et vous vous m’étais en slip de bain !
- Ok !
Je m’enferme dans la cabine et me déshabille, en slip de bain, j’ouvre la deuxième porte intérieure, il y avait une pièce avec un bassin et des poulies pour faire des mouvements, le kiné me fait signe d’entré dans le bain, l’eau est tiède, c’est agréable ;
- Vous allez marcher sur la longueur du bassin en posant votre pied bien à plat à chaque mouvement !
Je m’exécute, ma cheville me fait mal, mais j’arrive a posé le pied sur mon poids, je fais trois aller et
Retour, je fini le quatrième retour, ma cheville ne me porte plus et je m’affale dans l’eau en créant une vague, l’eau déborde de ma bordure du bassin et mouille la blouse du kiné, elle prend une serviette
pour ce séché, je remarque qu’elle ne porte qu’une culotte sous sa blouse, ses seins pointer sous le tissue mouillé, je me mais a bandé sans le vouloir, elle vient à côté du bassin et me temps sa main pour m’aider à sortir de l’eau, je sortie et m’installas sur un banc , elle allas ce changer, de retour elle me demande de m’installer sur un fauteuils, et elle m’installe une sangle avec un ressort de rappelle , elle me demande de forcé sur le ressort dix fois, je m’exécute, à chaque mouvement , elle me massé la cheville avec une pommade à base de Camphre, je suis gêné par mon slip de bain qui moule ma bite en extension, le kiné me sourit et me dit ;
- C’est moi qui vous trouble comme cela !
- Je, je m’excuse !
- Il n’y a pas de quoi ! (Elle me sourit et remonte sa main jusqu’au slip de bain)
- Je, je suis ………… !
Elle me caresse ma bite au travers de la toile, elle me regarde droit dans les yeux et me dit d’une voie douce ;
- Je pense que l’on va aller dans la pièce à côté !
Je la suis, on entre dans une pièce tout en bois, avec de la vapeur, elle me fait signe de m’installer sur un banc, elle augmente la vapeur et vient s’assoir à côté de moi, elle retire sa blouse, elle as de beau seins avec des petits mamelons, elle retire sa culotte, elle as une chatte toute rasé avec un petit triangle de poile au-dessus de son clito, elle me retire mon slip de bain, ma bite ce dressas contre mon ventre, elle la saisie et me dit ;
- Très belle bête !
Elle engloutie mon gland dans sa bouche tout en pivotant sur moi, j’avais sa chatte odorante sur mon visage, je lui clissa la langue entre ses lèvres, elle me mordillas le gland, je lui suce le clito, elle grogne et me mordille de plus en plus fort, je lui insert deux doigts dans la chatte et commence à la branlé, elle tortillé ces hanches, je lui insert le pouce dans l’anus, elle apprécie, ce laisse faire, quelques minutes plus tard, elle ce relève et vient enjambé le banc, elle présente mon gland sur ses lèvres et ce laissas descendre dessus, elle était étroite, cela faisait une drôle de sensation, et commence à me pilonné, elle ce mie à jouir au bout de quelques minutes, elle ce retirât, sa chatte fit un bruit de succion et posât ses mains sur le banc, son cul en position pour ce faire donner, je me levât et mie mon gland dans sa chatte toute gluante, elle accusât le coup de rein et je commence à la baisé a grands coups de hanche, elle secouait la tête dans tous les sens, d’un coup de rein en avant , elle ce libéras et écartât ses fesses, son cul sombre s’ouvrait et ce fermé à chaque respiration, elle me dit ;
- Encule-moi avec ta grosse bite !
Je me présentas sur son anus, ma cheville ne me faisait plus mal comme par miracle, je prenez appui sur ma cheville gauche, mais la droite bien posé au sol , je ne reviens pas de la facilité de pénétration, ma bite s’engouffras toute seul en elle, elle hurlât quand je butas au fond , cette sensation était superbe, ma bite était envelopper dans son anus, je commenças des va et vient, elle accusé les coup de rein avec des grincement de dents, je lui prie ses petits seins dans mes mains et les malaxé, elle posât ses mains sur les miennes et serras ses mamelons entre son pouce et l’index , elle fut pris de

Convulsion quand j’éjaculat en elle, une fois dégager, elle s’allongeas sue le banc et se couvrit avec une serviette, elle me fit signe d’avançait mon visage et me dit ;
- Tu es un bon amant et je suis contente !
- Je te remercie, moi aussi, je suis contant, quand es que je reviens pour la cheville ?
- On est 16, tu n’as qu’as venir le 18 !
- Ok !
Je m’habillai et partie, le taxi m’attendais, en chemin, le chauffeur me dit ;
- Alors sa c’est bien passé, pas trop douloureux !
- Non, ça a été, merci !
- Le kiné est très demandé par des jeunes hommes !
- A bon !
- Oui, je travaille souvent avec elle !
- D’accord ! (Je me demandé qui a donné le N° de téléphone à ma mère)

si ce début vous a plus, la suite prochainement.

Les avis des lecteurs

Histoire Libertine
bonne histoire, les fautes ne m'ont pas empêché de comprendre ni d'apprécier ;D très sexy

Histoire Erotique
Je me suis posé la question si les fautes d'orthographes et grammaire n'étaient pas voulues? C'est assez amusant de voir des mots pour des autres.

Histoire Erotique
Trop de fautes, trop c'est trop et c'est dommage, ... passez le dico avant de publier

Histoire Erotique
Belle histoire des débuts dans la vie ...

Hélas, trop de fautes gâchent le plaisir de la lecture... d'un texte trop touffu. DOMMAGE !

Histoire Erotique
Histoire fausee et beaucoup trop de fautes

Histoire Erotique
ecriture catastrophique
nul des nuls

Histoire Libertine
Oui la suite cela m a beaucoup excitée

Histoire Erotique
Trop de fautes d ortho



Texte coquin : Enfant très bien gâté par dame nature
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