Béa, copie de sa mère

- Par l'auteur HDS Mic79 -
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Auteur couple.
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Récit libertin : Béa, copie de sa mère Histoire érotique Publiée sur HDS le 22-07-2018 dans la catégorie Dans la zone rouge
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Béa, copie de sa mère
Après mon expédition en Amazonie, (voir récit sur Mico 79 le 02/2016), je me suis mariée avec Phil, et il est toujours pour moi, un mari attentionné et un père très proche de notre fille, bien qu’il sache qu’elle a été engendrée lors de ce séjour ; je me suis offerte à ses pénétrations et à celle du chef ; cependant c’est toujours avec le marabout que je ressentais le plus de plaisir, ayant toujours l’impression de lui appartenir. Et c’était toujours avec regret que je revenais en France. Phil le savait bien et il le comprenait. Par la suite, nous avons profité des joies du libertinage.
De plus en plus notre fille ressemblait aux femmes de là-bas, et il nous a fallu lui donner quelques explications, oh très prudentes, Eh oui lui avouer que j’avais été engrossée par un indigène, et ce avant que je me marie avec Phil, ce qui était la vérité. Le temps passant, elle était de plus en plus curieuse et un jour, elle nous a demandé de l’emmener sur place, pas pour connaitre son père, pour elle c’était Phil, mais pour comprendre ce qu’elle ressentait au plus profond d’elle-même. Je dois dire que cette phrase, nous a intrigué, mais nous lui avons promis que pour sa majorité, nous ferions un voyage là-bas, si les autorités nous y autorisaient. Ce qui fut le cas, avec en retour, la promesse de réaliser une nouvelle étude sur leur évolution.
20 ans après, le village avait évolué, grâce il est vrai à l’aide de notre laboratoire, mais si un puit leur permettait une plus grande hygiène, la mentalité n’avait pas changé. Nous avions préparé Béa, entre autres à la nudité, et à la séparation des sexes, mais aussi à leur grande liberté de mœurs, ce qui n’a pas semblé la choquer. C’était une première surprise.et pas la plus grande.
Autre changement, le chef et le marabout étaient décédés, l’un tué lors d’une bataille entre deux tribus, l’autre de vieillesse. Le nouveau chef, que j’avais connu très jeune, semblait avoir toute autorité et dès notre arrivée, il nous a fait comprendre que les coutumes étaient les mêmes et que nous devrions nous y plier, à la sienne et à celle du marabout, toujours tout puissant. La situation nous a fait un peu peur et nous avons réalisé que nous avions sans doute fait une erreur en réalisant le souhait de notre fille. Par contre pour elle, bizarrement, aucune anxiété quand nous lui avons révélé, la situation, et surtout ce qui risquait d’arriver.
Bien au contraire, le lendemain matin, nous avons été très surpris de la découvrir, totalement nue, au milieu des autres femmes, toujours aussi tactiles ; et il faut reconnaitre que la différence de peau entre elles n’était pas significative. C’était une descendante de la tribut. Les cheveux noirs légèrement frisés, une poitrine aux seins ronds et fermes, aux tétons saillants, le fessier agressif, et un pubis glabre, laissant voir deux lèvres rosée. Difficile de le nier , elle était bien des leurs. Si la journée se passa tranquillement, à récupérer le voyage, le soir, il m’a fallu lui expliquer que tout le monde dormait dans la même pièce, ce qui ne parût pas la gêner. C’est alors qu’elle m’a demandé qui était l’homme qui m’avait engrossé et comment cela était arrivé. Pas d’autres solutions que de lui révéler une partie de la vérité, à savoir, que pour pouvoir travailler, j’avais dû appartenir, d’abord au chef, puis au marabout, lors d’une soirée d’initiation et qu’ensuite, ils avaient pu me prendre à leur volonté. Mais qu’à priori c’était très certainement le sorcier , son créateur. Difficile de lui dire qu’à chaque fois qu’il m’avait ensemencé, j’avais ressenti cette sensation qu’il me fécondait réellement Elle m’a regardé, puis regardant Phil, elle lui a demandé s’il était au courant, puis sans attendre elle nous a demandé « expliquez moi et sans cachoteries »L’explication a été difficile, mais complète et après m’avoir embrasser, elle nous a dit :« autrement dit, il va falloir que tu leur appartiennes, devant toute la tribut et nous si tu veux pouvoir travailler »Devant notre confirmation, elle a ajouté « et moi, il en sera de même ? » devant notre hésitation, elle a ajouté « si j’ai bien compris, toute femme dans le village doit appartenir aux deux hommes si elle veut être des leurs . » Difficile de répondre, mais pour nous deux, cela ne faisait aucun doute. Et avec , en plus la sensation que c’est ce qu’elle souhait , faire partie de la tribut. La nuit fut agitée, tant pour moi, avec les souvenirs qui remontaient, me donnant envie de sexe, que pour Béa qui devait se posait des questions et si j’en crois son activité sous le tissu qui la recouvrait, ses envies devaient rejoindre les miennes.
Dès le matin , je confirmais au guide, mon intention de me plier aux coutumes, selon leur bon vouloir.

****philLe soir même, une cérémonie est organisée, et ma femme , d’abord entre les mains d’une jeune femme et après avoir bu leur potion est amenée au centre de la place du village où comme la première fois , une couche a été aménagée en demi hauteur. Et devant nous, en présence de Béa à mes côtés, elle va se faire prendre, sans ménagement d’abord par le jeune et vigoureux chef, monté d’une queue de belle facture, puis par le marabout. Toutes les possessions sont de véritables saillies, faites par deux dominateurs, sùr de leur puissance, sùr de posséder la femme qui n’arrête pas de jouir sous les coups de butoirs ; je ne sais si elle ressent les mêmes sensations que les autres fois, mais elle se donne les cuisses écartelées, possédée par deux fougueux amants ; d’où nous sommes nous percevons sans difficulté ses cris de jouissance. Béa les yeux fixés sur sa mère, a pris ma main et je vois que la seconde main est plantée entre ses cuisses. Alors que le marabout possède sa mère plusieurs fois, elle me regarde et me dis :« Cela t’excite de voir maman se faire prendre ainsi ?» j’aurai du mal à dire le contraire car je bande depuis le début et alors honnêtement je le reconnais, avouant qu’à chaque voyage, il en a été de même ; elle se penche vers moi et me dis « tu sais, je vous avais déjà entendu à la maison quand tu prenais maman et qu’elle criais son plaisir, mais là ,la voir et l’entendre , cela me donne envie de vivre l’événement ; tu voudras bien ? » je ne réponds pas, sauvé par la fin de la saillie et alors que le marabout emmène sa proie, totalement nue, les cuisses maculées de sperme qui s’écoule de sa chatte dévastée, à l’intérieur de sa case,. Je retourne , avec Béa ,qui se love contre moi, vers notre dortoir.
Difficile de retrouver ma sérénité car je sais que ma femme est en train de prendre son plaisir et qu’elle sera fécondée plusieurs fois, et la réaction est une belle érection ; j’ai envie de me branler, mais la présence à mes côtés de Béa, m’en empêche, d’autant plus qu’elle ne dort pas, bien au contraire. Se collant contre moi, elle ne questionne sur mes réactions et son envie « prends moi dans tes bras, caresse moi, j’ai envie d’un homme » j’ai beau lui expliquer que je ne peux pas, qu’elle est ma fille et que cela ne se fait pas, elle me retorque « non, tu sais que je ne suis pas ta vraie fille, je t’aime comme mon père mais, je ne suis pas de ton sang « me prenant la main, elle se la pose sur son sein, « caresse moi, j’en ai envie, toi aussi car sous ma main, ta queue palpite » en effet elle a glissé sa main et l’emprisonnant, elle me branle doucement puis me déposant un baiser au coin des lèvres , elle continue« j’ai envie de vivre l’aventure de ces femmes, je suis comme elle, mais avant je voudrais que tu me prennes, je veux t’offrir ma virginité, par amour pour toi ; je veux que tu me fasses femme, avant d’appartenir aux hommes du camps qui voudront de moi, comme maman qui je l’ai compris va appartenir à tous ceux qui la voudrons. Après que tu m’auras fait femme, je sais que tu iras voir les autres femmes, maman me l’a expliqué hier soir. »Il est vrai qu’elle n’est pas de mon sang, mais j’ai cependant une résistance ; mais ce que femme veux…Pour la première fois, je la vois comme une femme désirable, s’offrant à l’amour sans doute pour la première fois et le désir monte en moi. La main sur son sein rencontre son téton, gros, bandé, et je ne peux m’empêcher de le triturer ; la réaction est immédiate ; son corps se tend appelant encore plus de caresses ; sa main m’enserre la tige, m’emprisonne les couilles ; elle est femme et même vierge elle sait ce qui excite un homme ; pris de vestige sexuel, mes mains descendent vers son ventre et caresse son pubis, qu’elle tend à la caresses ; bientôt mes doigts entrouvrent la corolle et son petit bourgeon pointe sous mes doigts. Le femme qu’elle veut devenir s’offre sans réserve , cambrant ses reins pour mieux s’offrir à la pénétration de mes doigts, puis elle me retire la main et me regardant amoureusement elle me dit « je veux t’appartenir maintenant, fais de moi une vraie femme, prends moi, je t’offre ma virginité, remplit moi de ton plaisir »agrippant par les épaules , elle me fait faire face à son corps, offert, demandant sa première pénétration qui allait faire d’elle une femme, et quand mon gland se pose à l’entrée de la grotte, déjà pleinement ouverte, c’est elle qui d’une poussée, s’enfonce ma tige ; un cri, quelques larmes de douleur, elle est enfin femme ; pour moi, plus de réserve, je m’enfonce doucement en elle, dilatant son conduit , prenant sa fleur avec voracité ; après un petit moment d’arrêt au fond de sa chatte, elle m’embrasse fougueusement et me dit » « je suis à toi, vas-y baise moi, fais-moi jouir comme maman quand elle est avec toi, ou comme maintenant où elle s’offre pour son plaisir, car c’est le cas n’est-ce pas ? »Je n’ai pas envie de répondre mais je la comble, la possédant profondément, vigoureusement ; elle a déclencher mes envies et maintenant ce n’est plus qu’une femelle qui veut prendre du plaisir ; plaisir qui ne tarde pas à venir, tant pour elle , que pour moi ; et quand je me répands en elle, elle ne peut retenir sa jouissance et je dois l’embrasser pour contenir ses cris. Agrippée à mon torse, elle réclame « continue, j’ai encore envie de toi, » et bizarrement, je ne débande pas, sans doute leur mixture y est pour beaucoup, mais aussi l’envie de la satisfaire de la combler pour sa première baise. La retournant, je la positionne à genoux et sans frémir, je m’enfourne dans le conduit plein de semence ; elle émet un petit cri de surprise ou de plaisir, et quand je commence à la pilonner, elle ne retient pas ses gémissements ; elle a envie et elle le dit, m’encourageant à la défoncer ; à chaque poussée, mes couilles viennent frapper son pubis et se plaquant la figure sur la couche, elle glisse une main sous son ventre et vient enserrer mes bourses, les tirant , les triturant. Mon plaisir en est décuplé et mes coups de butoirs aussi et ce n’est que quand , avec une nouvelle jouissance , elle s’écrase sur la couche que je me repends en elle, déversant mes jets tout au fond d’elle.
Me retirant , je la laisse récupérer ; son souffle et court, mais se blottissant contre moi, elle dépose un doux baiser sur mes lèvres et me dit tu viens de m’offrir un doux moment de plaisir ; grâce à toi je suis femme, comblée, heureuse de t’appartenir. Je sais que cela ne fait que commencer, mais il faut me promettre que maintenant tu me feras l’amour, que tu me feras crier de bonheur comme tu le fais avec Mico » c’est la première fois qu’elle l’appelle par son prénom, et je m’apprête à lui répondre quand je m’aperçois qu’elle s’est endormie dans mes bras.

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