JOUET SEXUEL PENDANT MES VACANCES AU SKI

- Par l'auteur HDS Patou bcbg mature pulpeuse -
Auteur femme.
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Récit libertin : JOUET SEXUEL PENDANT MES VACANCES AU SKI Histoire érotique Publiée sur HDS le 29-06-2018 dans la catégorie Dominants et dominés
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JOUET SEXUEL PENDANT MES VACANCES AU SKI
Pour cette semaine au ski, mon fils m'avait demandé de pouvoir invité plusieurs amis à lui pour nous accompagner. Comme Richard avait aussi invité des partenaires, ainsi qu'un couple d'ami, j'avais donc proposé de pouvoir héberger les jumeaux au chalet, et Richard avait loué un appartement supplémentaire pour notre fils et sa copine. Le chalet appartenait aux parents de Richard, très grand avec 4 chambres, ainsi qu'un Jacusi et un Sauna, nous l'avions à disposition pour la semaine. Je devais faire le trajet avec les jumeaux et Richard nous rejoignais le lendemain avec notre couple d'ami. Alain, quant à lui devait arriver le jour suivant.
Nous roulions donc sur l'A39, en direction de la montagne, Romain au volant avec Antoine à ses cotés et moi derrière. Après une première partie de voyage dans lequel j'avais habilement éviter le sujet de nos dernières vacances à Saint-Tropez, je m'assoupie. A mon réveil je trouvais Antoine, qui s'était glissé sur la banquette arrière, à mes cotés. Ils avaient empruntés la voiture de leur parent, un Renault Espace dernier modèle avec toit panoramique. Antoine était entrain de me caresser l'entre jambe ce qui avait contribué à mon réveil. Je le repoussais... "Antoine, j'avais pourtant était clair, qu'il n'y aurait pas de suite à nos dernières vacances...". Pour toute réponse, il m'attrapa par les cheveux et m'embrassa avec gourmandise. Sa langue était dans ma bouche, cherchant la mienne... J'essayais de le repousser, mais sa main m'avait saisie par les cheveux et me maintenait une pression si forte que je ne pouvais me substituer à ce baiser fougueux. Nos langues se trouvèrent enfin, et je capitulais en acceptant ce baisé tellement animal... De sa main libre il me caressait, ou plutôt me palpait mes gros seins au travers mon pull noir "Merino", col roulé Wolford qui me moulait le haut du corps parfaitement, faisant ressortir ma poitrine tellement voluptueuse... Je savais qu'il allait me baiser dans la voiture, et qu'après se serait le tour de Romain... Mais que pouvais-je faire pour les empêcher... Sa main descendit entre mes jambes afin de me caresser au travers mon leggins noir, ses caresses étaient comme durant l'été, rudes et bestiales, contrairement à Romain qui avait été toujours le plus tendre des deux. Il passa sa main en dessous de mon leggins et de mon string et m'enfila de suite 2 doigts entre me cuisses. Il me masturba alors de manière quasi hystérique, me connaissant tellement bien, il savait que j'allais perdre le contrôle. "Va-y ma belle c'est la séance de préparation pour ta semaine de ski qui va être super chaude. On va te baiser à la moindre occasion, faudra que tu sois prêtes...". Il me retourna à quatre pattes, visage vers l'arrière de la voiture, se positionna derrière moi, me baissa le leggins ainsi que le string à mi-cuisse et me pénétra... Ses mains se saisirent de ma ceinture large qui recouvrait mon pull sur le ventre, et s'en servait comme des rennes d'un cheval. Sa bitte allait et venait en moi, de manière frénétique et violente. Il me tira alors les cheveux vers l'arrière, afin que je regarde vers le haut, pendant que Romain avait actionnait l'ouverture du toit panoramique... Une fois le toit entièrement ouvert, Romain positionna la voiture à coté d'un poids-lourd, afin que nos ébats soient juste en dessous du conducteur. Antoine continuait à me baiser, me forçant à regarder vers la cabine du routier, qui n'en revenait pas, et faisait des gestes obscènes tout en me matant me faire baiser. Antoine changea de position et me prit à califourchon, lui en dessous et moi au dessus. Il releva mon pull et fit apparaitre mes gros seins, toujours en me tirant les cheveux afin de regarder le chauffeur par le toit panoramique, qui avec son téléphone filmait la scène... Romain bloqua la voiture pendant plusieurs minutes roulant à la même allure que le camion.

- Regarde le pendant que je te défonce, et passe toi la langue sur les lèvres pour l'exciter, caresse toi aussi tes grosses mamelles salope... me disait Antoine, tout en me défonçant la chatte. Le chauffeur semblait surexcité et continuait à me filmer entrain de me faire baiser pendant que je continuais à l'exciter tout en le regardant.

Romain accéléra enfin à la demande d'Antoine "Accélère maintenant, il s'est suffisamment rincé l'œil, et je sens que je vais terminer cette grosse pute". La voiture s'éloigna du camion, qui ne manqua pas de klaxonner et de faire des appels de phares, surement pour saluer la prestation, ou peut être comme au spectacle, pour une demande de rappel ... Pendant de temps, Antoine m'avait basculé sur le coté lui toujours derrière, et continuait ses mouvements infatigables. Je ne pouvais plus rien dire, tellement que j'étais secouée, prise défaite, objet sexuel de désir de ces 2 pervers, qui allaient m'utiliser de toutes les façons possibles... Il se répandit sur mes fesses, je sentis les grands jets de sperme recouvrir mon cul, jusqu'à ce qu'il s'écroule sur moi repus de fatigue...
Romain continua de rouler, sans rien dire, moi qui pensait qu'il allait prendre la place de son frère, je mettais trompé, il était peut-être juste pressé d'arriver...

A notre arrivée au chalet, j'appelais mon fils qui était encore à 2 heures de route. On déballa les affaires, puis j'allais chez mon fromager, récupérer une raclette pour le soir que j'avais commandé au téléphone la veille. Romain m'avait accompagné, laissant Antoine à la maison qui devait se reposer de ses exploits du voyage... De retour au chalet, Romain m'aida à mettre la table, et tout préparer pour le soir, nous ne devions être que 5, les jumeaux, mon fils et sa copine, et moi même. Henri m'appela pour me dire qu'ils venaient d'arriver, qu'ils s'installaient d'abord et seraient la d'ici 1 bonne heure. Je décidais d'aller me détendre dans le sauna en attendant leur arrivé. Je pénétrais dans le sauna, se trouvant au sous sol, près du garage, branchait l'appareil de chauffage afin qu'il soit bien chaud, me déshabillait recouvrant mon corps d'une serviette et rentrais dans le sauna bien chaud tout en refermant la porte vitrée. Je m'allongeais sur le lambris et commençais à me détendre. La chaleur m'apaisais, et je sentais vite les bienfaits du Sauna sur mon corps alors que les perles de transpiration apparaissaient. La porte s'ouvrit et Romain entra. Je le regardais et compris clairement et rapidement ses intentions. Il enleva sa serviette, et son sexe bien tendue apparu. Il le dirigea vers ma bouche...Couchée sur le lambris, j'ouvris ma bouche pour avaler son sexe bien dure, qui s'enfonça jusqu'au fond de ma gorge. Ses mains découvrirent mes seins cachés sous la serviette et me palpèrent pendant que je le suçais. Il bascula alors au dessus de moi avec sa tête entre mes jambes, alors que son sexe se replongea dans ma bouche. Sa langue pénétra en moi pendant que ses doigts écartaient l'entrée de mon sexe, afin de laisser plus de place à l'exploration qu'il m'infligeait avec sa langue. Il continuait à me baiser la bouche pendant que sa langue s'occupait du bas de mon corps. Je jouissais comme une folle mais la chaleur rendait notre exercice difficile. Nous transpirions beaucoup. Il compris que on ne pourrait pas tenir longtemps avec cette chaleur, il se releva et m'écarta les cuisses pour laissé passer son énorme sexe gonflé de désir. Il me pénétra d'un coup et me laboura la chatte, tout en s'agrippant à mes hanches bien large. "Hummmm qu'est ce que t'es bonne ma salope, j'en pouvais plus dans la bagnole de te voir te faire baiser comme la dernière des putes. Oui vas y bouge bien, comme ça, t'aime la bitte toi, hummmmmm.... Oui continue pouffiasse je vais jouir !!!!!!!!!!!!!!". Il se vida sur mon ventre à grande giclée, tout en tapotant son gland entre mes cuisses, afin de faire descendre la dernière goutte. Nous sortîmes trempés du sauna, il m'entraina sous la douche en me demandant à lui nettoyer son sexe, je suçais sous la douche son sexe redevenu flasque pour le nettoyer complètement.

- Hummm Patricia, cette semaine s'annonce complètement folle...

J'étais d'accord avec lui, il allait falloir gérer les ardeurs de mon Mari, celle des jumeaux, et surement aussi Alain, avec qui j'avais eu une aventure à Toulouse lors de la visite d'un chantier quelques semaines auparavant, et qui était aussi très gourmand !!!!

Le lendemain, nous skiâmes, tous les 5 toute la matinée, jusqu'au moment du picnic. Nous avions retrouvé des amis à Henri sur les pistes et formions un joyeux groupe profitant de la neige et du soleil de montagne. Après le déjeuner, nous nous séparâmes en 2 groupes, mon fils souhaitant trouver les hauteurs avec une neige meilleur, et moi qui était un peu fatiguée. Et puis il fallait aussi les jeunes ensemble de temps en temps... Je restais donc sur le domaine, empruntant la piste rouge qui redescendait au village pour ensuite remonter par la télécabine. Les jumeaux avaient souhaitaient rester avec moi, prétextant d'être trop fatiguer pour suivre Henri. Après une première descente, nous réprimes la cabine, qui faisait la liaison entre le domaine et le village. A cet heure de l'après midi, il n'y avait absolument personne... Nous étions donc tous les trois dans la cabine quand Romain demanda
- Combien de temps pour arriver en haut ?
- 6 minutes répondis-je
Je n'eu pas le temps de rajouter quoi que ce soit car Antoine qui était à ma droite s'était saisie de moi, attrapant mes bras d'une main, et de son autre main me bâillonnant la bouche... Il me maintenait fermement par derrière...afin de laisser le champ libre à Romain, qui me passa la main entre mes jambes pour me caresser mon entre cuisse... Pourquoi n'étais-je pas surprise par cet assaut. J'essayais de me débattre, par principe, mais aussi trouvant l'endroit assez inapproprié. Les caresses de Romain était virile au travers de mon pantalon de ski, et je commençais à sentir le plaisir monter. Antoine avait ouvert mon blouson et profiter de ma poitrine abondante qui malaxé au travers de mon polaire. Sa langue avait remplacé sa main sur ma bouche, il me roulait une pelle, alors que son frère continuait à me masturber... J'allais jouir quand ils me lâchèrent, et je me rendis compte que nous allions arriver au sommet...

- On redescend, Antoine, je crois que Patricia, aime particulièrement cette piste, qu'en penses-tu ?
- Oui, je dois avouer que moi aussi, j'aime bien cette piste, qu'en penses tu ma belle ? me glissa Antoine à l'oreille- Vous êtes deux obsédés, vous ne pensez qu'à ça !!!! Vous devriez avoir honte, en plus si on se fait prendre, on peut nous poursuivre pour atteintes à la pudeur ... J'étais un peu fâchée, mais j'obtempérais, car leur caresses m'avait excitée.

Le scénario se répéta, lors de notre seconde remontée, mais avec les rôles inversés. Romain me tenait fermement par derrière, tout en me caressant la chatte avec sa main gauche. Il avait baissé le zip de mon pantalon de ski et passé sa main sous ma culotte et s'acharnait à me caresser tout en passant ses doigts le long de ma fente. Antoine n'était pas en reste, il s'était mis à coté de moi et me forcer à branler son sexe libre, et dressé devant moi. Ils allaient vite sachant le temps limité à quelques minutes.
Lors de la troisième remontée, Romain repris sa place derrière moi, je n'en pouvais plus, il avait enfoncé deux doigts au fond de moi et jouait de ma chatte comme un virtuose. Je continuais de branler Antoine.
- Hoooooo putain qu'elle salope, je sens que je vais jouir, enlève lui son casque Romain vite et donne le moi !!!!
- Nonnnnnn Antoine que veux tu faire avec mon casque !!!!!
D'autorité, Romain me re-bâillonna de sa main afin d'arrêter toute protestation, et m'enleva mon casque qu'il passa à Antoine, qui se leva et se branla au dessus de l'intérieur de mon casque.... Je gémissais, sous la main de Romain et me débattait pour récupérer mon casque, j'avais compris ce qu'il voulait faire... Il jouit fort, et se vida dans l'intérieur de mon casque, juste à temps avant d'arriver au sommet. Je regardais mon casque en sortant de la cabine, qui était recouvert de sperme...
- Remets ton casque maintenant Patricia, me dit Romain, je veux que le sperme de mon frère se colle à tes cheveux... et cette nuit arrange toi pour fausser compagnie à ton mari, j'ai pas eu ma part, et j'ai une folle envie de te baiser !!! J'obtempérais et me retrouver avec mon casque plein de sperme collant sur mes cheveux. Nous skiâmes encore une petite demi-heure avant de rejoindre la maison, ou Richard ne devait pas tarder avec Marielle et Laurent. Je pus heureusement me laver les cheveux et nettoyer mon casque avant leur arrivé.

Le soir nous mangèrent tous ensemble. Richard était arrivé en fin d'après midi avec Marielle et Laurent. Marielle était une amie à moi de longue date, belle femme très plantureuse, cheveux long, et très bourgeoise. Son père disposait d'une grosse fortune personnelle ce qui l'a rendait insouciante à tout. Mon mari l'a trouvait très "bandante", je me demande même si il n'avait pas déjà eu une expérience. Pour ma part je connaissais aussi ses penchants bisexuels, m'ayant fait plusieurs fois des avances, dont une fois ou on était allé un peu plus loin... mais çà c'est une autre histoire...
Après le repas décidèrent d'aller en boite, nous restâmes donc entre vieux à discuter un petit moment puis nous sommes allés nous coucher. Une fois au lit, Richard se frotta à moi... malgré l'alcool absorber pendant le repas, il était très excité. Il me pelota au travers ma chemise de nuit les seins mais également le cul...
- Tu sais que tu m'excites ma salope... je t'ai manquer... 2 nuits sans ma bitte dans ton gros cul... comment tu as fait, tu as réussi à tenir... Je suis sur que tu t'es branlée quand j'étais pas la ... Avoue le grosse pute ???
- Richard... arrête Marielle et Laurent vont nous entendre... Tu sais bien qu'on entends tout dans ce chalet- Tu rigoles, il doit être occupé à la bourrer ta copine, en plus chaude comme elle est, elle attends que cela...Bon tu veux pas me donner ton cul, alors tu vas quand même t'occuper de ma bitte. Suces moi salope !!!
Il me saisi par les cheveux, me tenant fermement comme à une queue de cheval et dirigea ma bouche vers son sexe. J'obtempérais, et avaler son membre dans a bouche pour lui tailler la pipe qu'il attendait impatient!!!
-Hummmm, oui vas y cochonne, t'es vraiment une sacré suceuse, vas y pompe moi salope, hummmm continue, qu'est ce qu'elle est bonne ta bouche, oui comme ça avec ta langue, ouiiiiiii, ohhhhh quelle pute tu fais....
Il se laissait faire pendant que ma bouche l'envahissait totalement, ma langue, mes lèvres, mes mains étaient partout autour de son sexe... Je décidais d'alterner son châtiment de m'avoir laissée seule, et prenait sa bitte entre me seins pour le branler avec mes belles mamelles. Je serais son sexe entre mes seins tout en m'arrêtant de temps en temps pour lui sucer ou lécher le gland avec ma langue. Il replongea son sexe dans ma bouche, et me baisa la bouche tout en tapotant sur mes joues avec ses mains... Je sentais qu'il allait jouir, ses mouvements s'accélérant de plus e vite, et ses gémissements se faisant plus fort... Un premier jet me recouvrit le visage ainsi que sur me cheveux... il dirigea les autres sur mes seins, ou il se répandit entièrement. Il me remit son sexe dans la bouche...
- Nettoie moi salope, et avale tout je veux pas voir une goutte qui reste...
Je nettoyer son sexe avec ma bouche et ma langue et me levait pour aller me nettoyer à la salle de bain. Il me maintenu près de lui...
- Reste ma pute, tu vas garder mon sperme sur tout, jusqu'a demain matin, comme ça tout le monde verra les traces de foutre dans les cheveux...
Nous nous endormions ensemble... fatigué... de notre journée mais aussi de notre soirée. Je ressentais pourtant entre mes cuisses un feu non éteint...
Je me réveillais un peu après, une envie pressante. Je descendais aux WC du rez de chaussé, situé à coté de la cuisine, afin de ne pas réveiller Richard ou nos amis, et m'installais dans les toilettes. Me regardant dans le miroir des toilettes je pouvais voir les traces de sperme sur me cheveux que je devais nettoyer avant le petit déjeuner. Je restais le plus silencieuse possible ne sachant pas si les jumeaux étaient rentrés de boite, leur chambre se trouvant à coté de la cuisine. Assise sur la cuvette, je remontais ma chemise de nuit, quand la porte s'ouvrit violement, et Romain apparut... "ehhhhh ben salut ma belle, alors tu m'attendais, j'en suis sur...". Il s'approcha de moi et m'attrapant par les cheveux m'embrassa avant même que je puisse protester ou dire quoi que ce soit. ...Je me retrouvais à 2H du matin à la merci de Romain, dont je pouvais sentir à son haleine une forte dose d'alcool qui allait surement le désinhiber complément. Il m'embrassait fougueusement, jouant avec ma langue. Il me regarda et s'écria : "non mais j'y crois, regarde toi grosse pute, tu as plein de foutre dans les cheveux. Tu t'ais fait bourrer par ton homme, et il t'a giclé dessus, poufiasse ????? Raconte moi je veux tout savoir ....". Me tirant par les cheveux il me força à lui raconter la pipe que j'avais taillée à Richard... ". J'obéis et lui racontais tout, ce qui l'excita encore plus, il me releva des WC me retourna vers la cuvette et me poussa en avant afin que ma tête se retrouve dans la cuvette... "Je vais te bourrer en levrette comme ça grosse pute, avec ta face de salope dans les chiottes !!!!". Il me pénétra d'un coup sec et s'enfonça en moi comme un étalon qui va labourer sa jument. Il s'agrippa à mes hanches et me défonça de manière violente et torride... Il me baisait comme une truie, comme une chienne, comme sa pouliche.... Il était tellement excité que son sexe me donnait l'impression d'avoir doublé de volume. Il m'appliquait de grande claque sur la croupe en m'insultant... me traitant de garage à bitte, usine à foutre, pouliche mameleuse... tout en maintenant les vas et viens dans mon sexe humide et défoncé... Sa main appuyait sur ma tête, afin que je m'enfonce au fond de la cuvette. Cette position renforçait l'accès à mon cul lui donnant la possibilité de me pénétrer encore plus profondément!!!! Il sorti enfin son sexe de ma chatte, pour cette ultime délivrance... J'avais mérité son foutre sur moi... Je n'en pouvais plus, prête à m'évanouir... Il me releva juste un peu le visage afin que du fond de ma cuvette je puisse voir du sperme se rependre sur moi pour la seconde fois cette soirée. A nouveau de grands jets se répandirent sur mes cheveux, contribuant à rendre encore plus collant ce qui pouvait rester de ma permanente.
Je pris le partie de me coucher de suite, et de prendre une douche avant le petit déjeuner, laissant les traces de Romain et de Richard.

Le lendemain, je prie une douche avent de descendre au petit déjeuner. La matinée de ski, suivit... Epuisée, je décidais de rentrer au chalet après le picnic de midi seule afin de faire une sieste et de me reposer. Alain devait arriver dans la soirée, et je voulais être en forme. Je fis une petite sieste, et au réveil décidais d'aller me détendre dans le Jacusi. J'étais entrain de profiter de l'eau bouillonnante depuis une dizaine de minutes, quand on sonna à la porte. Je râlais au fond de moi, sortie du bain, et après avoir revêtit un peignoir j'allais ouvrir. Alain était à la porte avec 2 heures d'avance. Je surmontais mon agacement, et en voyant Alain, je sourie contente de le voir...
- Ohh Alain, mais tu es en avance?
- Et oui je sais, Patricia, mais j'étais tellement impatient de te revoir...
- Tu n'as pas changé, toujours un vilain charmeur...
- Et oui, que veux tu, on ne change pas à mon âge... Bon tu me fais visiter ? Tu es toute seule ?
- Oui je suis seule, je voulais profiter de l'après midi pour me reposer... Ils devraient rentrer d'ici 2 heures...
- Super, on n'a donc plein de temps pour la visite... On commence par quoi les chambres ...
- Toujours le même, non les chambres tu visiteras seul, je vais te montrer le sous sol et le rez de chaussé... Pour le reste pas de dérapage, si tu comprends ce que je veux dire ?
- Allez on y va...
Je l'emmenais au sous sol pour déposer son matériel de ski, et lui montrais le sauna, ainsi que le Jacusi qui était toujours entrain de bouillir...
- Haaaa,.. c'est donc que tu faisais avant mon arrivé... Super bonne idée, profitons en maintenant, tant qu'il est chaud...
Il se déshabilla devant moi, et pénétra dans le bassin... M'entrainant avec lui... Il m'enleva mon peignoir, j'étais en maillot de bain deux pièces... Il me regarda du haut en bas, comme un animal regardant sa proie. Sans aucune décence!!! Il me déshabillait du regard...
- T'es quand même foutrement bien gaulée pour une bourgeoise de cinquante ans... Mamamia !!!! Quel jolie paquet !!!
Nous étions tous les deux dans le jacusi rond, bouillonnant. Assis l'un à coté de l'autre. Alain se penchant vers moi et essaya de m'embrasser... Je tournais la tête refusant le baisé... Je sentis alors sa main entre mes cuisses, qu'il glissa de suite en dessous de mon maillot de bain. Je protestais, mais avant même que je pus dire quoique ce soit, il m'avait prit le visage et me rouler une grosse pelle fourrant sa langue dans ma bouche, de telle façon que je ne pouvais plus émettre aucun son. Moi qui était venue pour me reposer, je me trouvais coincée dans un Jacusi, avec un de mes nombreux prétendants, qui m'avait déjà soumise à plusieurs reprises, et qui allait encore une fois de plus abuser de mon corps, jusqu'a ce que je jouisse entièrement.... Sa main libre s'occuper de mes nichons, qu'il avait libéré de mon maillot de bain et qui pendaient telle une bonne laitière qui attend l'heure de la traie. Il me pelotait les seins, tout en jouant avec ma langue, alors que de son autre main il m'avait pénétré entre les cuisses de son doigt. Il me masturbait. Il s'amusait avec mon corps, sans aucune considération de ma personne. Une fois de plus en l'espace de 3 jours, je me retrouvais le jouet sexuel, d'un pervers surexcité et qui allait me baiser comme une folle. Après avoir joué de ses doigts, de ma langue, et de mes grosses miches, il sorti son sexe, se leva et le dirigea vers ma bouche. Il introduit son gros membre dans ma bouche, moi toujours assise dans le Jacusi et lui debout sur la margelle... Je le suçais, totalement soumise, j'étais son esclave pour les 15 minutes à venir, et je ne pouvais rien faire, si ce n'est ouvrir la bouche pour avaler sa bitte, et écarter mes cuisses pour me faire baiser comme une pute...
Cela ne tarda pas, il m'écarta les cuisses, toujours assise, et me pénétra. La poussée de son sexe et ses hanches plus la force de l'eau en ébullition, fit que me jambes écartelées se relevées autour de ses hanches. Lui debout au milieu du Jacusi, moi assise jambe écartée, avec son gros dard au fond de moi, il me défonçait à grand coup de bassin. Il me baisa comme ça, pendant plusieurs minutes, tout en me caressant mes belles miches de bourgeoise cochonne. Je jouissais, une fois de plus soumise, violait par mon amant qui m'utilisait comme une poupée de chair, un jouet docile, une grosse pute mameleuse en chaleur... Il jouit enfin, sur mon visage, me demandant d'ouvrir la bouche afin d'avaler son sperme qu'il me demanda d'avaler entièrement... Cela ne faisait que 30 minutes que Alain était arrivé, et il m'avait déjà baisé, jusqu'a me faire perdre l'usage et le contrôle de mes sens...

Nos Skieurs rentrèrent peu après. Douche, repos, apéro, diner montagnard bien arrosé, nous nous couchions tous vers minuit. Richard, qui avait particulièrement apprécié ma prestation de la veille, me recolla sa bite dans la bouche, et me força à le sucer jusqu'a ce qu'il me gicle entièrement dans la bouche. Pendant que je le suçais, il me disait des choses cochonnes, honteuses, humiliantes...
- Suce moi bien grosse pute, oui comme ça, vas y, hummmmm t'es une bonne pipeuse toi, t'as toujours était douée pour sucer des grosses bites... Hummmmm, oui vas y cochonne, t'es une vraie butineuse toi.... ohhhhh oui ta langue sur mon gland... Tu dois mouiller comme une chienne, mais je te baiserai pas ma pute, je vais juste te jouir dans la bouche ...
Il parlait fort, me tenant par les cheveux, et faisait bouger son bassin pour coulisser son membre dans ma bouche de bourgeoise ruinée par sa grosse bite... Je continuais à le sucer, alors qu'il continuait à parler... Je regardais vers la porte sentant quelque chose d'anormal. La porte était entre ouverte et s'écartait un peu plus et je pouvais voir Marielle qui me regardait entrain de sucer Richard. Nos regards se croisèrent, elle savait que je l'a voyais me mater... Elle continuait à me regarder en souriant et faisant des gestes obscènes tout en prenant garde de ne pas se faire repérer par Richard qui de toute façon était beaucoup trop absorbé...
- Oui, sale pute continue a me butiner, tu suces trop bien, de toute façon je suis sur que tu t'es branlée cet après midi... Hummm salope, tu t'es mis un doigt hein dis le moi, ou peut être que tu t'avais envie de te faire baiser par Alain. Lui je suis sur qu'il rêve de te baiser, vu comme il te regarde. Peut être faudrait que je lui propose ton gros cul, T'aimerait qu'il t'encule l'ami Alain, hein dis le moiiiiiii,,,,,, hooooooooooo, OUIIIIIIIIIII........Il me gicla dans la bouche avant de terminer sa phrase sous le regard de Marielle qui me fit un geste obscène, simulant avec sa main une bite dans sa bouche entrain de la branler. Elle referma discrètement la porte, nous laissant à notre "toute relative' intimité...

Le lendemain, je skiais toute la journée. Nous étions toute une bande, l'ambiance était joviale, le soleil au rendez-vous. En fonction des pistes, je me retrouvais parfois avec les jumeaux, parfois avec Alain. A chaque fois, j'avais bien évidement droit à de grande déclaration. En fin de matinée, je me retrouvais avec Marielle, seule. J'avais essayé de l'éviter toute la matinée, afin d'échapper à tous commentaires, mais pour cette remontée, je ne pus l'empêcher.
- Dis donc, chère amie, je ne te savais si experte en performance buccale... Quel beau spectacle, que tu as donné hier soir, j'étais tellement excitée, que je suis allée sucer mon Mari juste après. Bon avec tout ce qu'il avait bu pendant le repas, je te cache pas qu'il m'a fallu user de tous mes charmes. Mais bon à la fin j'ai réussi à en avoir plein mes nichons. Un peu comme toi en somme.
- Ecoute, Marielle, j'ai un peu honte, je te promets qu'on sera plus discret la prochaine fois...
- Hooo, mais non on contraire te voir sucer la grosse queue de ton mec, ca me plait beaucoup. Tu sais je suis pas jalouse, j'aime partager...
Sa main s'était posée sur ma cuisse et remonter vers mon entre jambe, pour me malaxer la chatte.
- Marielle, s'il te plait, tu sais que je n'y tiens pas !!!! en la repoussant doucement...
- Que tu y tiennes ou pas, je te promets que tu seras à moi avant la fin des vacances, même si je dois te violer dans les bois... Et au vu de la façon dont tu tailles des pipes, je suis sur que tu me gouigneras comme une reine...
- N'y compte pas, ma chère, je ne serais jamais à toi. Je t'aime trop comme amie précieuse et sincère, pour aller tout gâcher, en jouant avec toi à un remake de gazon maudit...
- On verra, bien ...
Nous rejoignons le groupe, et notre journée continua avec un grand soleil. Entrecoupé parfois par des gestes obscènes ou suggestifs de ma précieuse amie.

De retour au chalet, et après une bonne douche, je me rendis au village avec les jumeaux et Alain, pour faire les courses du soir. Nous coupions à travers les sapins dans le petit chemin qui était un raccourci pour le centre. Mon fils nous avais rejoins, et nous nous arrêtâmes pour boire un vin chaud tous ensembles. Antoine recommanda une tournée, mais je partis afin de préparer le repas du soir. Alain m'accompagna, sous prétexte de m'aider à porter les courses. Nous reprirent le même chemin, et dans le sous bois, Alain me pris par le bras et me fis sortir du sentier de force...
- Viens ici, ma belle, derrière ses sapins, tu vas me sucer. Comme je pense qu'on aura pas d'autre occasion ce soir, on va faire ça maintenant.
- Alain, non voyons, si les jumeaux arrivent ils vont nous voir.
- T'inquiètes ici on n'est bien cachés...
Il me poussa vers un sapin me mis la main sur ma bouche et glissa sa main vers mon entre jambe. Il passa la main en dessous de ma doudoune, desserra ma ceinture, ouvrit mon jean et se glissa en dessous. Sa main virulente me malaxa la chatte au travers de ma culotte, il me caresser de bas en hauts, vite et en silence, tout en maintenant la pression de son autre main sur ma bouche. Il me poussa ensuite à m'agenouiller, et sorti son engin. Il faisait froid, mais le vin chaud, nous avait bien réchauffé, et son sexe était brulant et tellement dressé que je ne perdis mas une minute. Je le pris en bouche ou il grossit, rapidement. Il me tenait par la tête au dessus de mon bonnet qu'il n'avait pas jugé bon de m'enlever. Je le sucer rapidement, il se laissait faire de manière passive, apparemment ravi de la pipe que j'étais entrain de lui tailler.
- Hummmmm, quelle grosse pute, tu es... Oui continue à me pomper comme ça salope. T'es la reine des suceuses. Y a que toi pour me lécher comme ça. Ouiiiiiiii, Vas y cochonne, continue, va falloir que je trouve un moyen de te baiser et de t'enculer avant la fin des vacances, poufiasse!!!!!!
Pris par le temps, je m'appliquais à lui tailler une pipe rapide, afin de le faire jouir rapidement... Il était tellement excité, que il ne tenu pas bien longtemps. Il me joui dans la bouche, me forçant de tout avaler, sous prétexte de ne laisser aucune trace de notre forfaiture !!!! Tout cela n'avait pas duré plus de 5 minutes, et nous réprimes le chemin du chalet...

Le diner, fut comme les précédents, joyeux et bien arrosé. J'avas bu plus que de raison, et en me mettant au lit, j'étais encore passablement excité de la pipe que j'avais taillé à Alain dans les bois. je chuchotais à l'oreille de Richard "j'ai envie que tu me baises fort ce soir ...". Il ne fit pas prié, il m'enleva ma chemise de nuit, m'écarta les jambes et plongea sa tête entre mes cuisses, ou il plongea sa langue au fond de moi. J'étais allongée sur le lit les jambes écartées faisant face à la porte, pendant que Richard tournant le dos à la porte me suçait la chatte.
- Baise moi maintenant, Salaud je veux ta grosse queue en moi, vas-y prends moi quoi ta grosse pute, prends moi comme ta jument.
- Tu veux ma queue, salope, hein, t'en as envie grosse pute.....
Il s'allongea, pendant que je l'enfourchais, m'aidant des mains pour placer sa queue au fond de moi... J'étais au dessus de lui, toujours face à la porte. De ses mains libres il me caresser alternativement ma poitrine qui ballotait son ses yeux, mais aussi mes fesses qu'il fessait aussi des deux mains,... Pour lui, l'excitation n'était pas seulement liée au va-et-vient dans mon vagin, mais lui permettait de contempler mon corps bougeant à la recherche du plaisir. Pendant que je le baisais, je vis la porte s'entrouvrir et le visage de Marielle qui m'observait. Elle nous avait entendue, et une fois de plus venait mater nos ébats. Elle me regardait droit dans les yeux pendant que je chevauchais mon mari, me faisant des gestes obscènes avec un grand sourire. Je faisais varier le rythme de sa pénétration ainsi que sa profondeur, cherchant l'angle idéal pour parvenir à la jouissance. tout en continuant à fixer Marielle dans les yeux.
- Retourne toi salope j'ai envie de t'enculer, maintenant. je vais te défoncer ton gros cul de grosse vache. Allez bouge toi !!!! Ordonna Richard ...
Je me mis à 4 pattes, tournant cette fois le dos à la porte, et laissant mon mari, et vraisemblablement Marielle toujours cachée, une vue imprenable sur mes fesses. Il me balança une grande claque sur mon gros cul, et pointa son sexe tout raide à l'entrée de mon anus. Il enfonça d'abord un doigt pour écarter l'orifice, pour le remplacer très rapidement par son membre bien dur, qu'il enfonça doucement jusqu'au bout. Il était bien en moi, et commençait ses mouvements de vat et vient au fond de mon cul, me tenant par les hanches fermement. Ses coups de hanches alternaient avec sa main qui claquait bruyamment sur mon cul rouge de la fessée qu'il m'appliquait tout en continuant à m'enculer. Il m'attrapa par les cheveux et m'ordonna de le regarder pendant qu'il me sodomisait. Je tournais la tête, mes cheveux en queue de cheval fermement maintenu par sa main comme un cavalier tenant sa jument par sa crinière. je pouvais distinguer derrière Richard, Marielle qui discrètement avait ouvert la porte et nous filmait avec son téléphone. Que faire, que dire, rien, de toute façon, sa bite me rendait complètement folle, et j'avais perdue toute maitrise de moi et de l'environnement. Il sorti enfin son sexe pour se libérer sur moi, ce qui en rajoutait encore plus à ma soumission. Il me giclait dessus, me recouvrant de son foutre pour m'humilier encore plus et assoir sa domination. Il fit coulisser sa bite coincée entre me fesses, pendant quelques instants, jusqu'a de grand jet de sperme se répandirent enfin sur mon dos et sur mes fesses rouges des claques reçues. Après une telle séance nous nous endormirent blottis l'un contre l'autre, repus de fatigue et de plaisir...

Nouvelle journée de ski. Je sentais que mon fan club était surexcité et que la moindre occasion serait bonne pour me peloter, ou me coincer dans un coin. La matinée se passa tranquillement, malgré les allusions et les clins d'œil lubriques des jumeaux notamment pendant que nous étions dans la télécabine. Pendant l'après midi, notre groupe décida de prendre la piste noire. Tous d'excellents skieurs, je décidais de rester avec les jumeaux, dont Romain se plaignait d'avoir mal à la cheville suite à une petite chute arrivée le matin. Nous étions donc sur le sentier forestier, une belle piste verte de 7 km qui traversait le domaine et particulièrement douce. Au milieu de la piste, Romain s'arrêta son prétexte d'une pause technique. Il déchaussa, et s'enfonça dans les bois. Au bout de quelques minutes, il nous appela en criant...
- Antoine, Patricia, venez vite !!!!
- Que se passe t'il ? Répondit Antoine- Je suis coincé dans la neige venez m'aider Antoine riait de l'infortune de son frère... Nous déchaussions, et rentrèrent dans le bois. En effet au bout de 20 mètres, nous aperçurent Romain à terre.
- A quand même !!!! Il se relava en souriant et en me regardant avec son air charmeur et lubrique...
- On va être tranquille tous les 3, d'ici personne ne peut nous voir !!!!
Je compris de suite, leur piège, qui s'était refermé sur moi !!!!
Antoine derrière moi s'était emparé de moi et me pousser vers un sapin. Ils me poussèrent dos au sapin, chacun d'un coté avec leur mains qui étaient partout sur mon corps au dessus de ma combinaison.
- On va pas pouvoir te baiser ici, mais tout tu vas t'occuper de nous...
Ils sortirent leur sexes et me les placèrent un dans chaque main...
- Branle nous salope, et mets y du cœur...
J'obéis docilement une fois de plus soumise et à leur merci. Mes mains branlaient leurs bites bien tendues, alors que de leurs mains libres ils m'avais ouvert mon blouson et ma descendu ma braguette, et quand l'un s'occuper de mes seins, l'autre s'en prenait à ma chatte!!!! Leur état d'excitation, ainsi que leur jeux sur mon corps soumis, fit qu'ils ne purent résister bien longtemps à mes mains expertes. Avant de jouir, ils ouvrirent mon pantalon afin de dévoiler entièrement ma culotte. Antoine m'ordonna d'écarter ma l'élastique de ma culotte par le haut... Ils jouirent ensemble, déchargeant dans ma culotte à grand jet. Le sperme dégoulinait du haut de mon ventre vers ma chatte pour finalement être retenu par ma culotte entièrement souillée.... Sans me laisser l'opportunité de me nettoyer; ils me rhabillèrent!!!
- Tu vas garder notre sperme toute l'après midi grosse pute...
Ils m'embrassèrent goulument comme pour ajouter à ma soumission, et manifester leur pouvoir sur mon corps...
10 minutes plus tard, nous avions rejoins le reste du groupe, et continuions de skier le restant de l'après midi. J'étais trempée entre les cuisses et leur sperme avait du dégouliner sur mes cuisses. J'allais être toute tachée, mais j'essayais de faire bonne figure. Vers 17H, nous rentrâmes aux chalets. Passant par le centre du village, Marielle demandant à Richard de nous déposer afin de faire quelques petites courses pour le soir ! Cela ne m'arrangeait pas moi qui souhaitais changer de culotte, cela allez devoir attendre. e retour aux chalets par le petit sentier, Marielle, bien évidement me parla de la nuit précédente...
- Tu sais que ma vidéo de toi entrain de faire défoncer est vraiment très réussie !!!!
- Ohhhh Marielle, s'il te plait, ne me dit que tu fantasmes sur des vidéos... A ton âge !!!!!
Tout alla très vite, elle m'attrapa par les cheveux, en me roula une pelle !!!! C'était tellement soudain, que je ne pus me soustraire à son baiser. Sa langue m'envahit, et je ne sais pourquoi, je répondis à son baiser... Après tout, je me faisiat défoncer par l'ensemble de mes invités depuis 3 ours alors une de plus une de moins. Et puis elle m'avait terriblement excitée pendant qu'elle nous matait avec Richard, que j'avais envie de m'offrir à elle !!!! Quand elle s'aperçu que j'obtempérais, elle m'attira, dans le sous bois, presque au même endroit qu'Alain, et me baissa mon pantalon de ski, pour placer sa main sous ma culotte ...
- Quoiiiiiii, mais c'est du sperme séché que tu as dans la culotte.... Non mais j'y crois pas, dis moi qui t'as jouis dessus Salope... Noooooonnnnn, ca peut être que les 2 jumeaux, c'est le seul moment ou tu es rester seule. Alors comme ça eux aussi, ils te baisent, mais dis moi donc Alain aussi il t'a baisé???? En fait y a que mon mec qui t'as pas encore montait... Allais avoue raconte moi tout gouinasse !!!!
Elle m'avait pénétrer des ses deux doigts, et me forçait à lui raconter mon après midi, mais aussi la pipe que j'avais taillé à Alain au même endroit la veille....
- Putain de sainte nitouche, t'es la plus grosse cochonne que j'ai jamais rencontré !!!! Tiens prends cela, t'es entrain de jouir pétasse avoue le !!!! Je veux t'entendre gémir de bonheur grosse pute.... Tiens tu mérites une correction grognasse...
Elle me retourna afin que je lui tourne le dos, baissa un peu plus mon pantalon jusqu'a mi-cuisse, me reenfonca ses deux doigts dans la chatte et de son autre main me fessa vigoureusement!!!!
- A partir de maintenant tu m'appartiens sale pute t'as compris... T'es à moi, tu es mon jouet, et tu feras ce que je dirais !!!! T'as compris !!!!!
- Oui Marielle, continue tu me fais jouir !!!!!! Oui continue, hoooo tu es folle, on est folle , Oui encore haaaaaaaaaaa- Ce soir, après avoir fait giclé ton mari sur tes seins je veux que tu ailles dans la chambre d'Alain et tu le suceras aussi, tu le prendras aussi entre tes grosses mamelles de grosses vache pleine de sperme et tu el branleras OK !!!!! T'as bien compris chiennasse !!!!!!
- OUIIIIIIIIII..... J'avais perdu tout sens commun, le respect de moi, j'étais sa chose son jouet à sa merci.... Elle continua pendant quelques minutes jusqu'a ce que je me cambre de jouissance !!!!!!!

De retour au chalet, je pris une douche. Alain reçu un appel d'un collaborateur pendant le repas, l'informant que nous étions en difficulté sur un dossier et que le client demandait un meeting pour le lendemain. Il décida donc de partir le lendemain matin, loupant la dernière journée de ski. Je le sentais un peu tourmenté par cet imprévu, mais en bon chef d'entreprise, il ne pouvait déléguer, et pour la santé économique de notre société il nous fallait absolument gagner ce contrat. Une fois au lit, je me blottis contre lui, sentant qu'il n'avait plus trop la tête à des ébats fougueux, et soucieuse de me plier aux ordres de Marielle, je lui glissais à l'oreille...
- Ne bouge pas mon amour, ce soir c'est à mon tour de bien m'occuper de toi. Ferme les yeux et profite du moment...
Je me penchais doucement vers son caleçon dont j'extirpais son sexe flasque totalement non motivé... Quel différence à la veille au il m'avait littéralement défoncée et enculée de son sexe bien dur. Je commençais par le lécher de haut en bas utilisant ma langue mais aussi mes lèvres et serrant son sexe qui commençait à gonfler. Je le pris en bouche et le suçais doucement pour l'amener à une bonne érection. Une fois son sexe bien tendu, j'accélérais mes mouvement avec bouche, compressant son sexe avec mes lèvres au maximum. J'alternais mes coups de langues et de grande lèche du haut vers le bas. Une fois bien près, j'extirpais mes gros seins de ma chemise de nuit et le pris entre mes seins. Je le sentais au 7eme ciel. Il adorait que je le branle avec mes grosses miches. Mon cul, ma bouche et mes seins étaient ses jouets ou accessoires préférés. Je le branlait rapidement sentant qu'il se libérer complètement, il allait venir, jouir enfin. Ce ne tarda pas; ses grands jets se répandirent enfin sur mes gros seins dégoulinant lentement sur ma chair mameleuse et tant désirée... Il m'embrassa se retourna, et ne tarda pas à s'endormir... J'attendais un peu, et une fois sure qu'il dormait paisiblement, je quittais la chambre pour rejoindre Alain...
Je sortais de la chambre en chemise de nuit, avec du sperme épais sur les nichons qui dégoulinait sur mes gros seins doucement. Je refermais la porte de ma chambre, et marchait dans le noir quand je fus pousser contre la cloison... C'était Marielle qui me chuchota à l'oreille...
- Montre moi une preuve salope!!!
Elle baissa ma chemise de nuit découvrant mes gros seins et mis la main dessus sentant le sperme. Elle en avait plein les mains...
- Bien, t'es une bonne soumise salope, tu as obéis, maintenant tu vas me nettoyer les mains en me lâchant le sperme de ton mec....
Elle me tendit la main... Pleine de sperme... Je léchais sa main afin de nettoyer... Elle attendit que tout le sperme disparaisse, et me passa sa main sous la chemise de nuit entre les cuisses. Elle me saisit la chatte à pleine main, et me branla la chatte, frottant vigoureusement en me disant des choses cochonnes à l'oreille...
- Ecarte tes cuisses poufiasse, t'aime que je te branle sale gouigne !!!!!
Je me laissais faire, esclave de mon amie, qui était devenue mon maitre et pour qui je n'étais qu'un morceau de chair. Elle m'introduit plusieurs doigts, me branla pendant quelques minutes et une fois qu'elle sentie que j'allais partir, retira sa main...
- Va le sucer maintenant, et reviens vite avec son sperme ....
J'obeis et rentrais discretement dans la chambre d'Alain.
Il ne dormait pas, et alluma la lumière. Je mis mon doigt sur les levres lui demanda de ne rien dire, m'approchait de lui et me couchait au dessus de lui. Sans rien dire je baissait son caleçon, sortis son sexe qui était déjà bien dure, et le pris en bouche ilmédiatement... Il bandait tellement fort, qu'il m'étouffait. Surpris de ma visite, il était surexcité !!!! Il me pris par les cheveux et m'attrapant par une queue de cheval, et se masturba dans ma bouche entre me lèvres. Il sortit sa bitte, me baissa la tête, et coinça sa bitte dans mes cheveux. Serrant sa bitte avec mes cheveux il se branla avec...
- Ouiiiiiii, t'es tellement bonne salope, j'ai jamais rencontré de plus grosse pute que toi.... OUIIIIIIIII !!!!!!
- Je repris sa bitte en bouche mais pas trop longtemps, car je sentais qu'il allait jouir très vite...
Je sortis mes seins tout en le suçant.... et lui dit ....
- Gicle sur mes grosses miches, s'il te plait... Recouvre moi inonde moi vite s'il te plait, je dois retourner voir mon mari....
Tellement excité par la situation, je le sentis se cambrer, je sortis son sexe de ma bouche, et le masturber vite au dessus de mon opulente poitrine, qu'il recouvrit de son liquide abondant et blanchâtre .... Je nettoyais son membre comme pour le remerciais, et sortis rapidement aussi vite que j'étais rentrée...
Marielle, était dans le couloir à m'attendre, elle m'attrapa par les cheveux et m'attira dans les WCs. Elle s'assit sur la cuvette, et me força à me mettre à genoux devant elle. Elle écarta ses cuisses, elle n'avait pas de culotte, et me poussa le visage entre ses cuisses...
- Lèches moi grosse pute, pendant que je vérifie si tu as suivi mes consignes...
Une fois de plus elle libéra mes gros seins, et vu les traces d'Alain... Elle me nettoya le sperme avec ses doigts et s'essuya les mains dans mes cheveux, laissant des traces blanchâtres sur ma crinières teintée rousse. Je la léchais, m'appliquant de parcourir ma langue autour de ses grandes lèvres mais aussi dedans... Elle me laissa jouer de son vagin pendant quelques minutes, et me releva de façon énergique...
6 Va te coucher maintenant, demain c'est notre dernière journée, il va falloir que tu sois en forme, car en l'absence de ton mari, tu vas être notre jouet à tous... Tu vas prendre cher salope... très très cher... Alors prends des forces !!!!
Elle me releva, me roula une grosse pelle m'envahissant la bouche de sa langue et me renvoya dans ma chambre me coucher .....
Le lendemain, Richard nous quitta après le petit déjeuner, repartant pour son rendez-vous et donc ratant notre dernière journée de ski. Nous skiâmes à nouveau tous ensemble toute la journée, et avions prévus une dernière soirée au restaurant. Pendant la journée, je surpris Marielle entrain de discuter avec Alain ou avec son mari, et à chaque fois ils me regardaient avec des yeux lubriques comme des animaux dont j'étais devenus la proie. Le soir au restaurant, j'étais assise entre Alain et Laurent avec Marielle en face de moi. Les jumeaux mon fils et sa copine étaient à l'autre extrémité de la table. Nous avions commandé une raclette, et partagions le fromage entre nous. Après plusieurs apéritifs et le vin, la fatigue de cette semaine éreintante, j'étais un peu pompette et riais aux blagues de plus en plus salaces d'Alain. Je ne sentie pas tout de suite la main de Laurent qui s'était glissé en dessous de la table et faufilait entre mes cuisses. Il me caressait l'entre jambe tout en me laissant me servir en fromage. Je me laissais faire... Allez savoir pourquoi, de toute façon, Marielle d'une façon ou d'une autre allait me donner en pâture, a qui voudrait bien me prendre. A quoi bon me défendre, puisque de toute façon j'allais passer à la casserole. La seule question que j'avais, était de savoir qui, quand et comment. Après avoir caressé mon entre jambe, il ouvrit mon jean pour passer sa main en dessous et la glisser dans ma culotte... Une seconde main se joignit à lui, c'était Alain. Il se glissa en dessous de ma culotte également croisant la main de Laurent et se partageant mon entre jambe. Je me concentrais afin de rien laissait paraitre. Mon fils était encore avec nous et je ne voulais pas qu'il se doute de quoi que soit. Je me penchais en avant coude posé sur la table afin de dissimuler le viol qui se déroulait sous la table. Ils jouèrent de mon sexe pendant une bonne partie du repas, me pénétrant à tour de rôle de leurs doigts experts, alternant l'un et l'autre tout en restant le plus discret possible. A la fin du repas, nous sortirent du restaurant et rentrèrent à l'appartement. Mon fils rentra à son hôtel et nous nous dirigèrent vers le chalet. Alain et Laurent m'encadraient, me tenant par le bras, pendant que Marielle restait derrière avec les jumeaux. Laurent commença à m'expliquer la façon dont ils allaient tous me partouzer, et que en ce moment Marielle testait les jumeaux afin de savoir si ils étaient partants. Je connaissais d'avance la réponse. Les paroles de Laurent étaient tellement rudes que même Alain n'osait pas renchérir...
- On va de défoncer grosse vache, tous les 5 sur toi, tu vas te faire partouzer la bourgeoise comme jamais. Pour finir on ira tous t'enculer... Ca fait tellement longtemps que je rêve de te baiser salope, Te rabaisser ton caquet de bourgeoise. Tu frimes avec ton fric, mais ce soir tu vas être juste qu'un trou qui va se faire bourrer par toutes les bittes du chalets.
Il continua jusqu'à notre arrivée au chalet... La porte se referma, et j'entendis Marielle...
- Chopper moi cette salope les jumeaux et emmenait la dans le salon, puis foutait la à poil...
Ils obéirent... L'un me saisi par les bras, l'autre me souleva par les jambes, pour me portait vers le salon. Mes habits me furent arrachés, je me trouvais nue, debout dans le salon. Marielle apporta une bouteille de genépi, qu'elle déboucha et me força à en boire plusieurs gorgées. Tout le monde bu ensuite à la bouteille pour la vider entièrement. J'en bue plusieurs fois, sentant pendant que je buvais les mains sur ma croupe ou d'autres qui me soupesait mes gros seins.
- Elle est à nous maintenant, cria Marielle.
Elle m'attrapa par les cheveux, me mis à genoux et me demanda d'ouvrir la bouche. Autour de moi, j'avais les 4 sexes dressés de tous les hommes du chalet surexcité et qui allaient me baiser l'un après l'autre. Je les suçais, l'un après l'autre. Les léchant les lapant les avalants, parfois je me retrouvais même avec 2 bittes essayant de me forcer la bouche. Laurent le plus pervers de tous me forçait la bouche systématiquement déjà occupée par un autre sexe. Marielle riait me tirant par les cheveux en maintenant la pression. Antoine s'approcha d'elle, et lui caressa les seins qu'elle avait encore plus gros que les miens. Elle voulu le repousser, mais Antoine la saisie à son tour par les cheveux et la força à s'agenouiller, à coté de moi...
- Tu voulais du sexe, la bourge, alors va falloir que tu participes... embrassais vous !!!!
Il poussa Marielle vers moi afin qu'on se roule une grosse pelle, nous obligeant à sortir nos langues...Elle était passée de maitresse à soumise en quelques minutes... pendant que son mari me pelotait ou me collait sa bitte dans la bouche. Au moins je ne serais pas la seule à me faire défoncer, car connaissant Antoine et la façon dont il l'a regardait je voyais qu'il avait une grosse envie de la baiser. Ils arrachèrent les vêtements de Marielle, et nous étions donc toutes les deux nues au milieu de la pièce, soumise à ses 4 hommes.
Après les avoir sucer pendant plus de 10 minutes, ils nous trainèrent par les cheveux jusqu'a à ma chambre. Nous forçant à monter les escaliers chacune avec un de leur doigt dans le vagin et un autre dans le cul. Une fois dans la chambre, ils nous basculèrent sur le lit, - Lèche ma femme, Patricia, je veux te voir la gouiner, jusqu'a ce qu'elle hurle de bonheur. Marielle s'allongeait sur le dos écarta les jambes, pendant que Laurent me tira par les cheveux jusqu'a son sexe, m'ordonnant de la sucer. J'obéis, et à 4 pattes au dessus de mon amie j'entrais ma langue entre ces jambes. Je m'appliquait à la sucer, sentant un des 4 hommes derrière moi à l'entrée de mon vagin. Il me pénétra vigoureusement, et me baisa, je ne savais pas qui s'était. En tout cas pas Antoine qui venait de mettre son sexe dans la bouche de Marielle, la forçant a le sucer pendant que je faisais de même avec elle. Laurent se plaça devant moi me relevant de temps en temps la tête pour que je le suce également. Romain rejoignis son frère pour se faire sucer par Marielle, par déduction, j'avais donc Alain en moi, entrain de me baiser.
- Encule la maintenant la grosse poufiasse, dit LaurentAlain ne fit pas prié, et son sexe se dirigea vers mon petit trou, pour me sodomiser. Il adorait mon cul, donc je savais que j'allais déguster...
- Hooooo ce cul, cet anus, il est tout étroit, criait Alain.... Hummmmm j'adore la prendre par le cul, ce qu'elle est bonne. Laurent tu veux la gouter je suis sur que tu rêves de la sodomiser cette grosse pute...
- T'inquiète profite encore un peu de son cul, de toute façon j'aurais encore tout le voyage du retour pour défoncer le cul de cette grosse pute- Oui, c'est vrai qu'on a encore 6 heures de bagnole avec ces 2 putes pour les prendre de tous les cotés... Dis Antoine... Vous allez déguster les salopes....
- Oui, on va vous en mettre plein le cul les chiennasses répondit Romain, qui venait de mettre sa bitte dans la bouche de Marielle...
Nous nous somme fait baiser à tour de rôle, toutes les positions y passèrent, Double pénétration, sur chacune de nous deux, claques sur les culs, sur les seins, pipes forçaient, tout y passa. Antoine et Romain me pénètrent même ensemble dans mon vagin pendant que Laurent m'enculait, et que Alain sodomisait Marielle. Ils nous forçait de temps en temps à nous lécher, surement pour reprendre leur forces. Enfin la délivrance, ou a genoux toutes les deux, nos langues enchevêtrées l'une à l'autre, ils nous éjaculèrent dessus. Du sperme, partout dégoulinait sur nous, nous cheveux nos bouches, nos gros seins pendouillant, ils se vidèrent tous les 4, sur nous en riant...
J'étais vidée, épuisée, anéantie, rouverte de sperme. Marielle n'était pas mieux...
- Allez vous coucher les 2 salopes et prenait des forces demain départ vers 12H. Chacun regagna sa chambre sans rien dire. Juste Alain, m'embrassa tendrement sur le front en signe d'affection avant de quitter ma chambre.
Le petit déjeuner, le lendemain, fut très silencieux, personne ne fit référence à notre soirée orgie de la veille, jusqu'à ce que Antoine lance : - Dites donc les 2 putes va falloir dire au revoir à notre ami Alain, qui ne remonte pas avec nous.... Vous allez le rejoindre dans sa chambre pendant qu'il fait sa valise et le sucer toutes les 2, jusqu'a ce qu'il vous recouvre de sperme. Et interdiction de vous nettoyer les salopes ?
Soumise je me levais pour aller le rejoindre, alors que Marielle essayait de protester afin de reprendre un peu d'ascendant sur la situation, mais Laurent son mari l'arrêta tout de suite...
- Suis moi cette pute immédiatement et tais toi, si tu veux pas que je donne en pâture au premier routier qui passe...
Nous montions et rentrèrent dans la chambre d'Alain qui bouclait sa valise..
- Haaaa, voila les plus belles, vous venez me dire au revoir, c'est gentil ça !!!!
Alain s'assit sur le lit... nous nous accroupirent devant lui ouvrant sa braguette pour sortir son sexe flasque qui était déjà entrain de se durcir. Marielle le pris dans sa main afin de le branler se sa main gauche alors de sa main droite, elle m'avait saisie par les cheveux et me dirigeait la tête vers la grosse queue d'Alain. Elle me l'a mit dans la bouche et me pris par les cheveux afin d'orienter mes mouvements de tête et d'accentuer la pipe que je taillais à Alain. Il était aux anges, couché sur le lit, entrain de se faire sucer. Marielle releva mon pull écarta mon soutien gorge et plaça la bitte d' Alain entre mes grosses miches. Elle serrait mes seins de ses deux mains et les faisaient monter et descendre afin de branler la queue d'Alain. Elle repris ensuite sa bitte en main qu'elle repositionna dans ma bouche...
- Suce la encore poufiasse, c'est toi l'esclave sexuelle ici c'est pas moi... Fais le jouir .... T'aime ça Alain lui mettre dans sa bouche, dis que tu aimes sa bouche de grosse pute à cette chiennasse de bourgeoise.....
Elle m'avait baissé le pantalon et mon culotte et pendant que je suçais Alain, elle m'enfilait ces doigts entre mes cuisses et me doigter vigoureusement... tout en me tenant énergiquement par les cheveux afin que je ne puisse me substituer à la bitte d'Alain- Ouiiiiiiii, elle suce tellement bien, continue à lui tenir les cheveux ca m'excite que tu l'as soumettes..... Ouiiiiiii.... Vas yyyyyyyy salope tu vas me faire jouiiiiiirrrrrrrrr......
- Joui dans sa culotte, je veux qu'on lui remplisse sa culotte de sperme, comme ça son mec ce soir verra comme on c'est bien occupés de sa grosse pute.... Vas y jouie .....
Il se releva passa derrière moi et pendant que Marielle continuait à me doigter Alain se vida les couilles dans ma culotte... Il gicla de grande trace....... en poussant de grand gémissement .......

En redescendant, Marielle me repris à nouveau par les cheveux.....
- Si tu leur dit que je l'ai pas sucer, je te ferais défoncer par toute une bande de clodo en rentrant à la maison, t'as compris ma salope !!!!!!!!!!!
- Ouiiiii Marielle, promis, je ne dirais rien.....
- Et t'as intérêt à garder ta culotte pleine de sperme et la faire remplir par les 4 autres... Si jamais tu te changes tu vas déguster poufiasse !!!!!!!!

Nous, chargeâmes le Renault espace des jumeaux qui pour le coup était beaucoup plus chargé qu'a l'allé. Alain partit de son coté, et nous partîmes 1 heure après lui. Juste avant le départ j'étais aux toilettes, quand la porte s'ouvrit malgré le loquet, et Laurent entra. J'étais entrain de faire pipi. Il referma la porte derrière lui, je commençais à protester, quand il arracha des feuilles de papier hygénique qu'il me bourra dans la bouche afin de ma faire taire. Il s'assis sur la cuvette me faisant face en ayant remonté mes cuisses au dessus de lui.
- Hummmm t'es toute humide je vais t'essuyer salope.... Hummmm sale petite garce, tu adores qu'on s'occupe de ta chatte....
Il prit du PQ, il passa sa main entre mes cuisses et m'essuya mon entre cuisse, encore toute humide de l'urine qui dégoulinait.
- Voila t'es toute propre maintenant, la vilaine fille qui ne veut pas se laisser faire, tu vas recevoir ta punition, heinnnnn ma salope... En plus de pisser devant tout le monde tu suces toutes les bites qui passent. Regarde toi de quoi tu à l'air avec du PQ de la bouche, on dirait un vulgaire jouet, juste une poupée de sexe bonne à se faire démonter le cul.... Hein ma salope, tu aimes ca être à notre merci ..... hein avoue le la pute ???? montre moi tes gros seins ....
Il releva mon pull, découvrant mes seins protégés par mon soutien gorge, et me les malaxa au travers la soie de mon SG... Il m'enleva le PQ de la bouche....
- Tiens avale celui la plutôt tu devrais reconnaitre et aimer ton odeur d'urine, poufiasse !!!!
Je secouais la tête, refusant d'avaler les feuilles de PQ trempées de ma pisse, mais il m'attrapa par les cheveux et me força à ouvrir grand la bouche.....
- AVALES SALOPE !!!!!!!!!!!!
J'obéis et pris dans la bouche toutes les feuilles, pendant que de sa main libre il me caressait l'entre jambe.
- T'aimes ça poufiasse, d'être humiliée comme une soumise... On va bien te baiser dans la voiture tu vas voir, ca va être ta fête !!!!!
- Laurent, Patricia ... On vous attends, on dois partir maintenant... C'était Romain qui sans le savoir venait à mon secours.... Mais je savais que mon répit serait de courte durée...

Une fois dans la voiture, je me retrouvais derrière avec Marielle sur ma droite et Laurent sur ma gauche. Nous roulions depuis 30 minutes et allions rejoindre l'autoroute quand Laurent ouvrit le bal.
- Bon les jumeaux, je commence par vérifier si elles ont bien suivis nos instructions et après on fait chacun son tour ??? Alors les pétasses montraient nous les belles traces de notre ami Alain....
- Elle a des traces, mais elle était de mèche avec Alain, cette pute, elle la pas sucé. Ils m'ont obligés tous les 2 à prendre Alain dans ma bouche... Clama Marielle ...
- Marielle, mais comment tu peux oser, j'étais tellement surprise, que je ne savais quoi dire d'autre... Mais elle ment c'est pas vrai c'est l'inverse c'est moi qui ait du sucer Alain, elle n'a fait que regarder, essayant de me défendre.
- Sale Pute, tu as essayé de nous l'a faire à l'envers.... Dis Laurent en m'attrapant les cheveux... Avec tes airs de sainte nitouche en fait t'es la plus grande des chiennes....
- Vas y mon chérie, occupe toi d'elle, fais lui payer ce qu'elle m'a fait ce matin.... Tu vas déguster catin, ton petit cul, va en prendre des belles grosses et bien au fond. Prenez la tous un par un comme une chienne et videz vous les couilles dans sa culotte, comme ça son mec ce soir verra comme on c'est bien occupée de sa grosse pute pendant son absence .....
Tout en parlant, ils s'étaient jeté sur moi comme des bêtes en rut, déchainés, tous mes habits avaient été baissé ou relevé, je me retrouvais dans cette voiture en culotte et soutien gorge, avec les mains de Marielle et de son mari sur moi qui de recouvraient le corps. J'en avais partout, Laurent s'étaient rués sur ma bouche m'embrassant goulument enfonçant sa langue dans ma bouche, m'envahissant ainsi le palais. J'étais à leur merci, une fois de plus ils allaient m'utiliser de toutes les façons possibles.
- Romain, arrête toi que Antoine bascule derrière, et Marielle tu regarderas de devant...
- Non je veux rester derrière avec toi et profitais de cette pute...
- Obéis poufiasse sinon tu vas y passer aussi!!!!
Ils permutèrent et je me retrouvais très vite prise en sandwich entre Antoine dans mon sexe et Laurent dans mon cul, qui me sodomisa comme un taureau en rut. Ils me baisèrent comme des bêtes pendant 10 minutes me claquant les fesses m'insultant comme une trainée, me tirant les cheveux, j'étais leur jouet. Ils jouirent enfin dans ma culotte et laissèrent la place à Marielle, qui pu aussi profiter de mon corps. Romain me pris en levrette, alors que Marielle avait coincée ma tête entre ses cuisses me forçant à la lécher pendant que Romain me baisait...Après que Romain eu jouit sur mon cul s'essuyant dans ma culotte ainsi que enlevant les traces de sperme sur mon gros cul toujours avec mon tissu entièrement souillé , Marielle se positionna au dessous de moi et continua de jouer de mon corps en position du 69. Chacune nos langues dans le vagin de l'autre. Elle était tellement excitée qu'elle jouie rapidement, mettant un terme à cette orgie qui clôturait notre semaine de ski.

Les vacances s'achevèrent sur ce voyage en voiture mouvementé... J'avais dû me faire baiser, enculer, sucer, caresser environs 29 fois. Quel dommage j'aurais presque pu faire un compte rond. Quoique, j'eu le plaisir de retrouver Richard le soir à la maison, pour qui la réunion c'était très bien passait. Cela le mis dans une forme exemplaire, et il put s'occuper une dernière fois pour ces vacances de ma croupe qui avait pris tellement cher pendant cette semaine...Il m'e pris donc une derrière fois dans notre chambre. J'avais pour l'occasion remis ma guêpière de mariage dans laquelle je rentrais encore, mais qui avec les années était trop courte et laissait déborder mes formes plantureuses. Mes gros seins ressortaient de tous les cotés, et mon gros cul également. Je remis ma culotte entièrement souillée, obéissante aux instructions de Marielle espérant que Richard ne se rende compte de rien... Quand il me vit dans cette tenue, rien que pour lui, il banda de suite très fort ... Il commença par me caresser longuement les seins, jouant avec, les resserrant entre eux, les secouant, tout en les gardant fermement maintenus dans ma guêpière trop courte. Il écarta enfin ma culotte afin de me caresser la chatte. Le sperme avait séché mais on pouvait voir clairement les traces de sperme sur la soie noire !!!! Il m'enfonça un doigt, qu'il remua rapidement, le faisant entrer et sortir. Il me doigta de cette façon pendant plusieurs minutes, me laissant à nouveau partir vers une extase de jouissance ou je me perdais plusieurs fois par jour depuis une semaine. Il se pencha vers ma chatte pour me lécher quand il aperçu les traces de sperme...
- Mais dis donc sale pute, c'est des traces de spermes, qu'est ce que c'est que ce bordel, tu t'ais fait baiser pendant mon absence grosse salope !!!!!
- Non mon chérie, c'est ton sperme depuis le début de la semaine, à chaque fois que tu m'as giclé dessus je me suis essuyé avec, en gardant le tout pour te l'offrir ce soir.... Ca te plait je le sais !!!!! avoue....
- Tu es vraiment la reine des cochonnes.... mais quelle salope tu es......
Il m'arracha la culotte et me la plaça dans la bouche....
- Avale tout ma salope, je veux que tu gardes ta culotte dans la bouche pendant que je t'encule !!!!!!
Mes gros seins débordaient de tous les cotés, ce qui continuait à l'exciter. Il me saccagea de tous les cotés, commençant par me pénétrer les cuisses relever sur lui, pour ensuite me retourner et me prendre en levrette, alternant ses coups de hanches avec des grandes claques sur mon gros fessier affamé de bitte bien dure, et pour enfin finir dans mon cul, tout en ayant pris soin de me garder bâillonnée avec ma culotte du voyage et qui était pleine du sperme de tous les coups que j'avais pris pendant les derniers jours ainsi que pendant le trajet.
Pour jouir il dirigea son sexe vers ma bouche qu'il força toujours occupé par ma culotte et gicla sur le tissu et dans ma bouche étouffée par le tissu son sexe et son sperme abondant !!!!!!
Depuis, je garde la culotte en souvenir depuis, et de temps en temps il va la prendre pour me la mettre sur le visage comme un masque, et me baiser avec...

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Texte coquin : JOUET SEXUEL PENDANT MES VACANCES AU SKI
Histoire sexe : Une rose rouge
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