COLLECTION JEUNE – VIEUX. Les vendanges (1/4)

- Par l'auteur HDS CHRIS71 -
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Récit libertin : COLLECTION JEUNE – VIEUX. Les vendanges (1/4) Histoire érotique Publiée sur HDS le 30-07-2018 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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COLLECTION JEUNE – VIEUX. Les vendanges (1/4)
J’avais trente-deux ans quand nous avons divorcé avec Maryse toute blonde, lorsque j’ai appris que mon ex était une salope qui se faisait baiser par toutes les queues qui passaient à sa portée.
Deux ans que je suis seul sans jamais chercher à la remplacer.
Dans huit jours comme depuis vingt-trois ans, c’est le début des vendanges que je fais chez Olivier, mon copain qui a son domaine à Mercurey.
J’ai quitté ce village à vingt-deux ans pour créer l’entreprise que je dirige à Givry dans la mécanique de précision.
C’est pour la faire fonctionner que je travaille près de quinze heures par jour et si les dix jours de vendange sont très fatigants, faire des efforts physiques me permet de reposer mon cerveau.
Mon entreprise me rapporte plus que de quoi vivre alors ces vendanges sont plus une habitude pour faire plaisir à Olivier et surtout pour la « paulée » repas bourguignon marquant la fin du travail de coupe du raisin.

Je viens de rentrer lorsque l’on sonne à la porte de mon cottage à Mellecey à quelques minutes de mon entreprise.

• Bonjour, monsieur Josselin, je peux vous demander un service.

Comment refuser d’écouter Laure, la fille de mes voisins que je vois depuis plus de dix ans où nous avons acheté notre maison de vigneron rénovée avec mon ex ?

• Entre.
• Non se serait mal vu que je rentre chez vous, je suis fiancée avec Melvin, les gens sont toujours médisants.
• Alors que veux-tu ?
• Faites-vous toujours les vendanges chez votre ami Olivier ?
• Oui, nous commençons mardi prochain.
• Pourriez-vous lui demander de m’engager et de m’emmener ?
• Tu sais faire les vendanges, tu sais, c’est très fatigant pour le dos.
• Avec Melvin, nous voulons nous marier, mais comme je suis au chômage nos moyens sont limités, je vous promets de faire des efforts, vous n’aurez pas à vous plaindre de moi.

Le regard de chien battu qu’elle montre me fait craquer, Laure étant devenue une jeune femme magnifique depuis que je la connais.
Entre le bébé de dix ans et cette jeune femme de vingt ans, j’ai devant les yeux l’évolution de la nature qui l’a généreusement pourvu.

• Bien, je vais voir ce que je peux faire.
• Je vous donne le numéro de mon portable, vous m’appellerez quand vous aurez la réponse.
• Attends, je n’ai pas le mien sur moi, donne-le-moi, je suis bon en maths et j’ai une mémoire des chiffres, c’est important dans mon travail !
• Vous avez de la chance, je suis excellente en orthographe, je faisais zéro faute dans les dicter à l’école, mais pour moi un et un cela fait trois.
06 06 06 06 06.
Vous pouvez m’appeler jour et nuit, Melvin est parti quinze jours avec son patron faire un chantier en Espagne.
• Dis-moi, il va être payé avec des heures supplémentaires et une prime de déplacement cela va vous permettre de préparer votre mariage.
• Non, il lui a dit que s’il refusait de venir avec sa simple paye, il le licenciait.
• Salop de patron.
• Il y en a des bons, dans le village, on dit du bien de vous, vous avez la réputation d’un patron intègre et juste.

Un coq, la petite, elle a devant elle un coq qui bombe le torse et qui s’apprête à pousser un cocorico.

• Je t’appelle.

Lorsqu’elle se retourne et part dans l’allée son petit short au ras de sa foufoune entraîne immédiatement une tension dans mon pantalon pour la première fois depuis de nombreux mois.

• Nous sommes complets, mais si tu t’en occupes, je te dois bien ce service.
• Merci pour cette jeune, il faut bien les aider à démarrer dans la vie.
Si le travail est trop pénible et qu’elle traîne, dit à ton contremaître que c’est moi qui la dirige.
Il va sans dire que tu déduiras son salaire de ce que tu me payes.
• Mais depuis que tu as ta boîte, je te donne juste quelques bouteilles pour te remercier.
• Mieux, tu as raison, je m’en contente, les dix jours de vendange que tu vas lui payer couvrira le cadeau que je te fais.

Un grand éclat de rire, tout ceci est pure rigolade entre nous, il y a bien longtemps que dans nos conversations l’argent est banni.
Chaque fois que nous sortons ensemble dans l’année au moins une fois par mois, les pots descendus sont payés sans chercher à savoir qui a mis un billet pour la dernière, ce qui est sûr, c’est qu’ils nous aient impossible de conduire à notre retour.

• Allo, Laure, c’est bon pour les vendanges, mets-moi ta carte d’identité pour les déclarations dans ma boîte aux lettres et soit chez moi à six heures mardi prochain.

Je raccroche, car si je l’écoute ses remerciements m’empêcherais d’aller au travail.

Au matin, le mardi suivant, je suis prêt en tenue de combat.
Je sors ma voiture du garage pour faire les quelques kilomètres qui me séparent de la propriété et où le contremaître va nous répartir les tâches.
C’est bizarre, depuis quelques années, je suis le vendangeur qui arrive dans son gros cube, certains autres sont en vélos.
Je charge ma glacière pour mon repas du midi, j’attends regardant ma montre, personne n’arrive, je vais jusque chez ses parents, elle sort nous avons une demi-heure de retard.

• Je m’excuse, mon réveil a mal fonctionné.
• C’est l’excuse la plus courante lorsqu’un de mes employés est en retard, qu’est-ce que c’est que cette tenue, tu vas au bal pas aux vendanges.

Même petit short et débardeur que lors de sa visite pour me demander de faire les vendanges.

• Et si la pluie tombe, tu as prévu un vêtement de pluie.
• Oui, ma casquette, j’ai mis mes chaussures de marche.
• On verra bien, on assumera.

Dès que nous arrivons, la première équipe vient de partir avec la camionnette et une quinzaine de vendangeurs attente pour aller sur la première parcelle.
La camionnette revient, nous embarquons Laure, elle semble s’apercevoir de l’incongruité de sa tenue et viens se blottir près de moi pour se rassurer.
Romain, grand échalas d’un mètre quatre-vingt-dix que je connais comme chaud de la queue vient rapidement s’asseoir à ses côtés.
Arrivé sur le chantier, une dizaine de coupeurs sont déjà à la tache alors que les porteurs font déjà des allées et retours avec leur hôte vers le tombereau pour déverser le raisin.
Je prends un rang sans attendre les ordres du contremaître qui place les nouveaux et leur fait voir comment procéder pour récupérer le raisin mûr
• Laure prend le rang à ta main gauche, à côté du mien, regarde, comment je fais, tu dégages les feuilles du bas où se trouvent les raisins mûrs, tu les coupes dans ton sceau que tu as placé dessous.
Tu te penches de l’autre côté du pied en passant par-dessus, tu fais pareil et lorsque tu as tout coupé, tu passes au suivant.
C’est là que ton dos va te faire souffrir, il faut te baisser pour les raisins à droite et passer par-dessus le pied pour les raisins à gauche.
Lorsque ton sceau est plein, tu le vides dans la hotte du porteur qui passe près de toi.
Dernière recommandation, attention à tes jolis doigts avec le sécateur, je tiens à te rendre à ton fiancé en entier.

Nous attaquons à huit heures, au début Laure est à ma hauteur.
Chaque fois qu’elle se penche en avant ses seins me saute aux yeux, sous son débardeur, elle a mis un soutien gorge balconnet.
Pour la deuxième fois, ma queue se tend, j’ai un moment envie d’y porter la main, je m’aperçois de l’avance que je prends et de la difficulté qu’elle a surtout du côté où il faut passer par-dessus le pied.
Dans le même temps, Romain qui a pris le rang suivant est toujours à sa hauteur alors que les années précédentes, il finissait son rang avant moi.
Je fais ce qu’il faut pour soulager la petite.
Je coupe les deux côtés de mon pied ainsi que son côté main gauche, lui évitant de se pencher, même si je suis frustré de ne plus voir ses seins.
J’ai ralenti pour qu’elle me rattrape.

• Laure coupe seulement le côté droit, je te coupe ton côté gauche.

Vers dix heures, la femme d’Olivier vient nous apporter le casse-croûte, ce qui devient rare chez les viticulteurs, ça nous permet de goûter la cuvée de blanc 2017 qui a été mise en bouteilles il y a peu.

Lucette est une jolie petite brune, bonne copine de mon ex que j’ai fréquenté avant d’épouser Maryse.
J’ai connu les deux filles lors des vendanges de mes dix-huit ans et c’est lors de la paulée que sur un tonneau dans le caveau, que je l’ai dépucelé, le souvenir que j’en ai, c’est qu’elle avait un coup de reins assez puissants.
Lorsque j’ai déchargé, mes jets sont venus lui faire tellement plaisir que le caveau doit en résonner encore.
Lucette était ambitieuse et dans les jours qui ont suivi, elle a réussi à revoir Olivier qui a trouvé la place dégagée, l’a engrossé se faisant piéger.

Il commençait à reprendre le domaine son père étant atteint d’une maladie incurable.
Ils ont un garçon fierté de son papa, qu’il prépare malgré son jeune âge à devenir le futur patron.
C’est l’année suivante que lors de la paulée, j’ai dépucelé ma femme sur le même tonneau, mais en la faisant chanter moins fort.
Nous nous sommes fréquentés quelques mois précédents ou l’année où j’ai démarré ma boîte, je l’ai épousé.
Nous avions décidé d’attendre pour avoir des enfants, mais nous avons divorcé avant d’avoir notre premier.

C’est un simple saignement de nez qui a été sa perte, à l’entreprise impossible d’arrêter le sang, j’en avais partout, je suis revenu chez moi, dans le salon, je l’ai trouvé devant notre cheminée prise en sandwich par deux plombiers à qui j’avais téléphoné, huit jours plus top pour curer une canalisation qui commençait à se boucher.
Pour curer, ils curaient, mais la canalisation de Maryse, ses canalisations le patron étant couché sur ma moquette, l’enfilant par sa chatte, son apprenti l’enculant allègrement.

Je savais qu’elle n’était pas rétive à la sodomie, je le prenais souvent par l’anus, placé en levrette, étant sa position favorite, mais là faire cela sans moi qu’elle gâchis.
Je plaisante, c’est à coups de pied dans le cul qu’ils l’ont lâché, le patron ayant tout de même le temps de me dire que, lorsque je l’avais appelé, il savait qu’il allait chez la pute qui se faisait ramoner la chatte régulièrement par tout ce qui bouge.
C’est au bistrot que le facteur un peu, beaucoup bourré lui avait dit que la première fois où il lui avait porté un colis, elle avait à toute force, voulue sucer sa queue noire.
Il revenait souvent, pour la baiser et finir par lui faire avaler son sperme, c’était la reine de la fellation.
Pendant les quelques minutes que le plombier me disait ces horreurs, Maryse restait prostrée en pleurant me prouvant ainsi que ce qu’il disait était vrai.
Le soir même, elle repartait avec sa valise chez sa mère à Chalon-sur-Saône et nous avons divorcé.

Lucette donc apporte le casse-croûte et m’embrasse avant de repartir vers le chai ou Olivier s’occupe de trier et d’égrapper le raisin.
Laure est assise parterre, Romain à ses côtés.

• Romain, je peux te parler.

Le garçon se lève et me suit à l’écart.

• Laure est avec moi, va draguer ailleurs.
• Excuse papa, c’est ta chasse gardée, t’as raison, elle est bandante, surtout depuis que tu as viré ta salope de femme, je peux te le dire aujourd’hui, c’est elle qui m’a dépucelé.

Je pourrais le détromper, mais j’ai deux avantages à faire croire que Laure est ma petite amie.
Cela la protège des vautours, mais aussi, je peux bomber le torse en passant pour le tombeur d’une aussi jolie jeune fille…

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