COLLECTION DOMINANT DOMINE. Incarcérée (1/2)

- Par l'auteur HDS CHRIS71 -
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : COLLECTION DOMINANT DOMINE. Incarcérée (1/2) Histoire érotique Publiée sur HDS le 19-09-2018 dans la catégorie Entre-nous, les femmes
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COLLECTION DOMINANT DOMINE. Incarcérée (1/2)
• Mesdames et messieurs, la cour.
• Monsieur après délibération, vu les faits qui vous sont reprochés, le jury vous condamne à 2 ans de prison, vous serez conduit à la centrale immédiatement par les gendarmes pour effectuer votre peine.
• Madame, vous êtes reconnu comme l’instigatrice de ce trafic de drogue entre le Maroc et la France, le jury vous condamne à 4 ans ferme de prison.
Gendarmes, emmenez les accusées.

C’est ainsi qu’à 52 ans, mère de deux enfants, grand-mère de deux petits enfants, les gendarmes me font sortir, nous étions en appel, mon avocat tellement nul baisse la tête, je suis amenée dans la prison ou malgré ma demande de cassation, je vais passer quelques années.

Si j’ai perdu mon procès avec une peine plus lourde que pour mon mari, c’est après les 5 kilos de drogue que la douane volante a trouvée à la frontière entre l’Espagne et la France dans notre camping-car.
Notre avocat nous a défendus, mais la police marocaine a fourni des photos de la place de Tanger où un homme m’apostrophe et me confie un paquet pour sa petite fille à Paris.
Notre camping-car étant immatriculé 75, il a été facile de me suivre pendant que je dépensais mes derniers Dirhams dans différents bazars et de jouer sur mes sentiments. L’homme certainement marocain parlait un français parfait, il m’a dit que ce paquet contenait un médicament indispensable pour la santé de sa fille restée en France avec sa maman après son expulsion étant sans papiers.
J’ai trouvé drôle qu’un médicament vienne du Maroc pour aller vers la France, il avait réponse à tous, ce médicament venait des États-Unis seul pays qui le fabriquait, il lui avait coûté une fortune, pour une enfant, j’ai accepté.
Je me retrouve emmené vers mon destin, arrivé à la prison, on me fait déshabiller, je prends conscience que je suis devenue un simple numéro, tenue carcérale loin de mes tenues bon chic bon genre.

• Aller entre là, t’a intérêt à te tenir pénarde, j’ai horreur d’être dérangé.

Pas commode la gardienne, j’entre deux femmes sont dans la cellule.

• Gertrude pourquoi un matelas parterre, tu sais bien que je refuse que ma cellule soit surpeuplée, met ta bourge ailleurs.
• Antonella, tu vas voir si tu me casses les couilles, on m’a dit de la mettre là, je fais mon boulot, je la mets là.

La gardienne referme la porte, j’avais échappé à la prison depuis le début de mon affaire, là je suis bel et bien dans la panade, pour éviter d’être impoli et dire que je suis dans la merde.
J’avais comparu libre la première fois, j’avais pris 3 ans, alors que j’ai voulu rendre service, mon avocat a fait appel, peine aggravée d’un an avec incarcération immédiate, il a été plus nul que la première fois.

• Pourquoi t’es là vieille peau, t’as tué ton mec avec un ouvre-boîte ?
• On m'a condamné par erreur, j’ai voulu rendre service à un homme en apportant un paquet à une petite fille du Maroc, il contenait cinq kilos de cocaïne.
• Lucette, tu l’entends, cinq kilos de coque et elle est innocente, depuis cinq ans que l’on fait cellule commune, combien de fois nous avons eu des invités sur leur matelas posé au sol.
• Douze, peut-être treize.
• Combien étaient innocentes.
• Douze, treize, non, une, a reconnu avoir tué sa voisine qui lui piquait son mari, elle s’est pendue dans la nuit avec le drap, donc douze innocentes.
• Dit donc Lucette, tu as déjà vu la chatte d’une vieille bourge.
• Non, Cruella, ce sera la première, je veux bien voir ça.
• Pétasse, depuis combien de temps, es-tu mariée.
• 35 ans avec Jules, il est en prison lui aussi.
• Ça doit pendre de partout, elle doit avoir des grandes lèvres qui traînent jusqu’au sol.
• À poil la bourge.
• La bourge s’appelle Sylvie.
• Qu’en penses-tu Lucette, on l’appelle Sylvie.
• On a choisi de t’appeler la bourge, alors ferme ta gueule.
• Vos parents ont oublié de vous apprendre la politesse.

Celle qui se fait appeler Cruella, mais que la gardienne a appelé Antonella, saute du lit à deux étages, vient à moi et m’attrape par les cheveux, me renversant la tête en arrière, venant me parler sous mon nez.

• Tu vas apprendre à me parler autrement, depuis que tu as franchi cette porte, tu es ma chose, j’ai dit à poil.

Elle me lâche et saute sur le lit, elle doit avoir 20 à 25 ans, je me rue sur la porte et je frappe, frappe, frappe à m’en faire mal à la main, on arrive vite au bruit que j'entends, les verrous sont ouverts.

• C’est toi qui tambourines sur cette porte, tu vas réveiller toute la prison.

Avant que la porte s’ouvre Cruella, je préfère l’appeler comme ça, vu son genre, cheveux coupés à la garçonne, les temples presque à zéro et le dessus à cinq centimètres, elle a dû avoir des piercings, les trous se sont refermés, je vois encore les traces plus brunes.
Cruella a prestement rejoint son deuxième étage, elle est les jambes pendantes.

• Elle est bourge ta bourge, je lui demandais qui elle était et pourquoi elle était là, elle est devenue barge et c’est mis à tambouriner sur la porte.
• Je vous connais les filles, le temps que j’arrive, ce sont les autres jamais vous, quant à toi la nouvelle, si ce qu’elles disent est vrai, recommence une seule fois à tambouriner sur cette porte et tu te retrouveras au mitard pour quelques jours.
Aller, arrêtez de m’emmerder.

Gertrude égale à elle-même ferme la porte devant mon problème.

• Alors la bourge, t’es baisée, t’as plus qu’a fermé ta grande gueule, à poil.

Tambouriner ça, je sais faire, mais c’est le mitard, avec retour à mon problème le jour où j’en sortirais, avec un peu de chance, ils me changeront de cellule et les mêmes gonzesses ayant l’expérience du vice me retomberont dessus.
Alors un à un jusqu’à ce que ma chatte soit à l’air, j’enlève mes fringues, elles ont gagné.

• Lucette baisse ta culotte, on va voir comment elle suce.

Comme si j’étais dans un autre monde, elle enlève son survêtement en même temps que sa petite culotte, elle se rassied en écartant les jambes.
Je sais ce qu’elles veulent que je fasse, je m’agenouille, ma tête se penche, la chatte brune se rapproche de moi, je me sers de mes mains, j’écarte ses lèvres vaginales et j’y plonge ma langue.
Surprenant au début, je finis par aimer faire rouler son clitoris sous ma langue.

• Putain, celle-là, tu vas aimer, elle sait y faire.
• Fais-lui voir comment tu récompenses les veilles salopes comme elle.
• Attends, ça monte, laisse là finie le travail, putain, c’est bon.

J’avais entendu parler des femmes fontaines, ma langue vient d’en faire démarrer une, plusieurs jets inondant mon visage, le dernier comme je dois respirer venant au fond de ma gorge.

• C’est bien la bourge, tu ignorais que tu étais une gougnotte, on t’a révélé ta nouvelle personnalité.

C’est à ce moment que Cruella saute de son lit et vient derrière moi.

• On va voir si elle mouille.

Sa main plonge dans ma chatte, directement trois doigts, je me tortille sachant qu’il m’est impossible de m’échapper.

• J’avais raison, elle mouille, j’ignorais qu’à son âge, on mouillait encore, regarde Lucette, j’ai déjà quatre doigts dans sa chatte, elle nous a bien parlé qu’elle avait eu des enfants.
• Oui, trois.
• Non deux, un garçon et une fille.
• Tu vois Lucette, elle participe, elle est chaude, ma main entre comme dans du beurre, veux-tu que je la fist ?
• Je sais que c’est ton plaisir Cruella quand tu en trouves une à laquelle tu peux le faire.

Elle pousse, sa main entre en moi, je la sens sans la voir et d’un seul coup, j’ai un orgasme, depuis combien de temps, ai-je eu une telle décharge, je le sais, trois ans d’abstinence avec mon mari et autant à simuler.

• À mon tour, les filles, le matelas au sol va nous aider, la bourge vient me lécher.

Sa main est sortie de mon vagin, me laissant une impression de vide, je passe ma main dans mon entrejambe avant de me retourner pour me retrouver dans la fourche de Cruella, comment fait-elle, sa chatte est dégagée de tout poil.
Je sens ma chatte qui s’est bien refermée, quand je plonge ma langue dans le vagin de l’autre pute alors que Lucette, venue derrière moi, me fait entrer sa langue dans mon anus, vierge de toute intrusion.

• Je vois ou t’as ta langue, tu lui fais une feuille de rose.
• Elle est propre comme un sou neuf, j’adore.

En très peu de temps, j’apprends plein de choses, la feuille de rose en étant une illustration, elle jouit sans petit jet, je jouis sans orgasmes.

• Au lit les filles, je suis contente, cette bourge à tous pour que nous passions de bons moments, Gertrude va être satisfait, la cellule 102 sera très sage tous les soirs.

Je place un drap sur mon matelas, je m’allonge, extinction des feux, je dors sans même prendre le temps de me poser des questions sur mon avenir.
D’un coup, je me réveille, la lumière permanente dans la cellule me montre une chatte près de ma bouche, elle est épilée, je l’ouvre pour sortir ma langue, un jet de liquide manque de m’étouffer.
Cruella se sert de ma bouche comme de chiotte, elle vide sa vessie, jusqu’à la dernière goutte, j’avale son urine, moi aussi, jusqu’à la dernière goutte, de salope, je deviens, je deviens, quel mot employé, si je sors, il faudra que je me renseigne.

• Merci la bourge, j’avais envie et tu m’en empêchais avec ton matelas, c’est le seul endroit que j’ai trouvé, bonne nuit.

Pervers, perversion, ce sont les mots que je cherchais cette nuit, dans cette cellule, en peu de temps, je suis en train d’explorer un grand nombre de perversions, évitez de leur dire, elles redoubleraient d’imagination surtout que je commence à aimer ça…

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Histoire sexe : Une rose rouge
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