Première soumission - Tout commence dans un train

- Par l'auteur HDS Mickalb -
Récit érotique écrit par Mickalb [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : Première soumission - Tout commence dans un train Histoire érotique Publiée sur HDS le 28-07-2018 dans la catégorie Dominants et dominés
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Première soumission - Tout commence dans un train
Après de nombreuses lectures sur ce site et d'autres je décide d'apporter moi aussi ma contribution.
Cette histoire a eu lieue il y a un mois, alors que je remontais d'un week-end familiale dans le sud de la France (Var) sur Paris où je vis désormais.
Je connais bien ce trajet pour l'avoir faire des dizaines de fois, et j'espère toujours me retrouver en place dite duo à côté d'une femme agréable.
Avant tout je vais me présenter brièvement, jeune homme de 26 ans, châtain, yeux marrons qui tire sur le vert, 1m77 78kg et très charmant si l'on écoute ces dames.
Je suis actuellement en couple mais ai eu de nombreuses conquêtes avant mes divers relations stables et je suis le type d'homme qui aime séduire et trouve toujours en chaque femme une raison de s'y intéresser.
Mais reprenons, je m'installe donc à bord de ce TGV sans arrêt, côté fenêtre, et quelques minutes après une très belle femme d'environ 40 ans s'installe à côté de moi, une belle brune, très raffinée, vêtue d'une jupe anthracite d'un petit chemisier, quelque bijoux en or, et des lunettes de soleil.
Je ne l'ai pas vu de dos mais elle doit certainement être sportive et a une belle poitrine qui attire assez naturellement le regard. Un simple bonjour avant de s'installer et nous voila parti.
Les transports ont cette avantage de ne jamais savoir sur qui on va tomber, et des bonnes surprises comme celle-ci peuvent je vous l'assure faire divaguer vos pensées très très loin !
Je reprends un peu mes esprits et ouvre un livre (une nouvelle de Dostoïevski) quand à elle ce sera un roman dont j'ai oublié le nom et l'auteur.
Au bout d'une heure, où j'ai eu la fâcheuse tendance de m'étaler un peu afin d'établir un léger contact physique, accepté par ma voisine, je décide d'aller chercher un café dans le wagon bar.
Je fus assez surpris, lorsque je lui ai demandé de se lever, de la façon et du sujet de son interpellation "Jeune homme, prenez moi un café s'il vous plait", après un temps d'arrêt je lui souris et acquiesça d'un hochement de tête.
Je reviens avec ledit café, me disant qu'après tout ce serait un bon moyen d'entamer la discussion. Lorsque je revins, elle me remercia d'un grand sourire,et en me laissant m’asseoir j'eu la forte impression qu'elle laissa traîner sa main sur mon jean. Elle commença à me questionner sur la raison de ma montée à Paris, ma profession etc... et je lui retournai chaque question. La discussion dura une dizaine de minute et quelque chose retint mon attention lorsqu'en lui disant que j'étais en couple même si j'aimais beaucoup les femmeselle me répondis "Vous avez encore beaucoup de chose à découvrir oui, j'en connais qui vous plairait".
A cela, je l'interroga, et lui dit de m'en dire plus mais elle conclu la discussion d'un "Assez, reprenez votre lecture".
Je repris donc ma lecture et la voyait du coin de l'oeil écrire sur une feuille volante. Tout à coup elle arrêta, posa sa main sur ma jambe, qu'elle me serra assez fort, s'approcha de mon oreille et me dit : "Si votre amie vous attends, dîtes lui que vous êtes bloqué sur les voies et que vous aurez plusieurs heures de retard." Je fus très surpris mais lui répondit que personne ne m'attendait aujourd'hui à Paris. Elle remonta alors sa main sur ma joue, "A partir de maintenant tu vas faire tout ce que je te demande sans dire un mot, je te garderai quelques heures avec moi en arrivant à Paris, tu peux refuser mais seulement maintenant".
Ces simples mots suffisent à me rendre tout petit, j'avais l'impression d'être completement à sa merci en un seule regard et me senti obligé de baisser la tête en répondant un simple "d'accord", bien qu'au fond de moi j'étais hyper excité et aussi anxieux. J'avais toujours souhaité être dominé par une femme mais n'en avais jamais rencontré.
Elle souria, me tendit cette fameuse feuille sur laquelle elle avait écrire pendant plusieurs minutes, et me dit de la remplir.
C'était une sorte de formulaire avec de nombreuses questions : "expérience homo, pratique sodomie, appréhension de la douleur dans une relation, envie de féminisation, limites...", je fus assez stressé de recevoir ce formulaire et à la fois ô combien excité. Je le remplis sérieusement, me disant que cela influerait forcément.
Après lui avoir rendu, nous n'avons plus échangé aucun mot jusqu'à l'arrivée du train. A ce moment là, je me leva après elle, et lorsque nous passions récupérer nos valises elle me tendit la sienne. Je m'en saisis et la suivi. Elle habitait apparemment proche de la Gare de Lyon car nous avons commencé à marcher. Elle était toujours quelques mètres devant moi, et en effet elle semblait avoir à travers sa jupe des fesses magnifiques.
Tout à coup elle s'arrêta devant un bel immeuble haussmannien, et me dit que c'était pour moi le dernier moment où je pourrai faire machine arrière, ce que bien entendu je ne fis pas.
Nous sommes montés jusqu'au 2ème étage, elle par un ascenseur, moi à pied, sur sa demande. Je commencais à être de plus en plus anxieu, un mélange d'adrénaline, de questionnement sur ce que j'étais en train de faire et d'excitation de plonger dans l'inconnu.
Arrivé en haut elle me dit de l'attendre devant la porte, pris sa valise et me fit patienter encore quelques minutes. Je fus enfin invité à entrer. C'était un superbe appartement parisien, un beau parquet point de hongrie, une belle hauteur sous plafond, du mobilier ancien en marbre, un ensemble vraiment très raffinée. Une fois dans son salon, duquel les rideaux étaient fermés, créant une ambiance plus intimiste, celle dont je ne connaissais toujours pas le prénom me dit d'un ton sec en me giflant "Déshabille toi et attend moi dans la bonne position" et elle repartie dans une autre pièce.
Je me mis entièrement nue bien que gêné, et ne savait pas du tout dans quelle position me mettre. Je pensais qu'elle souhaitait que je me mette à quatres pattes, j'avais déjà lu plusieurs histoires qui m'entrainait à penser cela mais je n'osais pas. Elle revient, et me lança un regard noir, me dit qu'à partir de maintenant je devrais toujours me mettre à quatre pattes devant elle, les fesses bien relevées, et que je serai puni pour ne pas avoir été assez intelligent pour le deviner.
Elle appuya donc sur mes épaules, et me fit mettre dans la position souhaitée. Elle avait un cordon et un collier dans sa main qu'elle me passa autour du coup, me dit de la suivre et de toujours répondre par oui maitresse, sans quoi mes punitions seraient plus longues et douloureuses. Je répondis d'un timide "Oui maitresse" qui me valu un coup de bottine sur le cul et une nouvelle réprimande "Tu dois être fier de le dire", je répondis cette fois si la même phrase mais plus fort.
Je la suivi dans cette position jusqu'à sa salle de bain où elle me dit de me doucher, toujours en laisse. "Insiste bien sur ton cul de petite vierge, tu ne sortira d'ici qu'en étant une petite salope". Je lui répondis "Oui maîtresse mais je n'ai jamais rien reçu à ce niveau", cela ne manqua pas et je pris une claque immédiatement, et elle me dit qu'elle espérait pour moi qu'il n'y aurait plus aucune contestation : "Tu crois que je ne vois pas que cette idée t'excite, tu bandes comme jamais tu n'a bandé petite pute". Tous ces mots avaient la facheuse tendance de m'exciter d'autant plus.
Je me doucha donc en insistant bien sur les parties qu'elle avait mentionné, et elle me ramena ensuite au salon. Elle s'installa sur son canapé, me mis à ses pieds, enleva ses botinnes et me dit de lui lécher les pieds jusqu'à nouvel ordre. Je le fis et y pris un malin plaisir, je me sentais de plus en plus offert, sans contrôle et cela me plaisait. Plus je continuais et plus elle m'enfonçait son pied dans la bouche. Je commençai à y prendre du plaisir et elle le vit. Elle me dit de lui tendre son cul, que je m'intéressais plus à mon plaisir qu'au sien et commença à me fesser avec une cravache. Je devais compter chaque coup, sans quoi il serait doublé. Malgré la douleur, les vibrations de cette cravache sur mes fesses m'ont procuré beaucoup de plaisir et d'excitation, j'étais soumis et cela me plaisait.
A la fin de ces 25 coups de cravache, elle me dit d'attendre et je l'entendis hausser la voix pour appeler quelqu'un. Des bruits de pas sur le parquet craquant se firent entendre et je vis un homme à l'allure très efféminé s'approcher de ma maîtresse.
"J'ai un cadeau pour toi, cette petite pute se découvre (en me montrant du doigt) et vas s'occuper de toi". Sans dire un mot, cette homme imberbe d'une trentaine d'année, qui était arrivé entièrement nue de je ne sais ou, s'assit sur le canapé en face de moi. Ma maîtresse me mis une gifle sur le cul, "Tu vas bien t'occuper de lui, et le faire jouir avec ta bouche", j'hésitais, et une nouvelle claque fit rougeoyer mon cul encore un peu plus, et "Oui maitresse" sorti automatiquement. Je n'avais sucer une queue qu'une seule fois et c'était une trans, mais avec cette ambiance cela m'excitait aussi. Je m'y employa donc en mimant ce que je pouvais aimer quand cela était pratiqué sur moi. Ma maîtresse me poussait la tête afin d'avaler sa bite toute entière dans me bouche, elle devait faire environ 19-20cm et très large, ce qui me fit déglutir plusieurs fois. Au bout d'une dizaine de minutes, elle lui ordonna de me baiser la bouche, ce qu'il fit. "Tu vas jouir sur mes pieds et cette petite salope me nettoiera tout ça ensuite". Ces mots furent comme un déclencheur pour l'homme qui s'enleva de ma bouche et vint immédiatement sur les pieds de ma maîtresse. "Fais qu'il soit plus propre qu'avant, si tu t'en occupe bien je m'occuperai de ton cul moins violemment". Je répondis et bien que peu emballé par cette idée me délecta de ce nectar un peu acide. Elle me félicita, et parti quelques minutes, en demandant à l'homme de le suivre. Elle revint sans lui, avec plusieurs ustensils dans sa main : Des menottes, un gode ceinture, un plug et d'autres godes plus ou moins gros.
Toujours à quatre pattes en attendant ma maîtresse, elle me passa les mains dans le dos et mes les lia avec des menottes. J'avais désormais la tête contre un tapis et les fesses bien relevés, offert comme plusieurs femmes avaient plus s'offrir à moi mais comme jamais je ne l'avais été. "Maintenant c'est l'heure de ta vraie éducation, tu vas te rendre compte que tu es une petite salope depuis toujours et tu vas aimer te faire baiser ton petit cul, plus tard tu m'en redemanderas. Tu t'es bien occupé de mon amant soumis et tu as merité un petit cadeau", elle sorti alors un petit tube et je compris rapidement que c'était du gel qui faciliterait la tâche. Ses doigts vinrent se poser sur mon trou, ce fut un peu froid et je senti quelques chose qui essayait de rentrer, au bout de quelques secondes qui m'avait arraché un cri de douleur, j'avais un plug en moi. Elle passa devant moi, me mit une gifle sur le visage et sa main presque entière dans la bouche. "On recommence, je t'interdit d'émettre un son". Elle enlevé alors ce plug, et me le remis d'un seul coup, je me mordis les lèvres et ne laissa échapper aucun son. "C'est bien, tu vois quand tu veux tu sais être une petite salope bien docile, tu as mérité une récompense". Elle parti encore quelques minutes et revint avec un simple corset, entièrement nue, elle était superbe, épilée intégralement, je bandais tellement que j'avais l'impression de pouvoir jouir sur place sans contact physique.
Elle le vit d'ailleurs et me dit "Tu ne toucheras pas à cela aujourd'hui, et peut être même jamais, mais si tu veux continuer à avoir des récompenses tiens toi bien". "Oui maitresse", cette fois j'étais totalement à elle, elle m'avait eu, je ne voulais qu'une chose c'était l'écouter. Elle alla alors derrière moi, enleva le plus et accrocha son gode ceinture autour de la taille. C'était plus difficile à recevoir et elle remis du gel mais le plus avait bien fait son travail et ce gode que je pensais irrécevable parvint à entrer en moi en quelques minutes petit à petit. Elle ma claqua les fesses et commença des va et vient de plus en plus rapide, et je commençais à gémir, à adorer ça, j'avais envie qu'elle continue. "Tu aimes ça te faire baiser, c'est bien ma salope, laisse ta maitresse te montrer qui tu es", et je gémissais de plus en plus.
Au bout de plusieurs minutes elle arrêta et repassa devant moi "D'habitude je ne fais pas ça à mes soumis mais je dois dire que tu as une belle gueule alors je vais faire une exception, approche toi et lèche moi, je te conseille de faire le plus beau cunni de ta vie" , j'étais aux anges, cette femme innaccessible m'offrait enfin une part d'elle, de son intimité, je m'approcha lentement et mis toute mon expérience, ma tendresse et mon envie à m'occuper de son superbe minou. Elle se laissa aller, colla ma tête contre elle avec ses mains jusqu'à m'éttoufer et dans plusieurs spasmes innonda mon visage de son délicieux liquide. "C'est bien soumis, tu as rempli ta mission mais tu as encore beaucoup à apprendre, maintenant branle toi et jouis rapidement par terre". Elle m'enleva mes menottes et je commença à me toucha et jouit plus rapidement et une quantité plus importante que jamais. "Lèche et que ça brille", je m'appliqua bien que toujours peu emballé à cette idée et nettoya le tout.
Soudain, je senti mon épaule touché par quelqu'un. C'était cette même femme qui me reveillait dans ce wagon pour Paris. Nous étions arrivé.
Qui sait, si un jour une femme pourra me sortir de ce rêve et m'emmener vers ces plaisirs, bien réels cette fois.

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