L'amour au téléphone

- Par l'auteur HDS Badmax -
Récit érotique écrit par Badmax [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : L'amour au téléphone Histoire érotique Publiée sur HDS le 10-10-2018 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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L'amour au téléphone
Cette recette semble un peu bizarre et surtout presque impossible à y croire et pourtant la voix l’envie, le désir, sont toujours dans notre tête au moment où nous voulons faire l’amour, pratiquer du sexe, s’aimer ou simplement se toucher, se caresser, pouvoir même se sentir.
Pendant cinq ans, j’ai fait l’amour à ma complice, à ma tendre amie, au moins deux jours par semaine.
Lorsque je ne travaillai pas et cela durait quelques-fois toute une après-midi, voir toute une nuit.
Deux jours de suite bien sûr. Nous avons tous les deux assouvis nos phantasmes, amour, tendresse, soumission, violence, fessée, first anal, nous avons même pratiqué du candaulisme, voyeurisme. Et nous voilà maintenant séparés, d’au moins 300 km. Et oui j’ai perdu mon travail et suis rentré chez moi, chez mon épouse. Celle-ci n’a aucune envie de sexe, en tout cas pas avec moi.
Je ne peux oublier cette amie si tendre si douce que je contacte maintenant depuis bientôt deux ans au téléphone tous les jours….
Je l’ai quand même revue deux fois depuis notre séparation et j’espère encore l’a revoir.
Les meilleurs souvenirs de ma vie concernant ma sexualité, c’est elle. Ses cheveux roux arborent son visage ténébreux, ses lunettes embellissent ses yeux coquins, sa bouche ressemble à la couleur de fraise, ses seins voluptueux rebondissent à chaque tiraillement de ses tétons. Son nombril invite ma langue à le pénétrer, son sexe sauvage et nature sent bon. Il s’ouvre largement à mes envies et à mes baisers, à mes doigts, à ma verge, à mon gland. Ce sexe gicle et éjacule de la cyprine sur mon visage alors que ma bouche boit à cette source divine. Cette vulve qui mouille mes draps, mes fauteuils, mon divan, mes chaises, mon sol, comme une fontaine, comme une source naturelle. Ces jambes ouvertes longues que j’écarte, que j’étire, que je manipule avec violence ou douceur, pour mieux l’a pénétrer, mieux la sodomiser, mieux m’engloutir en elle. Oui, oui, je ne rêve pas, je repense à tout cela, alors que nous sommes séparées.
Tous les jours nous nous écrivons par sms, souvent par téléphone, je lui envoie de nombreuses photos, la plupart sont sexuelles. Encore ce matin, sorti de mon lit, mes premières pensées ont été pour elle, immédiatement mon sexe s’est mis à bander, une érection forte, dure, comme si j’allais l’a pénétrer. Je me rappelle d’une anecdote qui s’est passée entre nous. Un matin, alors qu’elle dormait, je me lève de bonne heure, et je me prépare un café. Nous avions fait l’amour longuement la veille. Tu dormais profondément. Je me mémorise donc cette nuit dans tes bras, en toi, mon sexe éjaculant chaudement dans tes entrailles et toi giclant violemment contre mon pénis et mes testicules, noyant l’agresseur dans une mare chaude et bouillante dans un cri de jouissance passionnée. De cette pensée mon sexe a tout de suite repris sa position d’attaque. Mais tu dormais je ne voulais pas te réveiller, t’obliger à refaire ce qui s’était passé entre nous. Mais l’envie était plus forte, j’ai donc pris ma main et j’ai commencé a masturber mon sexe en érection de plus en plus fort, de plus en plus rapide, de plus en plus violent. Je n’ai pu m’empêcher lorsque j’ai senti le plaisir venir en moi, de courir vers toi, dans ce lit où tu dormais si profondément, de crier ton prénom, d’appeler au secours, de demander de l’aide. A peine tes yeux ouverts tu as compris l’urgence et ta bouche s’est jetée sur mon sexe que tu as avalé goulûment, je n’ai plus attendu, des giflés de sperme sont venues se coller dans ta gorge, ta bouche a aspiré, cette semence encore produite par mes testicules.
Et aujourd’hui loin l’un de l’autre nous avons encore un tas de souvenirs magnifiques et sincères.
Souvent le mercredi, je me retrouve seul à mon domicile et j’en profite pour te téléphoner. Mais je commence toujours par des sms. « Tu es seule, disponible » rarement la réponse est négative.
Puis c’est « Tu es habillé comment aujourd’hui, portes tu une culotte » « As-tu une robe, une mini» vas-tu faire des courses », souvent les réponses sont : « je suis devant ma télé allongée, en pyjama » ou « je suis en robe et pas de sous-vêtements » puis j’envoie selon les réponses des photos de mon sexe en érection, dernièrement j’ai décidé de faire une collection de slips, de sous-vêtements et chacun notre tour, nous nous envoyons des photos de culottes que l’on porte.
Toi aussi tu m’as déjà envoyé des photos de ton corps, de tes nouvelles lunettes, de ta nouvelle coupe de cheveux, de la pilosité de ton sexe qui pousse. Il y a eu même une photo où tu écartes les lèvres de ton sexe pour que mon gland puisse y pénétrer.
C’est fou, je suis persuadé que je suis accroc à ton corps, chouté à ton sexe, je pense à toi et j’ai besoin de plaisir. Alors le mercredi, le moment où je me retrouve seul, je t’envoie un ou deux ou plusieurs sms parlant de nous, de toi, de ton corps, de tes seins de ta vulve, de tes fesses, de ton anus et moi je me retrouve nu avec mon téléphone en main, mon pénis dressé vers le ciel, et je reçois de ta part une phrase m’indiquant que tu cours au lit, attendant mon appel. Et là tous les deux nous nous enlaçons, nous nous serrons dans nos bras, ma langue emprisonnent la tienne, mon pénis touche tes poils pubiens, je me colle à tes seins, j’attends déjà le clapotis de tes doigtsdans ton sexe. Ma main s’accélère, nous sommes tous les deux en train de nous masturber en prononçant des phrases courtes, où mon gland se trouve, où mon pénis te frappe, tu me demandes de me dépêcher, tu ne peux plus te retenir, nous jouissons tous les deux souvent en même temps. Par après un moment de silence car nous reprenons tous les deux notre respiration, j’ai du sperme sur mon ventre, tu as mouillé les draps de ton lit, nous nous embrassons goulûment et nous nous quittons sur une coupure téléphonique. Peu après je reçois une photo, me montrant toute la cyprine ayant coulé sur les draps. Pour ma part c’est le sperme s’étant échappé de mon gland. Bien sûr nous pourrions nous moderniser avec des liaisons vidéo, mais pour l’instant rien ne remplace notre imagination amoureuse, libre, notre imagination sexuelle…Merci à toi mon amour, à bientôt de t’écouter…A Mercredi.

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