CHÉRI, EST-CE QUE JE PEUX .. ?

- Par l'auteur HDS Tamalou -
Récit érotique écrit par Tamalou [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : CHÉRI, EST-CE QUE JE PEUX .. ? Histoire érotique Publiée sur HDS le 22-12-2018 dans la catégorie Dans la zone rouge
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CHÉRI, EST-CE QUE JE PEUX .. ?
Bernard leva les yeux vers son épouse, Mathilde, lorsqu'elle vint s'asseoir en face de lui. Après plusieurs années de mariage, il savait quand quelque chose la préoccupait, alors il délaissa le journal qu'il lisait.
"Quelque chose t'ennuie, bébé?" Demanda-t-il avant qu'elle ne parle.
"Tu sais, je t'ai parlé de mon client, le vieux Henri?"Bernard connaissait Henri, il avait même pour lui une certaine affection. C'était une sorte de papa-gâteau pour Mathilde, ou plus exactement une sorte de parrain. Quand elle se démenait pour essayer de créer son propre institut de beauté, il l'avait conseillé et guidé dans ses démarches administratives. Et plus tard, quand il a fallu aménager les locaux et organiser l'espace, il a toujours été de bon conseil pour elle.
C'était un rêve qu'elle faisait depuis l'adolescence. Quand ils se sont connus et fréquentés, c'était le premier secret qu'elle lui a confié.
Son idée était d'avoir son propre établissement de soins corporels, de massage, d'épilation, s'occuper des ongles, avec un sauna et un bain à remous, allant même jusqu'à assister des gens avec un problème de surpoids, des choses comme ça.
Fondamentalement, un institut de beauté avec un service complet. Bernard pensait que c'était principalement une clientèle féminine qui allait dans un endroit comme celui-là. Il pensait également que cela ne ferait probablement pas beaucoup d’argent, mais il aimait Mathilde de tout son cœur et voulait la voir heureuse.
Ce vieil homme, Henri, qui logeait à quelques centaines de mètres, avait beaucoup aidé Mathilde à organiser les lieux. Bernard avait prit la succession de son père, artisan maçon, donc il lui avait été facile d'ajouter des cloisons, faire la plomberie et l'électricité. Mais c'est Henri qui avait conseillé pour l'implantation des locaux, car il semblait connaître les ficelles du métier.
Henri était même venu passer ses soirées pour aider Mathilde à réviser en vue de son examen, et il utilisait des termes latins qui rendaient fou Bernard qui ne comprenait rien à ce vocabulaire. Les termes techniques, les procédures, la législation, tout ce fatras lui cassait les pieds et sa seule solution fut la fuite. Il s'échappa vers son atelier où il pouvait bricoler tranquillement et il les laissa en tête-à-tête avec leurs problèmes.
Pourtant, Bernard était loin d'être bête. Quand il avait repris la vieille entreprise artisanale paternelle qui végétait, il avait parfaitement su rendre de menus services au maire et à ses proches collaborateurs, et s'était vu confié plusieurs chantiers au revenus intéressants.
Comme Henri ne demandait jamais rien en retour, alors Mathilde l'avait invité plusieurs fois à dîner. Bernard avait trouvé ce vieux bonhomme sympathique car il savait raconter plein d'histoires et d'anecdotes.
Maintenant, Henri était devenu un client hebdomadaire de l'établissement que Mathilde dirigeait et, juste retour des choses, elle ne lui faisait rien payer. Elle avait plusieurs associées, des femmes avec un statut indépendant, qui louaient les locaux et lui payaient une commission.
Certaines s'occupaient principalement de gymnastique, d'autres travaillaient dans les salles de massage, ou s'occupaient des ongles, ou d'épilation. Chacune sa spécialité, et Mathilde s’occupait surtout de la paperasse du bureau, du sauna et du spa.
Bernard trouvait ce travail un peu ridicule, mais les gens semblaient dépenser beaucoup d'argent, alors Bernard ne s'est plus posé de questions. Ils avaient un coffre-fort encastré dans le sol du placard de leur chambre à coucher qui s'est rapidement rempli de liasses de billets. La surprise de Bernard a été de voir combien de gens payaient en espèces, procédé peu répandu dans son monde à lui.
Il n'avait jamais espéré qu'une entreprise comme celle-là puisse être aussi rentable. En fait, cela avait provoqué un petit accrochage. Bernard avait besoin d'une nouvelle pelleteuse excavatrice et Mathilde voulait une nouvelle voiture, elle en avait assez d'être trimballée dans la vieille guimbarde de son mari. Ils n'arrivaient pas à se mettre d'accord sur ce qui était plus important.
Mais Mathilde restait inflexible, alors finalement Bernard a cédé: "Va l'acheter ton putain de truc!" Ce soir-là, en rentrant chez lui, il trouva une luxueuse berline allemande garée dans la cour.
"Putain, elle a payé ça en espèces?"---"Tu sais, je t'ai parlé de mon client, le vieux Henri?"Bernard n'avait aucune idée de ce qui se tramait: "Ouais?""Tu sais qu'il a plus de soixante ans? Et qu'il vit seul?" Mathilde avait un drôle d'air sur le visage.
"Et alors?" Bernard haussa les épaules.
"Quand je le masse, il est… tu sais… excité?"Bernard réussit à se retenir de plaisanter, cette information lui inspirait un commentaire salace.
"Chérie, tu es une femme magnifique. A quoi peux-tu t'attendre? Je parie que tous les hommes ...""Oui, je sais. Ça arrive avec certains clients, mais avec Henri, c'est ...? Je ne sais pas comment t'expliquer! Il est tellement gentil, désarmant, sans lui, tu sais … du coup, je veux ... m'en occuper pour lui." Elle était rouge comme une pivoine.
"Prendre soin de ...? Quoi? Tu veux le purger? C'est ce que tu veux?" Bernard la fixait avec surprise. C'était probablement la dernière chose à laquelle il s'attendait.
"Ne dis pas ça comme ça, c'est dégoûtant, je veux juste lui rendre quelque chose en retour. Un remerciement … Il est tout seul et il a été si gentil, si dévoué, il m'aidait et me conseillait. Et il vit seul!""Beaucoup d'hommes sont dans son cas, tu vas les aider tous?""Ne soit pas stupide, avec Henri, c'est différent pour tout un tas de raisons. Je veux juste qu'il soit heureux, c'est tout. En plus, c'est juste avec les mains, tu sais. Il est si attendrissant!" Les yeux de Mathilde étaient découragés.
"Alors, qu'est-ce que tu vas faire, transformer ton entreprise en bordel? C'est illégal, cette merde!!" Bernard criait. Il pouvait sentir sa rage monter, chose rare chez lui.
"S'il te plait, ne te fâche pas, chéri. Ce n'est rien du tout. Oublie cette conversation." Mathilde est retournée dans la cuisine, coupant court à la conversation.
L'ambiance fut un peu fraîche, ce soir-là, mais ni l'un ni l'autre ne voulurent prendre le risque de ranimer ce sujet de conversation.
Mathilde avait parfois un côté un peu enfantin, un peu naïve, mais cela faisait partie de son charme.
Et quelques semaines plus tard, elle lui a donné l’argent pour sa nouvelle pelleteuse, ce qui lui a permis d'augmenter la rentabilité de ses chantiers. Puis il a obtenu de plus gros chantiers de la municipalité, a été obligé d'embaucher du personnel, sa vie professionnelle est devenue un véritable tourbillon et il a complètement oublié leur brève conversation.
---Bernard n'avait jamais eu la moindre raison de suspecter Mathilde, elle était une femme au foyer parfaitement sérieuse.
Ce qu’il appréciait chez elle, c’était le fait qu’elle soit toujours d'humeur égale, doublée d'une partenaire disponible, coquine et malicieuse dans la chambre.
Non pas que Bernard ait une énorme expérience dans ce domaine, il avait eu juste quelques copines dans sa jeunesse.
Bernard avait perdu sa virginité dans un camp de vacances auquel il participait pendant l'été. Le dernier jour, les enfants repartis dans leurs familles, les moniteurs étaient restés pour tout ranger et nettoyer. Et le soir, pour les remercier, le directeur avait organisé une petite fête. Bien sûr, les jeunes n'ont pas besoin de beaucoup d'alcool pour être ivres, et une jeune monitrice s'intéressait à lui.
Normalement, rien ne se serait passé mais l'alcool les avait désinhibés et ils avaient dormis ensemble. Rien de bien étrange, au réveil, les autres lits du dortoir étaient occupés par des couples, certains en plein exercice. Pas intimidée, elle s'était levée entièrement nue pour aller aux toilettes. Elle avait traversé le dortoir, aller et retour, sous le regard de l'assistance, les seins ballants et les fesses se balançant. Quand elle était revenue dans le lit, elle s'était blottie contre lui et avait attrapé son sexe à pleine main, lui faisant ainsi comprendre qu'elle était disposée pour une nouvelle chevauchée.
Bernard ne l'avait jamais revue, d'ailleurs il a oublié son prénom et même son existence. C'était une chose dont il n'était pas très fier, et il n'a jamais pris la peine de raconter à Mathilde cet épisode de sa vie.
Il a rencontré Mathilde un an plus tard, elle travaillait comme caissière dans une supérette pendant l'été.
Il lui a demandé de sortir, elle a accepté, et petit à petit ils sont devenus très proches. Déjà à cette époque, Mathilde avait des mains merveilleuses et après quelques rendez-vous, elle a utilisé ses dons pour soulager Bernard. Il était évident qu'elle était expérimentée dans ce domaine. Plus tard, il a fallu nettoyer les taches de sperme sur le pavillon de la voiture. Elle était capable de créer un orgasme étonnant avec ses mains.
Quelques temps après, Mathilde a laissé Bernard jouer avec ses seins nus. Ils étaient gentils mais fermes et ses mamelons étaient très sensibles. En suçant un téton et en faisant rouler l'autre entre ses doigts, ses paupières se mirent à trembler et Bernard pensa qu'elle avait peut-être eut un orgasme.
Cette période de leur relation fut merveilleuse, ils désiraient être ensemble tout le temps.
Ils ont donc décidé de se marier rapidement, c'était une cérémonie intime et Mathilde est venue pure jusqu'à l'autel. Leur absence de connaissance en matière de sexe ne les a pas empêchés de profiter pleinement. Les quelques taches de sang qui souillaient les draps au matin ont assuré à Bernard qu'il était le seul homme à avoir connu bibliquement Mathilde.
Au bout de deux jours de pratique incessante, leur état empira rapidement. Bernard souffrait tellement que son prépuce se gonfla. Mathilde avait la chatte dans le même état, alors ils s'enduisirent doucement de beurre, en gloussant tout le temps.
Au début, ils n'avaient pas les moyens de s'offrir des sorties, alors ils passaient leurs soirées à jouer au lit.
---Depuis le début de leur relation, Bernard savait que Mathilde rêvait d'avoir son propre institut. Elle en parlait tout le temps, cela a pris du temps, mais quand les finances de Bernard se sont améliorées, ils ont décidé d'essayer.
La nouvelle équipe municipale avait toujours besoin d'un coup de main, pour un garage, ou une clôture, ou une façade... Bernard savait très bien comment se jouait le jeu, et il a pu obtenir de la municipalité des chantiers plus lucratifs.
Le gros chèque d’un chantier de construction d'un espace communal a suffi pour acheter le bâtiment. C’était le retour du service rendu: ses offres n’avaient plus besoin d’être aussi compétitives.
Mathilde était heureuse au-delà de toute croyance! Ce soir-là, après avoir signé les papiers, elle remercia son Bernard en lui offrant une combinaison de tous ses talents mélangés, même au point de le laisser exsangue, épuisé et repu.
Ils ont acheté une ancienne friche industrielle, qu'ils ont divisée, sur les conseils d’Henri, en six salles pour les massages et les soins, plus un espace à l'entrée servant de bureau et de zone pour les ongles, et un espace au fond pour le sauna et le bain à remous.
L'investissement avait été lourd, mais encore une fois c'était Henri qui s'était démené auprès des banques pour obtenir un prêt avantageux. Et ça rapportait beaucoup d'argent! Bernard aimait bien cette partie-là et il n’a jamais envisagé que Mathilde pouvait faire quelque chose contre la loi. Alors, sa suggestion de soulager le vieil Henri le stupéfiait.
---Quelques jours plus tard, Mathilde avait intelligemment attendu le bon moment pour reprendre cette conversation. Bernard était étendu sur le lit, Mathilde chevauchait ses jambes, et ses deux mains posées sur le sexe de Bernard exerçaient leur magie habituelle.
"C'est ce que je ferais à ce pauvre vieil Henri si tu m’autorisais à le faire!" Bernard a trouvé cette idée parfaitement désagréable.
Mais Mathilde le conduisait sur un chemin ou il ne pouvait que gémir et apprécier.
Mathilde était coquine, elle connaissait parfaitement son homme, et elle le faisait patienter, retardant l'échéance.
"Alors qu'est-ce que tu en penses?" Demanda Mathilde en jouant négligemment avec le sexe de Bernard.
"T'arrête pas, chérie, de quoi tu parles?""Ce pauvre vieux Henri. Que je voulais remercier. Tu ne m'as jamais répondu!" Mathilde avait lâché le sexe de Bernard.
"Oh, bon sang! Si tu veux purger le vieux, fais-le, je m'en fiche. Mais s'il te plaît, termine ce que tu as commencé!"Mathilde l'a repris en main, ajouté sa bouche, et Bernard n’a pas résisté longtemps.
"Je suis désolée. S'il te plaît, ne m'en veux pas, je ne te parlerai plus de ça!"Bernard ne répondit rien, pensant que l'incident était clos.
---Quelques semaines plus tard, Bernard s'équipait pour tondre la pelouse lorsqu'il entendit le bruit d'une grosse tondeuse.
En regardant par la fenêtre, il vit Henri sur une tondeuse auto-portée s'occuper de la pelouse. C'était un peu exagéré, car en trois coups avec cette machine c'était terminé. Le vieil homme faisait toujours quelque chose pour leur rendre service, semblait-il. Bernard prit deux bières fraîches et sortit pour discuter un moment.
"Belle journée, hein?" Le vieil homme prit la bière fraîche avec reconnaissance.
"Oui, bien sûr. Merci d'avoir tondu pour moi, vous n'avez pas à faire ça, vous savez." Lui dit Bernard.
"C'est le moins que je puisse faire, c'est pour te remercier, mon gars. C'est tellement sympa d'autoriser ta femme à s'occuper d'un pauvre vieux comme moi!" Henri grimaça un sourire.
Bernard sentit un bloc de glace se former dans son ventre.
"Que voulez-vous dire par là?" Il a demandé d'une voix blanche.
"Oh, pour les massages! Un vieux fou comme moi n'a pas d’exutoire, elle m'aide. En plus, elle n'est pas pudique, c'est génial, Mathilde a vraiment une belle poitrine!" Henri caquetait en buvant sa bière.
Bernard comprit tout à ce moment-là. Mathilde ne lui avait rien dit. Son visage s'assombrit, il réussit à se contenir devant Henri.
Mais Henri a vu la réaction dans les yeux de Bernard.
"Oh. Merde! Merde, je suis désolé, Bernard. Mathilde m'avais dit que tu lui avais donné la permission? Bon sang, c'est juste avec les mains, une petite branlette, c'est pas grave!" Il semblait soudain un peu effrayé.
Bernard fit demi-tour et entra dans la maison. Il s'assit pour se calmer et réfléchir.
Il savait qu'il ne devait pas se précipiter, car s'il la confrontait tout de suite, ça pouvait mal se terminer.
Mathilde est revenue quelques minutes plus tard, probablement alertée par Henri.
Elle s'est faite toute douce: "Tu as coupé l'herbe, chéri?" "Pas besoin, Henri l'a fait." "Il est si gentil et si dévoué, n'est-ce pas?" Elle lui souriait.
"Oui, et il a dit qu'il était heureux de le faire pour te récompenser d'être si gentille avec lui!" "Oui, je ..." Puis elle réalisa que Bernard était bouleversé.
"Qu'est-ce qui t'arrive, mon chéri, un problème?" Minauda-t-elle.
"Un problème, putain, quel problème? Tu t'es contentée de branler le vieux clodo entre tes seins?" Cria Bernard.
"Mais, chéri, je…? Tu m'avais dit que tu t'en foutais et de faire comme je voulais?"Bernard était pris de court. Oui, c'est vrai, il l'avait dit, mais pas comme ça.
Ce qu'il voulait dire, c'était: "Fous-moi la paix avec cette histoire!""Tu l'as laissé jouer avec tes seins? Je suppose que c'est pendant que tu le baisais pour qu'il puisse éjaculer?""Non, c'est pas ça. Il est trop vieux, alors c'est difficile pour lui de ...?" Mathilde s'arrêta là, son visage devenant tout rouge.
C’était suffisant pour Bernard qui s'enfuit par la porte, sauta dans son camion et fit couiner les pneus dans la rue.
Cette godiche était trop bonne pomme!
---Son téléphone portable sonna presque instantanément, bien sûr. Il l'a ignoré. Au moment où il se calma, il réalisa qu'il avait parcouru plus de cent kilomètres, alors il s'arrêta pour réfléchir.
Comment Mathilde pouvait-elle être si cruche? Bernard était allé jeter un coup d’œil quand elle avait ouvert, mais après cela, il était tellement occupé par sa propre entreprise qu'il n'y avait jamais prêté attention aux affaires de Mathilde. Il connaissait à peine les noms des femmes qui travaillaient avec elle.
La seule chose qu'il savait, c'était que Mathilde rapportait des tas de billets à la maison et les rangeait dans leur coffre-fort.
C'était quoi, son travail, en réalité?
Désemparé, il démarra le camion pour rentrer chez lui.
Mathilde était assise sur une chaise quand il entra, il était clair qu'elle avait beaucoup pleuré.
Bernard s'assit et attendit. Mathilde est venue s'asseoir sur ses genoux, se blottissant contre lui.
D'une toute petite voix, elle a gémit: "Chéri, je suis désolée, je te demande pardon de t'avoir fait de la peine.""Regarde. Comment peux-tu être aussi bête? Faire des choses illégales, ça va te faire fermer, c'est contre la loi, tu sais.""Mais non, pas du tout." Elle a répondu en haussant les épaules.
"Pourquoi?""Il ne me donne pas d'argent, et on fait ça chez lui, pas au travail.""Quoi? Tu vas chez lui? Tu baises ce vieil homme dans son lit?" Bernard gronda.
"Ce n'est pas vrai, c'est pas comme ça." Mathilde recommençait à pleurer.
"Ça ressemble drôlement à une femme qui trompe son mari avec un vieux. Explique-toi!" Ils restèrent assis assez longtemps, les sanglots empêchaient Mathilde de répondre, Bernard dû la câliner pour la calmer.
"Mathilde, dis-moi exactement ce que tu as fait sans rien oublier!" Bernard a finalement ordonné.
"C'était il y a quelques mois, Henri a suggéré que ce serait gentil si je terminais le massage un peu plus … intimement? Je savais ce qu'il voulait dire bien sûr, alors j'ai répondu que peut-être, mais que je ne pouvais pas le faire ici, au travail, tu sais pourquoi. De plus, je devais obtenir ton accord pour ne pas que tu sois malheureux. ""Continue." Bernard soupira.
"Alors je t'ai demandé, et tu m'as dit: fais-le, je m'en fiche!"Bernard se remémorait, oui, il l'avait dit, mais … putain de merde?
"Quoi qu'il en soit, je suis allée chez lui et je lui ai donné un massage ... intime! Tu sais, comme quand on sortait ensemble, juste avec les mains! La première fois, c'était facile, mais ensuite, il ne pouvait plus .. tu sais, il est vieux? Alors il m'a demandé de les lui montrer? Je sais que ça excite les gars! Alors, je me suis déshabillée je l'ai laissé regarder ... Ensuite, je lui ai mis une lotion pour le frotter … Puis, comme c'était encore difficile, je lui ai donné un peu de lotion pour me frotter les seins. Voilà, c'est tout ce que j'ai fait, je suis franche!" "Alors combien de fois est-ce arrivé?" Demanda Bernard, décomposé.
"Cinq ou six. Tu sais, chéri, je ne l'aurais jamais fait si tu m'avais dit de ne pas le faire.""Ce n'est pas ce que je voulais dire!""Je suis tellement désolée! Dis-moi ce que je peux faire pour me faire pardonner?" Demanda-elle.
"Alors, accepterais-tu que je me rende dans l'un de tes salons de massage?" Bernard a demandé.
"Ça ne me dérangerait pas, chéri. Ce n'est que les mains, c'est tout." Mathilde lui a dit.
"Quoi? Oh, bien sûr! Ce n'est que les mains, je ne te comprends pas.""Je suis sérieuse. Ce n'est pas important. Ça n'a rien à voir avec la fidélité, le mariage, tout ça... C'est juste un travail, masser un corps avec ses mains, quelle que soit la partie du corps, c'est pareil! Si tu préfères, je peux faire venir Marcelle à la maison? Elle a un paquet de clients qui ne veulent qu'elle."Bernard la regardait, surpris, se demandant si elle ne se foutait pas de lui.
"Tu veux dire, la grosse Marcelle qui fait travaille avec toi? Cette grosse baleine fait des travaux manuels?" Bernard ne pouvait pas s'empêcher de ricaner en pensant à cela.
"Oui, mais en privé, pas à l'institut. Elle a une spécialité, entre les seins, les hommes adorent... Ou que dirais-tu de Cindy? Elle est mignonne et c'est elle qui rapporte le plus d'argent de nous toutes.""Mais quel genre d'endroit tu diriges?" Demanda Bernard.
"Nous sommes vraiment prudentes, chéri. Les filles cependant, ont des demandes, des clients habituels qu'elles ... tu sais? C'est comme ça, tout le monde le fait. En liquide, pas de traces, dans un endroit discret ...""Ouais. Je n'en avais pas la moindre idée. Maintenant je comprends pourquoi tu ramènes autant de fric!""Je pensais que tu avais compris. Tu n'es jamais allé dans un … institut?" Mathilde lui souriait.
"Ça fait beaucoup à accepter, Mathilde. Tout d'un coup … En plus, je n'aime pas l'idée de toi avec ce vieux. Je veux dire, tu es ma femme! Te foutre à poil et le laisser te tripoter tes seins? Pendant que tu le branles? N'est-ce pas un peu trop?""Je suis désolée. Je ne le ferai plus. Je pensais que c'était pas grave. Juste comme ça. Tu comprends, même à l'école, tous les gars avec qui je sortais voulais … Grâce à ça, je suis restée pure pour le mariage! Même toi, quand nous sommes sortis ...""Mais rends-toi compte, ça fait de toi une prostituée! Et de moi un proxénète, puisque toi et moi sommes propriétaires de cet endroit? Comment diable pourrais-je être marié avec toi et tout ignorer de tes activités?" Demanda Bernard.
"Je ne fais pas cela moi-même, sauf avec Henri. Je ne prends pas son argent et je vais chez lui, pas à l'institut. Les filles sont toutes indépendantes, je leur loue un espace et je prends un pourcentage, c'est tout."Bernard secoua la tête négativement et la chassa de ses genoux pour commencer à se lever. Mathilde a abattu sa dernière carte:"Je réalise un bénéfice net d'environ 15.000 euros par mois, que j'espère doubler d'ici un an!" Mathilde lui souriait gentiment.
"Vraiment?" Bernard se rassit, les jambes coupées.
"Vraiment." Mathilde se rassit à califourchon sur ses genoux et lui prit la bouche dans un tendre baiser.
---Le montant de l'argent contenu dans le coffre était grotesque, Bernard étalait les liasses sur le lit pour pouvoir le compter et le recompter. Bon sang, il y en avait beaucoup plus qu'il ne l'avait imaginé, et il pouvait maintenant aller acheter toutes les nouvelles machines qu'il désirait.
Il avait pardonné à Mathilde son erreur commise avec Henri, après tout, il s'était mal exprimé, et puis, juste les mains, ça comptait pas. Elle n'avait fait de mal à personne, pensait-il en regardant les liasses en tas.
Il rangea soigneusement l'argent dans le coffre-fort. Après tout, ils craignaient quoi? Les impôts, suffisait d'être discret pour ne pas se faire pincer. Bien sûr, ce genre de chose était illégal, mais il n'y avait pas mort d'homme, alors ce n'était que des affaires!
Puis pendant le dîner, Mathilde lui a dit que Henri l'avait appelé pour un rendez-vous.
"Il t'a demandée? Je pensais que tout était fini avec lui?""C'est ce que j'ai fait, je lui ai envoyé Cindy, mais il continue à me réclamer.""Il te réclame, n'est-ce pas? Ben, fourre-le, le vieux!" Bernard se leva en ronchonnant pour aller au salon.
Mathilde a juste haussé les épaules.
---Bernard était sur le chemin du retour, le lendemain. Comme d'habitude, ça bouchonnait, et il roulait au pas. Son esprit vagabondait.
Il pensait qu'avec autant d'argent entrant si facilement, il pouvait vendre son affaire et cesser de travailler dans le bâtiment, tout cela commençait à lui casser le cul!
Ses pensées se sont déplacées vers Mathilde, elle avait trois ou quatre clients aujourd'hui pour son spa. Qu'est-ce qu'elle avait dit, ce maudit Henri l'avait appelé pour lui demander un rendez-vous?
C’était un vieux fou libidineux, aucun doute à ce sujet. Mais Mathilde lui avait tout raconté, donc aucune raison de s’inquiéter.
Qu'est-ce qu'il lui avait répondu? Ah, Oui! Fourgue-le, le vieux!
Cela devrait suffire pour que ce vieux bâtard la laisse tranquille …"Heu, non, pas fourgue-le, mais fourre-le … PUTAIN DE MERDE !!!"

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