ALICE 5

- Par l'auteur HDS Accent -
Récit érotique écrit par Accent [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : ALICE  5 Histoire érotique Publiée sur HDS le 25-11-2018 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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ALICE 5
Alice 5
Je suis allongée sur mon canapé, nue, sur le dos, les yeux bandés, offerte à mon mari Jean et, avec son assentiment, à son ami Léon secondé par sa femme Sonia. Ce soir Léon doit me faire l'amour, il doit surtout me faire un enfant. C'est le but avoué de cette rencontre et des quelques suivantes si nécessaire, pensent Jean, Léon et Sonia. Pour moi, c'est le moyen de camoufler que je suis déjà enceinte des oeuvres de Léon. Je suis seule à le savoir, je dois garder le secret, si je ne veux pas perdre mon mari. Je l'ai trompé, je le regrette malgré le plaisir que j'y ai pris. Surtout j'ai conscience que la découverte de mon égarement briserait deux familles. Donc je dois simuler et même je dois accepter de jouer le jeu.

Car, en plus de la mission affirmée, par la volonté de Sonia, notre partie ressemblera à un jeu. Je n'ai pas su refuser à l'épouse, qui me prête son mari, de transformer cette séance en libertinage organisé par deux couples. C'est nouveau, hors de nos habitudes. Sonia décide, Sonia m'impose ses décisions et Sonia mène les deux maris par le bout du nez. Elle a réussi, avec culot, à obtenir de baiser avec mon mari, puisque le sien devait m'engrosser. C'est donnant donnant. Je suis soumise à ses fantaisies.

Une main, deux mains, des mains, six mains m'effleurent, me touchent, me caressent, me tâtent. Ici mon tétin est frôlé, un peu pincé, là des doigts s'insinuent entre mes cuisses, remontent sur mes chairs lisses, afollent ma vulve, chatouillent mon clitoris. Les lèvres de Sonia étouffent mes premiers râles quand un doigt pénètre le vestibule de mon vagin alors qu'une autre main appuie sur mon pubis. IIls n'ont pas traîné à entrer dans le vif du sujet et la question jaillit de la bouche proche de Sonia:
- Qui t'a mis un doigt, Jean ou Léon ?

- Je ne sais pas.

C'est vrai, le bandeau m'aveugle, je ne peux pas savoir. Ce doigt, c'est un majeur, plus long, au milieu de doigts adossés à mes grandes lèvres de part et d'autre. Quant à savoir qui m'a foutu son majeur, droit dans le con, qui le fait aller et venir dans ma mouille spontanée, comment le savoir. Léon comme Jean usent du procédé pour m'allumer, l'un comme l'autre cherche à trouver le fameux point G à partir duquel s'ébrouent les terribles frissons qui me font perdre la tête. L'acteur se vexera-t-il de ne pas être reconnu ? Si je réponds " Léon", les deux autres se demanderont comment je peux reconnaître le toucher d'un doigt théoriquement inconnu. Si je crois avoir reconnu Jean alors que ce doigt appartient à Léon, Jean s'inquiétera de la confusion. " Je ne sais pas" est la meilleure réponse.

Le doigt se retire. Deux mains ont saisi mes chevilles, les poussent vers l'extérieur, ouvrent l'angle de mes jambes, des cheveux frottent ma peau , une tête s'enfonce dans l'espace ouvert, une bouche se pose sur mon sexe qu'écartent les doigts fins de Sonia. Elle ordonne :
- Lèche, suce, chauffe la, fais la jouir. Alors, cette fois, qui te met la langue ?

Dussé-je me tromper, je ne réfléchis pas, je gémis ;
- C'est mon Jean chéri.

- Faux. Bon tu ne connais pas la langue de mon homme, c'est pardonnable. On continue ?

- Je préfère voir pour mieux profiter. Et puis on pôurrait inverser les rôles. Toi, Sonia, prends le bandeau et ma place. J'aimerais savoir si tu es meilleure que moi à ce jeu. Mais, attends, je m'assieds dos contre le côté du canapé, viens vers loi à quatre pattes, viens me bouffer la chatte et offre ta croupe aux hommes. A tour de rôle ils te mettront un doigt ou une langue et enfin la verge dans le sexe. A ton tour tu diras qui te fait du bien.

- Tu as raison, moi aussi je veux jouer. Nous n'avons jamais eu l'occasion de nous amuser avec un autre homme et une autre femme. Aujourd'hui l'occasion se présente, profitons en. A moi ta quetsche, messieurs, je suis à vous, ma croupe, mon minou vous appartient, Allez-y, soignez-moi. Je vais adorer, ne craignrez rien, je ne risque pas de tomber enceinte, vous pouvez vous vider les couilles dans ma cramouille. Je veux crever de plaisir. A deux vous devez arriver à me donner de multiples orgasmes. Quel bonheur !

Je suis obligée d'intervenir, Sonia semble avoir oublié que, ce soir, le sperme de L"on doit me revenir. Après ce rappel indispensable, je fais signe à Léon de venir à ma hauteur. La main un peu tremblante, j'empoigne sa queue et j'entame une masturbation ardente avant de l'envoyer derrière Sonia. J'invite ensuite Jean pour la même opération de mise en condition.La règle veut que tout se passe en silence. Sonia, la première enfreint cette règle :
- Ah ! Non, pas ça ! Jean tu abuses, je n'ai jamais permis à Léon de m'enculer, là tu te permets ce qui est interdit à mon mari, sors de mon cul.

Jean juge utile de se défendre
- Mais ce n'est pas moi, tourne la figure de ce côté, ouvre la bouche et tu pourras me sucer le noeud. Oui, ça c'est moi. Ce que ta bouche est bonne. Je suis content de cette soirée. Oui suce au lieu de grogner. Ton Léon rattrape enfin le temps perdu et obéit en te sodomisant. Je croyais avoir compris que tu souhaitais profiter de l'occasion pour faire des choses inédites, comme une double pénétration. Tu as deux hommes à ta disposition,
Sonia se soumet :
- Ah! Vous avez comploté et prévu de me mettre en même temps par devant et par derrière. D'accord, vas-y Léon, ça fait un peu mal, mais si vous me promettez une double, j'en ferai l'expérience ce soir et chaque fois que vous le demanderez. Comment faisons-nous?

- Je calme le jeu, soucieuse avant tout de recueillir dès ce soir la semence de Léon pour pouvoir prochainement annoncer ma future maternité :
- Oh! Ca suffit. Le jeu ne doit pas nous distraire et nous éloigner du but de cette rencontre. Sonia, use de mon mari autant que tu le souhaites et qu'il le veut bien. Avant tout Léon doit me servir, vous savez pourquoi. Nous nous égarons, revenons à nos moutons. Léon vient avec moi à la salle de bain, je vais lui laver la queue et ensuite nous irons tous deux au lit pour du sérieux. Et vous amusez-vous. Quand l'essentiel sera réalisé, nous verrons ce qu'il nous restera de forces pour une partie carrée.

Mon audace les frappe de stupeur. Personne n'ose s'opposer à ma décision. Sonia levée se réfugie contre Jean. Jean si bavard paraît gêné d'être abandonné par moi et livré à la gourmande néo libertine. Léon me suit. Enfin seuls, sous la douche! L'eau coule, dans mes doigts le vit enfle, c'est normal et j'aime la main posée sur mon sein, je reçois avec bonheur ce majeur qui va fouiller ma chatte dégoulinante depuis un moment. Nous nous regardons, le regard interrogateur. Je parle :
- Merci Léon. Dis, veux-tu quitter Sonia et vivre le reste de tes jours avec moi. Attends, laisse-moi te dire, j'aime Jean. Avec toi, cela a été merveilleux, mais c'est avec Jean que je veux vivre.

Ma déclaration force sa réponse. Je ne lui laisse pas la possibilité de me faire une déclaration d'amour ou de s'engager. Je casse ses rêves ou ses fantasmes s'il en a ou en a eu. Il sourit amer et à voix cassée me console :
- C'est parfait. Comme toi j'ai eu du bonheur dans nos rapports passés. Mais ce n'est pas vraiment raisonnable. Je t'estime, j'estime Jean, nous avons deux familles, il ne faut pas les casser. Et puis je crois que nous venons de trouver la solution pour régler pacifiquement notre problème. En premier je vais suppléer Jean, te rendre mère de mon mieux, avec le maximum de plaisir possible. Ensuite nous pourrons nous retrouver plus ou moins régulièrement pour des relations échangistes. Sonia le souhaite. Jean va apprécier les attentions amoureuses de ma femme et finira par aimer la serrer dans ses bras et lui faire l'amour. Quant à nous, nous aurons le plaisir de nous aimer sans avoir à nous cacher.

- Tu crois que c'est possible ? Je suis perdue. Je pourrai aimer deux hommes, Sonia aussi. Vous, les deux amis vous partagerez vos deux femmes. Tu crois que ça peut marcher ?

Pour toute réponse, sous la pluie de la douche, Léon saisit ma tête entre ses mains et m'embrasse à pleine bouche? Un coup de serviette vite donné après, nous nous retrouvons enlacés dans le lit conjugal, moi et l'amant choisi pour moi par mon mari.Je devrai conserver en moi son sperme si je veux être fécondée. Sous mes fesses Léon entasse deux oreillers :
- Ainsi ton bassin est soulevé et le sperme se dirigera naturellement vers ton utérus en direction de tes ovules.Aimons-nous. Je peux?

- Dis, tout à l'heure c'était ton doigt?

-Non.

- Non, c'était celui de Jean, vrai? Je veux sentir le tien d'abord, pour ne plus me tromper à l'avenir au cours des jeux inventés par Sonia. Dis tu l'as vraiment enculée ? Vous avez l'intention de la prendre à deux, un en vagin et un dans le derrière ? Et moi, je pourrai essayer la double pénétration.? .... Oui, le contraire serait injuste.

Pendant une semaine, chaque soir, nous nous sommes retrouvés. Chaque soir Léo et moi nous nous sommes étreints, embrassés. Après chaque pénétration, après chaque éjaculation Léon m'a maintenue pieds levés quand il me prenait en missionnaire, ou fesses hautes, reins cambrés et tête contre le matelas après une levrette.

Pendant ce temps Sonia convertissait mon homme à l'échangisme. L'une ou l'autre fois ils nous ont rejoint sur notre couche. A entendre les cris d'amour de Sonia prise par mon mari, à voir le plaisir qu'ils prenaient à essayer toutes les positions de l'accouplement d'un homme ret d'une femme, à constater leur complicité dans la recherche de la jouissance partagée et exposée sans honte sous nos yeux, je me suis mise à craindre le pire.

Il ne restait plus qu'à attendre mes prochaines règles, en tenant compte des indications que j'avais fournies à Sonia à propos des précédentes. Au bout d'une bonne quinzaine de jours je m'empressai de proclamer que Léon avait comblé mes voeux. Mais ni l'annonce de ma grossesse, ni les migraines, ni les vomissements n'eurent raison du violent désir de Léon, Sonia et Jean de réaliser des soirées échangistes. Ils se sont excités sur mon ventre gros de femme enceinte, ont observé mes déformarions et la béance de mon sexe, mais jamais n'ont renoncé à en user de mille manières.

La naissance de Jules m'a procuré quelques courtes semaines de repos. Depuis les parties ont repris, je suis coincée, victime de ma propre ruse dans une relation à quatre qui commence à me lasser . Eh oui, j’ai mal à l’anus, le sexe efface les sentiments. Ma famille cède le pas au cul. Ne suis-je pas en train de perdre Jean ?

Les avis des lecteurs

Histoire Erotique
L’histoire est pas trop mal, elle se tient - une rareté chez Accent - mais la fin méritait un épilogue



Texte coquin : ALICE  5
Histoire sexe : Une rose rouge
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