COLLECTION SOUMISE. À soumise, soumise et demi (1/1)

- Par l'auteur HDS CHRIS71 -
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : COLLECTION SOUMISE. À soumise, soumise et demi (1/1) Histoire érotique Publiée sur HDS le 09-09-2018 dans la catégorie Dans la zone rouge
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COLLECTION SOUMISE. À soumise, soumise et demi (1/1)
Marié à Véronique depuis sept ans, nous parlons souvent de cette année cruciale pour notre couple si l’on écoute les dictons sur cette année maudite pour les couples.
Chaque fois que nous faisons l’amour, nos jeux érotiques sont toujours aussi plaisants.
Aucun lieu tabou, aucune position non plus, seul l’endroit est toujours le même, l’intérieur de notre pavillon.
Un soir d’été, je lui ai proposé de sortir dans notre jardin alors que nous étions nus et que je savais que les voisins de l’immeuble d’en face pouvaient nous voir.
Je l’ai prise par la main, arrivé à la porte, elle a compris où je voulais l’entraîner, elle a reculé refusant de me suivre lorsque je lui ai dit que nous allions faire l’amour sur la pelouse.
Je dis bien la prendre, car pour pimenter nos jeux dans la maison, j’ai réussi à la faire s’exprimer sur ce qu’elle ressent avec des mots crus ou au moins explicites.
Pour rigoler, je l’ai laissée, la prévenant que ma bite resterait au repos tant qu’elle refuserait de sortir pour se faire enfiler à l’extérieur.

Dix jours à dormir le cul tourné, je me rendais aux toilettes du boulot afin de me masturber pour éviter de craquer.
Plusieurs matins, je me suis réveillé sa main sur ma verge, verge qui voulait me trahir, bandant comme un taureau.
C’était le huitième jour, pour lui faire voir que j’étais déterminé, j’ai pris mon oreiller et suis parti sur le canapé.
La neuvième nuit a été un calvaire, je suis grand, il fallait que je me plie pour tenir dessus.
La dixième nuit, je venais de m’installer lorsqu’elle est venue nue, m’a pris la main et m’a entraîné dehors, dès que nous avons été sur la pelouse, elle s’est agenouillée et m'a présenté sa chatte en levrette.
Pendant les deux jours suivants, c’est elle qui m’a entraîné dehors.
La prendre sur la pelouse était devenu routinier, j’ai voulu changer le jeu, alors qu’elle se mettait en position, je suis passé devant pour qu’elle me suce la bite, mais comme des fenêtres de l’immeuble étaient encore allumées, elle a commencé par refuser.
Moi qui suis toujours prévenant avec elle, je lui ai saisi les cheveux en les tirant sans les arracher, une nouvelle fois, j’avais gagné, elle m’a engamé et je me suis déversé dans sa bouche.
Chaque fois qu’elle me suce, je sais qu’elle refuse d’avaler, c’est le cas ce soir, voulant profiter de la pelouse, lorsque l’ordre tombe.

• Avale.

Malgré la nuit, je vois le mouvement de rejet de son corps, mais l’oreille que je lui tourne la rappelle à l’ordre et elle avale tout.
À partir de ce moment, je cherche de nouveaux jeux pour entretenir ces nouvelles pratiques, son portable va m’aider, je lui ai envoyé un SMS lui demandant de partir de la maison, sans mettre sa petite culotte.
Aucune réponse et lorsqu’elle arrive, je la vois rougir, je suis certain qu’elle a évité de suivre mon ordre.
Pour la première fois, je lui parle rudement m’interrogeant sur mon avenir avec elle, en ayant assez qu’elle me résiste.
Elle a essayé de se défendre finissant même par pleurer, essayant de comprendre pourquoi je devenais si dur avec elle, une nouvelle fois, j’ai été intransigeant, le jeu devenait de plus en plus bandant pour moi.

Ce mardi, mon patron nous a donnés un jour de repos, une invasion de petites bêtes l’oblige à fermer les services pour qu’une société de désinsectisation intervienne.
Pourtant, le matin, je pars sans lui dire que je suis libre toute la journée afin de profiter d’une journée d’évasion.
Le matin balade dans un parc midi resto en regardant les jolies filles passer et l’après-midi théâtre porno vers Pigalle.

Le lendemain, lorsque je suis arrivé à mon travail, les petites bêtes étaient toujours là et c’est nous qu’ils avaient nettoyées, les machines étaient parties et mes bureaux vidés laissant des cartons avec nos affaires personnelles, ils ont licencié tout mon service et moi avec.
Le jour même, je retrouvais du travail grâce à mon camarade de promotion qui me tannait pour que je vienne l’aider à développer son entreprise.
Je me retrouvais deux mois au repos, car je devais commencer après les vacances et la fermeture annuelle.
J’étais gagnant, mon salaire augmentera et son usine était plus près de la maison.

En me levant le matin, elle était partie à son lycée où elle est professeur de mathématiques.
Posé sur mes chaussons, un Post-it rose me donnait le code des priorités des couleurs à suivre dans les divers points de la maison.
Rose urgent.
Bleu moins urgent, mais à faire dans la journée.
Vert sous quarante-huit heures.
Jaune les plus terribles immédiats.
Elle m’avait préparé le déjeuner, mais j’avais sur un Post-it jaune la liste des courses à faire pour que nous puissions manger le soir.
Ce travail lui incombait depuis que nous étions mariés.
Je fais le tour de la maison du sol au plafond, je vois des dizaines de ces petits papiers.
Le linge, la serpillière, la pelouse que je tondais, cette tache lui incombant déjà, ainsi que la poussière sur les meubles à oui, j’oubliais, changer les draps et faire le lit à fond et surtout faire la machine à laver avec ces draps et les étendre dans le jardin.
Bref, le soir lorsqu’elle arrive, je suis cassé et après manger au lieu de regarder la télé, je me prépare à aller me coucher.

• Où vas-tu, viens ici.

J’avance jusqu’au canapé et je la découvre le bas du ventre dénudé et la chatte étalée à mon regard.

• Viens me sucer.

Je suis étonné, c’est la première fois qu’elle me donne un ordre surtout sur le plan sexuel, j’ai un mouvement de réticence, car dans un couple, l’homme propose la femme dispose.
Les quelques secondes d’hésitation me sont fatales.

• Dommage, tu viens, de perdre ta chance, vas te coucher.

Je m’agenouille voulant lui honorer la fente lorsqu’elle se redresse.

• Non, demain si je suis disposé. Va te coucher.

Je me dirige vers l’escalier lorsqu’elle se lève et m’arrête.

• Où vas-tu, la chambre, c’est pour les gens qui travaillent, regarde, j’ai amené ton oreiller, tu vas dormir sur le canapé, tu seras sur place pour attaquer ton travail demain matin ?
À oui, je t’ai mis le réveil à six heures pour que tu me prépares mon petit-déjeuner.
• Qu’est-ce que tu prends ?
• Sept ans de mariage et tout ce que tu sais dire, c’est qu’est-ce qu’il te prend.
Deux jours pour repeindre la cuisine, en jaune, j’aime.
• Comme tes Post-it.
• À cette heure, je suis fatigué moi, j’ai un métier, garde ton humour.

Elle monte vers notre chambre, je prends, mon oreiller, je la rejoins dans la chambre où elle vient de se coucher en plein milieu du lit.

• Tu te pousses.
• D’accord, tu refuses, le canapé, je t’accorde de coucher sur la descente de lit à mes pieds.

Le ton sur lequel elle me parle est sans appel, je sens en moi un sentiment de plaisir d’exécuter ses injonctions.
Je me couche sans oublier de placer mon portable près de moi sur le vibreur afin de me lever à l’heure.
La nuit est terrible, dormant très mal, voire pas du tout.
En me levant, je suis cassé.
Elle a l’habitude de se lever à sept, aujourd’hui elle a cours à neuf heures.
J’ai le temps de lui préparer un déjeuner copieux, je lui prépare du thé boisson qu’elle prend le matin.
À sept heures moins-le quart, je monte lui couler un bain avec les sels odorants qu’elle aime bien.
Elle arrive nue, toujours bandante.
Je veux l’embrasser, mais elle tourne la tête.

• Tu t’es lavé la bouche.
• Après déjeuner.
• Parle-moi sur un autre ton, à partir de maintenant tu les laveras dès que tu seras debout.
• Oui, d’accord.
• Oui, qui.

Son ton cassant me glace presque le sang, c’est la première fois que je l’entends avoir une telle intonation.

• Je crois que ce soir, je vais passer acheter un martinet pour les enfants qui sont méchants et nous irons sur la pelouse, tu sais sous les fenêtres des voisins et tu recevras la trempe que tu auras méritée.
Alors, oui qui ?
• Comment, veux-tu que je te nomme, oui ma salope ?
• Et en plus, il m’insulte, tu vas avoir double dose ce soir.

Le soir, elle arrive avec un gros sac en main, elle a changé de vêtements, elle a son imper bien que la pluie soit inexistante depuis des jours, elle l’enlève, elle a une tenue en cuir noire avec des bottes à la D’Artagnan, elle sort une cravache.
C’est en tenue de dominatrice qu’elle s’est affublée.

• Tu m'as demandé comment me nommer, Maîtresse Véroniqua, ce sera mon nom à partir de ce jour.

Elle va vers le meuble de la salle et passe un gant de velours dessus.

• Travail de salope, ma petite fiente, amène ton cul que je lui montre comment ton travail doit être fait.

C’est la première volée que je ramasse, mon cul me brûle toute la nuit, sa cravache est loin d’être le seul objet qu’elle ait acheté, non loin du centre de notre ville, elle me met mon collier, je deviens son toutou, j’ai voulu jouer au jeu de la soumission, j’ai perdu.

J’ai perdu, elle était plus forte que moi, quoiqu'aie-je réellement perdu, je me surprends à aimer être son petit toutou, en ce moment, je suis sur la pelouse, à quatre pattes, je dois dire trois, car je lève la patte arrière droite, pour marquer mon territoire.
Contrairement à elle, nul besoin de subterfuge pour que je sois un chien bien soumis.
Sexuellement, je dois attendre que ma femme soit chaude comme doivent l’être les chiennes pour procréer, une vraie vie de chien.
Ouaf !!

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