Bal chez le Duc

- Par l'auteur HDS FED ERIC -
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Auteur homme.
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Récit libertin : Bal chez le Duc Histoire érotique Publiée sur HDS le 27-08-2018 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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(8.0 / 10)

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Bal chez le Duc
Il a ouvert les courtines , j'y étais seul, Nicolas étant ja parti sans doute préparer la repue (le repas) du matin.
J'ai fait de la place pour le duc .Hé bien Titou?
J'ai simplement raconté mes débuts et comment vous m'aviez découvert mais sans vous citer. Je le dirais au roi ce soir si il le désire.
Titou tu es une perle d'amitié et de retenue.
Et vous un don du ciel sans vous je n'aurais rien et ferais toujours la soupe aux galèriens.
Cette après midi (vu l'heure tu as peu de emps pour y penser) j'organise un bal où chacun se vêtira à sa façon. Homme, femme, follieuse ou fredin et tous seront masqués jusqu'à la fin. Fais ton choix j'ai fait porter des nippes de toutes sortes dans ta garde robe. A part les valets pour les boissons qui eux seront démasqués pour les besoins du service. Il a passé la main sous ma chemise. L'idée te paraît bonne tant mieux. Mais qu'es ce? Il avait vu le petit rubis .
Un geste du roi avant de le quitter .
Par ma foi tu as du lui plaire. Si ce n'était le roi, j'en serais jaleux. Il est donnant mais un rubis! Je ne te demanderais pas ce qu'il ou ce que vous avez fait , c'est notre roi. Je te laisse, amuse toi bien.
A peine parti , Nicolas a surgi avec mes viandes du matin, les quelles j'ai glouties comme un affamé. Je suis allé sur la chaise percée, geste nécessaire à tous mais une commodité pour nous, dans certains lieux de petits seigneurs faisaient leurs affaires sur du sable qu'un valet ramassait.
Une fois terminé et essuyé avec un linge je me sus rallongé, pensif. Nicolas a respécté un moment mon silence puis: Peus je monsieur poser une question?
Pose Nicolas et si je peux j'y répondrais.
Que vous vaut ce grand pensement?
Tu ignores tout de la vie et je me demandais si la roue de la fortune irait dans le bons sens et jusqu'à quand!
Peux tu aller voir le Duc si il peut me recevoir .
J'y cours.
Il est à sa toilette et vous pouvez toujpurs le voir a-t- il dit.
Je suis passé dans les couloirs en chemise longue jusqu'à son petit cabinet ou il était apprété par deux ou trois pages.
Ils peuvent nous laisser monseigneur?
Il a eu un geste et tous sont sortis.
Un problème Titou?
Vous avez dit que l'on pouvait prendre la tenue que l'on voulait. Oui quel est le problème?Je me suis approché de lui pour expliquer ce que j'envisageais. Il a commencé par sourire et a fini par une franche rigolade.
Mais oui, bien sur, tu seras l'attraction du bal, j'aurais du avoir l'idée moi même.
Merci monseigneur, je me suis retiré en diverses courbettes de cour. Il en riait encore.
J'ai paressé jusquà l'heure du bal, ayant envoyé Nicolas en mission un tas de vêtements sous le bras. Il est revenu , j'entendais les premiers équipages dans la cour et les invités descendre. Quand il est revenu il avait un air réprobateur. Il a fallu marchander , personne ne voulait changer de vêtements, disant qu'ils ne pourraient plus mendier avec ça.
Il a posé un sac avec des hardes telles que je les voulais. pas trop sales mais trouées et déchirées, là où la décense forçait le regard sur ce que l'on cache d'habitude. J'ai enfilé les braies déchirées et un bliaud en mauvais état, le tout savamment délabré Un masque de chien mastiff complétait mon costume. J'ai fait un clin d'oeil avant de mettre le masque à Nicolas et suis allé rejoindre la salle de bal.
Plusieurs fois repoussé par des majordomes mais sermonnés par Nicolas , ils me laissaient passer. Mon entrée a été remarquée, le vide se faisant autour de moi. Il y avait quelques "femmes" ou habillées comme telles et pas mal de gentilhommes plus coquets les uns que les autres mais qui à mon arrivée on délaissé leur compagne pour faire le tour de mon déguisement, cherchant à deviner qui avait eu l'audace. J'ai cru reconnaître le duc à ses yeux et son sourire, sa main s'est un instant égaré par le trou du bliaud, effleurant un téton qui a aussitôt réagi. Humm joli garçon, il faudrait le nourrir il me semble affamé.
Il faut le faire attendre un peu. Gaver un canard comme en Gascogne demande du savoir faire.(Dit avec l'accent savoureux des gens d'Oc, le personnage avat du charme).
Tout dépend comme le nez de Cyrano si le gaveur sait enfoncer la pointe de gavage.
Ma répartie a fait rire autour de moi.
Voyez vous ça l'effronté. Il en faudrait mourir!
Resserrés contre moi j'ai senti des mains passer par les diverses déchirures. Une main fort douce a cependant tâté ma main et l'anneau qui ne me quittait plus.
D'un mot à l'oreille j'ai compris qui palpait l'anneau.
Et bien Titou, tu te montres dans ton premier état?
Vous? Pardon, j'ignorais votre venue.
J'aime aussi m'amuser et ce qui délasse et me fait échapper pour un instant à ma charge est si bon. Son index glissait entre mes fesses à peine recouvertes et il n'a eu aucune peine à introduire son royal doigt, car en effet qui d'autres que lui aurait reconnu l'anneau baillé il y a si peu de temps.
Mon braquemard a fièrement trouvé une ouverture dans les braies, maugrée le mauvais état d'icelles. Il l'a repoussée dans le tissus , secouant le corps du délit de la main.
Penché contre moi, il a glissé à l'oreille: Ce soir j'ai réunion du conseil pour délibérer de choses trop importantes pour être remises et je crains de rentrer trop tard. Je te ferais dégorger ta semence à en rendre gorge. Il est parti comme il est venu. Un instant il était là puis n'était plus.
Le duc qui devait savoir qui était le roi pour le protéger même dans une telle soirée s'est approché.
Tu est le clou de la soirée. A tout point de vue, Il fixait ma mentule dressée qui ne se rabaissait pas. Tu devrais voir les gentes fillettes qui le sont si peu et qui sont rassotées de sexe d'homme . Après une main royale une bouche accueillante ne peut que satisfaire un baron. Il m'a entraîné vers des vertugadins qui avaient ceci de bien qu'ils cachaient le bas du corps et une fois entouré de ces vertugadins fous j'ai du subir l'outrage de leurs bouches. Je dis bien leurs car cachées par les autres elles se faufilaient, bouche en avant sur mes braies et qui ma mentule, qui ma raie j'étais mangé pour ne pas dire dévoré. Délicieusement certes.L'une(pour être exact je devrais dire l'un ) donnait de fort coup de tête sur mon vit mais voyant son vertugadin relevé j'ai deviné que la place était investie par derrière.

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Texte coquin : Bal chez le Duc
Histoire sexe : Une rose rouge
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