LA PUCELLE - LE CLUB

- Par l'auteur HDS Patou bcbg mature pulpeuse -
Auteur femme.
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Récit libertin : LA PUCELLE - LE CLUB Histoire érotique Publiée sur HDS le 05-07-2018 dans la catégorie Plus on est
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LA PUCELLE - LE CLUB
Quelques semaines après notre voyage aux Seychelles, Richard avait organisé un weekend sur paris. Au programme, visite de musée, shopping, spectacle, grand restaurant et hôtel de luxe. Il connaissait mon penchant pour cette vie confortable et luxueuse et savait en profiter.
Nous avions diner le vendredi soir au Jules Verne, sur la tour Eiffel, un moment inoubliable de gastronomie dans un lieu symbolique et exceptionnel. Je mettais mis sur mon 31 avec une robe Noir magnifique m'arrivant à mi cuisse très cintrée avec un décolleté croisé et une ceinture pour mettre en valeur mes hanches. Tout cela avec de magnifique dessous Lise Charmel "Dressing Floral" noir. Pendant le diner, Ricard, me présenta son programme. Il avait tout préparé et je pouvais m'attendre à une seconde partie de soirée, torride, sensuel et animée.
- Je vais t'emmener dans un endroit insolite ma chérie, quelque chose de nouveau pour nous 2. On va pouvoir laisser libre cours à nos sens. Je sais que tu aimes te donner entièrement, nous allons vivre cette nouvelle aventure ensemble qui sera un nouveau départ dans notre vie amoureuse.
Nous avions déjà beaucoup libertiné, et il me savait affamé de sexe et d'amour. Réticente au démarrage, aimant me soumettre, pour me donner ensuite entièrement voire même plus Pour ce faire il avait choisi une boite échangiste de Nanterre, le MASK qui n'acceptait que les couples chics sur invitation. Le code était assez simple, il fallait être chic et bien habillé, un masque était proposé pour garder l'anonymat, et un petit bracelet de couleur en fonction de ses penchants.

A la sortie du restaurant une voiture nous attendait. Nous étions installés dans le VTC, traversant la capitale, c’était féérique. J’adore cette sensation de luxe et de confort. Richard en profita pour m'embrasser goulument. Il commença à me caresser au travers mon manteau soupesant particulièrement mes formes généreuses qui l’excitait toujours autant comme au premier jour. Je me laissais aller à ses caresses et baisers, ne prêtant pas attention au chauffeur qui regardait dans son retro, cette belle bourgeoise provinciale se faire peloter sur sa banquette arrière. Richard sorti alors un billet de 50e qu'il tendit au chauffeur lui demandant de ne pas prêter attention à nous et de regarder devant... Le chauffeur, qui s'appelait Rachid, acquiesça en précisant qu'il allait également nous faire profiter des magnifiques illuminations parisiennes. Je ne devais pas profiter bien longtemps de ce circuit touristique, car Richard sorti son membre, et me prenant par les cheveux il me dirigea vers son sexe fièrement dressé, afin de me faire prendre en bouche son membre qui avait commencé à durcir sous mes caresses appuyées. J'obtempérais et le pris dans ma bouche afin de le sucer ...
Ma langue s'enroulait autour de son sexe, mes lèvres le pompaient délicatement, je l'entendais gémir sous mes coups de langue. Je fis coulisser ma langue tout le long de son membre, plusieurs fois de bas en haut et en redescendant. Le mordillant à chaque fois sur son gland gonflé de désir… Je dévorais son membre, j’étais affamée, désireuse, gourmande… C’était mon sexe, mon dessert ma récompense, il était à moi dans ma bouche offerte. Il me laissa jouer de lui, le sucer, le pomper, l’avaler pendant 5 minutes et me releva...
- Arrête ma chérie, tu ne vas pas me faire jouir trop vite, tu es une vraie butineuse, trop douée pour que je puisse résister longtemps…et la nuit s'annonce longue au club, donc je dois rester en forme si je veux en profiter... Par contre je ne vais pas te laisser sur ta faim... Rachid ça vous direz de faire une pause, en qu'on échange nos places ?
- Richard, non s'il te plait !!!!! Il me mit son doigt sur la bouche m’indiquant de faire silence, comme à une enfant…- Chuuuttttt… Tais-toi ma Belle ce soir tu es mon jouet, ma chose, ma poupée, et mon plaisir sera ton plaisir… je vais t’offrir à qui je veux...
Le chauffeur ne se fie pas prier. Il arrêta sa voiture dans une allée du bois de Boulogne, et vint me rejoindre sur la banquette arrière. Richard s'était installé au volant nous regardant ... Rachid sans aucun préliminaire s'était jeté sur moi m'enfourna sa langue dans la bouche et me pétrissant mes gros seins au travers Robe. Quel contraste avec Richard, qui avait été tellement sensuel et tendre. Le chauffeur se comportait comme un animal, un fauve affamé… Il avait libéré son sexe qu'il me plaça dans la main me forçant à le branler pendant qu'il s'occupait de ma bouche et de ma poitrine. Il était surexcité et ses mains étaient partout à la fois avec pour couronner le tout une haleine forte. Rapidement il me pencha vers lui afin que je le suce.
- Pipe moi salope je vais jouir dans ta bouche de bourgeoise.
J'étais dans un taxi en plein milieu du bois de Boulogne entrain de tailler une pipe à un inconnu à l'haleine pestilentiel et l'hygiène douteuse, et tout cela sous les yeux de mon mari qui nous regardait faire. Richard avait démarré la voiture, et roulait vers Nanterre pendant que je suçais Rachid. Quel décalage entre notre diner dans un lieu tellement chic, et cette pipe improvisé dans ce taxi en traversant le bois. Rachid faisait part de ses commentaires abjects à Richard qui n'en perdait pas une goutte en regardant dans son rétroviseur.
- Quelle bonne pipeuse ta cochonne, une vraie salope, hummmmm une vraie butineuse… Vas-y poufiasse, pompe moi….
Je suçais et branlait comme une bonne soumise, une bonne grosse pute bourgeoise qui ne pense qu'à se faire prendre. Il jouit un peu avant d'arriver au club me déchargeant tout son sperme dans la bouche et sur le visage me laissant de grandes marques de sperme dans les cheveux... De grandes giclées éructant de son dard dressé vers moi. Il ne s'arrêtait plus de gicler... me forçant de le reprendre en bouche afin de le nettoyer. Il me tenait par les cheveux me forçant à tout avaler, tout en continuant avec ses commentaires abjectes… quand nous arrivâmes au Club…
Je n'eu malheureusement pas eu le temps de me nettoyer, quand nous pénétrions dans le club. Apparemment Richard, connaissait les lieux à la vue de la bienveillance du personnel, à notre arrivée.
- Bonjour Monsieur Dupond, alors vous nous présenter enfin votre magnifique femme, Patricia je suppose ... me dit le propriétaire des lieux en tendant un masque de libertine ... Voilà pour vous afin de garder votre anonymat, je suis sûr que vous allez passer une soirée mémorable. Par contre laissez-moi vous nettoyer, vous avez des traces dans vos cheveux...
Il me tendit un mouchoir avec un grand sourire et m'aida à nettoyer les traces laissaient par Rachid. Au vu de son sourire je ne faisais pas de doute sur le fait qu'il savait de quoi il s'agissait.
- Apparemment, la soirée à plutôt bien démarré au vue de la quantité récupéré sur le mouchoir. Je vais la garder, il se peut qu'on vous en ayez encore besoin... dit-il avec un grand sourire.
Il me tendit ensuite un bracelet de soie rouge, réservée aux nouvelles clientes, qu'il m'aida à enfiler, et nous souhaitas une bonne soirée nous laissant pénétrer dans le bar.

Le club disposait d'un bar, mais également d'une piste de danse au sous sol, avec des alcôves et des coins 'ou chambre' beaucoup plus intimiste. Nous descendions vers le bar, je précédais Richard, et au fur et à mesure que je rentrais dans cette grande salle obscure aux lumières tamisées, je sentais tous les regards se tourner vers moi. Homme, femme, j'étais déshabillée du regard par ses personnes pour la plupart masquées. Je me sentais troublée, mais étonnement protégée par mon masque. Richard me pris par le bras pour me conduire vers une petite table discrète, en face du bar, situé dans une alcôve. Je m'installais sur le canapé derrière le guéridon, et Richard me laissa seule, pour se diriger vers le bar afin de commander une bouteille de champagne.

Je regardais autour de moi et je voyais plusieurs couples entrain de discuter près du bar, ou bien attablés comme moi dans de petites alcôves. L'ambiance était excessivement sensuelle, j'observais tous ces couples discutaient, rire ensemble, partageant des caresses discrètes ou des baisers furtifs. Certaines mains masculines (ou féminine) se perdaient sur des croupes de femmes souriantes ou sur des hanches appétissantes. La moyenne d'âge était d'environ 35 – 40 ans, et je devais surement être la plus âgée. Pendant que Richard était au bar à discuter avec le serveur et commander, un couple qui m'observait depuis plusieurs minutes s'installa près de moi. Ils se présentèrent, Christophe et Déborah, masquaient également et habitués des lieux. Déborah, me pris le poignet pour regarder mon bracelet rouge, en me disant.
- Alors c'est votre première visite et première expérience, si j'en crois votre bracelet de "Pucelle" ? Ne soyez pas choquée, c'est l'expression utilisée au MASK, pour les nouvelles, il n'y a aucune moquerie, ne vous inquiétez pas...
Christophe continua la discussion me précisant qu'ils étaient depuis quelques mois des habitués et qu'ils avaient adopté cet endroit pour son esprit magique de sensualité, d'érotisme, voir un peu de perversité.
Richard se joignait à nous avec sa bouteille de champagne et 4 coupes, faisant connaissance avec mes nouveaux amis. Nous partagions un moment agréable quand Déborah me proposa de descendre pour danser dans la partie club. Je la suivais et nous retrouvions toutes les deux sur la piste de danse avec d'autres couples. Tous étaient très sensuels et recherchaient le contact. Je pouvais sentir le désir émanant de chacun des danseurs. Les regards se cherchaient, les mains se faisaient curieuses et furtives, et tout cela dans une ambiance très sensuelle, exacerbée par le coté exigüe et l'atmosphère chargée d'érotisme.

Une femme se rapprocha langoureusement de Déborah et l'enlaça en l'embrassa à pleine bouche. Déborah, nullement surprise lui rendit son baiser. Les 2 femmes étaient au milieu du groupe mélangeant leur langue comme deux amantes assoiffées de désirs. Je les regardais se donner l'une à l'autre, j'étais comme fascinée par le spectacle de ses 2 femmes, dont les mains glissaient sur leurs corps mutuels. Pendant que je les observais, en dansant je sentis plusieurs fois se poser sur moi des mains s'attardant sur mes formes, mes hanches, mes bras, mes fesses, des caresses subtiles de désir et progressives comme pour m'amener à un point de bascule.

Richard était au bord de la piste discutant avec Christophe tout regardant le spectacle. La femme et Déborah se rapprochèrent de moi me prenant par la main pour m'entrainer dans leur danse. Attirée dans leurs bras, entre ses deux femmes, elles m'embrassèrent toutes les 2, l'une sur la bouche l'autre dans le coup. J'étais coincée entres elles deux. Surprise, et un peu décontenancée je me laissais faire et répondait au baiser plongeant ma langue dans sa bouche. Déborah quand à elle m'embrassait dans le coup, et je sentais ses mains remonter sur mes bas soulevant au passage le bas de ma robe, pour laisser apparaitre le bas de mes portes jarretelles. Ses mains plongeaient sous mes bas me caressant les cuisses, alors que son amie jouait avec ma langue s'amusant à quelques baisers lents et doux, en s'attardant sur mes lèvres. J'inclinée la tête dans la direction opposée à celle où elle était et essayais de garder ma bouche fermée. Elle força l'entrée de ma bouche et enfonça encore plus profondément tournant sa langue autour de la mienne. Elle faisait monter la température en faisant des mouvements lents et taquins laissant sa langue glisser dans ma bouche et faisant des cercles tout autour. Elle me mordilla ensuite avant de me forcer à tirer la langue à l'extérieur de la bouche et de me sucer l’avant de la langue. Ce baiser devenait de plus en plus intense, multiplié par les langoureuses caresses de Deborah qui se tenait toujours derrière moi.

Deborah se détacha de moi afin de se rapprocher de mon mari tout en dansant de manière langoureuse et non équivoque. Elle était très attirante je savais que Richard n'allais pas pouvoir résister longtemps. Elle posa ses mains sur lui et sur son torse, tout en continuant à danser et se colla à lui pour l'embrasser. Christophe commença à caresser sa femme, qui était prise entre ces 2 hommes très excités, dont l'un était mon mari.
Pendant ce temps, l'autre femme continuait à m'embrasser et je sentis dans mon coup le souffle rauque d'un homme qui se colla à moi dans mon dos. Ils m'embrassaient tous les deux et me caressait tendrement tout en m'entrainant vers une alcôve isolée. Ils me basculèrent sur un petit sofa et s'installèrent autour de moi tout en continuant à m'embrasser et à me caresser. Pendant plusieurs minutes nous fleuretions tous les trois, mélangeant nos langues et se caressant mutuellement. L'homme parcourrait mon corps de ses mains larges, pendant que la femme tout en m'embrassant relevait ma robe laissant la place à mes bas et porte jarretelles. Sa main se glissa à nouveau en dessous de me bas pour continuer ses caresses sur mes cuisses, alors que son mari me pelotait les seins au travers de ma robe. Il écarta alors l'accroche cœur de ma robe, faisant apparaitre mes gros seins protégés par mon soutien gorge qu'il baissa ensuite pour libérer mes gros nichons mamelleux. Ils étaient tous les 2 affamés et je sentais le désir de ces bobos parisiens, de se taper une bourgeoise provinciale. Pendant que lui me tétait mes seins gros libérés et ballotant, elle, avait remonté sa main qu'elle passa sous ma culotte afin de me prendre l'entre jambe. J'étais chaude comme de la braise, et je répondais à leurs caresses par mes baisers ou mes mouvements de bassin. Je ne souhaitais qu'une chose et qu'ils me prennent tous les deux et me fasse jouir comme la reine des salopes que je suis. Un doigt s'introduit en moi pendant que la langue de l'homme m'envahissait la bouche. Ils étaient partout à la fois. Un jeu à 4 mains, donc j'étais l'actrice principale. Elle retira son doigt afin de ma faire goutter le jus de ma chatte, mais l'homme la remplaça tout de suite entre me jambes avec ses 2 doigts. Il était plus vif, plus rapide et me masturba avec beaucoup de vigueur, accélérant son va et vient comme un marteau pilon. Sa femme sortit le sexe de son homme bien tendu, droit et excité devant sa nouvelle proie bourgeoise.

Elle me plaça la verge de son homme dans la main et me glissa à l'oreille : - Branle mon homme ma belle, il va te saillir comme une belle pouliche, tu vas adorer sa grosse queue. Regarde la mon chérie, c'est une petite pucelle, en plus une "rouge" donc une pucelle no limit... Elle est chaude comme la braise...

Je compris à ce moment la signification du code couleur de mon bracelet, mais trop tard pour y changer quoi que ce soit. Elle m'aida à branler son mec, comme pour me motiver, alors qu'il continuait à me pénétrer de ses doigts. Elle alterna ensuite et replongea sa main sous ma culotte remplaçant la main de son homme, qui était remonté pour s'occuper peloter mes grosses miches laiteuse. Je subis ce traitement pendant un certain temps, comme une poupée de chair désarticulé, me laissant prendre et parcourir comme une pouliche offerte. Le temps s'était arrêté, j'étais seule prisonnière de mes 2 amants ayant perdu tout contrôle des événements...

Ils me relevèrent, pour m'entrainer complètement débrailler sur la piste de danse. Richard avait disparu, et j'étais poussé au milieu de cette piste entrain de danser un slow coincé par mes 2 amants qui recommencèrent leur manège. Debout la femme devant moi entrain de me rouler une pelle, son homme derrière entrain de me peloter mon gros cul libre de ma robe toujours relevé juste protégé par mon tanga noir. J'étais seins à l'air en PJ au milieu d'une bonne dizaine de personnes qui se rapprochaient de nous. Ma bouche fut partagée avec les multiples danseurs, mes fesses palpaient par des mains inconnus, et mes gros seins pétris à plusieurs reprises. Ils me maintenaient debout ayant de plus en plus de mal à tenir debout, mes jambes chancelaient, mais heureusement soutenus par mes 2 amants je continuais à danser. Cela dura le temps de plusieurs slows avant qu'ils m'entrainent vers une des chambres intimes.

Plusieurs couples étaient la, enlacés, multipliant les caresses, les sexes libérés, les bouches ouvertes remplies de bâton de chair. Je voyais Richard au milieu de cet amas de corps entrain de chevaucher la belle Deborah. Christophe quant à lui se faisait copieusement sucer par sa femme qui jouissait sous les coups de reins de mon mari.

Je restais immobile observant mon mari entrain de baiser Deborah. Mes deux amants profitèrent de ma surprise pour me pousser vers un groupe de 2 autres couples entrain de faire l'amour. Je fus plaçais au milieu de ce grand lit, ou ils me sautèrent tous dessus, comme des fauves affamés et gourmands recevant une proie offerte.
- Profitez en c'est une pucelle "no limit" ... en référence à la couleur de mon bracelet.
Je fus prise par tous les hommes et toutes les femmes, qui m'utilisèrent comme un jouet docile. Dans ma bouche, ma chatte, mon corps étaient recouverts de toutes ses mains.... J'étais leur proie, leur morceau de chair, leur jouet, et tout cela sous le regard de mon mari qui après avoir jouie sur la belle Deborah me regardait me faire partouser..

Un premier homme m'avait envahi la bouche de son membre gonflé. Il me tenait par les cheveux et se branler dans ma bouche alors que sa femme lui sucer son sexe qui rentrait et sortait, et me rouler une pelle goulue. Il joui enfin dans ma bouche, et sa femme m'embrassa avidement pour avaler le sperme de son mari. Un second qui me besognait en levrette, m'appliquait de grande claque sur la croupe, me traitant comme une jument se faisant grimper.
- Allez ma pucelle bouge ta croupe, belle cochonne.... J'adore les bourgeoises provinciale... elles sont trop salopes, trop chaudes du cul, regardez la bouger son gros derche.
Il joui enfin sur ma robe troussée. Sa femme lécha son sperme pour me le recracher dans ma bouche. Il ne restait que le premier couple. La femme se coucha sur le dos et me plaça au-dessus d'elle ma tête entre ses cuisses. Elle me plongea la tête dans sa chatte me forçant à la sucer en me tenant par les cheveux. Son homme se positionna derrière moi devant ma croupe, se fit lubrifier et sucer la queue par sa femme juste en dessous et me pénétra la croupe. Richard s'était rapproché et je l'entendis lui souffler à l'oreille : - Tu peux faire tester à ta femme du cul de bourgeoise si tu veux, rappelle toi c'est une pucelle "no limit"
Et voilà, un appel à la sodomie, qu'il ne fallu pas renouveler. L'homme m'encula de suite, alternant sa bitte dans mon cul, dans ma chatte, ressortant son membre pour le plonger dans la bouche de sa femme afin de lui faire gouter mon anus alors que je continuais à la sucer allègrement. Ils jouèrent de moi longtemps. Des couples entraient et sortaient de la chambre pour nous regarder, ou plutôt pour observer la bourgeoise de province se faire dépuceler. Certains approchaient afin de me caresser, de me toucher, de peloter mes gros seins qui ballotaient sous les coups de rein de mon amant. Une femme vint me téter les seins et me rouler une pelle tout en léchant Deborah toujours écartée sous moi. J'étais devenu l'attraction du club. Richard re-jouie à nouveau giclant sur moi, tellement excité de voir sa femme prise de la sorte. Au vu du sperme de mon mari l'homme joui à son tour sur mes fesses et dans la bouche de sa femme que j'avais fait jouir de ma langue de pucelle. J'étais épuisée, démontée, prise de tous les cotés mais toujours innocente et préserver car j'avais gardé la discrétion absolue avec mon masque.

Nous finirent la soirée au bar terminant la bouteille de champagne avec nos nouveaux amis, avant de rentrer à l'hôtel. En sortant du club le gérant me donna un jolie bracelet de soie rose, cadeau attribué aux ex- pucelles... Pourvu que le chauffeur taxi ne soit pas encore Rachid....

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Texte coquin : LA PUCELLE - LE CLUB
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