COLLECTION HISTOIRE COURTE. Balade en forêt (1/1)

- Par l'auteur HDS CHRIS71 -
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : COLLECTION HISTOIRE COURTE. Balade en forêt (1/1) Histoire érotique Publiée sur HDS le 12-09-2018 dans la catégorie Dans la zone rouge
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COLLECTION HISTOIRE COURTE. Balade en forêt (1/1)
Les beaux jours revenus, je me prépare avec Lucette mon épouse pour aller pic niquer en forêt à côté d’un étang où j’allais pêcher dans ma jeunesse, le coin est calme à une dizaine de kilomètres de chez nous, la vue étant magnifique.
Nous prenons la route, c’est elle qui conduit, j’ai épousé sa mère, du moins Lucette est comme elle, une femme qui sait ce qu’elle veut.
J’ai épousé sa mère, car hormis son caractère en tout point identique, après dix-sept ans de mariage, la petite fille svelte est devenue la même grosse vache qu’elle.
Certes, notre fils qui a le même âge, ayant eu l’impression qu’elle m’ait piégé en se faisant engrosser afin d’avoir la bague au doigt, y est pour quelque chose, sa grossesse s’étant mal passée, jusqu’à un accouchement par le siège.

Je suis d’humeur champêtre, ce matin par ce beau soleil, Franck est parti en camps scouts, il est moniteur pour la première fois ayant passé son BAFA, nous roulons tous les deux vers notre destination.
La robe à fleurs de Lucette remonte sur ses cuisses massives, j’y porte la main, j’aurais fait cela à un autre moment, je me serais fait rembarrer, mais là, est-ce le climat qui s’y prête, elle me laisse faire.

• Fait attention Luc, tu me déconcentres, nous sommes dans des virages.

Comme je l’ai dit, elle me remet à ma place d’une manière douce, à d'autres moments, elle m’aurait dit Luc enlève ta main, tu me fais chier.
Eh, oui, Lucette a un langage très châtié à ses heures, quelques fois, elle me fait honte, mais je ferme ma gueule, c’est vrai, je dois reconnaître que je suis faible devant elle.

Sans refus franc, je laisse ma main, je remonte jusqu’à sa culotte XXL, je peux même dire 3XL.
Elle est humide, certes sans être obligé de la tordre, mais elle est humide, avec un peu de chance, je pourrais la prendre sur la couverture qui est dans le coffre avec le panier du pique-nique.

• Tourne à droite, prends le chemin de terre, il est relativement carrossable, jusqu’à un petit étang.
• Enlève ta main, nous entrons dans la forêt, je veux éviter de casser ma voiture dans les ornières, tu veux vraiment que je tourne ici.

Voilà toute Lucette, ma voiture, ma maison, mon salon, son fils, mon tout ce que vous voudrez, dans sa bouche tout est à elle, je suis une quantité négligeable dans notre couple.
Nous baisons de temps en temps, mais quand elle veut et toujours dans la position du missionnaire, elle me tolère un doigtage de mise en forme, de toute manière, je me verrais mal sous elle et son gros cul écrasant mes roubignoles.
Elle arrête la voiture là où je lui dis, dix mètres, la place est libre, j’installe la couverture, elle s’avachit dessus, j’ai vraiment épousé une baleine, mais bof, même si je suis sans amour pour elle, elle reste ma femme.
J’ai l’air de la dénigrer depuis le début de cette histoire, mais il faut dire que je pèse la moitié de son poids, ce qui peut faire peur, un point positif, qui envenime ses problèmes de poids, sa bouf, elle pourrait ouvrir un restaurant.
D’ailleurs, son embonpoint est en partie lié à ce qu’elle mange, elle adore le sucre, les viennoiseries qu’elle cuisine, embaume notre maison, pour arranger son problème, elle étale de la pâte à tartiner d’une marque bien connue à l’huile de palme.
Hors de question de lui parler d’écologie, soda, boissons mondialement connues font partie de son quotidien.

Hier, cherchant du sel, car sous couvert de régime, tout me semblant fade, j’en ai trouvé quatre pots d’un kilo en stock, quand un jour, je lui en ai fait la remarque, elle m’a dit que c’est sa mère qui craignant les récessions, étant née pendant la guerre, faisait des réserves.
Il faut voir le panier de pique-nique qu’elle a préparée, quatre paquets de gâteaux deux au chocolat et deux parfums pralinés, j’adore ceux à la vanille, mais je m’en fiche cela me permet de rester svelte.
Mes copains m’appellent l’ablette, je les ai même surpris un jour où me croyant absent de la salle de repos où nous buvons un café dire que l’ablette frayait avec un thon, je me suis bien gardé de me faire voir.

Notre conversation est limite, mais je me souviens de ma main sur sa cuisse, je décide d’attaquer, je me rapproche, elle se laisse tomber en arrière, je vais pouvoir essayer de lui brouter la chatte.
Situation exceptionnelle, manque de chance, sous la couverture une souche qui va s’avérer être mon salut, je l’aide à se redresser, la baiser dans la position où elle se place, les mains sur la carrosserie de la voiture, impensable pour moi avant ce jour faste.
Elle me tend son fessier en écartant les jambes, est-ce possible, j’évite les questions, je sors ma bite, je descends sa culotte et je plante son énorme cul, la baiser debout est un rêve que je croyais inaccessible.
Je lui déchire presque le devant de sa robe sortant ses gros nichons qui sont libres, à part sa culotte, elle est nue, je les prends en main, tirant dessus en même temps que ma verge tape sur son joufflu.
Elle semble aimer, aux cris qu’elle pousse, je voudrais bien faire une photo, j’ai vu un petit loulou blanc essayé de se coller à une chienne Doberman noir, nous devons présenter le même tableau.

• Elle est revenue la grosse vache, tu pourrais me laisser un peu la place.

Je tombe des nues, l’homme sorti de nulle part semble connaître Lucette, sinon pourquoi avoir parlé de « la grosse vache. »
• Reste où tu es, tu vas voir, elle adore être prise par plusieurs mecs en même temps.

Lucette le regarde, je vois son regard, il est trouble, j’allais la porter vers mon but et la faire jouir, est-ce son état ou une habitude comme le dit le mec, mais quand il sort sa queue, deux fois plus grosse que la mienne, elle l’a saisi, se la fourre dans la bouche en lâchant la carrosserie de la voiture.

Faire une fellation, elle me l’a toujours refusée, elle a toujours été maître de nos jeux, la voir se faire soumettre par cet homme jamais vu alors qu’il semble la connaître, me remplit de joie autant que ma salope est remplie.

• La grosse, je vais m’allonger sur la couverture que tu as dû mettre là pour qu’on te baise, vient t’empaler sur moi.

L'homme s’allonge, ma queue quitte sa fente, elle se redresse pour exécuter l’ordre reçu, si on m’avait dit qu’elle serait un jour soumise à ce bonhomme, j’aurais signé des deux mains.

• Viens l’enculer, chaque fois qu’elle est là, il lui en faut deux ou trois, elle aime se faire remplir de partout.

Je suis les ordres moi aussi, je me place au centre de ma cible, la louper vue son ampleur, serais difficile, je pointe, je tire, c’est serré et chaud et ça rentre sans grande difficulté.
J’ignore ou j’en suis, c’est la première fois que je sodomise une femme, qui plus ait la mienne, certes sans aucun point de comparaison, mais que c’est bon de sentir la verge du garçon de l’autre côté de la paroi de la mienne.
Souvent du temps où j’avais plaisir à la baiser, je la faisais jouir, là c’est un raz-de-marée surtout au moment où nos deux verges déchargent conjointement.

• Pousse toi vieille salope, il est temps que je rentre, ma bourgeoise va se demander où je suis passé.

L’homme disparaît comme il est apparu, sauf ma queue couverte de sperme, je pourrais croire avoir rêvé m’étant endormi sur notre couverture.

• Nettoie ma queue, il va falloir que tu m’expliques !

Une femme refusant en temps normal de sucer la bite de son homme doit avoir quelque chose à cacher, sa bouche s’ouvre, je me fais sucer divinement jusqu’à éjaculation.

• Luc, que s'est-il passé, qui est cet homme, c’est la première fois que je le voyais, pourquoi te tromperais-je, il a dû me prendre pour une autre.

Elle a recraché ma verge qu’elle masturbe tout de même d’une main experte, impossible que ce soit la première fois qu’elle fasse cela à d'autres que moi, mais je sens que je peux en tirer avantage.

• T’as récupéré la grosse pute, attends, on va t’aider, vu ton calibre, tu vas peiner tout seul.

Ils sont deux qui ont déjà sorti leur queue, je m’écarte et m’assieds sur une souche d’arbre, il s’occupe du cul de Lucette qui se laisse faire sans protester, j’assiste à sa pénétration après qu’ils l’ont placé en levrette.
Ma femme en levrette, j’ai bien des interrogations, mais quand elle se met à mugir sous les bites des deux balaises, l’un dans l’une de ses intimités, invisible de moi, l’autre dans sa bouche, je suis certain qu’elle connaissait l’endroit.
Comme le premier, ils disparaissent me laissant avec ma conscience, dois-je accepter d’être cocu, j’ai la réponse quand elle se lève, enlève, le peu d’affaires qu’il lui reste, elle va jusqu’à l’eau, sa cellulite tanguant de droite à gauche.
C’est sa figure à laquelle elle porte toute son attention, quand ils ont déchargé, c’est sur son visage l'ayant visé, ils l'ont couvert de sperme, je ramasse la couverture que je mets dans le coffre.
Elle me rejoint, remet sa robe, sa culotte a disparu, elle semble s’en foutre, je vais pour m’asseoir sur le siège passager comme chaque fois que je suis en voiture avec elle.

• Prends le volant, je suis épuisée, tu sais, je te le promets, je te le jure même sur la tête de Franck, c’est la première fois que je viens ici.
• Tais-toi, tu me déconcentres, dans ces ornières.
• Attention, après le virage, il y en a une plus profonde, je me tais, mais qu’est-ce que s’était bon, dit-on reviendra.

Une nouvelle fois, le doute me submerge, elle anticipe même les ornières, pourquoi avait-elle posé la question si c’était dans ce chemin que je voulais qu’elle entre notre voiture.

• Je vois ce que tu peux penser, cette ornière, c’est à l’aller que je l’avais repéré.

J’ignore l’avenir, madame soleil, elle est décédée, ce qu’il y a de sûr, c’est que Frank rentre avec un gros bandage au cuir chevelu après une chute d’un arbre, mais il est encore vivant, ça laisse le doute.
Ce qu’il y a surtout de sûr, c’est que l’ablette a aimé voir le thon se faire sauter par ce banc de maquereaux, l’ablette, va tout faire pour garder son avantage sur le thon, l’avenir semble radieux cet été, je vais adorer venir faire des pique-niques, car dans ces deux mots, il y a nique.

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