J 'AI PERVERTIE MA COLLEGUE - L'EVOLUTION 7

- Par l'auteur HDS Dresser -
Récit érotique écrit par Dresser [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : J 'AI PERVERTIE MA COLLEGUE - L'EVOLUTION 7 Histoire érotique Publiée sur HDS le 15-01-2019 dans la catégorie Dans la zone rouge
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J 'AI PERVERTIE MA COLLEGUE - L'EVOLUTION 7
-- ATTENTION HISTOIRE POUR LECTEURS AVERTIS --
Quelques jours plus tard l’épisode de l’épicier….
-mon chéri, je vois l’épicière cet après-midi-l’épicière ? Tu me parles de qui ?
-eh bien de la femme de l’épicier de ton quartier.
-ah et pourquoi tu la vois ?
-disons que les choses ont changé avec son mari. Nous sommes en contact depuis ce jour-là. Razane est française originaire d’algérie, sa mère est française, marié il y a 10 ans à l’épicier. C’est elle qui à l’argent, elle laissait faire son mari pour être tranquille mais il ne lui apporte pas beaucoup de plaisir. Elle n’a pas d’enfant, son mari ne peut pas, alors avec tout ça, Razane à décider de reprendre sa vie en main. Je lui ai beaucoup parlé de nous, de toi et de ce que tu m’as fait découvrir et de ce que je suis grâce à toi. Donc je vais lui apprendre à me manger le minou. Pas mal non ?
-carrément. Tu serais presque une rabatteuse.
-disons qu’elle me plait bien, je lui plais alors pourquoi ne pas essayer. Donc puis-je très cher maitre ? J’ai oublié, elle ne serait pas contre une petite initiation à des jeux coquins avec toi.
-je vois en plus elle veut découvrir des choses. Une beurette, pourquoi pas. Bon oui tu as le droit de la voir pour vous occuper toutes les deux.
Le soir, Fannie me fait un petit rapport de ce moment avec Razane. Etonnant, Razane était habillé à l’européenne, sans rien sur la tête, maquillé, super sexy selon les dires de ma soumise. Elles se sont découvertes intimement et Razane à découvert l’amour au féminin et les attributs de Fannie. Il semble que tout cet ensemble ait fait mouche sur cette femme.
Quelques jours plus tard je fais une proposition à ma soumise. Charge à elle de voir si Razane est intéressé.
Nous avons rendez-vous un dimanche matin au cinéma à cette heure il a peu de monde. Un dresse code a été défini pour les femmes. Nous prenons nos billets et nous installons au fond de la salle, Razane au milieu de nous. Le film commence, rapidement, ma chienne commence à caresser la cuisse de Razane et venir se présenter vers l’intimité. Les cuisses s’ouvrent. Je profite de ce moment pour vérifier l’absence de culotte, comme convenu. Mes doigts caressent le pubis imberbe, la main de Fannie caresse la cuisse. Razane écarte encore un peu plus son intimité, laissant le passage de nos mains. Là commence une séance de branle. Le sexe de Razane est travaillé par nos doigts, sans relâche. Fannie à sortie un sein de la robe de Razane et suce le mamelon. Razane respire fortement, son intimité est humide. Nous alternons masturbation et pose sur le bouton intime de notre partenaire, ne cherchant pas à précipiter les choses, même si Razane demande à être soulagée. Ce traitement à durée environ 1 heure, 1 heure de masturbation, de suçage de téton, de pose. Je sens que le moment de donner sa jouissance à notre partenaire. Fannie caresse et suce le sein, moi, trois doigts pénètre le sexe de Razane et commence à la besogner. En mois de 5 minutes, Razane éclate son plaisir, prenant la bouche de Fannie pour étouffer les bruits de son orgasme. 20 minutes plus tard, le film se termine.
Au vu de ce moment, je décide d’aller plus loin encore pour ce dimanche de juin. Les filles sont derrière. Fannie à mission d’exhiber Razane. Le début a été un peu compliqué, mais petit à petit, notre partenaire c’est retrouvée les seins nus. Certaines voitures klaxonnant au passage, Fannie ayant ouvert la fenêtre pour mieux exhiber les mamelles de Razane. Arrivés dans un bois, lieu que je sais fréquentés par des voyeurs. Nous pénétrons dans le bois et croisons 1 homme et deux couples, prenant le chemin du départ. Quelques plus tard, un couple rebrousse chemin et nous emboite le pas. J’entends des gloussements, provenant d’un fourré. Nous prenons la direction de cet endroit et discrètement nous approchons. Nous découvrons une femme faisant l’amour avec un homme, allongé sur une couverture et laissant libre court dans leurs paroles. Razane regarde ce couple copuler dans la nature, son regard ne quitte pas la scène un seul instant. Un craquement se fait entendre derrière nous. Je me retourne et vois le couple que nous avons croisé.
-chuut, nous nous joignons à vous pour regarder.
Fannie est entourée par l’homme et la femme. Ces derniers ne tardent pas à commencer à la caresser à travers ses vêtements. Ma chère et tendre soumise se met en chasse de prendre la queue de l’homme en bouche, aidé par sa femme qui libère ce membre. Fannie le gobe directe. Razane, impassible regarde ce qui se passe autour d’elle, le couple faisant l’amour et Fannie suçant la queue de cet inconnu, aidé par sa femme qui s’est joint à elle pour réaliser une bonne pipe à son homme.
-je pense qu’une troisième bouche pour monsieur ne serait pas un luxe, qu’en pensez-vous ?
La femme vient cherche Razane, la prenant par la main. Trois bouches pour un homme. Moi, je vois Razane se laisser porter par les évènements. L’épicier est loin de connaître sa femme, elle est finalement loin d’être coincé, bien au contraire. Quelques clics pour immortaliser la scène et je vais chercher Razane. Je la positionne contre un arbre, relève sa robe et lui pénètre l’intimité humide. Quelques vas et vient et je me présente devant son cul, son anus. Une petite poussé, ma queue lubrifié da sa mouille pénètre le fondement de Razane jusqu’à la garde, mon pubis flanqué contre son fessier. J’engage une sodomie violente que Razane semble apprécier, me surprenant.
-alors tu aimes te faire enculer sauvagement ?
-oh oouuiiiii, traite moi comme une putain, vas-y j’aime me sentir prise comme ça-tu n’es même pas une putain, je te paie pas, tu n’es qu’une salope-c’est vraiJe besogne ce cul. J’entends l’homme qui jouit sus les coups de langue de sa femme et de Fannie.
-aller à toi de couiner salope, fais toi entendre-ah, ahh, aahhhh, ahhh, ahhh……Je me vide dans son cul, libérant ma semence dans ce trou.
Razane, jouis quasi simultanément, sentent mon jus se libérer dans son conduit anal.
-tu n’as pas mis de préservatif, putain-eh non, j’ai préféré marqué ton cul de mon jus, comme ça tu le sens mieux Fannie nous rejoint et viens ouvrir les fesses de Razane et voir couler mon jus.
-mon homme t’a bien remplie tu sais, c’est la preuve de ton appartenance.
-quoi, qu’est-ce que tu me dis là ?
-ma chérie, si Fred te possède, c’est pour que tu deviennes sa chienne, comme moi, en plus une chienne arabe, c’est le top-mais je suis quand même marié Fannie.
-oui, moi Fred c’est mon mec et alors, je suis open pour ce que nous vivons.
-non non, je crois pas que cela va être possible ma belle.
-oh ! nous en reparlerons Razane.
Après ce moment chaud dans le bois, nous repartons ramener Razane chez elle à son épicier de mari.
Pendant le trajet, Fannie exhibe ces bijoux intimes et aux seins, pour que Razane se rende compte de ce qu’elle fait pour son amoureux. A l’arrière ca papote sérieux, Razane découvrant un inconnu encore une fois. Arrivée à l’épicerie, nous descendons tous les trois et entrons dans le magasin.
-mais vous étiez où tous les trois ?
-eh oui, bien sûr, mon cher mari, pourquoi cela te pose problème ?
-euh.. !! non c’est pas ce que je voulais dire.
-alors que voulais-tu dire ? Tu veux savoir ce que nous avons fait ? Cela ne va pas te faire très plaisir, mais je vais te raconter, comme ça plus de questionnement.
Razane raconte rapidement ces quelques heures.
-………donc tu vois, toi tu bosses et moi maintenant je découvre et profite, après tout c’est moi la patronne.
L’épicier échange en arabe avec Razane, le ton monte.
-écoute mon cher mari, tu n’es pas content, tu peux prendre le bateau et rentrer au pays, sinon, tu ne dis plus rien et tu bosses. Si tu es gentil, tu pourras passer après Fred qui m’a jouis dans la rondelle et franchement j’ai jouis comme une folle, comme cela je pourrais comparer.
L’épicier de colère, mais résigné part dans la réserve.
Nous décidons de les laisser entres eux et rentrons chez Fannie qui doit prendre quelques affaires.
Pendant que Fannie prépare un sac, je prends rapidement une douche. A ma sortie, Fannie déambule nue dans son appartement. Je la prends, et la plaque à la fenêtre de sa chambre qui est ouvert. Je salive ma queue et me présente dans son sexe qui goulûment m’avale. Ma soumise est là, à la fenêtre, les seins ballotant à chaque pénétration, pouvant être vu par qui lèvera les yeux sur son bâtiment.
-ah quand même, tu t’occupes de moi, alors fais le bien, fais-moi jouir, donne-moi ton tu jus et engrosse moi, je veux un enfant de toi.
-ah oui carrément, rien que ça ?
-oui, depuis le temps que nous sommes ensemble, jouis moi bien au fond et je veux un enfant avec toi. Nous en avons déjà parlé, c’est le moment.
Je la baise avec vigueur, profondément, ne lui laissant aucun répit.
-ah oui, ah oui, encore, ah… oh oui vas-y …. Je vais jouir, …..vite-tiens tu veux du jus, il arrive, je vais t’ensemencer, tiens prends ça….
Je me déverse en elle abondamment.
-mais dit donc, ça t’a excité de m’engrosser mon chéri, de la façon dont je t’ai parlé on dirait. Ne t’inquiète pas je prends encore la pilule, mais nous pourrions vraiment songer à avoir un bébé.
-ça va changer les choses et tu le sais.
-changer quoi ? Je serais toujours ta salope, ta bourgeoise soumise, il n’est pas question d’arrêter nos jeux. Tu fermeras juste l’entrée intime et seul mon conduit anal sera visiter par des inconnus, En plus avec Razane, je pense que nous devrions bien nous amuser. Elle se fera un plaisir de me faire jouir avec sa langue et uniquement avec sa langue, crois-moi mon chéri.
-en es-tu vraiment aussi sûr ? Tu ne changeras rien.
-non rien, nous allons juste devoir s’adapter c’est tout. Je t’assure, je suis trop bien dans ce que je vis. Etre humiliée, les cheveux comme ça c’est trop génial,……, ça m’excite, tu le sais, tous m’excite, ne t’inquiète pas c’est tout et fais-moi confiance Fred. Et puis ma mère n’attends que ça, garder son petit fils ou fille, alors nous aurons tous le loisir de vivre notre vie d’avant, après.
-Il faut au moins que tu déménages quand même, vends ton appart et tu viens à la maison.
-bah ouais ok, je suis d’accord.
Un changement arrive……

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