UNE NOUVELLE FACON D’ACHETER DES CHAUSSURES

- Par l'auteur HDS Patou bcbg mature pulpeuse -
Auteur femme.
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Récit libertin : UNE NOUVELLE FACON D’ACHETER DES CHAUSSURES Histoire érotique Publiée sur HDS le 11-01-2019 dans la catégorie Fétichisme
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UNE NOUVELLE FACON D’ACHETER DES CHAUSSURES
Il était gérant de ce magasin de chaussures pour femme à paris, Faubourg Saint-honoré, spécialisé dans les hauts talons. En cette fin de journée, les affaires étaient plus bonnes. Il comptait la caisse et se dirigeait vers la devanture pour actionner la fermeture. Il entendit une voix féminine assez distinguée.
Sans prêter attention au vendeur elle entra malgré l’heure tardive et demanda si elle pouvait essayer un ou 2 modèles. Son allure chic de bourgeoise de province l'excita.
Il ferma le store derrière elle et la reluquait. Ses grands airs l’existaient. Elle se prenait pour qui ? Elle choisit 2 modèles. Il partit dans l'arrière boutique chercher sa pointure. Il ramena 2 paires d’escarpins.
Elle tendit son pied pour essayer la première, des escarpins en cuir noir avec la boucle décorative siglée Dior et leurs talons de 6 cm. Il remarquait au passage ses jambes et ses formes... elle marcha avec la 1ere paire dans la magasin, cambrant ses fesses puis revient le visage pincé. Elle essaya l'autre modèle et fit tomber son écharpe. Cette garce savait y faire, mais que cherchais t-elle ?... elle lui demanda son avis, et en bon commerçant je lui dit que les deux modèles lui allait très bien, mais qu’il fallait voir avec sa lingerie. Cela allait de paire. Elle le toisa et demanda ou était les cabines d'essayage. Il n'en n'avait pas. Seul l'arrière boutique ou se trouvait des cartons sales et son coin cuisine avec un vieux fauteuil pouvait faire l'affaire. Elle marcha devant lui se dirigeant vers l’arrière.

- Tenez allez y vérifiez si cela va de paire.
- Merci me dit elle, mais je plus besoin de vous !

Il fit demi tour et retourna vers sa caisse. Le rideau n’était pas totalement ferméElle sortit un appareil photo de son sac, dévoilant sa lingerie et chaussée elle commença à prendre des poses. Il se penchait un peu plus. Au début cela restait assez pudique mais elle semblait agir sur une contrainte ou un ordre. Elle se mit en levrette, montra son beau gros cul, et le remua de façon obscène. Elle écarta ses globes fessiers, découvrant sa chatte... Il n'en revenait pas. Cette femme à l'allure si mondaine se comporter comme une chienne en chaleur.

Albert était dans la voiture. Il se demandait si elle avait bien exécuté ses ordres. Il l'avait amener faire les grands magasins. Puis quand elle voulut le remercier pour tous ses cadeaux, il l'avait saisit par la nuque. Espèce de garce ! Tu crois que je n'ai pas vu ton jeu avec mec dans le magasin de lingerie. Ca te plaisait bien de l'allumer cochonne ! Et bien tu vas être servit... il te reste les chaussures... tu vois le magasin en face. Rentres y et magne toi... mais ce coup si tu vas payer le vendeur avec ton cul. Compris Salope ?

Elle se dirigea vers la boutique. Il lui lança par la fenêtre : garde ton portable allumer. Je t'enverrais des SMS, et tache d'exécuter tout ce que je t'enverrais...
Le vendeur n'en croyait pas ses yeux... elle exhibait son cul comme une stripteaseuse. Le remuant. Il regarda sa montre. Elle qui paraissait si hautaine si froide... encore une nymphomane en manque de queues... La voie de la bourgeoise retentit. Il s'approcha en essayant de masquer la bosse qui déformait son pantalon.

Elle reçue le premier texto : « allume le salope... fais le bien bander et comporte toi comme une chienne » mais pourquoi Sébastien était devenu si sévère. Elle vit le vendeur se rapprocher de la cabine.
Le 2eme texto arriva : il n'a droit qu'a ta bouche de pompeuse. Malaxer ton cul et te triturer les seins. Rien d'autre.
Les 2 phrases envoyées par Sébastien en texto résonnaient dans sa tête. Patricia sentait le regard pesant du vendeur. Le rideau à peine ouvert. Elle enfila ses escarpins et volontairement fit tomber sa jupe... elle sentit un courant d'air derrière elle. L’homme avait tiré le rideau... "Hum elles vous vont à merveilles." son assurance la désarçonnât ! Elle se retrouvait en lingerie et talons hauts dans cette cabine. Son cul à porté de mains... elle descendit son regard sur l'entrecuisse de l'homme, une bosse la déformait... Elle se souvenait du message de Sébastien " ta bouche et tes seins... uniquement... le jeu l'excitait, elle composa volontairement le numéro de Sébastien qui attendait dans la voiture... il décrocha.... Patricia posa le portable sur son sac de luxe avec la fonction haut parleur...

Elle décida de satisfaire les attentes de Sébastien....
Prenant ses airs hautains, elle dit en s'adressant au vendeur : je les trouve très jolies mais un peu chères... pourriez vous faire un effort ? Le vendeur la contempla. Il l’a sentit moins froide, il déglutit... et reprit... si vous me montrer vos seins je peux vous faire une remise de 10%...Patricia se montra quelques peu outrée... mais le jeu l'excitait...elle dégagea ses gros nichons de sa guêpière en dentelle... et passa la langue sur ses lèvres... elle reprit : 10% c'est encore trop chère !

Le vendeur passa la main sur sa bosse... 10% de plus si je peux les toucher...

Jouant encore une fois de ses grand airs... elle se pencha et dit : « uniquement les toucher ! »
Le vendeur acquiesça et posa ses mains sur les grosse mamelles... il les tritura, les griffa, les empoignant à pleine mains... elle sentit le désir de l'homme et par jeu elle décida d'en faire profiter Sébastien...

Ho monsieur... que faites vous ? Non arrêtez ! Pourtant dans la cabine du magasin elle se laissait palper les seins avec outrance. Le vendeur ne se contrôlait plus « hum salope, je les connais les cochonnes dans ton genre...toujours prête à remuer du cul et à allumer ». À présent il étirait les tétons... Patricia ouvrit les yeux, elle vit dans le miroir de la cabine l'homme debout devant elle... il déboutonnait son pantalon.
Les yeux de Patricia baissés, elle les ouvrit à nouveau. L’homme palpait ferment sa poitrine, un sursaut d'orgueil la prit : « arrêtez, Cela suffit. Laissez moi partir maintenant »
Mais l'homme ne se contrôlait plus ! Il la poussa hors de la cabine la tenant par le bras ! « Viens par là salope ! »
Elle vacillait sur ses escarpins faisant ressortir sa croupe appétissante... voyant qu'elle n'avançait pas assez vite, il lui claqua les fesses avec sa grosse main... « Allez la bourgeoise avance et au trot ! »
Elle bomba le torse et le défia du regard. « Comment osez-vous ? Mon mari attend de l'autre coté de la rue et si je ne reviens pas de suite, il n'hésitera pas à appeler la police ».

L'homme ricana : « ben voyons ! Je vais te croire » il la poussa à nouveau vers le comptoir, et il prit un scotch PVC sur son bureau... il prit ses poignets et les emprisonna dans son dos. Patricia le buste en avant tremblait de peur et d'excitation, elle se demandait si Sébastien allait intervenir.

Les bras tendus derrière le dos, elle tomba à genoux. L’homme la saisit par les cheveux et la tira fermement... il sortit son sexe épais et veiné, à la taille impressionnante...
« Alors comme ça tu voulait une remise ? » il glissa son membre entre les seins proéminents de la bourgeoise... les compressant avec sa queue... « Allez ! Branle moi avec tes gros nichons chienne ! »
Patricia perdait le contrôle de la situation... Elle lui dit «Je vous en prie détachez moi ! Je serais très gentille ! » Une lueur de satisfaction anima le visage du vendeur :
- ah oui, c'est à dire ?
- Je vous ferais une fellation; elle prit soin de parler fort pour Sébastien entende bien...
- Une fellation ! dis le avec d'autres mots....
- Heu… Je peux vous faire une gâterie…- Une quoi ?
- Une pipe ! je peux vous sucer le sexe...

La main s'abattit sur son cul laissant une trace rougeâtre.

- Je peux vous faire une pipe avec ma bouche de suceuse !


Elle n'en revenait pas elle même... pourtant le désir prenait le pas et la chienne qui sommeillait en elle avait besoin d'un os à ronger...L'homme abattit sa main plus fortement... « mieux que çà »
- J'ai envie de pomper votre grosse queue avec ma bouche de salope.... je vous pomperais à fond en tendant bien mon cul et vous pourrez vous servir de ma bouche comme d'un trou !

Le vendeur jubilait, même dans la bouche d'une professionnelle il n'avait pas entendu pareil propos. Après l’avoir libérée, il força la bouche de Patricia... elle détourna la tête. Mais une grosse claque sur le cul l'a rappela à l'ordre.

« Allez au travail ! Nettoie là bien. » Il s'enfonça avec force dans le fourreau qui s'offrait à lui.
La main calleuse serra sa nuque « Allez va plus loin... jusqu'aux couilles ! »Soumise, Patricia, cambrée et offerte commença à jouer de sa langue et à aspirer la grosse queue.

La queue distendue du vendeur s'enfonça lentement dans la bouche de Patricia. Sébastien crut percevoir un bruit de succion saccadé à travers son portable.
La grosse main appuyait fermement la nuque soyeuse... il poussa son bas ventre contre la bouche ce qui eut pour effet de faire hoqueter Patricia... mais elle reprit lentement puis de plus en plus vite sa fellation. Prenant soin de bien contenter son dominateur... le jeu commençait à l'exciter.

- Dites moi que vous aimez pomper les grosses pines... que vous méritez de grosses queues pleines de jute... que vous ne pensez qu'a allumer ...



La queue du vendeur coulissait maintenant dans la bouche de Patricia qui se plaisait de la situation. Elle cambrait son beau gros cul... et jouait de la langue sur le gland mouillé. Elle reprit son air pincé deux secondes pour guetter la réaction... une violente claque s'abattit sur son cul..."si tu recommence salope je t'attaches... ne recommences pas à la sortir de ta bouche...grosse chienne"
Patricia tressauta sous la violente claque qui s'abattait sur son postérieur. Elle hoqueta à nouveau et le gland luisant de salive sortit à nouveau de sa bouche. Le vendeur excéder, recula et lui dit : ne bouge pas ma cochonne, je vais t'apprendre à pomper comme j'aime. 2 minutes après il revint avec une paire de bas et entreprit de lier les poignets de Patricia dans le dos, il serra fort que les fins poignés de la bourgeoise soient comprimés par l'étau de nylon... il l'a laissa en levrette, le cul bien relevé.....

- Tu mouilles chienne ?

Liée, Patricia n'était plus qu'un pantin devant le vendeur.
Sébastien était partagé par sa jalousie et l'excitation. Elle n'avait pas finit de l'étonner la garce. Il colla son oreille au combiné. Maître du corps de Patricia le vendeur reprit position devant les lèvres de la bourgeoise. Elle ouvrit d'elle même la bouche et il rentra dans l'orifice humide plantant son gros gland. « Tiens ma belle... allez nourris toi grosse chienne ! » Il donna de furieux coups de bassin et sa pine heurtait à chaque fois le fond de la gorge de Patricia... qui d'elle même en réclamait plus pour accentuer sa domination. Il tira sur ses gros tétons, ayant pour effet que ses grosses boules poilues viennent buter contre le menton de sa victime...

Arc bouté devant Patricia, le vendeur usait de la bouche offerte, tantôt lentement tantôt avec rapidité distendant la mâchoire de la bourgeoise. Il admira les formes voluptueuses de la belle salope. Même dans ses rêves les plus fous, il n'avait pas imaginé pareilles situations. Il aurait aimé l'enculer, mais l'image de cette garce pompant en levrette dans son magasin était trop existante. Il la maintint par les cheveux et se cambra, une longue traînée de sperme aspergea la bouche de la belle. Elle voulut recracher mais une grosse claque sur ses seins la rappela à l'ordre : avale tout sale garce, jusqu'a la dernière goutte... d'autres giclées affluèrent encore et Patricia du avaler tout sous la pression de la main sur sa nuque. L'homme la regarda... et tapota son gland sur les lèvres. « C'est bien salope, tu as été sage. Mais je n'en ai pas finit avec toi... il l'a détacha et tira sur son Tanga.

- ça salope, je le garde. Tu viendras le récupérer demain soir, à la même heure. Je n'en n'ai pas finit avec toi.

Il lui déposa un baiser sur la main et reprit son air conciliant.

A demain chère Madame.

Elle sortit rouge de honte et d'excitations. Ils étaient sur la même longueur d'ondes

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