Le roulement au camping a du bon

- Par l'auteur HDS Romainro -
Récit érotique écrit par Romainro [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : Le roulement au camping a du bon Histoire érotique Publiée sur HDS le 18-11-2018 dans la catégorie Plus on est
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Le roulement au camping a du bon
L’année de mes 32 ans a été catastrophique sur beaucoup de points pour moi. En quelques semaines j’ai non seulement rompu avec ma copine du moment chez qui je vivais et j’ai été mis en chômage économique. Donc je me suis mis en même temps à la recherche d’un appartement et d’un boulot et tout ça pendant l’été!

J’avais vraiment besoin de souffler et comme financièrement la situation n’était pas la meilleur j’ai attendu fin septembre pour partir une semaine au camping. J’ai bien choisi ma période non seulement il a plu une bonne partie du temps mais en plus les étudiantes étaient déjà rentré. J’ai donc passer une grande partie de la semaine seul sous ma tente à bouquiner ou ruminer.

La veille du départ n’a pas dérogé à la règle, je reste toute la matinée dans ma tente à préparer mes affaires. Heureusement que j’ai de la place parce que je serai devenu fou à tourner en rond dans un petit endroit. Il y a enfin une accalmie alors j’en profite pour faire un dernier bain de mer malgré la fraicheur.

Je reste un bon moment dans l’eau même pendant les quelques averses légères. En fin d’après midi je quitte la plage pour retourner au camping, j’accélère la marche il se remet à pleuvoir des cordes. Quand j’arrive vers mon emplacement je vois un couple d’une quarantaine d’année monter leur tente. Je les salue et rentre dans la mienne pour me changer.

J’enfile un pantalon de survêtement après mettre sécher et reste torse nu. Je ressors pour m’installer sous l’auvent de ma tente à siroter une petite bière. La pluie ne s’arrête pas et mes nouveaux voisins s’acharnent toujours avec leurs sardines qui ne tiennent pas. Je m’approche d’eux et leur propose de venir s’abriter chez moi en attendant que ça se calme.

Madame vient se protéger la première, elle s’appelle Marine, c’est une petite brune avec des formes très généreuses. Elle porte un jean moulant qui fait bien ressortir ses fesses rebondies et un chemisier tellement mouiller qu’il laisse apparaitre un soutien gorge noir bien rempli. Elle s’assoit en tailleur et me dévoile encore plus son décolleter en se penchant ce qui commence à m’exciter.

Son mari revient avec des serviettes, après en avoir donné une à sa femme il me serre la main, lui s’appelle Francis. Il semble avoir quelques années de plus que sa femme, il est plus proche de la cinquantaine. C’est un homme grand et fin et très souriant. Je m’assoies pour cacher mon érection et leur propose une bière, tous les deux acceptent.

Nous discutons un peu, ils vivent en Ardèche depuis une dizaine d’année. Au fur et à mesure de la discussion j’apprends qu’après avoir été un couple illégitime pendant de longs mois, ils ont chacun divorcé. La pluie ne s’arrête pas, je leur propose une nouvelle bière Francis accepte mais Marine me demande si elle peut rentrer dans ma tente pour enlever ses vêtements.

Pendant qu’elle se change, je propose à son mari de partager ma tente pour la nuit vu qu’ils vont avoir du mal à finir de monter la leur. Il n’a pas le temps de répondre que Marine de l’intérieur accepte mon offre et me remercie. Du coup Francis va à leur voiture chercher leurs affaires.

La fermeture éclair de la tente s’ouvre, elle ressort en soutien gorge et son jean est ouvert. Marine me demande de venir l’aider, elle n’arrive pas retirer son pantalon mouillé. Pendant que je le tire par les pieds et le fait descendre par la taille. Je jette un coup d’oeil sur son entrejambe pour voir sa culotte qui descend avec le reste. Je découvre son mont de Vénus sans aucun poil et ses grandes lèvres qui pendent bien.

J’ai beaucoup de mal à détourner le regard surtout que je suis sûr qu’elle le fait exprès. Je tire très lentement sur son pantalon pour profiter le plus possible de la vue sur sa chatte imberbe. Une fois que je me retrouve avec son jean dans les mains je n’ai pas d’autre choix que de lui tendre et ressortir sous l’auvent.

Quelques instants après moi, elle ressort seulement entouré d’une serviette je ne vois même plus ses bretelles de soutien gorges. Elle l’étend sous mon auvent avec le reste de ses habits et sa culotte qui en fait est un string, pour qu’ils sèchent. Elle reprend sa place par terre et ouvre encore plus les cuisses, depuis ma chaise j’ai une vue plongeant sur ses lèvres intimes déjà brillantes de désir.

Ma queue recommence à se tendre dans mon pantalon de jogging alors je glisse ma bouteille fraiche entre mes cuisses pour me calmer et lui tend une nouvelle bière. En l’attrapant elle me fait un sourire coquin qui n’aide pas à me calmer. Heureusement nous sommes rapidement interrompu par son mari qui revient les mains bien chargées.

Je me lève pour l’aider et je réalise que je bande toujours quand je vois le regard de Francis se poser sur mon entrejambe. Je suis gêné mais ça ne dure pas longtemps quand je vois son sourire. Il donne un sac à sa femme qui en sort de la nourriture alors qu’il enlève son t-shirt et son pantalon. Il se sèche avec sa serviette puis s’entoure avec avant de retirer son caleçon.

Nous dinons dans une très bonne ambiance au moins ça compense sur le temps qui ne s’arrange pas. Régulièrement Marine bouge ses jambes ce qui me donne à chaque fois une nouvelle vue sur l’intérieur de ses cuisses. Une fois le repas fini, nous restons assis dehors à siroter des bières et pour moi à mater souvent le sexe de madame.

Je sais très bien que Francis à compris notre manège à tous les deux mais vu qu’il laisse faire ça ne doit pas être la première fois. Je suis même sûr que ça doit l’exciter, je suis de plus en plus content de leur avoir proposer le gîte. Maintenant il faut que je trouve une bonne raison pour que nous passions à l’intérieur à l’abri des regards indiscrets.

Marine me prend de cour en disant qu’entre le voyage et la bière, elle a besoin de s’allonger. Je prétexte que demain je dois me lever tôt pour repartir et leur propose de rester dehors le temps qu’ils se mettent à l’aise. Le couple rigole légèrement et m’invite à les rejoindre directement à l’intérieur. Marine rentre alors que nous finissons de tout ranger avec son mari.

Une fois que nous rejoignons madame, elle est déjà allongé sur le ventre et n’est recouverte que d’un drap, elle semble déjà dormir. Je m’allonge de mon côté et Francis s’assoit collé à sa femme. Il a deux bières dans les mains, il m’en tend une et commence à boire l’autre. Nous continuons à parler mais à voix basse pour laisser Marine dormir.

La discussion tourne vite sur le sexe, il découvre le haut de sa femme et lui caresse le dos et les épaules. La discussion devient de plus en plus hot mais pas autant que la situation, monsieur ne s’en est pas rendu compte (ou il a peut être fais exprès) mais le drap à glisser. Marine n’a plus que les mollets de couvert, le reste de son corps est complètement nu, ce qui m’offre une magnifique vue sur ses cuisses mais surtout son cul bien rebondi.

Comme mon tapis de sol est perpendiculaire aux leurs, j’ai les yeux rivés sur l’intérieur de ses cuisses qui s’écartent de plus en plus. Francis accentue ses caresses sur ce beau fessier et Marine pousse de longs soupirs de plaisir qui rajoute à notre excitation. Maintenant plus aucun doute il le fait bien exprès.

Plus la main de son homme se rapproche de son périnée plus madame écarte les jambes et m’expose encore plus ses lèvres intimes. La lumière n’est pas forte mais je vois suffisamment qu’elles brillent donc la situation l’excite aussi. J’hésite à moi aussi poser mes mains sur la peau de Marine surtout que tous leurs gestes me semblent une invitation mais je me retiens.

La main de Francis part maintenant du milieu du dos et redescend lentement sur ses fesses. Il fait glisser un doigt entre les deux globes bien rebondis, j’ai l’impression qu’il s’attarde sur sa rondelle. Son doigt redescend tellement bas qu’il lui caresses les grandes lèvres. Quand sa main remonte vers le dos de sa femme, je le vois aussi brillant et donc recouvert du nectar de madame.

Quand son doigt s’attarde pour la deuxième fois sur son oeillet, je me rapproche. Au moment où il rendre en contact avec le sexe de Marine je lui caresse les mollets à deux mains. Immédiatement elle se met à gémir et je sens sa peau se granuler sous mes doigts. Maintenant elle ne soupire plus mais gémit très nettement, par contre elle ne bouge pas et se laisse faire.

Au quatrième doigtage, mes mains se baladent sur l’intérieur de ses cuisses. Quand Francis me voit faire, il ne bouge plus sa main de l’entrée de la grotte de sa femme. Je vois même très nettement, un de ses doigts, la pénétrer très lentement, il y rentre directement 2 doigts qu’il fait aller et venir avec un certaines douceur. Je remonte encore plus mes doigts vers l’intérieur pour atteindre le haut de ses cuisses et me rapprocher de son mont de Vénus.

Je passe sous les doigts de Francis et pars lui titiller le clito, qui est déjà bien gonflé mais surtout bien humide par sa liqueur qui n’arrête pas de couler. Francis retire lentement ses doigts, Marine écarte encore plus les cuisses ce qui me permet de me mettre à genoux entre elles tout en continuant mon travail de doigts de plus en plus intensif. Il écarte les fesses de sa femme et dès que je vois son petit trou je ne peux m’empêcher de me pencher pour le lécher.

Une fois que ma bouche est bien positionné, monsieur lâche sa prise pour soulever sa femme, qui miaule de plus en plus fort, et la mettre à 4 pattes. Dans cette position j’arrive facilement à la sodomiser avec ma langue alors que mon majeur et mon index se baladent dans son sexe. Avec mon pouce j’appuie et je titille son petit bouton.

Francis retire son caleçon, sa queue est déjà de belle taille. Il s’assoit devant sa femme qui se met immédiatement à lui lécher le gland. Je suis beaucoup plus raide que lui alors je retire mon pantalon de survêtement et je lui caresse la vulve avec mon gland après avoir retirer mes doigts et ma bouche de ses trous. Elle est extrêmement humide, je sens son élixir dégouliner le long de ma tige.

Je me positionne bien entre ses lèvres intimes et m’enfonce tout doucement en elle. Plus ma bite disparait dans sa grotte plus elle avale celle de son mari entre ses lèvres. Salope comme elle semble l’être, j’imagine que la langue de Marine se ballade à un rythme fou le long du mat de son mari qui arrête pas de grandir.

Elle ondule de plus en plus son corps alors que je la lime de plus en plus sauvagement. Elle contracte, régulièrement, son sexe autour du mien, je sens mes veines s’écraser sous ses muscles. Je la ramone de plus en plus énergiquement et je ne peux m’empêcher de lui donner de délicates fessées. Je vois le chibre de Francis être complètement aspirer par la bouche de sa femme, j’ai l’impression que son nez touche les poils pubiens de son homme.

Marine fait reculer au maximum son bassin pour m’enfoncer encore plus profondément dans son vagin. Elle s’excite encore plus sur la queue de son homme et se positionne pour lui caresser les couilles en même temps. Francis gémit de plus en plus fort, il attrape les cheveux de sa femme pour pénétrer le plus profondément possible sa gorge.

Je vois la salive de Marine dégouliner sur les couilles de son mari qui se met à crier. Alors qu’il continue de faire aller et venir la tête de sa femme le long de sa bite, il se vide en elle. Comme rien ne sort d’entre ses lèvres, j’imagine que Marine est entrain d’avaler chaque giclée qui sort du méat de son homme. Pendant ce temps je la baise au rythme de mon ventre qui cogne son postérieur bien bombé.

Mes mouvements sont tellement sauvage que je ressors régulièrement de son sexe. Sa croupe et ma bite sont tellement lubrifier par son nectar qu’avec un faux mouvement je me plante d’un coup sec dans ses entrailles. Je rentre en elle profondément sans rencontrer aucune résistance. Pendant ce temps Francis s’installe en 69 sous sa femme.

Marine suce ardemment la queue ramollie de son mari alors que je la sodomise sans vergogne. Je prends un malin plaisir à régulièrement déculer pour reposséder encore plus vigoureusement son petit cul. A chaque fois que je la sodomise à nouveau, elle gémit fortement malgré sa bouche pleine. Je vois que la bite de Francis se remet à grossir alors qu’il continue à balader sa langue sur les lèvres intimes de sa femme.

Elle se met à contracter ses sphincters autour de ma tige alors que je continue de la pilonner. J’ai de plus en plus de mal à me retenir surtout qu’à chaque fois que ma main s’abat sur une de ses fesses les vibrations se répercute sur mon costume trois pièces. Je sens mes couilles se contracter et mes veines se gonfler, Marine doit aussi le sentir parce qu’elle n’arrête pas serrer ses entrailles. Mon jus remonte tout doucement et je me vide par 4 grosses giflés dans le cul de cette femme que je ne connaissais pas il y a quelques heures.

Je la lime très doucement pendant encore un petit moment avant de ressortir d’entre ses fesses. Alors que je me relève pour me dégourdir un peu les jambes, je vois que Marine s’est assise sur le visage de son homme. Il est entrain de lui nettoyer les fesses et avaler mon sperme alors qu’elle se tripote la chatte. Je reste au dessus d’eux à les admirer faire.

Au bout d’un moment, Marine se soulève et se décale. Elle place son entrejambe au-dessus de celui de son mari, elle empoigne la queue raide sous elle et se l’enfonce directement dans le cul. Elle se sodomise comme une folle toute seule alors qu’avec une main elle prend appuie derrière elle avec l’autre elle se rentre des doigts dans la chatte. Ils jouissent rapidement et à l’unisson.

Une fois qu’ils redescendent lentement de leur nuage, elle le fait déculer et vient s’allonger à côté de lui. Elle se met rapidement à ronfler alors que ma queue a repris sa forme et que j’espérais encore la baiser. Francis s’endort aussi rapidement alors je n’ai pas d’autre choix que de rejoindre mon tapis de sol et mon sac de couchage.

Le lendemain quand je me réveille, ils ne sont plus sous ma tente qui sent encore nos ébats de cette nuit. J’enfile rapidement mon pantalon de jogging et sors voir ce qu’il se passe dehors. Le soleil est de retour, leur tente est complètement montée mais ils ne sont pas là. Alors que je bois tranquillement mon café il reviennent de la douche et me salue.

Je les invite à boire le café avec moi mais ils sont déjà pris le petit déjeuner et veulent se baigner. Je leur souhaite un bon bain et une fois ma boisson fini je vais à l’accueil pour essayer de prolonger mon séjour d’une nuit ou deux. Mon emplacement est déjà réservé donc je suis obligé de partir.

Après avoir plier ma tente et rangé toutes mes affaires, j’attrapes mon maillot de bain pour rejoindre Marine et Francis. Je les trouve ni sur la plage ni dans l’eau, je reste un moment mais je ne les vois pas. J’écris sur un bout de papier mon numéro de portable que je glisse sur leurs sac de couchage. Je quitte le camping sans avoir pu leur dire au revoir mais avec le souvenir de cette belle nuit. Ils ne m’ont jamais contacté ce qui laisse une saveur plus spéciale à ces beaux souvenirs.

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