COLLECTION VENGEANCE. L’île de ma soumission (3/3)

- Par l'auteur HDS CHRIS71 -
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : COLLECTION VENGEANCE. L’île de ma soumission (3/3) Histoire érotique Publiée sur HDS le 26-09-2018 dans la catégorie Dans la zone rouge
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COLLECTION VENGEANCE. L’île de ma soumission (3/3)
Je m’appelle Agathe, j’ai 32 ans, je suis mariée avec Louis qui en a 34, j’étais en train de baiser avec un SDF préalablement passé dans ma salle de bains quand mon mari est arrivé encadré par deux gorilles et une jeune femme toute de cuir vêtue.
Elle a demandé 100 000 € à mon mari pour m’emmener perdre cette habitude de me faire baiser par le premier venu et aussi perdre 30 kilos en suivant un régime dont elle a le secret.
Sur l’île où elle m’a emmené, je viens d’accepter un peu plus ma déchéance, j’accepte qu’un noir bien monté me baise pour un quignon de pain.
Deux jours après l’épisode, Dido se faisant enculer à un coin de rue, je vois qu’il a été libéré, son dos a dû recevoir le fouet, il est entièrement zébré de marques rouges.
C’est la nuit suivante qu’il vient nous rejoindre, je sors chercher ma pitance à la cafétarias, je suis accro au sexe du cuisinier, mais surtout au pain qu’il me fournit depuis trois jours.
Ayant bien joui, je passe à la fontaine faire mes abusions, ici on baise sans capote, c’est normal, nous sommes des chiennes, heureusement que j’ai un stérilet.
De retour, Dido baise Daisy elle devient de plus en plus experte dans le sexe, son fiancé voulait une vicelarde, il va être servi.
Le dimanche, un nouveau problème se pose, je fais vite abstraction en redoublant simplement mon passage à la fontaine. J’ai mes règles, je suis en train de me nettoyer quand un ouvrier me fait signe qu’il veut de moi.
Il me saute, mes règles semblant l’indifférer. Dans la journée, je reçois ma dose de bite, un seul voyant mon état me sodomise.
C’est lundi, la cloche sonne, comme prévu nous passons sous une douche puante, notre maîtresse nous épouille.

• Vous avez été en règle générale de bons chiens, j’adore les toutous dociles, chienne Dolly, on m’a rapporté que tu as défendu ma petite chienne Daisy contre la vieille chienne Zoé.

Tu lui as fait passer l’habitude de manger dans la gamelle des autres, vous en serez débarrassé, je l’ai envoyée se faire opérer pour lui ôter son tablier et lui faire refaire, les seins.
Pourquoi est-elle partie, aucune explication, quand l’ordre suivant me concerne.

• Les chiennes ici pour le poids, restent, les autres, retournez satisfaire mes ouvriers, Daisy, reste-toi aussi.

Pourquoi garde-t-elle Daisy, hélas pour moi je pers mon amie.

• Je considère que tu es devenue la salope que ton fiancé voulait faire de toi, tu pars par le bateau qui appareille aujourd’hui, tu seras dans ses bras dans quelques jours à Londres.

Je la vois venir vers moi, maîtresse Océane laisse faire, elle m’embrasse et me glisse dans l’oreille un numéro qui semble être de téléphone, je le répète dans ma tête, j’ignore quand je pourrais l’appeler, mais, je tiens à pouvoir le faire.
C’est l’heure de la pesée, j’ai perdu 5 kilos, je manque de me relever pour sauter de joie, un regard et je m’arrête, inutile d’aller me faire flageller.
Dès que je sors, je rejoins le repère où se trouvait la vieille chienne et qui est partie, je me glisse sous la maison, elle a réussi à récupérer une couverture, je vais pouvoir améliorer mon confort.
J’ai l’impression que je suis devenue la remplaçante de cette femme, dans les jours et les semaines qui suivent, je suis toujours sollicitée dès que je sors, je perds du poids, mais le tablier commence à recouvrir ma chatte.
Mon ventre rond était assez léger, cette masse de chair pèse de plus en plus, surtout que mes seins pendent de plus en plus. De chienne, je deviens castor, les noirs qui me prennent en levrette me tirent dessus de plus en plus.
Soixante deux kilos à la dernière pesée, encore 12 kilos, mais je perds en moyenne cent à deux cents grammes par semaine, jusqu’à ce lundi où maîtresse Océane renvoie à la rue ses chiens et chiennes, mais me demande de rester.

• Je m’attendais à ce que tu sois plus rebelle que ça, tu es un bon toutou, cette semaine, tu vas rester à mes côtés.

Elle était absente la semaine dernière, certainement partie chercher de nouvelles victimes lui rapportant du fric, car hier, j’ai vu une dizaine de nouveaux clébards chercher un coin pour dormir, l’un d’eux, un mâle blanc d’une quarantaine d’année, est venu voir ma couche.
J’ai montré les crocs et il a reculé, comment et pourquoi un homme de cet âge s’est retrouvé dans notre île, je l’ignore, comme j’ignore le son de sa voix, parle-t-il ma langue ou l’anglais, je préfère l’ignorer.
Madame Océane, fixe une laisse au mousqueton de mon collier, mon travail principal est de lui brouter la chatte, elle doit être épilée au laser, car sa chatte est glabre, alors que moi, j’ai une touffe qu’il faudra que je me fasse enlever dès mon retour.
J’ai le droit à une visite de l’île plusieurs fois, jusqu’à l’usine de distillerie, elle me fait boire du rhum, les deux fois je rentre pétée, tout ceci au détriment de mon poids, car je reprends presque trois kilos cette semaine que je peux considérer comme une semaine de repos.

• Tu mériterais que je te fasse passer dans ma chambre de torture, on te donne un moment de tranquillité et de plaisir et tu en profites pour t’empiffrer, je sais qu’un cuistot te donne un quignon de pain chaque nuit.

Je vais lui donner des ordres pour que cette pratique s’arrête, mais tu iras tout de même le voir pour te faire baiser, je sais que tu es sa chienne préférée, c’est l’un des plus gros travailleurs de mon île.
Je retrouve les rues, je retrouve la pluie, mais pour dormir, je dois me contenter d’un buisson, un couple m’a piqué le trou sous la maison et ma couverture et la carcasse a disparu.
Ces conditions extrêmes sont doublées de bagarre au moment de manger nos gamelles.
Qui eut dit, moi qui défendait Daisy de cette vieille peau, que je serais pire qu’elle, chaque fois qu’un chien ou une chienne arrive avec un peu de retard, leur gamelle est vide.
Le lundi suivant, la punition arrive, je me trouve attachée par les poignets et le fouet transforme mon fessier et mes seins en phare rouge, seule ma chatte échappe aux lanières des deux gorilles qui m’ont amenée ici.
La peau de chaire tombant devant elle la protège, combien de temps, je reste dans cette pièce, étant régulièrement baisée et même prise en double pénétration, ou en suçant l’un pendant que l’autre me sodomise.
Je finis par tourner de l’œil, je me réveille couchée dans des draps blancs, je suis dans une chambre, une infirmière entre, voit que je suis réveillée, ressort et referme la porte.
Quelque temps plus tard, maîtresse Océane est là avec mon mari, une mallette à la main.

• Voilà, je te rends ta chienne de femme, elle a perdu tous les kilos que tu souhaitais lui voir perdre, je lui ais administré un sédatif, qui lui a permis de dormir pour qu’elle rejoigne Paris.

Elle a été opérée hier, dans quelques jours, la cicatrice due à l’ablation du tablier de chair et les implants pour ses seins en feront une femme neuve, tout cela pour 100 000 €.

• Voilà l’argent, j’espère qu’elle sera raisonnable, sinon, tu la récupéreras quelques temps dans notre île.

J’ai quitté la clinique dans sa voiture quinze jours plus tard, dès que je l’ai pu, je me suis échappée vers l’Angleterre, j’ai appelé le numéro que m’avait glissé Abby avant son départ.
C’est vrai, celle que maîtresse Océane appelait Daisy est en réalité Abby, nous tombons dans les bras l’une l’autre, elle a quitté son fiancé de son côté, mais est restée une petite chienne lubrique.
J’en fait l’expérience dès que nous nous trouvons dans sa chambre, sa chatte parfumée vient se frotter sur la mienne que j’ai fait tailler dans mon institut de beauté, nos clitos se retrouvent avec délice.
Une grande partie de la nuit, elle me fait jouir, j’en fait autant pour elle.
Où sommes-nous en ce moment, sur une île dans les Caraïbes, après la plainte que j’ai déposée avec Abby pour maltraitance de la part de mon mari, la police a découvert le trafic de maîtresse Océane.
Elle a été arrêtée ainsi que Louis, Hari le fiancé d’Abby ainsi que des dizaines d’autres personnes à travers la planète, tout leur réseau est tombé, faisant apparaître les trafics qu’ils faisaient.
Louis était propriétaire de l’île, des champs de canes à sucre et de la distillerie, étant toujours mariée, la police et la justice m’a rendu ses biens, nous sommes en train de changer le système qu’ils avaient mis en place.
Mon île étant dans une zone me permettant de le faire, j’ai ouvert le plus grand casino, bordel légal de la zone, mes ouvriers sont rémunérés à la juste valeur de leur travail, certains se sont mariés, d’autres me rendent leur salaire en toute légalité.
J’ai créé deux centres de vacances, l’un classique à case familiale l’autre géré par Abby, qui participe activement aux soirées érotiques.
Ce qui m’a coûté le plus cher, c’est la piste d’aviation, la longueur de l’île étant trop courte, il a fallu gagner sur la mer.
Abby et moi avons nos propres gardes, les gorilles de maîtresse Océane, nous sommes sur la terrasse de la belle villa que nous nous sommes fait construire face aux vagues de l’océan.
Quant à Louis et Maggy, c’est le nom de maîtresse Océane, elle est née à Lille, a été none avant de rencontrer ses acolytes dont mon mari.
Nous venons d’entendre sur nos ordinateurs qu’ils sont condamnés à 20 ans de privation de liberté pour avoir transformé des êtes humains en esclaves.

Je vous quitte, une belle bite noire se présente devant ma bouche, il est difficile de vous parler la bouche pleine.

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