Compagne de plus en plus exigeante

- Par l'auteur HDS Dede des alpes -
Auteur homme.
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Récit libertin : Compagne de plus en plus exigeante Histoire érotique Publiée sur HDS le 01-09-2018 dans la catégorie A dormir debout
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Compagne de plus en plus exigeante
Depuis quelques temps à plus de cinquante ans j’ai été licencié et passe tout mon temps à la maison. Ma compagne plus jeune, elle a la trentaine, me prend de plus en plus pour son serviteur.
Une fois par mois l’après-midi elle reçoit des amies et je dois assurer le service de ces dames. Je dois alors, totalement nu uniquement paré d’un nœud papillon leurs servir thé et petits gâteaux attendant sagement les mains dans le dos qu’elles expriment une demande. Ces dames assises dans le canapé ou sur des sièges assez bas n’hésitent pas pour m’exciter lorsque je leur présente les tasses et m’incline sur leurs larges décolletés à passer une main discrète sur mes attributs ce qui a pour effet de faire gonfler ma queue qui placée à bonne hauteur de leurs visages permet d’admirer son durcissement progressif.
Chaque réunion permet une progression dans leurs demandes. Ainsi Martine a proposé que plutôt que de rester debout il leur serait plus agréable de me voir déambuler à quatre pattes dans le salon cul bien cambré. Ma compagne a aussitôt acceptée cette proposition et dorénavant quand je ne porte pas de tasse je dois adopter cette position qui d’après ses amies met bien en valeur mes grosses couilles pendantes qui se balancent entre mes cuisses qu’évidemment je dois conserver largement écartée pendant mes déplacements.
Simone la fois suivante m’a apporté un cadeau : une sorte de martinet qu’elle m’a enfoncé à sec dans l’anus, pour qu’il ne ressorte pas dit-elle pendant mes déplacements. Cela me faisait une sorte de queue de cheval qui ornant mon arrière-train se balançait à chaque pas. Après quelques tours de salle ma compagne a raccourci les lanières qui un peu longues masquaient le balancement de mes couilles. Acceptée à l’unanimité des participantes cet ornement devrait désormais faire partie de toutes leurs réunions.
Elles ne savaient plus que faire pour agrémenter ces après-midi. Moi à quatre pattes, elles assises sur leur siège prenaient un malin plaisir à me montrer leur entre-jambe, deux ou trois ne mettant plus de culotte afin que mon désir soit exacerbé par leur fente entr’ouverte et souvent baveuses. J’ai été autorisé par ma maitresse à leur rafraîchir la moule de quelques coups de langue. Elodie m’a même demandé saisissant ses jambes sous les genoux pour les ramener vers ses épaules de bien humecter toute sa zone génitale depuis son clitoris jusqu’à son anus. Ce fut un moment jouissif pour moi d’autant plus que toutes ses amies s’étaient agenouillées pour apprécier de très près cette action, certaines me malaxant les boules!
La fois suivantes agenouillées sur leur siège toutes, culs écartés sous mes yeux, ont voulues que ma langue les fasse jouir à tour de rôle.
Une autre fois se sont elles qui nues se sont allongées sur la moquette et m’ont demandé de ramper sur leur corps mon sexe glissant lentement sur leurs visages, leurs seins, leur ventre et bas-ventre ! Ma bite et mes couilles se sont régalées d’entrer à-demi dans leurs bouches que beaucoup malicieusement gardaient largement ouvertes. Je ne me suis pas privé moi-même d’aspirer quelques tètons, de titiller de la langue quelques clitoris dressés et même d’introduire cette langue dans des moules accueillantes. J’ai bien entendu fait durer cette reptation sensuelle le plus longtemps possibles au grand plaisir de ces dames.
C’est Véronique qui lors d’une séance de thé a réclamé un peu de crème. N’en ayant pas ma compagne a aussitôt proposé que celle-ci utilise en remplacement mon sperme et me fasse éjaculer dans sa tasse. Proposition bien évidemment acceptée à l’unisson. Toutes se sont rapprochées pour me voir à quatre pattes malaxé par des mains expertes afin que je crache ma semence dans la tasse disposée au sol. Comme à leurs demandes mon sperme ne venait pas assez vite l’une a agité en va et vient dans mon cul le manche de la queue de cheval, l’autre me malaxant les couilles pendant que la troisième me branlait vigoureusement. Sous les hourras enfin le dessert attendu a fusé, il a même failli manquer la tasse placée trop près de mon méat. La dose importante fut partagée entre plusieurs amatrices. Véronique pour ne rien laisser perdre n’a pas hésité à aspirer les dernières gouttes qui suintaient de mon organe.
Marie elle, a apporté un anneau de cuivre assez large mais de faible diamètre. Elles ont du s’y mettre à plusieurs tirant sur ma queue et mes couilles pour y passer mon sexe et amener ce bracelet tout contre mon pubis. Toutes contentes elles ont pu admirer mon matériel qui même flasque était projeté en avant!
Lors de la réunion suivante Véronique a proposé ce qu’elle a appelé « l’après-midi Nounous ». Assises sur des chaises les unes à côté des autres, moi évidemment nu, mais sans ma queue de cheval, allongé sur leurs cuisses le plus souvent largement découvertes je devais pendant environ trois minutes téter chacune de leurs mamelles. Pendant que quelques mains s’occupaient à soupeser mes bourses, tirer sur mon pénis ou titiller mon anus j’ai pu apprécier les différentes tailles, formes de pis, différentes grosseurs ou longueurs des mamelons de ces dames qui s’érigeaient sous mes lèvres. Dois-je dire que j’ai vraiment apprécié cet exercice autant je le suppose que mes nounous improvisées dont les exclamations et le babillage trahissaient l’excitation ? Pour moi le plus agréable fut lorsqu’en fin de chaine j’ai saisi entre mes lèvres le téton de l’un des volumineux seins de Marie de sentir couler un délicieux nectar, légèrement sucré. Ma succion fit venir une abondante lactation que j’ai eue de la difficulté à avaler, qui débordait de mes lèvres. Marie expliqua qu’elle venait à peine de sevrer son dernier-né et que son lait n’était donc pas encore tari ce qui expliquai l’abondance du liquide nourricier coulant de ses mamelles encore très gonflées. Une aubaine pour moi qui me suis régalé de ce nectar. Mais je n’ai pu profiter de la totalité de sa production, Véronique, Simone chacune accrochée à une des mamelles m’ont écarté pour téter aussi une part de ce breuvage. Quand à Jeanne n’ayant pas de téton à sucer elle s’est attaquée à mon pénis qui lui a craché une bonne dose de jus de couilles, sans doute moins sucré que le liquide des pis de son amie, mais surement aussi agréable à déguster pour une femelle .
-Notre bébé doit faire son gros pipi décréta ma compagne. Allez debout jambes écartées dit-elle. Chacune à son tour tiendra sa bite pendant qu’il urinera.
Aussitôt toutes ces dames m’entourent, à genoux pour être à bonne hauteur et visionner de près le jet qui sortira de mon méat. Ma compagne tient un petit seau près de mon organe pour récupérer l’urine. J’ai un peu de difficultés au début à m’exécuter puis ma bite passant de mains en mains finit par laisser passer le liquide attendu. Pendant la miction les mains qui ne soutiennent pas ma queue, passées par derrière entre mes cuisses allègent mes bourses, de temps en temps deux ou trois doigts s’insèrent dans mon cul. Mes efforts pour uriner font pulser mes sphincters qui exercent une agréable pression sur ces corps introduits dans mon anus. Quand le flot se tari c’est Simone qui entre ses lèvres récupère les dernières gouttes secouant un peu ma nouille. Je me sens vraiment leur jouet sexuel.
Je me souviens que l’après-midi le plus jouissif est venu d’une idée de Jeanne qui a voulu vérifier si les dimensions de nos sexes étaient bien en adéquation ! Ma compagne pour que ces dames soient à bonne hauteur s’est mise nue à quatre pattes sur la table. Il me fut ordonné de, après avoir ôté mon plug anal, m’agenouiller derrière elle et de coller mon ventre tout contre ses fesses. Nous avons tous deux largement écartées nos cuisses pour que Jeanne puisse passer sa tête entre-elles et que d’une brève fellation elle fasse durcir mon membre. Demandant à deux amies d’écarter au mieux la moule de ma compagne elle ajusta mon gland près de l’entrée. Une poussée sur mes fesses en assura l’introduction profonde, mes couilles venant brutalement heurter l’arrière train de madame ! Puis elles m’ont fait reculer pour dégager à demi mon membre laissant la place de mains dont les doigts s’introduisaient entre nos deux sexes jaugeant l’élasticité des lèvres génitales de ma compagne. Jeanne enveloppant ma bite de sa main me repoussa vers l’avant :-Regardez son vagin est tellement large que ma main et sa bite sont entrées ensemble dans la moule de notre amie ! Ma pauvre amie tu ne dois pas tellement te sentir emplie par cette nouille chétive ! Quand mon mari sera disponible il viendra nous démontrer ce qu’est un vrai mâle ! Tu auras même droit aidé de ta lopette à une double vaginale ! Je vais essayer d’organiser cela pour notre prochaine réunion, je me réjouis de voir deux bites te pénétrer et te procurer un tel plaisir. Crois moi je l’ai expérimenté souvent et c’est incroyable le plaisir que procure le fait de se sentir totalement emplie !
Pendant qu’elle parlait je sentais sur mon arrière train le souffle chaud de toutes celles qui se penchaient sur notre accouplement pour constater cela de très près.
-Excusez-moi j’ai appelé mais comme personne n’a répondu et que j’ai entendu vos voix je me suis permis d’entrer… ce que je ne regrette pas devant le spectacle que vous m’offrez !
C’est notre voisin qui s’annonce et ne parait pas s’offusquer de nos positions. Il est vrai qu’il connait nos habitudes et m’a souvent vu déambuler nu dans le jardin sous les ordres de mon amie … mais de là à nous voir dans cette position … je me sens prêt de débander, heureusement la main de Jeanne qui enserre toujours mon vit enfourné dans la moule continue sa pression maintenant mon désir.
-Je voulais juste vous demander si vous avez besoin de quelque chose je vais faire des courses pour moi…mais n’arrêtez pas vos agréables occupations pour moi…je vous laisse…dommage que je ne puisse rester, je vous aurai bien aidé.
Cette fois notre réputation est faite. Pourvu qu’il garde cela pour lui ! Il faudra que je propose à ma compagne de lui accorder ses faveurs et qu’il partage nos ébats pour qu’il se taise.
Par contre j’ai subi un après-midi de forte humiliation lorsque Marie est arrivée avec son amant. Bisexuel et doté d’après elle d’un sexe assez exceptionnel elle avait proposé qu’il leur offre un spectacle et m’encule devant-elles. J’ai frémi lorsque que ces dames l’ont dévêtu : effectivement sa bite et ses couilles étaient d’une taille assez terrifiante pour moi, même si cela semblait réjouir l’assemblée ! Que dire lorsque sous leurs bouches et mains actives la queue s’est dressée dans tout son volume ! Fort heureusement ces dames après avoir ôté l’ornement dont mon cul était toujours paré l’ont abondamment enduit de leur salive. Plusieurs doigts ont fait pénétrer une bonne dose d’une matière grasse dans mon anus pendant que de multiples mains tenaient mes fesses largement écartées. Enfin Marie sous les yeux attentifs de ses compagnes saisissant le gourdin de son amant le présenta à l’entrée de mes intestins. Ma compagne placée devant moi me tenait les épaules pour que je puisse résister à la poussée exercée sur mon anneau que je tentai de décontracter pour permettre l’introduction de cet énorme mandrin sans trop de douleur. Un hourra sorti des bouches de ces dames lorsque les grosses couilles de mon sodomiseur s’écrasèrent contre mon périnée…il s’était totalement enfoncé dans mes entrailles et commença le va-et-vient de sa bite dans mon cul…les amies de ma compagne toujours rassemblées près de mes fesses qu’elles tenaient encore plus écartées si possible pour profiter pleinement du spectacle n’hésitaient pas à saliver abondamment dans ma raie pour faciliter le glissement de cet engin qui distendait mon anneau anal. D’après Marie qui me l’a raconté ensuite, chaque fois la bite reculai mon sphincter enserré autour du mandrin suivait, se boursoufflai puis se rétractai entre mes fesses à la poussée suivante ! C’était parait-il un spectacle pornographique et excitant que ne voulaient manquer aucune de ces dames qui tour à tour venaient cracher sur le volumineux sexe qui entrait et sortait rythmiquement de mon cul. Au début de la séquence j’ai cru mourir de honte d’être ainsi exposé, enculé devant toutes ces femmes puis petit à petit le plaisir est monté, la bite frottant mon intérieur provoquait une sorte de massage de la prostate et mon excitation croissait jusqu’à arriver à une jouissance inconnue, plus forte que celle ressentie lors d’une masturbation ou même d’une fellation ! Encore plus jouissif lorsqu’un liquide chaud et épais fusa dans mes entrailles. Je me suis surpris à me demander pourquoi une telle zone de jouissance pouvait se trouver placée à un tel endroit et pris la résolution de recommencer, bien sûr avec l’accord de ma compagne, le plus souvent possible cette satisfaction anale. Avec son assentiment pour remercier mon enculeur j’entrepris de le sucer jusqu’à ce que son érection ai repris une belle forme.
-A mon tour de profiter de cette belle queue s’écria ma compagne. Couches- toi sur le dos, je vais me placer en 69 au-dessus de toi, tu seras ainsi aux premières loges pour voir sa bite me pénétrer, tantôt dans le vagin tantôt dans le cul. Et surtout n’hésites pas à lécher abondamment ses couilles et surtout sa bite pour qu’elle coulisse facilement dans mes orifices. Mes amies assistez-le autant que possible, soutenez sa tête pour qu’il n’ait trop pas d’effort à faire pour être à bonne hauteur de nos culs…veillez à ce qu’il garde les yeux et la bouche ouverts pour profiter pleinement de ces pénétrations… et déguste toutes les sécrétions qui vont s’écouler pendant l’action…allez-y, crachez dans ma raie pour faire glisser cette bite gigantesque…Ce fut une réunion mémorable, je n’ai jamais ressenti une jouissance aussi prolongée. L’apogée fut quand sans déculer de ma compagne leurs fesses vinrent s’écraser sur mon visage puis à mesure que le mâle se retirait de son anus sa bite pleine de mouille et de sperme se nettoyait sur ma langue que je tendais avidement.
Depuis je suis dans l’attente de ce que ces dames vont imaginer pour pimenter leurs réunions. A la fois impatient du prochain rendez-vous mais inquiet de ce qu’elles vont me demander de subir ! Leur imagination perverse me semble sans limite…

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