COLLECTION ÉTRANGE PHÉNOMÈNE. Le parchemin diabolique (18/23)

- Par l'auteur HDS CHRIS71 -
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : COLLECTION ÉTRANGE PHÉNOMÈNE.  Le parchemin diabolique (18/23) Histoire érotique Publiée sur HDS le 11-11-2018 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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COLLECTION ÉTRANGE PHÉNOMÈNE. Le parchemin diabolique (18/23)
La boîte en cuir, avec son parchemin diabolique a encore frappé et ce sont de modestes femmes, qui plus est mères de famille pour certaines, qu’elle a entraînées dans des jeux amoureux lesbiens.
Martine fait partie de ces mères de famille, mais je connais son degré de perversité depuis son retour par l’autoroute depuis Oyonnax.
Nous montons vers les chambres et entrons dans la première.

• Véronique, tu es là, c’est de la folie après que j’ai retrouvé Anabelle, depuis l’autre soir, d’abord chez moi et surtout hier au soir ici, nous avons passé des moments merveilleux.

Mon amie et employée quand j’en ai besoin est mollement allongée sur un lit aussi grand que la piste de danse qui doit se trouver au-dessus.

• Viens me rejoindre, j’ai toujours eu envie de toi.

Quand je parlais de chaudasses !
Même si ma chatte ressent les effets bien connus quand mon parchemin est sorti de sa boîte, il me prend en traître il doit se venger que je l’ai laissé à Dijon dans mon tiroir de bureau.

• Attends Jennifer, j’ai quelques chose à dire à ta patronne.
• Non, tu te trompes Anabelle, une amie qui m’aide lorsque je ne peux pas être à ma boutique et depuis quelques jours, la préparation du mariage de notre amie et de nos enfants m’accaparait beaucoup.
• Qu’as-tu à te faire pardonner ?
• Le mariage que nous organisons sera la dernière manifestation que je ferai ici. Je serais accompagnée du jeune homme qui a été embauché pour me remplacer, lui montrant le travail.
Quand j’étais dans les bras de Jennifer dans ta boutique, je vous ai dit que j’avais un rendez-vous le matin, j’ai été embauchée au Zénith de Dijon.
Je suis chargée de la programmation et de la réception des artistes les soirs de concert.
Je commence une semaine après quelques vacances.
Je devrais préparer la venue de Michel Sardou, c’était le chanteur préféré de maman, elle est violoniste et l’a accompagné sur scène lors de ses nombreuses tournées.
Jennifer est aux anges, elle adore travailler dans ta boutique, elle continuera à être ton bras droit.

Je me déshabille.
Causer c’est bien, mais baiser c’est mieux, surtout que le degré d’excitation de ma vulve atteint des degrés qui risquent de faire fondre les draps de soie qui sont sur ce lit.
J’ignore si Jennifer a toujours été lesbienne.
Du temps de ma période de femme sage, l’idée de m’installer dans sa fourche et commencer à lui sucer la chatte était loin de me traverser l’esprit.
Il faut que j’éteigne ce putain de feu qui couve de plus bel en moi.
Je me place tête bêche et je constate que Jennifer a appris très vite à être une brouteuse de chatte, la mienne est satisfaite du travail qu’elle fait.
Boutique ou baise, cette petite est douée pour tout ce qu’elle fait.
J’entends le lit s’enfoncer, je lève la tête.
Martine et Anabelle font comme nous, elles me montrent un parfait 69, là je sais que chacune des deux a de vieilles pratiques, j’ai sucé leur chatte à toutes les deux.

• J’ai faim, Anabelle, as-tu quelque chose à grignoter ?
• Martine, viens avec moi, j’ai quelques plats dans un frigo avec quelques bouteilles de champagne que le père de la dernière mariée a oublié.
Il faut dire qu’il est parti comme un voleur, quand sa femme l’a surpris à sauter une de nos extras dans les chiottes.

Toutes les deux se lèvent, Martine a défait le chignon d’Anabelle, les lunettes sont sur le lit, je tends la main, les verres sont sans aucune correction, ce doit être un subterfuge pour paraitre plus sérieuse.
C’est vrai que nue et sans, elle fait très jeune fille de bonne famille.

Qui n’a pas mangé mollement, allongé sur des draps de soie, ignore le plaisir que l’on prend à passer ses mains dessus, le champagne coule divinement dans ma bouche.
Ma chatte est toujours en ébullition, je suis à deux doigts de me vider du divin nectar à l’intérieur pour la refroidir, mais la bouche d’Anabelle proche de ma grotte m’empêche de faire ce geste sacrilège, pour le champagne bien sûr.
Le parchemin a fait de moi une telle salope qu’il m’aurait été facile de me mettre le goulot de cette bouteille et de l’enfoncer profondément en moi.
Après nous êtes bien sucées puis frotter les chattes avec autant de plaisir, Martine et moi dans un mouvement de replis quittons la chambre après qu’Anabelle et Jennifer dans un dernière orgasme réciproque et sonore se soient endormies.
Jennifer suce son pouce, quel joli bébé.

• Tu prends ta voiture, il est dix-sept heures, après manger nous repartons chacune de notre côté.

Nous remontons la gorge et à la hauteur de l’élevage de truites, un camion avec des citernes à l’arrière est arrêté, une voiture de dépannage d’une marque française travaille sous le capot.
J’arrive chez Fabrice, la porte est fermée, une affiche est sur la porte.

« Pour cause de manque de matière première, le restaurant sera fermé exceptionnellement ce soir. »
Martine me rejoint.

• Tu as vu le camion, Fabrice n’a pas dû avoir ses truites.
• Viens, voyons s’ils sont dans la cuisine, voyons si la porte est ouverte.
• Tu sembles bien connaître la maison.

La porte est fermée mais non fermée à clef.
La cuisine toujours aussi nickel attend qu’on la réveille, comme lors de ma visite précédente quand j’ai surpris Fabrice baisant sa jeune serveuse.
Des roucoulements que je connais trop bien se font entendre venant de la salle.
La table où mon copain baisait est vide, mais les cris viennent de la deuxième salle de restaurant, je m’approche.
Odile, la jeune dépucelée semble aimer les tables de salle de restaurant.
La première fois, elle était de dos, la queue de son patron la prenant par derrière.
Là, un jeune homme avec une blouse de cuistot, le pantalon tirebouchonné aux pieds, la prend alors qu’elle a le dos sur la table, les jambes pendantes dans le vide.
Je vois la verge du garçon entrer et sortir, il fait partie des bien montés, plutôt des longues verges.
La fille a la poitrine à l’air et le garçon a ses seins dans ses mains tirant dessus comme s’il voulait les lui arracher.

• Gille, il y a quelqu’un !
• Quelqu’un ?
• Oui derrière toi, deux dames.
• Ne vous dérangez pas pour nous les jeunes, on ne fait que passer, savez-vous où sont Fabrice et Louisa ?

Ça n’est pas sympa, la bite du garçon ripe du vagin de la gamine, avant qu’il ne remonte son pantalon et cherche à s’échapper, je le rattrape par le bras l’empêchant de partir.

• Où allez-vous jeune homme, est-ce une façon de laisser une femme en plan, nous avons simplement besoin d’un renseignement, je vous le redemande où sont Fabrice et Louisa.
• Madame, le camion qui livre les truites est tombé en panne, le patron a fermé jusqu’à demain, je donnais un coup de main à Odile à nettoyer le restaurant.
• J’ai plutôt eu l’impression que tu lui ramonais le conduit, pourtant la cheminée est derrière toi et semble en parfait état de propreté.
• Madame, je vous en supplie, je veux devenir cuisinier et le patron est un bon chef, il me serait dur de retrouver une aussi bonne place.
• Je te comprends, une place où la serveuse te dépucelle, ce serait difficile à retrouver, alors où sont-ils ?
• À la source bleue, ils aiment y monter quand ils le peuvent, c’est là qu’ils se sont connus.
• Tu vois quand tu peux, tu sais donner les bons renseignements, allez va finir ce que tu as commencé.
Odile, un conseil, fait lui une légère fellation si tu veux qu’il finisse de te ramoner, notre venue l’a déconcentré et il bande moue.

Sans savoir si elle le fait, je retourne vers la cuisine.
La vue de ce couple ou le parchemin toujours aussi frustré que je l’ai abandonné me fait mouiller, j’ai encore une envie impérieuse de me faire sauter, ma chatte me brûle malgré la journée que je viens de passer.

• Il fait encore assez jour, montons à la source bleue, faire du sport nous sera bénéfique, on passe nos journées allongées sur le dos, les cuisses ouvertes, en route.

La source est à moins de cinq cents mètres de la route, le chemin s’élève, il fait juste jour dans le sous bois et il nous faut faire attention, il est en mauvais état et surplombe le petit ruisseau qui rejoint le petit pont à côté de la terrasse du restaurant de Fabrice.
À cette époque, l’eau sortant du dessous d’une faille dans la petite falaise qui surplombe le genre de vasque la recevant est ridicule, sécheresse oblige.
Martine me tient la main, elle semble avoir peur du noir qui commence à tomber, un bruit d’eau brassé se fait entendre, elle se colle à mon bras.

• Tu as entendu !
• Bien sur, regarde dans l’eau, deux personnes se baignent, je crois que l’on a trouvé Fabrice et Louisa.

Le couple nage, l’endroit permet de brasser, mais très vite il la rattrape.
Louisa saute au cou de Fabrice qui lui prend la bouche, il est encore costaud, mais une pierre plate fait leur bonheur, il la dépose dessus et se couche sur elle.

• Fabrice avec le froid de l’eau, comment penses-tu me prendre, vient que je te suce, ma bouche va te réchauffer.

En bas dans la salle de restaurant, Odile doit faire une fellation à Gille, ici plus haut, Louisa laisse la place à Fabrice et nous pouvons voir que la dame arrive à lui faire une gorge profonde.
Je me déshabille, Martine me regarde l’air étonné, ma chatte est en ébullition, à ce que j’ai compris, l’eau est plus que fraiche, je vais me la rafraîchir.

• Alors, mes amis, y a-t-il une petite place dans l’eau près de vous…

Merci à Anne

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