Je passe directement à la sodomie avec ma cousine Dorothée

- Par l'auteur HDS Romainro -
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Auteur homme.
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Récit libertin : Je passe directement à la sodomie avec ma cousine Dorothée Histoire érotique Publiée sur HDS le 29-10-2018 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Je passe directement à la sodomie avec ma cousine Dorothée
Après ce moment chaud dans la salle de bain avec Dorothée, je passe la journée à me demander si c’est bien ou pas de coucher avec ma petite cousine. Surtout que maintenant elle me propose de quitter mon hôtel et de m’installer chez elle pour les deux dernières nuits de mon séjour. Quand je calcule que notre premier aïeul commun est notre arrière grand père je me décontracte et accepte sa proposition.

Comme je partage la villa avec mon cousin je dois trouver une explication. Je décide d’être franc avec lui mais de taire l’identité de ma proie, je le rassure en lui disant que je paye de toutes les façons ma part. Il rigole et se moque de moi pour cette réflexion. Par contre il me fait promettre de lui donner des détails et que l’on se revoit avant mon départ.

Je retrouve Dorothée en bas de son cabinet, elle me fait un signe de la main, elle monte dans sa classe A et je la suis. Nous roulons chacun dans notre voiture pendant près d’une heure et demi. Nous rentrons dans un lotissement, la cadence ralentis. Les immeubles se ressemblent tous, elle m’indique une place où me garer et rentre dans un parking sous terrain.

Je l’attends devant ma voiture avec ma valise à côté de moi, elle me rejoint quelques minutes plus tard. Elle porte un jean et un chemisier avec des cerises, sur son bras elle a sa robe de la veille dans une housse. Elle s’approche de moi, m’attrape par la taille et me fait un petit smack. Elle avance et je la suis en silence sans manquer d’admirer son joli cul qui se dandine devant moi.

Nous rentrons dans l’immeuble devant nous, elle habite au rez de chaussé. Je rentre pour la première fois dans l’appartement de ma petite cousine, que j’ai baisé le matin même, son appart est sympa mais trop dans les couleurs des filles à mon goût. Elle me fait visiter, elle a même un jardin de toute la longueur de son appartement, c’est un grand plus.

Je dépose mes affaires pendant qu’elle va nous servir du vin, je n’ose ni l’embrasser ni la toucher mais je la dévore du regard. Nous nous installons dehors et sirotons notre verre dans un grand silence heureusement recouvert par la radio. Elle me demande si tout va bien, je décide d’être franc lui dis que notre lien de parenté m’a fait beaucoup cogiter. Elle m’avoue qu’elle aussi au début, mais nous ne sommes pas si proche et qu’en plus il y a deux jours nous ne nous connaissions pas.

Nous nous sourions timidement les yeux dans les yeux, nos bouches s’attirent. Au début nos lèvres ne font que se frôler mais rapidement le baiser devient passionné et quand ma langue rentre dans sa bouche ça devient rapidement animal. Nous nous tripotons en même temps que nos salives se mélangent. Mes mains se posent d’abord sur son ventre avant de reculer jusqu’à son dos.

Je le parcours du bout des doigts et je la sens avoir la chaire de poule. La main de Dorothée remonte lentement sur ma cuisse alors que la deuxième est dans mes cheveux, je sens mon entrejambe gonfler. Quand elle quitte ma jambe pour me masser la bite à travers mon pantalon je me tend encore plus et me laisse aller. Nos lèvres toujours scellées et nos mains sur le corps de l’autre, ma cousine se lève et m’entraine dans sa chambre.

Nous nous déshabillons mutuellement et une fois entièrement nus nous nous allongeons sur le lit. Nos mains parcourent nos corps alors que nos langues continuent leur danse. Je la fais tourner et m’allonge sur elle, mes lèvres abandonnent les siennes pour descendre sur son cou. Ensuite je remonte vers son oreille que je commence à lâcher mais elle se met rapidement à rigoler alors je reprends ma descente.

Je me retrouve entre ses seins et commence à embrasser le droit alors que je caresse le gauche. Quand je lèche et aspire son téton, je la sens moins excitée, au bout d’un moment je lui demande si tout va bien, Dorothée me répond:« Oui mais je n’ai jamais été sensible de la poitrine. »Je lui souris et je pars embrasser son ventre, elle redécolle rapidement et commence même à gémir, alors je continue mon exploration.

Mes lèvres glissent sur son petit ticket de métro et coincent son clito entre elles. Je le lèche, l’embrasse et passe ma langue dessus, elle gémit et ondule son corps aux rythme de mes léchouilles. Je fais glisser ma main entre ses cuisses et mon index droit vient caresser ses lèvres intimes, elle mouille déjà bien. Quand mon doigt rentre en elle, j’accélère le rythme de ma langue sur son petit bouton, je l’entends ronronner de plaisir.

Alors que j’aspire son clito entre mes lèvres et que je le titille encore plus avec le bout de la langue je fais tournoyer mon doigt en elle. Ma cousine plaque encore plus ma tête contre son sexe, alors que je sens sa cyprine couler surnom poignet. Je glisse un deuxième doigt en elle et accentue encore plus toutes mes caresses.

Très rapidement je sens son sexe se refermer autour de mes doigts, ses gémissements deviennent des cris de plus en plus bestiaux. Quand sa main relâche ma tête, je calme mes doigts mais pas ma bouche. Je les retire l’un après l’autre alors que ma langue continue de jouer avec son petit bouton mais plus tendrement. Je sens ses deux mains sur mon corps et Dorothée me fait remonter sur elle.

Quand nos visages sont l’un en face de l’autre, je n’ose pas l’embrasser parce que ma bouche est recouverte de sa mouille. Mais ça ne l’arrête pas, elle pose ses lèvres sur les miennes et rentre directement sa langue entre elles. Alors que nous nous embrassons toujours elle me fait rouler et une fois qu’elle est sur moi elle empoigne directement ma queue.

Elle me branle tout doucement alors que ses lèvres descendent en ligne droite le long de mon torse. Elle arrive assez rapidement à hauteur de sa main, ma cousine embrasse mon gland rapidement. Ses doigts se relâchent pour me branler à deux mains alors que sa bouche descend sur mes couilles.

Ses doigts tapotent chaque centimètre de peau, un peu comme pour apprendre à bien connaitre mon sexe, en même temps qu’elle lèche ou aspire mes bourses. Dorothée pose le bout de sa langue à la base de mes couilles et la remonte doucement. Quand elle atteint la racine de ma bite elle balaye à droite et à gauche avant de remonter le long de ma queue. Elle s’arrête ensuite sur mon frein et l’attaque mais trop timidement à mon goût.

Je ne sais pas où mettre mes mains, même si notre lien de parenté est loin j’ai du mal à complètement me lâcher. Elle lèche mon gland comme elle le ferai avec un sucette et commence à s’empaler sur mon sexe. Plus elle me suce plus je me détends sa bouche est vraiment douée. Elle fait tournoyer sa langue de partout en insistant sur mon frein alors qu’elle monte et descend de plus en plus rapidement.

Quand ses dents accompagne sa langue sur ma tige, je me lâche totalement prise et lui attrape même la tête pour la guider dans mon plaisir. Je lui demander d’arrêter de me branler et de s’occuper de moi uniquement avec sa bouche. Alors qu’elle se concentre sur mon frein et mes couilles je sens que je suis très proche du point de non retour.

Je profite de ses caresses jusqu’au dernier moment mais lui demande d’arrêter juste à temps. Comme elle l’a fait tout à l’heure je la fais remonter vers moi et ma langue envahi sa bouche. A mon tour je la fais passer sous moi mais quand nos bouches se décollent je la retourne encore pour la mettre sur le ventre.

J’embrasse sa nuque puis je descends sur son dos que je caresse en même temps. J’approche de plus en plus de ses fesses que je masse à deux mains. Quand ma bouche atteint ses globes je les parcours du bout des lèvres. Je glisse un doigt le long de sa raie jusqu’à atteindre sa moule dégoulinante. J’effleure ses lèvres intimes et je remonte lentement entre ses fesses.

Une fois en haut j’empoigne fermement ses deux fesses et les écarte légèrement pour faire parcourir à ma langue le trajet précédent de mon doigt. Je sens son corps tressaillir, je n’arrive pas à glisser jusqu’à sa chatte parce que ses jambes son trop serrées alors je retourne directement sur sa rondelle. Je la masse avec ma bouche et quand je commence à essayer de la sodomiser avec je la sens se contracter.

Je recommence mon massage, elle ne se détend pas tellement mais gémit quand même. Je remonte sur elle, m’allonge sur son dos et après lui avoir embrassé le cou je lui murmure à l’oreille:« Tu n’as pas envie? »« Oui beaucoup mais… »Après un moment de silence elle rajoute:« J’ai peur d’avoir mal »Je lui propose alors de souffler et de se détendre, que je serai doux et prévenant mais si elle veut que j’arrête elle n’a qu’à me le dire.

Elle tourne la tête vers moi et m’embrasse avec un énorme sourire. Je redescends délicatement le long de son dos avant de me retrouver de nouveau entre ses magnifiques fesses. Je la lèche très langoureusement jusqu’à ce qu’elle se détende et s’ouvre enfin. Quand ses muscles sont détendus, je la sodomise avec la pointe du triangle de ma langue d’à peine un centimètre et je le fais ressortir.

J’aspire sa rondelle entre mes lèvres et la titille avant de replonger ma langue dans ses entrailles mais cette fois un peu plus profondément. une fois bien en elle, je fais tourner ma langue avant de la ressortir. J’aspire de nouveau son oeillet avant de la sodomiser complètement avec ma bouche. Ma cousine n’a plus de crainte puisque je l’entends soupirer de délectation et de plus en plus fort. Je fais tourner ma langue en elle avant de reprendre mes vas et viens.

Après l’avoir sodomiser un bon moment avec ma bouche, quand je sens son plaisir monter, je place mes mains sur le bas de ses fesses. Je pousse un peu pour la faire remonter et se cambrer plus, bien sûr ma langue suit le mouvement. Une fois qu’elle est assez remontée à mon goût, je descends ma tête pour lécher son périnée et enfin jouer avec ses grandes lèvres.

Dès que je commence à titiller la moule de ma cousine je sens sa peau granulé alors je me retourne et me glisse jusqu’à son clito tout en lui massant la chatte avec mon menton barbu. Mes mains continuent à masser ses fesses alors que mon index lui masse l’entrée de ses entrailles.

Je la sens immédiatement gémir, l’annulingus a été le propulseur pour un énorme orgasme. Je sens le nectar de Dorothée couler sur mon menton et mon cou. Pour accentuer son plaisir je redescends un peu et lui lèche les lèvres intimes et pour mon plaisir je déglutis son élixir. Elle ne s’arrête plus de couler mais n’est pas pour autant une femme fontaine.

Pendant se temps ma cousine commence à pivoter sur moi, j’ai bien compris son intention de commencer un 69 mais mon idée est ailleurs. Je stoppe son corps et je la replace sur le ventre en levrette. Je me mets derrière elle et empoigne ma bite pour caresser l’ouverture de sa moule, toujours dégoulinante, du bout du gland. Après quelques aller retour je m’enfonce d’un coup sec en elle.

Dorothée gémit immédiatement alors que je la lime ardemment. Je me calle bien au fond d’elle et je me retire aussi sèchement que je suis rentré. J’attrape ma tige et je badigeonne sa raie de sa mouille avant de me renfoncer dans son con. Je fais encore une fois quelques aller retour et je retourne badigeonner son cul.

Maintenant qu’il est bien humide je retourne dans son sexe et alors que je la baise tranquillement je suce mon index. Je masse sa rondelle avec puis je demande à ma cousine de pousser comme si elle était aux toilettes et j’enfonce doucement mon doigt.

Une fois qu’il est bien entré en elle, j’appuie contre ma queue avec pendant que je continue de la limer. Elle se met à se trémousser et manifeste de plus en plus son plaisir. Rapidement je retire ma queue de sa chatte et je la remplace par deux doigts alors que mon index tournoie dans ses entrailles.

Alors que ma main droite se ballade toujours dans son con je retire lentement mon index de son cul. Je sors mes doigts de son sexe pour les faire rentrer dans ses entrailles. D’elle même, Dorothée pousse de nouveau sur sa rondelle, mon index et mon majeur rentre sans aucune difficulté.

Une fois qu’ils sont bien rentrés je les plaque à la paroi qui sépare ses deux orifices et je m’introduis de nouveau dans sa moule. Je fais pénétrer ma bite très doucement pour profiter au maximum de la rencontre avec mes doigts. Je ne suis pas le seul à aimer ça puisque ma cousine en demande encore. Je me retire rapidement et la possède tout aussi lentement que la première fois.

Je recommence l’expérience quelques fois avant de la limer plus ardemment et même faire tournoyer mes doigts dans ses entrailles. Son con et encore plus serré avec l’invasion de mes doigts, je me sens bien en elle et j’adore ça. Après une bonne dizaine de minutes de ce traitement je sens le corps de ma cousine partir en avant et me faire quitter ses deux trous à regret.

Elle se penche et ouvre le tiroir de la table de nuit, je vois qu’elle pose quelque chose sur le lit mais je ne sais pas quoi. Par contre elle me tend un tube de lubrifiant et me dit:« J’ai envie de te sentir dans mon cul. »Je m’abstiens de lui répondre que ses désirs sont des ordres mais j’attrape le gel et je nous enduis tous les deux.

Ma cousine se remet en levrette, ses mains écartent bien ses fesses pour m’offrir son cul. Je rajoute une petite noisette de gel sur mon gland avant de le poser sur sa rondelle. Je la sens pousser avec son cul alors j’en profite pour glisser mon champignon en elle. Je sens ses chairs se plaquer autour de ma queue c’est trop bon. Je fais passer chaque partie très lentement.

Quand son cul se referme sur mon gland je m’immobilise un moment pour en profiter. Je sens les sphincters de Dorothée se contracter, elle a compris quelle partie elle serre et elle en joue. Je décide de partager les réjouissances et je glisse lentement en elle et je remonte tout aussi tendrement sur seulement 2 centimètres. Je l’ai tellement bien travaillée et lubrifiée que sa glisse tout seul alors je la sodomise entièrement.

Je reste un moment mes poils pubiens contre ses fesses et c’est elle qui commence à remuer le bassin. Je l’attrape par les hanches et je la lime tout doucement, je n’ai aucun problème à la sodomiser ça rentre comme dans du beurre. Je ne sais pas si c’est notre lien de parenté mais ma bite et à la taille parfaite pour ses deux orifices. Ma cousine partage mon avis vu qu’elle a la tête dans son coussin pour couvrir ses cris.

Je ramone les entrailles de Dorothée de plus en plus rapidement. La coquine sers régulièrement ses muscles pour augmenter la pression. Quand je ralentis un peu le rythme je la vois attraper l’objet sur le lit que j’avais complètement oublié. Elle me le tend et me dit:« J’espère que ça ne te dérange pas! »J’attrape le petit gode et je décule doucement.

Vu comme elle est ouverte et mouiller et que l’objet est petit, je n’ai pas besoin de le lubrifier pour l’enfoncer complètement dans sa moule. Une fois qu’il est bien calé, ma cousine écarte encore une fois ses fesses alors que je resserre ses jambes pour me placer entre elles. Mon gland passe très facilement mais je rentre le reste tout aussi lentement pour bien profiter du frottement avec le gode dans son con.

Dorothée aussi apprécie cet effet puisqu’elle a de nouveau plongé son visage dans son oreiller et malgré tout je l’entends bien gémir. J’essayer de donner des coups de bassin, pendant que je la lime, en partant du bas pour agiter la bite en plastique dans son autre trou.

Ca a bien l’air de marcher puisque seulement 2 minutes après, alors que je la sodomise de plus en plus bestialement, Dorothée contracte ses sphincters. Elle sert tellement fort que je comprends, bien aidé par ses cris encore plus fort, qu’elle jouit. Je m’excite de plus belles dans le cul de ma cousine oui est serré. Son ton est encore plus aigüe et après une eniène contraction de sa rondelle, je me vide dans ses entrailles d’un nombre incroyable de giclées.

Je la lime tout doucement pour accompagner les derniers jets. Dorothée commence à s’allonger, je suis le mouvement tout en restant planté en elle. Nous restons un bon moment l’un sur l’autre à reprendre notre respiration. Une fois que je commence à redescendre, je décule lentement pour ne pas lui faire mal mais elle est encore bien ouverte et mouille aussi du cul et sans compter mon sperme.

Quand ma queue, totalement recouverte de sécrétions, ressort d’entre ses fesses on entend un gros blop. Nous explosons de rire, je viens m’allonger à côté d’elle, moi aussi sur le ventre. Je rapproche mon visage du sien et je l’embrasse tendrement. Après un bon moment à nous regarder et nous galocher mais surtout à redescendre de toutes ses émotions, Dorothée se lève et quitte la chambre alors que je vois du sperme couler le long de sa cuisse.

Elle revient avec une bouteille d’eau qu’elle me tend et m’avoue qu’elle a déjà pratiqué la sodomie mais que c’est la première fois qu’elle y a pris du plaisir. Je suis encore plus heureux de savoir qu’un tel plaisir à été partagé. Nous continuons à discuter allongés nus sur la couette et elle me dit que la prochaine fois elle veut me voir pendant que je la sodomise. Je suis heureux de savoir qu’il y aura une prochaine fois.

Ensuite nous allons nous doucher assez sagement et vu l’heure nous nous contentons de pâtes au beurre pour le diner. C’est parfait pour reprendre de l’énergie avant la nuit qui s’annonce chaude…

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