Ma femme

- Par l'auteur HDS Simorgh -
Récit érotique écrit par Simorgh [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : Ma femme Histoire érotique Publiée sur HDS le 23-02-2008 dans la catégorie Plus on est
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Ma femme
<p>Ma femme, Muriel, avait invité son patron à la maison, car elle voulait qu'il la prenne devant moi.
Elle m'avait raconté comment ce salaud la baisait dans son bureau de l’hôpital, la faisant s'allonger sur la moquette pour, relevant ses cuisses rondes et charnues, venir lui enfoncer sa grosse verge dans le ventre, ou bien, la prenant en levrette après l’avoir faite s’allonger sur sa table de travail.

Arrivé à la maison, l'affaire étant déjà entendue, Jean-Pierre se dirige vers la chambre et s'allonge aux côtés de ma femme qui, ignorante du jour où ce baiseur devait venir, était allée se coucher, fatiguée par son travail.
Je reste debout près du lit, à la fois impatient et soucieux de la suite. Il lui caresse doucement le ventre, l'effleurant à peine du bout des doigts puis remonte lentement vers sa lourde poitrine. Il s'empare d'un sein qu'il masse à pleine main quelques minutes, avant de passer à l'autre à qui il offre la même caresse. Muriel est toujours endormie, mais je remarque que ses jambes s'écartent un peu.
La main de notre ami redescend sur le ventre et atteint la toison. Il masse le renflement de sa belle motte bien gorgée de jus, puis, peu à peu, descend vers la fente. Cette fois, les jambes s'écartent plus sensiblement et Jean-Pierre flatte l'intimité ainsi offerte.
Peu à peu, Muriel fait comme si elle sortait du sommeil et sa respiration se fait plus courte. Elle ne peut étouffer quelques gémissements, en particulier lorsque Jean-Pierre introduit un doigt dans sa grotte et le fait aller et venir.

Les yeux toujours fermés, elle dirige sa main vers le bas-ventre, croyant avoir affaire à moi et flatte la verge tendue de notre invité. C'est à ce moment qu'elle se rend compte qu'il ne s'agit pas de moi. Ouvrant les yeux, elle regarde Jean-Pierre, les doigts plantés dans son vagin : - Mais !!! Qu'est ce que tu fais là ?

Loin de se démonter, celui-ci ne cesse pas ses va et vient et lui demande : - Tu n'aimes pas ?
- Mais… qu'est ce qui te prend ?

Un nouveau doigt rejoint les deux premiers et Muriel ne peut retenir un petit cri de plaisir.

- C'est bon ?
- Non… enfin, oui… mais je ne veux pas…
- Pourquoi ? Patrick est d'accord. Pas vrai ?
- Oui…ma chérie, si tu en as envie ; laisse-toi aller et ne pense qu'à ton plaisir…
- Mais je ne suis pas une salope !
- Nous savons ! Juste une femme qui aime prendre du plaisir…"

Les doigts de Jean-Pierre la fouillent de plus en plus rapidement et Muriel ne cherche plus à cacher son plaisir. Il cesse alors tout mouvement et demande : - Muriel, je continue ou pas ?
- Hum…oooooh, ouiiiiii… c'est bon…
- Dans ce cas, tu es d'accord pour faire tout ce que je voudrais.
- …
- Alors ?
- Euh… ben oui, d'accord…
- Parfait… mets-toi à quatre pattes !
La lumière du couloir éclaire juste ce qu'il faut la pièce, éclairant Muriel dans sa position plus qu'impudique, les fesses tendues, les jambes écartées, le sexe ouvert.
Jean-Pierre reprend ses caresses, puis sa bouche se pose sur la fente et il lui offre un long cunnilingus. Je m'approche du visage de ma salope de femme et dépose un léger baiser sur sa bouche entrouverte qui laisse filer un soupir gémissant.

- Tu aimes ce que Jean-Pierre te fait ?
- Ouiiiiiiiiiiiiii…c'est...salaud...de...vant...toi...ôôôôôôôhhhhhhh j'ai honte...!
- Dis-le moi mieux que ça !
- J'aime qu'il me bouffe la chatte…
- C'est mieux... tu vas voir, il va te faire jouir comme une folle…
- Huuuuuummmm… ouiiiiiiiiiiiiiiiii…"

Mes mains trouvent ses seins et triturent ses tétons, gonflés par l'excitation. En appui sur ses coudes, Muriel savoure nos caresses, progressivement sans plus aucune honte ni fausse pudeur et ses gémissements se transforment en cris lorsqu'un premier orgasme la terrasse. Elle s'écroule sur le ventre et Jean-Pierre, le menton luisant, se relève, souriant.

- Tu as une chatte vraiment délicieuse… je passerai des heures à te la manger…"

Il lui donne une légère claque sur les fesses en ajoutant : - Maintenant, je meurs d'envie de goûter ta jolie bouche. Tourne-toi !

Muriel se retourne sur le dos et Jean-Pierre, l'enjambant, présente son membre entre ses seins. Sans réfléchir, elle l'enserre entre eux et le fait aller et venir dans ce délicat fourreau, comme quand il la crapule dans son bureau de l’hôpital, à ce qu’elle m’a raconté. Notre ami est doté d'un sexe particulièrement gros et le gland cogne parfois contre la bouche de Muriel qui ne se prive pas pour lui donner un coup de langue. Rapidement même, elle se penche et parvient à engloutir le bout violacé par le désir. Jean-Pierre s'avance alors un peu et ma jolie pute l'avale plus profondément, sans pour autant l'absorber en entier. Elle entame alors une fellation qui, à en juger par ses joues creusées, est particulièrement vorace. Je regarde le gros membre aller et venir entre les lèvres de ma salope de femme et ce spectacle m'excite au plus haut point.

- Tu suces comme une pute… ta bouche est délicieuse…
- Hum…
- Je sens que je ne vais pas tarder à t'arroser les amygdales… ouaiiiiiiiiiiiiiis… continuuuuuuue…c'est bon…

Muriel accélère alors ses va et vient sur la hampe tout en triturant les bourses de Jean-Pierre et après quelques minutes, celui-ci cède au plaisir : - Ouaiiiiiiiiiiiiiiiiis… je viens… aaaaaaaaaaaaaaaah… avale mon jus…. Il éjacule longuement dans la bouche de ma salope de femelle qui s'efforce de ne pas perdre une goutte de son jus.
Elle le garde en elle jusqu'à ce que la queue ramollisse. Jean-Pierre, heureux, la félicite : - Mumu, c'est la première fois qu'on m'offre une aussi bonne pipe… tu es réellement douée.
- Merci, répond-elle presque timidement, avec un regard qui, en réalité, est celui d'une infernale salope.
- Au tour de ton mari de prendre son pied…remets-toi à quatre pattes !

Elle reprend position et m'installant derrière elle, je l'enfile d'une longue poussée, accueilli par un cri de bonheur. Je la baise longuement, à puissants coups de reins, les mains fermement agrippées à ses hanches. Muriel a une croupe large, ronde et pleine, qui donne envie de lui planter une bonne queue pour la faire gueuler...Ses gémissements sont incessants et, pour la première fois, je l'entends prononcer des paroles dont je ne la croyais pas capable : - Aaaaaaaaaaaaaaaah ouiiiiiiiiiiiiiii, c'est bon… bourre-moi bien la chaaaaaatte… vas-y ! J'aime ta grosse biiiiiiiiiiiiiiiiiiite…

Jean-Pierre s'installe en tailleur face à elle et attire son visage vers son membre encore au repos. Sans se faire prier, elle ouvre la bouche et l'accueille à nouveau contre son palais. Voir ainsi ma femme déchaînée fait monter mon plaisir et, dans un dernier coup de rein, je me fiche tout en elle et jouis, mes jets fusant dans son ventre. Contrairement à d'habitude, mon sexe conserve toute sa vigueur et je continue à la pistonner, encouragé cette fois par notre ami : - "Baise-la bien à fond ! Dès que je serai prêt, je te remplacerai…"

En effet, quelques minutes plus tard, il sort de la bouche de Muriel. Je quitte à regret le doux écrin et le regarde pointer son gland contre le sexe béant de ma femme et s'y enfoncer de toute sa longueur. Je m'installe comme il l'était quelques minutes auparavant et les lèvres de ma chérie se referment sur moi. Les coups de reins de Jean-Pierre sont puissants, son pubis claque contre les fesses de ma belle femelle en rut à chaque va et vient et ma chérie a bien du mal à se concentrer sur sa fellation. Je regarde notre ami aller et venir en elle, ses mains écartant les fesses, les yeux baissés observant son membre s'enfoncer dans la grotte béante. Il lève la tête et me dit : - Ta femme a vraiment une chatte délicieuse. J'ai hâte de défoncer son gros cul !"

Sans attendre, il sort son sexe du vagin et le dirige au centre des fesses majestueuses, maintenues écartées. Il appuie un peu : - Tu es serrée du cul… Tu ne la prends jamais par là ?
- C'est rare, elle n'aime pas tellement…
- Je suis sûr qu'elle en a envie, je me trompe Muriel ?
- Non, réussit-elle à répondre ne lâchant ma verge.
- Alors, dis-moi que tu la veux par là !
- Hum… oui… vas-y…
- Non ! Mieux que ça !
- Aaaaaaaaaah… encule-mooooooooooi ! Mets-toi taaaaaaaa biiiiiiiiiiiiiitte dans le cuuuuuuuuul ! ouiiiiiiiiiiiiiiii salaud vas-y, vas-y, vas-yyyyyyyyyyyyy !!!
- Voilà, c'est mieux… alors, puisque tu le demandes, tiens ! Prends-la !

Il pousse d'un coup et s'enfonce en entier entre les fesses de ma femme qui ne peut retenir un cri, à la fois de douleur et de plaisir. Il entame de lents mais profonds va et vient et ma femme l'encourage bientôt.

- Ah ouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii ! C'est bon ! J'aime ta queue dans mon cul… prends-moi bien !"

Tout à son plaisir, elle est incapable de continuer à me sucer. Me plaçant alors sur le côté, je joue le voyeur en écartant au maximum ses fesses et en regardant le membre pénétrer sa rondelle de plus en plus rapidement. Ce traitement ne tarde guère à lui faire atteindre une nouvelle fois le septième ciel et, dans un long feulement, elle se laisse aller dans un puissant orgasme, s’affalant à plat ventre. Jean-Pierre poursuit son pilonnage et j'ai l'impression que ma chérie enchaîne les orgasmes tant ses cris résonnent dans la chambre. Les coups de reins ne ralentissent cependant pas et les fesses de ma salope en rut claquent de plus en plus fort contre le bas-ventre de son amant. Il me jette un regard et constatant mon érection décide de changer de position.

- Allonge-toi !
- Muriel, viens sur lui !

Elle s'empale sur ma queue dressée et j'ai l'impression de m'enfoncer dans de la lave en fusion tant son vagin est chaud et trempé. Une fois tout en elle, je l'attire contre moi et lui roule une pelle en pognant ses copieux nibards. Jean-Pierre s'installe derrière elle et je sens son sexe pénétrer à nouveau son cul. Ma femme subit sa première double pénétration et cela semble lui plaire : - Aaaaaaaaaaaaaah ouiiiiiiiiiiiiiiii !!! C'est bon vos deux queues en même temps !!! Allez-yyyyyyyyyyyy ! Baisez-moi bien foooooooooort ensemble !

Nous ne nous faisons pas prier et nos sexes trouvent rapidement la bonne cadence. Je regarde le visage de ma femme, méconnaissable, déformé par le plaisir. Ses cheveux sont collés à son front par la transpiration, sa bouche, grand ouverte, semble ne pas trouver assez d'air. Ses gros nibards ballottent sous nos coups de reins, mes lèvres s'emparent d'un téton que je pince et étire doucement. Très vite, Muriel sombre une nouvelle fois dans les vagues du plaisir : - "Je jouiiiiiiiiiiiiiiiiis !!! Ouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii… c'est trop bon !! Je viens !"

Je sens les contractions de ses muscles intimes sur ma queue au moment de son orgasme. Elle pousse un long cri, presque inhumain, et jouit longuement. Son plaisir déclenche celui de Jean-Pierre qui, à son tour, nous prévient : - Moi aussi je viens. Muriel, je… vais… t'inonder…le cul…
- Huuuuuuuuuuuuuuuuum… ouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii… donne-moi ton jus… vide-toi dans mes reins… Il s'arque et je sens les soubresauts de son sexe quand il éjacule. Il reste un peu en elle puis, le sexe ramollissant, sort de ses fesses. J'ai alors envie de la prendre par là et demande à ma chérie de se mettre sur le dos. Elle obéit, je replie ses jambes, contemple un instant cette merveilleuse vision de sa fente béante et de son anus dilaté puis, posant le sexe contre celui-ci, je m'enfonce sans aucun problème dans ce cul qu'elle m'a si souvent refusé.
Elle m'accueille d'un : "ouiiiiiiiiiiiiiiiiii", sous les commentaires de Jean-Pierre : - "Elle est bonne la bite de ton mari, hein ?
- Ooooooooooooooooooh, ouiiiiiiiiiiiiiiiiii !
- Tu aimes qu'on te baise le cul ?
- Ouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii… c'est bon… vas-yyyyyyyyyyyyyyyyyyy mon chéri, encule-moi fort !"

Mes coups de reins se font plus rapides, rythmés par les cris de ma chérie, et je la sodomise de longues minutes. Sentant le plaisir monter en moi, je sors de ses fesses et pose mon gland contre ses lèvres.

- "Ouvre la bouche !" Quelques aller et retour suffisent et je gicle puissamment, mes jets s'écrasant au fond de la gorge de Muriel.
"Tu te rends compte de ce qu'on vient de faire ?
- Bien sûr ! Tu n'as pas aimé ?
- Si, bien entendu ! Mais je me suis comporté comme la dernière des putes…
- Mais non… tu t'es comportée comme une femme qui s'offre un bon moment de plaisir… je te rassure, ni J-P ni moi ne te considérons comme une pute…
- Embrasse-moi… doucement…" Reprenez des forces et recommencez… !


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