rencontres gay au cinéma 3
Récit érotique écrit par Bonobo [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 26-02-2008 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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rencontres gay au cinéma 3
<p> Je retourne très souvent dans ce cinéma. Je n'aime pas sucer. Aussi je refuse quand on me demande. Pour la sodomie, je voudrais bien, mais dans ce genre d'endroit, j'ai peur du sida. Chaque fois que j'exige le préservatif, le demandeur s'enfuit. C'est pour ça que quelquefois, j'attends des heures avant d'avoir une occasion. Il m'est arrivé plusieurs fois de me faire sucer, debout, appuyé sur le dossier d'un fauteuil du dernier rang. Un jour, je suis resté pendant plus de trois heures sans occasion. J'entendais les hommes qui passaient derrière moi, ralentissaient puis partaient. A un moment, j'ai même reconnu la démarche d'un qui avait du passer et repasser une dizaine de fois.
Il m'est venu l'idée de me baisser légèrement et de relever mes fesses en arrière de façon ostensible, comme offertes. Ca n'a pas traîné. Un premier contact, du style c'est accidentel : mes fesses bouchaient le chemin. Un deuxième, une main parcourant toute la surface de mon cul. La troisième fois, les mains de l'homme attrapèrent directement la ceinture de mon pantalon, défirent la boucle et laissèrent tomber le pantalon jusqu'à mes pieds. Elles s'agrippèrent au slip et le firent glisser, sans ménagement le long de mes jambes. J'entendis le zip de sa fermeture éclair quand il sortit son sexe. Il prit mes mains et les posa sur mes fesses.
Je les ai écartées et il a posé son gland sur mon trou. Il a essayé de pousser mais ça ne rentrait pas. Il a craché dans la raie de mes fesses et quand la salive a atteint son sexe, il m'a attrapé par les hanches et a poussé sauvagement. Il est entré jusqu'au fond. Il était si gros que j'ai crié. Il m'a plaqué une main sur la bouche et passé un bras autour de la taille pour me maintenir contre lui. Il a attendu que la douleur passe et s'est mis à bouger, allant et venant entre mes fesses, de plus en plus vite. J'avais mal. J'avais l'impression d'être monté par un cheval. Quand il a éjaculé dans mon cul, j'ai senti des soubresauts et j'ai éjaculé aussi. Quand il est parti, j'ai voulu rentrer chez moi mais j'ai du attendre au moins une heure. J'avais tellement mal que je ne pouvais plus marcher. Je suis arrivé à la maison, la peur au ventre. Le gars n'avait pas mis de préservatif. A ce jour, je n'ai toujours pas le virus. Je ne recommencerai jamais cette expérience. J'ai trop peur de mourir.
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Il m'est venu l'idée de me baisser légèrement et de relever mes fesses en arrière de façon ostensible, comme offertes. Ca n'a pas traîné. Un premier contact, du style c'est accidentel : mes fesses bouchaient le chemin. Un deuxième, une main parcourant toute la surface de mon cul. La troisième fois, les mains de l'homme attrapèrent directement la ceinture de mon pantalon, défirent la boucle et laissèrent tomber le pantalon jusqu'à mes pieds. Elles s'agrippèrent au slip et le firent glisser, sans ménagement le long de mes jambes. J'entendis le zip de sa fermeture éclair quand il sortit son sexe. Il prit mes mains et les posa sur mes fesses.
Je les ai écartées et il a posé son gland sur mon trou. Il a essayé de pousser mais ça ne rentrait pas. Il a craché dans la raie de mes fesses et quand la salive a atteint son sexe, il m'a attrapé par les hanches et a poussé sauvagement. Il est entré jusqu'au fond. Il était si gros que j'ai crié. Il m'a plaqué une main sur la bouche et passé un bras autour de la taille pour me maintenir contre lui. Il a attendu que la douleur passe et s'est mis à bouger, allant et venant entre mes fesses, de plus en plus vite. J'avais mal. J'avais l'impression d'être monté par un cheval. Quand il a éjaculé dans mon cul, j'ai senti des soubresauts et j'ai éjaculé aussi. Quand il est parti, j'ai voulu rentrer chez moi mais j'ai du attendre au moins une heure. J'avais tellement mal que je ne pouvais plus marcher. Je suis arrivé à la maison, la peur au ventre. Le gars n'avait pas mis de préservatif. A ce jour, je n'ai toujours pas le virus. Je ne recommencerai jamais cette expérience. J'ai trop peur de mourir.
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