COLLECTION SOUMISE. Je deviens un objet sexuel. Vide couilles (4/13)

- Par l'auteur HDS CHRIS71 -
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : COLLECTION SOUMISE. Je deviens un objet sexuel. Vide couilles (4/13) Histoire érotique Publiée sur HDS le 10-10-2018 dans la catégorie Dans la zone rouge
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COLLECTION SOUMISE. Je deviens un objet sexuel. Vide couilles (4/13)
Ce texte est écrit avec Anne, une amie, ce sont ses fantasmes que je mets en forme du mieux que je le peux.


C’est la tête pleine de doute sur mon couple avec Pierre que j’accepte de partir dans un gîte au-dessus d’Aix-les-Bains, point de départ de nombreuses courses en montagne.
Le chalet que nous louons, est propre et fonctionnel, c’est loin d’être le cas d’Albert le proprio, avec sa casquette crade visée sur sa tête.
Pourtant, quand il me regarde fixement, je me sens chamboulée de l’intérieur, à tel point que j’accepte de me faire baiser dans sa grange devant les cages des lapinous nés dans la nuit.
À 58 ans, à deux pas de la retraite, je deviens une salope qui n’hésite pas à sucer la bite de Fred, le plombier d’Albert, dans un spa installé dans sa salle de bain.
Comble de ma dépravation naissante, Albert pourvu d’attribut hors du commun, souhaite que je me promène nue.
J’ai peur que Pierre ne revienne découvrant la chienne que mon amant a faite de moi.
La chienne, oui, car je sens au fond de moi qu’il pourra me prendre là où il veut et surtout quand il veut.
Par chance, la ferme d’Albert possède un système d’alarme sophistiqué pour avertir de la venue de renards vers le poulailler.
Sortis du spa, il me montre une sorte de cage où je peux me réfugier si Pierre où un inconnu entre dans leur champ.
Satisfaite d’avoir une position de replie occasionnellement, je vais avec Fred réparer la douche du chalet, seul point noir de nos débuts de vacances.
Seul point noir, car la chute dans cette douche a entraîné une entorse de ma cheville, m’empêchant de suivre Pierre en montagne.
Grâce au don d’Albert la cheville est "réparée" dans la journée.

Son travail fait, j’essaye la douche, tout fonctionne correctement quand Fred me colle à la paroi en se plaçant derrière moi.

• Dis-moi, Albert t’a déjà sodomisé ?
• Non, pourquoi ?
• Avec son manche de pioche, il t’aurait défoncé, je peux préparer le terrain et t’ouvrir l’anus, tu verras, je sais faire cela bien, tu me diras après « même pas mal. »
À quel niveau de dépravation suis-je tombée en si peu de temps, moi qui m’interrogeais sur mon avenir avec Pierre, au moment de ma retraite.
Je descends les échelons de l’échelle de la perversion à vitesse grand V, voire triple V.
Pour montrer à quel point, j’aime cette perversion, j’écarte ma jambe droite facilitant le passage de ce sexe que je sens déjà sur mes fesses et dont instinctivement, j’ai une envie folle.
Est-ce l’air de la montagne qui fait bouillonner mes sens, moi la femme mariée puis divorcée d’un premier mariage avec un affreux salaud, avant de vivre avec ce benêt de Pierre qui laisse sa copine à la merci de grands subordinateurs ?
Il pousse, son gland se présente, il entre de quelques centimètres.

• Tu me fais mal.
• Douillette, veux-tu que j’appelle Albert ?
Tu aimes quand il te baise avec son démonte pneu, il a dû te faire le coup des petits lapins certainement nés dans la nuit.

Je sais qu’une de ses lapines avait été mise au mâle et était pleine, c’est marrant l’atmosphère ici, même les petites bêtes se font sauter, tu me diras, normal, ce sont des lapins.
On dit baiser comme un lapin, as-tu déjà vu faire un mâle qui ensemence sa femelle, tac-tac boom hue et c’est fait ?
La femelle, contrairement à toi, doit oublier d’avoir du plaisir dans le coït.
À la différence des hommes, ils peuvent recommencer cinq minutes après, Albert aussi, tu verras cela samedi, mais je ne t’en dirai pas plus, tient.
C’est comme pour la foulure, Albert m’a prise par surprise pour me la remettre en place, là, c’est Fred qui plonge au plus profond de ma rosette, me sodomisant par là même, sans que je ne sente le moindre mal.

• Voilà c’est fait, c’était loin d’être si terrible, mais pour moi c’est si bon.
Ton anneau anal se ressert autour de ma bite, tu es divine à enculer.
Quand je reviendrais, ce sera toujours ton cul que je prendrai.

Où va Fred ?
Certes, il coulisse en moi librement, mais de là à penser que je vais devenir la vide couille de tous ceux qui approcheront Albert, il y a un pas que…C’est drôle, mon anus réagit, je sens les muscles de mon cul se serrer d’eux mêmes, m’apportant du plaisir.
Encore plus drôle, je me tords de plaisir, oubliant ce que je voulais dire quand j’ai interrompu ma phrase sous les coups puissants de Fred dans mon arrière-train, il me remplit de son sperme et me quitte.

• Merci ma salope, heureux de te connaître, tu verras Albert entrera plus facilement dans peu de temps.
Il aime comme moi.
Quand il baise, il compense son impossibilité de vous la mettre dans vos bouches en remplissant vos autres trous.

Je m’affaisse, le nez contre la paroi de la douche.
Tout ceci s’est passé, l’eau coulant sur nous, je la laisse couler, jusqu’à ce que le froid me saisisse, j’ai dû laisser couler l’eau trop longtemps et le ballon solaire doit être vide.
J’entends la camionnette démarrer et quelques minutes après l’alarme se déclenche.

• Ne t’inquiète pas poulette, c’est Fred qui a coupé le faisceau de la route, je l’avais déconnecté sachant qu’il arrivait et remis quand vous êtes venus ici.
Je connais mon grand échalas de Fred, il a dû tester ta douche et te sodomiser.
En bas, à Aix, il est connu pour ça, j’ignore d’où cela lui vient, nullement de l’armée, il a été réformé pour pieds plat, mais il se dit qu’il sodomise toujours les filles.
Vient que je t’essaie, nous sommes tranquilles, les alarmes sont en place, mes fraises sont ramassées pour le marché de demain et mes patates sont butées.
• Aie.

Il me met un doigt dans l’anus.

• C’est un peu encore sensible, mais ça passera vite.
Viens sur le canapé, j’aimerais te câliner un peu.

Quand je parle de vide couille, il faut pourtant reconnaître que cet homme me demanderait de monter me faire baiser sur la Lune, je partirais tout de suite.
En attendant, j’ai légèrement mal à ma lune, pourvu qu’il me prenne classiquement par ma chatte.
C’est à ce moment que l’alarme se déclenche.
Malgré mon entre fesse qui me fait mal, je cours jusqu’à la cage m’y cacher.
Je claque la porte sur moi et j’attends !
Combien de temps, difficile de le dire, à un certain moment, je vais pour sortir. Albert a parlé de cage, c’est bien le cas, pas de poignée ou de système pour ouvrir la porte de l’intérieur.
Je tambourine sur la porte, elle est capitonnée, idem pour les murs.
Le sol est recouvert de mousse.
Suis-je tombée sur un serial killer qui va me dépecer, voire me tuer pour me manger ?
Dans cette situation, nue entre quatre murs clos, avec pour seul objet une lampe qui me permet de voir clair, toutes pensées de ce genre sont loin d’être des anecdotes. Combien de personnes disparaissent sans laisser de trace, au cours d’une année ?
Et s’il pour me faire disparaitre, il me mangeait avec ses copains, seuls quelques os resteraient de moi, ils pourront les enterrer après les avoir brûlés.
C’est à ce moment que la porte s’ouvre, je manque de retenue et je hurle.

• Heureusement que ton mari est loin, il aurait pu t’entendre.
• Excuse, je me suis sentie prisonnière, j’ai cru que tu venais me tuer.
• Comme tu y vas, tu es loin d’avoir épuisé tous les plaisirs que notre situation nous procure, nous verrons plus tard.
En attendant, c’était bien Pierre qui revenait, heureusement qu’à la suite de l’alarme, je l’ai vu à quelques centaines de mètres d’ici.
Je suis rentrée dans votre chambre, j’ai balancé tes affaires et ton sac à dos par la fenêtre à l’arrière du chalet.
Je lui ai dit que grâce à mon traitement, ce matin, tu étais partie le rejoindre.
• Et il t’a cru !
• Je suis très persuasif, il avait sa carte d’état-major, nous avons regardé le parcours que tu étais censée faire.
Je l’ai envoyé sur un autre chemin.
S’il arrive jusqu’à ce que les gens d’ici appellent le mur et qu’il se laisse glisser sur le chemin inférieur comme je lui ai expliqué, il lui sera impossible de remonter à l’étage supérieur.
• Qu’est-ce que cela entraînera ?
• Six à sept jours de marche intensive sur une crête avec l’abîme de chaque côté qui le fera atterrir non loin de Chambéry.
• Dans combien de temps serons-nous fixés ?
• Trois quarts d’heure.
Il arrivera au mur, le temps de se laisser glisser sur quarante centimètres et atterrir sur une corniche assez grande pour qu’il prenne le risque, d’ici une heure nous serons fixés.

Une heure après, je me retrouve libre.
Je vais ramasser mes affaires, il y a un placard dans la chambre, ou nous les enfermons.
Il met la clef dans sa poche avant de m’entraîner sur le lit où j’avais baisé avec ce nigaud de Pierre.
Je reçois une décharge de plaisir dix fois, mille fois supérieure, vu la puissance de la bite de mon amant, je peux même aller, jusqu’à dire sans me tromper, seigneur et maître à celle de ce cocu de Pierre.
Je sens qu’après la peur que j’ai ressentie, je constate que cet homme est certes adepte de la soumission, de celle qu’une salope comme moi accepte en en redemandant.

• C’est bien, ma vide couille, va dans la grange, prend le panier en osier, tu trouveras un couteau, les lapins ont faim.
Va dans le champ en contrebas du chalet et remplit le de pissenlit, ils adorent ça, avant de leur en donner une poignée dans chaque cage.

Je me suis exécutée, trop contente de servir Albert, cet homme à la casquette toujours sur sa tête quand il me baisait.
Je suis heureuse, j’ai bien joui.
Petit problème, les pissenlits, je sais une chose, ce sont les fleurs jaunes qui pullulent dans ce champ.
Une à une, je coupe les tiges sortant de la plante, j’ai été avec un copain aux champignons dans ma jeunesse, c’est lui qui m’a appris que les tiges se coupaient sans les arracher, seul moyen d'en avoir l’année suivante.
Un lapinou, ça grandit et après pour les manger, on les tue, l’année suivante ça recommence, il leur faudra donc des pissenlits.
Mon panier rempli après bien des efforts, je retourne vers les clapiers, j’ouvre la première cage, celle des petits lapinous.

• Pauvre conne, qu’as-tu cueillie, tu crois que les lapins ça mangent des tiges et des fleurs !

Il a tellement crié fort que je fais un faux mouvement et qu’une gentille petite bête tombe au sol, filant sous les cages.
Je me mets à quatre pattes, elle est là à me narguer, je tends la main, elle se sauve.

• Où est le couteau qui t’a servi à couper les fleurs de pissenlits, alors que mes lapins mangent l’intégralité de ces plantes ?
• Là, sur l’étagère.
• Prends-le, tu vois le buisson de noisettes, tu vas me couper une branche d’un centimètres et demi de diamètre et tu reviens avec.
• Pourquoi ?
• Apprends à ne pas poser de questions.

Que veut-il faire avec ce bois de noisetier…

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