Voyage Initiatique : Chapitre 8 : Etats-Unis Partie 2 – New York, Unité Spéciale

- Par l'auteur HDS Ninemark -
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Récit libertin : Voyage Initiatique : Chapitre 8 : Etats-Unis Partie 2 – New York, Unité Spéciale Histoire érotique Publiée sur HDS le 16-09-2018 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Voyage Initiatique : Chapitre 8 : Etats-Unis Partie 2 – New York, Unité Spéciale
Chapitre 8 : Etats-Unis Partie 2 – New York, Unité Spéciale
Me voilà enfin au cœur de New-York après avoir galéré à travers le pays. Ça m’a pris plus de temps que prévu mais qu’importe le temps quand on voyage sans délai. J’ai gardé contact avec Dean et il m’accompagne presque chaque jour depuis mon départ. On parle de tout et de rien et me raconte comment se passe ses journées pendant que je lui envoie des photos de mon voyage. N’étant jamais allé à New-York, j’offre un live spécial à Dean via un FaceTime. Mais il est l’heure de trouver un moyen de dormir et j’avoue être fatigué de dormir de lit en lit dans un confort des plus modestes. Je décide donc pour cette première nuit de m’accorder une chambre d’hôtel et j’aviserai ensuite. Je me trouve donc un hôtel pas trop cher mais en même temps bien placé et confortable. J’avoue avoir mis un peu plus d’argent que prévu mais je vis tellement en mode « roots » que je suis bien en dessous de mon budget prévisionnel. Je me présente à l’accueil et un charmant jeune homme est là pour me réceptionner et me donner les clés de ma chambre. J’hésite à sortir une phrase d’accroche mais je laisse filer pensant que je ne suis pas obligé de draguer tous les beaux mecs que je croise même si ça fait un moment que je n’ai pas baisé. Je me pose dans ma chambre et étant donné qu’on est encore le matin je m’autorise un petit somme dans ce lit bien moelleux. Je finis par m’endormir et me réveiller quelques heures plus tard.

Je regarde ma montre et voit qu’il est déjà plus de 15h ! J’avais vraiment besoin de sommeil ! Je me lève, me douche rapidement et descend à la réception. Décidément, le réceptionniste me plait beaucoup et j’ai la vague impression que je ne le laisse pas indifférent car je le sens me suivre du regard. Je finis par aller à sa rencontre et demander des renseignements futiles sur la ville histoire de parler. J’en apprends rapidement sur son identité et gardant encore un minimum de distance, je mets fin à la conversation rapidement pour partir découvrir la ville. Je fais ce que j’aime le plus dans mes voyages, me perdre. Je marche à travers les rues et pars où j’en ai envie sans chercher une cohérence. C’est dans ces moments que je tombe sur des endroits non connus et charmants ou encore des restaurants non touristiques. Je m’enfonce dans une rue quelque peu déserte, j’ai complètement quitté les quartiers touristiques. Et c’est à ce moment que mon séjour new-yorkais allait se complexifier. Deux mecs déboulent de nulle part avec des sacs et visiblement masqués, les flics à leurs trousses. Puis tout est allé super vite. Je me suis retrouvé au sol, menotté avec les deux mecs qui se sont fait chopper quelques mètres plus loin. Puis je me retrouve dans la voiture de police sans rien comprendre. Un vrai film !

Me voilà dans le poste de police en garde à vue et j’attends seul dans une cellule séparée des deux autres gars. Un flic entre dans la cellule et me dit que je vais être reçu pour interrogatoire. Je le suis sans trop savoir quoi faire et quoi dire. J’ai beau avoir tenté dans la voiture de prouver mon innocence, personne n’était enclin à m’écouter. J’arrive enfin dans la salle où je m’assieds face à une table encore vide. Le flic m’attache les poignets à la table et quitte la pièce. Je me retrouve alors une quinzaine de minutes, qui m’ont paru des heures, à attendre que quelqu’un débarque tout en me sentant observé. Puis enfin, un mec débarque dans la pièce pour venir s’asseoir en face de moi. J’ai vraiment l’impression d’être dans un film et je ne sais même pas quelles doivent être mes réactions. La seule chose sur laquelle je me raccroche c’est à quel point le mec est canon. Je ne sais pas si c’est un flic normal ou s’il a un grade ou quelque chose mais il est bandant au possible. Je dirais du genre 35 ans, bien entretenu, brun, yeux ténébreux, petite barbe de trois jours et une mâchoire carrée mais pas trop. Mon regard se pose sur ses mains et je vois ses mains imposantes et tellement belles avec quelques veines qui ressortent plus que d’autres. J’ai du mal à me concentrer sur ce qu’il est en train de me dire et je me retrouve confus en lui demandant qu’est-ce qu’il venait de me dire. Heureusement pour moi, je peux jouer la carte du touriste et simule le fait que je viens de comprendre. Il joue dans mon sens quelques minutes mais vient ensuite le moment où il conteste toutes mes informations et remet en cause mon identité. J’hallucine ! Je soutiens alors que les papiers sur moi sont vrais et il me tourne toutes ses phrases de manière à tenter de me chopper. Sauf que je n’ai rien d’autres à dire que la vérité. De ce que j’ai pu comprendre de l’histoire, ils sont à la recherche d’un Mac qui a fait introduire de nouveaux produits illicites. Toutes leurs recherches les ont menés dans ce quartier et tout s’est confirmé en trouvant le repaire d’où proviennent les deux mecs. Le souci c’est qu’il y a des preuves qui montrent qu’ils étaient trois dans le repaire et mon arrivée a semé le doute. Alors je dois passer une trentaine de minutes à expliquer pourquoi un touriste comme moi trainait dans ce genre de quartier. Je leur supplier d’appeler l’hôtel dans lequel je réside mais ils n’en n’ont que faire et le beau gosse quitte la pièce pour prendre une décision avec ceux derrière la porte. Je ne manque pas de jouer de mes charmes en le fixant comme j’aime le faire, à mes risques et périls. Le flic revient une dizaine de minutes plus tard et m’annonce que je vais passer la nuit en garde à vue et que suivant les preuves, je serai libéré ou non demain. Je tire une tronche de cent pieds de long et manque de les insulter de tous les noms. Le flic poursuit son monologue protocolaire et m’assigne une cellule fermée car les autres sont déjà prises et que je suis le suspect le moins sûr de tous. Il se lève finalement et part prendre la porte. Je le retiens au dernier moment en lui demandant pourquoi ce n’est pas lui qui me transfère à ma cellule de luxe et après m’avoir souri, il rétorque que ce n’est pas son job car il a d’autres choses plus importantes à faire. Je le regarde désespérément partir et voit le flic grassouillet avec la cinquantaine passée venir me transférer.

Je repense à ma journée et me dit que ça n’arrive qu’à moi ce genre de conneries. Cela fait quelques heures que je suis dans ma cellule et la faim commence à se faire ressentir. Comme si on avait entendu mes prières, la porte s’ouvre avec un plateau repas. Mais à croire que plusieurs prières ont été entendu, ce plateau est apporté par mon interrogateur sexy. Je ne peux m’empêcher de sourire à sa venue et il ferme la porte derrière lui. Je lui dis sur un ton sarcastique qu’en effet il a de sacrées responsabilités. Il comprend l’ironie et avoue son impertinence de tout à l’heure. Il s’assied sans question sur ce qu’on peut appeler mon lit. Il enchaîne la discussion en revenant sur l’interrogatoire de tout à l’heure. Je lui demande si c’est autorisé de continuer les interrogatoires en cellule ou si on a le droit à avoir un peu de repos dans cet hôtel-prison. Il rigole à nouveau mais reprend rapidement un ton sérieux. Il me confesse qu’il aurait voulu me libérer de suite mais que ses collègues n’étaient pas du même avis. Je ne sais pas s’il tente de me caresser dans le sens du poil mais n’ayant aucune crainte, je décide de jouer dans son sens en mentionnant que c’est très gentleman de venir m’annoncer ça dans un endroit si intime. La ruse semble marcher et je le sens sortir quelques phrases à double sens. Je lance alors le pari d’être libéré dans la matinée et que dans le cas où cela se réalise, il devra m’inviter à manger pour s’excuser de son manque de persuasion envers ses collègues. Il rigole et accepte ce pari. Il se lève enfin et s’avance vers la porte me laissant tout le luxe de le mater sans concession. Son cul dans son pantalon moulé me donnait de quoi rêver ce soir dans ma cellule. Il me souhaite un bon appétit et s’enfuit de ma vision. Je mange rapidement et m’allonge pour dormir et être en forme demain. Je rage intérieurement en me disant que je suis entrain de payer une nuit d’hôtel pour dormir dans une cellule de prison.

Le matin se lève, enfin je m’en persuade car je suis réveillé et aucun indice ne peut me dire quelle heure il est. Finalement, un gardien m’ouvre la porte accompagnée de super sexy cop qui m’annonce ma libération sur le champ, faute de preuves. Je fais mon petit scandale pour dire ce que m’a coûté leur connerie et monsieur me retorque que ça m’a valu aussi un pari réussi. Je lui souris mais comprends aussi que je n’ai aucune info sur lui et que c’est pas au milieu des gardiens qu’il va me donner ses coordonnées. Je décide de passer outre et de le regarder une dernière fois avant d’aller chercher mes affaires personnelles. Il m’accorde un large sourire et me lance une phrase ambiguë induisant le fait qu’on devrait se revoir prochainement. Je souris pour paraître poli mais je ne comprends pas bien comment c’est possible. Désorienté dans la ville, je mets un peu de temps à rejoindre mon hôtel mais une fois arrivé, je me dirige vers la réception pour commander à manger. C’est toujours le beau gosse et il m’accueille avec un bonjour enjôleur qui précède une phrase à double-sens me questionnant sur mon absence cette nuit. Bien que je ne sois pas du genre à raconter ma vie aux gens, je ne peux m’empêcher de lui raconter ce qu’il m’est arrivé. De surprise en surprise, je vois ses émotions se succéder et finalement il me dit qu’il verra avec la direction pour m’offrir la nuit. Bien entendu j’avais mentionné le passage du beau gosse dans le but de jauger s’il était charmeur de base ou si c’était spécifiquement avec moi. Ses réactions montraient clairement qu’il a un penchant pour les mecs aussi alors je passe la seconde en enchainant sur la possibilité qu’il vienne vérifier un truc dans ma chambre. Il saisit instantanément mon message et se tourne vers sa collègue plus loin pour annoncer son absence au standard car il prend sa pause maintenant.

La tension dans le couloir est palpable et j’attends avec impatience d’arriver dans ma chambre. On arrive, je referme la porte et, dans la seconde, le réceptionniste, nommé Mike, me plaque contre le mur pour m’embrasser. Nos mains se faufilent partout sur nos corps et nos langues s’entremêlent avec fougue. Il me glisse entre deux embrassades qu’il n’a que 20 minutes de pause et donc qu’on a pas tout notre temps. Et c’est pour cette raison qu’il se retrouve à genoux la tête contre mon jean. Il déboutonne mon jean et de suite il gobe ma queue. Je joue sur le fait que j’ai passé ma nuit en prison et un jeu de rôle prend place où je fais le taulard qui a les couilles pleines et qui veut se vider rapidement. J’enclenche alors quelques gorges profondes qui ont le mérite de bien lubrifier ma queue. Le temps passe et celui-ci nous est compté alors je ne tarde pas à le relever et à emmener ce jeune homme sur mon lit pantalon baissé en bas des fesses. Se déshabiller est une perte de temps et tout ce que je veux c’est me vider. Je crache brièvement sur son trou et enfonce un doigt pour me rendre compte qu’il est déjà pas mal dilaté. Sans doute s’est-il fait tirer plus tôt. Il me confirme cela en me disant que son copain l’a niqué ce matin avant de partir au travail. Son infidélité en rajoute une couche dans le jeu de rôle et je l’insulte de petite chienne prête à tromper pour se faire sauter par un beau gosse. Il s’excite encore plus et je m’enfonce directement dans son trou, ma queue encore luisant de sa salive. Les minutes qui suivent se révèlent ardues pour lui car il prend tarif. Je joue mon rôle jusqu’au bout et le matraque comme jamais. Mes mains sur sa bouche pour éviter de le faire trop hurler, je martèle son cul comme un bourrin. J’en rajoute verbalement en lui conseillant de dire ce soir à son copain qu’il s’est fait péter le cul dans une chambre d’hôtel. Je sens mon jus monter et retenu par le temps, je continue de l’enculer jusqu’à la jouissance. Mon sperme se répand dans son cul et je continue de le tasser bien profond pendant encore quelques secondes. Finalement je me retire et m’allonge sur le lit un peu comme un connard en lui suggérant de partir car sa pause est terminée. Il reprend ses esprits quelques secondes et je le vois serrer les fesses pour éviter que mon foutre en sorte et tâche ses fringues. Il file aux toilettes nettoyer tout ça et prend la sortie. Il se retourne juste avant de partir pour m’adresser un sourire et un clin d’œil. Je lui souris en retour et pars dans mes rêveries. Je repense à ce flic et me demande comment il pouvait être si sûr de lui du fait qu’on allait se revoir. Je me creuse les méninges et fouille mes poches en quête d’indices et c’est à ce moment là que je tombe sur un bout de papier.

Mes espoirs reprennent vie et je me lève directement de mon lit pour ouvrir ce mot. Un brin de déception se fait ressentir quand je découvre qu’il n’est écrit que « Contact : Final ». Je comprends que cela vient du flic puisque ce n’est pas mon écriture et ce mot n’y était pas hier. Mais je ne sais pas ce que cela signifie. Je ne suis pas d’humeur à faire des charades et encore moins à passer des plombes à trouver la solution. Découragé je retourne dans mes rêveries et abandonne l’idée de revoir un jour ce flic. Mais je n’arrive pas à penser à autre chose et cherche ce que ça signifie. Je prends donc mon portable est fouille sur internet pour trouver des indices mais en vain rien ne fait référence à ma situation. Je retourne donc à l’écran principal et l’observe dans le vide en ne réfléchissant à rien. Mais soudain mon regard se porte sur les icônes et en particulier sur celui des contacts. Avec un petit espoir inavoué, je clique dessus et commence à descendre dans mon répertoire. Les noms défilent et les lettres aussi. J’arrive vers les « G » et je stresse à l’idée de découvrir les « F ». Puis arrive ce fameux moment et mon cœur se met à battre comme jamais. Entre Felipe et Fouad se trouve un nouveau contact au nom de Final. Clique dessus et découvre un numéro de téléphone. Je lâche mon téléphone et fais quelques tours de chambres pour me calmer et prendre mon courage de l’appeler. Je finis par me détendre et m’approche du téléphone. Je clique sur « Appeler » et laisse la tonalité rythmé mes respirations. Puis j’entends qu’on décroche et une voix se fait entendre. C’est lui ! Il me félicite d’avoir trouvé si rapidement. Je cache au maximum mon excitation et adopte une attitude un peu snob en relatant la facilité pour trouver. Il rigole et enchaîne direct sur la possibilité de manger ensemble ce soir. J’accepte et il me propose d’aller boire un verre en ville puis de manger chez lui car il ne souhaite pas croiser quelqu’un qu’il connait. J’accepte et lui souhaite une bonne journée. Au moment où l’appel se termine, je saute de joie et d’excitation avant de me précipiter dans la salle de bain pour me préparer à être en bombe.

Le soir venu, je rejoins le flic à l’endroit indiqué. Il n’y a encore personne mais je suis en avance. J’attends alors tranquillement son arrivée que ne se fait pas tardée puisqu’il débarque à l’heure pile. Même sans son uniforme il reste super canon et je pourrais le reconnaître entre mille. Je l’accueille avec un sourire et lui fait de même. On prend place et on commande. Le sujet de discussion tourne bien évidemment autour de cette nuit et de toutes les péripéties qui s’y sont déroulées. Je prends des nouvelles de l’affaire et il me dit que la troisième personne a été retrouvé. Au bout d’un certain temps je me rends compte que je ne connais toujours pas son prénom. Je lui demande alors comment s’appelle le sexy cop en face de moi et il rigole. Il me rectifie qu’il n’est pas flic mais qu’il est gradé. Il me sort d’ailleurs le nom de son grade mais en anglais je n’ai pas bien compris. Il continue ensuite pour me dévoiler son prénom, qui se trouve être Jordan. J’ai tellement envie de lui maintenant mais je n’ose pas brusquer la situation. Je tente quand même de laisser des indices en lui demandant où se situe son appartement. Il comprend où je veux en venir et j’ai le sentiment qu’il n’attendait que ça aussi. Alors on finit rapidement nos verres et nous prenons la direction de son habitation.

Son appartement est très chic et je sens qu’il doit gagner pas mal d’argent. Il précède ma remarque en précisant que son job lui permet de bien vivre. Il me propose un verre d’alcool et me demande juste de patienter quelques minutes le temps qu’il aille régler quelque chose. Je fais donc un petit tour de son appartement et observe la décoration où je note son bon goût, du moins similaire au mien. Je finis par m’asseoir sur le canapé. C’est alors qu’il apparaît dans l’embrasure de la porte. Mes yeux s’écarquillent et ma queue se dresse. Il est habillé avec son uniforme bien moulant et une matraque à la main. Il demande alors si des personnes dans la pièce ont commit un délit. Je rentre dans son jeu en sachant d’avance que je risque d’être bien dominé ce soir. Mais je n’en avais rien à faire car ce qu’il dégage me rend soumis à lui et j’attend avec tant d’impatience de me faire baiser par lui. Il s’approche alors de moi et me dit que le seul moins de ne pas aller en prison est de suivre ses directions. J’accepte et il me fait mettre à genoux et ouvrir la bouche. Il met sa matraque dans ma bouche et imprime un mouvement comme si c’était une queue. Il commente la scène et se touche avec son autre main le pantalon en précisant qu’il y aura deux matraques ce soir. Mon regard devient de plus en plus soumis en mode chienne. Ça m’arrive rarement car j’aime garder mon contrôle et ma virilité mais dans cette situation il me contrôle totalement. Il retire sa matraque pour me cracher dans la bouche et me rouler une pelle. Je tente alors de toucher sa queue mais il se redresse et me met un coup de matraque dans la tête gentiment en spécifiant qu’il n’a pas dit que je pouvais lui toucher la queue. Pour s’assurer que ça ne se reproduise plus, il sort une paire de menottes et me les passes dans le dos. Je suis à sa mercy et ça ne me pose pas de problèmes si on enlève le fait que j’ai du mal à attendre de me faire baiser par lui. Il ouvre la fermeture éclair de son pantalon pour sortir son sexe encore en demie-molle. Il est déjà d’une taille très honorable approchant peut-être les 16cm. Je n’imagine même pas quand il sera bandé et redoute soudainement de me faire enculer par ça. Il sourit à ma réaction et vient se frotter la queue contre mon visage tout en prenant soin d’éviter ma bouche qui n’attend que de le sucer. Il me bifle et plusieurs reprises tandis que sa queue devient plus grosse et plus dure. Finalement il me laisse enfin la goûter et s’enfonce dans ma bouche pour une gorge profonde. Elle n’est pas encore bandée à fond mais elle remplit déjà tout l’espace, me faisant suffoquer. Il se retire, crache dans ma bouche, me gifle et remet sa queue en place, cette fois-ci encore plus dure. Elle finit par être totalement bandée et étant en contact avec je n’arrive pas à vraiment voir sa taille même si je la sens énorme. Il se recule alors pour que je puisse le voir de tout son long et il prend une pause en mettant son bras de façon à poser la matraque sur son épaule tandis qu’avec son autre main il se touche la queue et la balance dans tous les sens. Il me regarde avec un air vicieux en commentant sa queue qui mesure selon lui 25cm. Elle est vraiment énorme et on voit bien qu’il faudrait au moins deux mains pour pouvoir la branler. Il me donne tellement envie mais en même temps il m’effraie tellement avec cette immense queue. Puis je repense à Rafael en me disant qu’il en a une similaire et que je me la suis bien prise des dizaines de fois. Mais je songe aussi au fait que ça fait des mois que je n’en ai pas pris une aussi grosse et celle-ci parait un peu plus grande et plus large. Mais je sens aussi mon cul mouiller comme jamais à travers mon jeans et que s’il me prépare bien ça devrait aller. Et c’est ce qu’il envisage d’ailleurs de faire.

Il me relève alors pour me retourner sur le canapé, les mains toujours menottées dans le dos. Il baisse mon pantalon en bas des fesses avec mon caleçon pour laisser apparaître mon cul. Il en fait des éloges et le titille avec son doigt avant d’y fourrer sa langue et de me le bouffer. Je ne peux m’empêcher de gémir car il fait ça tellement bien. Puis son index s’enfonce doucement dans mon cul et commence des allers-retours avant d’être rejoint par un deuxième puis un troisième doigt. Je me laisse totalement aller à ce plaisir anal et sent quelque chose de plus uni et large. Je n’arrive pas à me retourner pour voir mais comprend rapidement qu’il vient de m’enfoncer sa matraque pour me dilater le cul. Il continue ses commentaires sur ce qu’il se passe et décrit sa vision me faisant cambrer encore plus que je ne le suis déjà. Il me claque les fesses et m’encule avec la matraque en me disant que j’aime ça et que tous les mecs qu’ils baisent aiment aussi se faire baiser par la matraque. Au bout d’une dizaine de minutes, il la retire laissant mon trou à l’air libre, me chatouillant ainsi les parois. Il me relève m’emmène dans une autre pièce qui s’avère être sa chambre, grande et spacieuse. Il se tourne vers moi pour me rouler une pelle puis détache mes menottes. Il enlève alors mes fringues un par un et me mène jusqu’à son lit où deux paires de menottes attendent accrochées aux extrémités de la tête de lit. Il me fait alors allonger sur le dos et m’attache à nouveau les poignets. Je me laisse faire totalement et me trouve heureux de pouvoir enfin le mater. Il est magnifique dans son uniforme et me voyant bander comme jamais, il s’autorise à me laisser un peu de répit en me suçant quelques minutes. C’est tellement bandant de voir un mec en uniforme te sucer ! Je prends un pied total et l’incite à continuer. Il relève ensuite mes jambes pour retourner sur mon trou bien ouvert. Il sort du lit quelques secondes afin de pouvoir enlever son pantalon et laisser sa queue respirer plus librement. Il se retourne brièvement laissant son postérieur nu devant mes yeux et mon cœur ne cesse de battre fort devant un cul si beau. Sans rien apercevoir il retourne sur le lit entre mes jambes pour me pénétrer. Sa queue se montre toujours aussi imposante et après l’avoir regardé, il constate qu’elle mérite bien d’être lubrifiée. Il se lève pour venir se faire sucer et reprends des gorges profondes, ou du moins ce qu’il arrivait à mettre dans ma bouche. Après ce petit passage plus doux, il reprend une attitude plus dominatrice et me biffle et me soumet à lui. Quand il définit sa queue comme bien lubrifiée, il retourne entre mes jambes et sans plus attendre s’enfonce en moi.

Bien que la matraque m’ait bien dilaté, le passage de son membre me fait gémir comme jamais. Je le sens forcer un peu vers la fin et finalement il s’enfonce totalement en moi. Il s’approche de mon visage pour m’embrasser de manière dominatrice et me lécher le visage quand il ne me crache pas dessus. Puis en me tenant pas les épaules, il se retire et s’enfonce plus profond. Il commence alors à m’enculer de plus en plus rapide en émanant des râles bien virils et des commentaires salaces à souhait. Je l’encourage à m’enculer toujours plus fort et proclame ma soumission face à lui. Ce qui le fait se sentir encore plus dominateur et essayer d’aller toujours plus fort en moi. Il enlève le reste de ses vêtements pour laisser apparaître un corps très musclé et bien dessiné avec des tétons bien durs. Il me pilonne pendant une dizaine de minutes avec un contact très charnel. Nos corps se touchent constamment et sa tête est rarement très éloignée de la mienne. Il me fixe dans les yeux tout en me baisant, c’est tellement torride. Mais toute cette situation me fait bander toujours plus et ce frottement incessant de sa queue a raison de moi. Sans me toucher une seule fois, ma queue est prise de spasmes et dans un orgasme bruyant, je laisse mon corps musclé se faire recouvrir de mon sperme. Mais dans le même temps, je sens une sensation venue d’ailleurs et s’amplifiant de plus en plus. Mes sphincters se sont resserrés autour de sa queue lors de l’éjaculation et avec ses frottements toujours aussi profonds cela à provoquer un orgasme anal où je n’arrive plus à contrôler mes sphincters et mon cul se convulse comme jamais. La queue de Jordan se trouvant encore dans mon cul lors de mon orgasme anal lui procure une sensation jamais connue qui ne le lui laissa pas d’autres choix que de tout décharger en moi avec une dizaine de jets bien liquides. Je reprends peu à peu contrôle de mon corps et Jordan, à bout de souffle, se retire et s’écrase contre moi. Mais je suis toujours attaché alors la position n’est pas confortable. Il me détache dans un dernier effort puis s’écroule d’épuisement sur moi en commentant ce qu’il vient de se passer. Je suis dans le même état que lui et le prend dans mes bras tout en lui embrassant le crâne. Il a totalement laissé son côté dominateur pour devenir câlins et doux. On est vraiment fatigué par cette baise et tout en sentant son sperme chaud sortir de mon cul, je m’endors.

Lorsque je me réveille, le soleil déjà en train de se lever. On avait été tellement épuisés qu’on a dormi directement sans manger. Je sens le corps de Jordan toujours sur moi avec une respiration faible. Il dort toujours. Je le bouge un peu de sorte à me dégager pour sortir du lit. Il bascule et se retrouve sur le dos nu sur le lit. Cette vision est magnifique et je me laisse convaincre d’en faire une photo. Je vais donc prendre mon portable pour le photographier. Puis je pars en direction de la salle de bain pour prendre une douche. Elle me fait du bien et c’est aussi un bon moment pour prendre connaissance de l’état de mon cul. Déjà habitué à prendre ce type de queue je sais qu’il se remettra vite à la normale, mais depuis le temps que je n’en ai pas pris une comme ça, ça fait bizarre. Je sors de la douche et rejoins la chambre pour voir que Jordan est réveillé, assis contre la tête de lit sur son portable. Il me sourit à mon arrivée et on s’embrasse comme un jeune couple. On reparle de hier soir, du jeu de rôle, de nos états d’esprits, pour finir sur ce final grandiose. Toute cette discussion m’a bien excité et Jordan décide de partir se doucher à son tour. Je le laisse partir et m’allonge sur le lit en l’attendant. Quand il revient en caleçon, il me questionne sur le pourquoi je suis toujours à poil. Je réponds en rigolant que c’est moi qui me demande pourquoi il a un caleçon.

Il sourit et vire son caleçon aussi vite qu’il l’a mis puis me rejoint dans le lit. Il s’allonge au-dessus de moi et, tout sourire, m’embrasse avec tendresse. Il me demande si je veux rebaiser, ce que je confirme en spécifiant que je voulais le Jordan naturel et doux que j’ai pu percevoir au moment de s’endormir. Il me dit que c’est un bon choix et sur ce, il m’embrasse à nouveau puis parcourt mon corps de bisous. Il s’approche de ma queue déjà bandée et l’enfourche sans hésitation dans sa bouche. Il me suce comme un dieu tout en enfonçant un doigt dans mon cul encore bien dilaté. Il lèche mon gland et fait tourner sa langue autour de lui avant de lécher toute la hampe et gober mes boules. Il passe un petit moment avec mes couilles et son regard pleins de douceur me regarde quand il le peut. Au bout d’une dizaine de minutes, il remonte mon corps avec sa langue et s’arrêtant sur les abdos et mes tétons bien durs. Je lui caresse son corps et titille ses tétons, ce qui le fait soupirer. Puis dans un baiser, il commence à m’enculer. Tout le long de la progression, nos bouches ne se quittent pas. Il me baise avec douceur et profondeur pendant un bon moment et nos langues ne se quittent pas. Il finit par se retirer pour changer de position. Je le stoppe avant qu’il bascule pour me mettre derrière lui et pouvoir admirer son cul bien bombé. Il reste alors à quatre pattes et va même jusqu’à se cambrer pour mieux laisser son cul s’exposer. Je l’embrasse alors de toute sa surface et laisse parcourir ma langue pour atteindre sa rosette. Je commence alors à lui bouffer le cul tout en lui massant les lobes fessiers avec mes mains. Je sens qu’il prend son pied et me risque à y mettre un doigt. Il ne dit rien et continue de gémir. Je continue alors et passe à deux doigts lorsque cela est possible. Je remonte alors vers son oreille pour lui susurrer mon envie de le prendre. Je le sens hésiter mais dans l’excitation, il se laisse faire et me précise juste d’y aller doucement car il n’a jamais pris de queue. Je m’en doutais fortement et le lui promis. Je lui demande du lubrifiant qu’il sorti de la table de nuit. J’en mets une bonne dose et reprends mon doigtage pour bien l’enfoncer. Puis vient le moment de m’enfoncer en lui. Je le fais le plus doucement possible tout en embrassant son dos et sa nuque. Il pousse des râles longs et graves. Après s’être habitué à ma queue, je commence mes allers retours et au bout de cinq minutes, le rythme est imprimé et Jordan commence à kiffer. Je change alors de position pour pouvoir être en face de lui et l’embrasser. Je lui fais l’amour comme jamais personne ne lui a fait et nos langues continuent à s’entremêler. J’aurais aimé que ce moment ne s’arrête jamais tellement nous étions en osmose. Je me redresse alors pour pouvoir aller plus en profondeur et en même temps lui masturber sa queue bien dure. Au bout de quelques minutes, il est pris de spasmes et se gicle dessus en atteignant même son visage. Ses spasmes ayant provoqués une rétraction de ses sphincters, je me retire. Je sais que lorsqu’on a jouit la pénétration devient plus douloureuse donc je ne veux pas le dégoûter de ça. Je l’embrasse donc en léchant les traces de spermes apparentes et me place à califourchon sur son torse pour me masturber au-dessus de lui. Avec ses mains, il me caresse mes abdos et sa langue essaye de lécher mon gland. Je me penche un peu plus pour qu’il me suce et déverse subitement ma semence dans sa bouche. Je m’allonge finalement vers lui pour lui rouler une pelle avec le mélange de nos spermes. Tout cela s’est passé en douceur et avec tendresse. On finit par s’éteindre l’un contre l’autre, mon visage contre ses pectoraux. Je n’ai pas envie de partir.

Jordan me propose alors de rester le temps que je suis à New-York chez lui pour éviter de payer l’hôtel et aussi parce qu’il me veut. J’accepte sans hésiter car intérieurement j’en rêvais. Je retourne donc chercher mes affaires à l’hôtel et pars vivre chez Jordan quelques temps. Je passe dire au revoir au beau gosse de la réception et file chez Jordan. J’y resterai plus d’une semaine avant de devoir continuer mon périple en direction de l’Asie. Jordan m’a accompagné jusqu’à l’aéroport et la séparation fut quelque peu difficile. On se promit de rester en contact et de se revoir quand ça sera possible.

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