ANACONDA

- Par l'auteur HDS Tamalou -
Récit érotique écrit par Tamalou [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : ANACONDA Histoire érotique Publiée sur HDS le 07-02-2019 dans la catégorie Dans la zone rouge
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Note attribuée à cette histoire érotique par HDS :
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ANACONDA
Ceci est l'histoire de ma rencontre avec un homme marié, un africain prénommé Victor, qui pourrait être mon père. Je ne sais pas trop où cela nous mènera ni jusqu'où je pourrais aller avec lui. Je l'ai tout de suite surnommé mon "Anaconda" pour des raisons évidentes.
Deux semaines avant Noël, un samedi soir, ils étaient en panne de babysitteur. Sa femme a appelé ma mère, qu'elle connaissait, parce que mon père et lui travaillent ensemble.
Quand ma mère m'a demandé, j'ai accepté tout de suite, j'avais des fourmillements dans les tétons.
Ma mère, habituée à mes humeurs capricieuses, m'a regardé, soupçonneuse: "T'es malade?"
Je rêvais de lui depuis les vacances d'été. L'entreprise avait organisé une journée pique-nique au lac. Quand j'ai vu le paquet de noisettes dans son slip de bain, j'ai eu des papillons dans le ventre.
Je pense à lui souvent depuis cette journée, même si depuis fin septembre, j'ai à la fois atteint ma majorité et piqué le plus beau mec du lycée à sa copine, une bombe atomique que j'ai réussi à évincer.
Je ne suis pas la plus belle fille du lycée, loin s'en faut, mais j'ai une paire de nichons qui intéresse beaucoup les garçons. Ronds, pleins, fermes, avec les tétons qui pointent facilement. Au début de l'adolescence, quand ils ont commencé à pousser, ça me gênait, avant que je comprenne le parti que je pouvais en tirer.
Je m'appelle Christine Xavier et mes copines me surnomment CX, parce que je suis une rapide! Blague de matheux!
Il faut dire que je ne suis plus une oie blanche, que j'ai de la pratique depuis bientôt trois ans, contrairement à la copine de Jérémie. Jérémie, c'est mon mec, le plus beau gosse du lycée, et son ex, c'est une pimbêche très pieuse qui veut se préserver jusqu'au mariage. Du coup, sachant cela, je n'ai pas eu trop de mal à lui piquer. Je me suis changée devant lui, sans gêne, torse nu, en balançant mes loches et en prétendant que ça faisait rien, on est comme frère et sœur maintenant!
C'est au drôle de bruit qu'à fait sa bouche quand il a repris sa respiration que j'ai compris que j'avais marqué un point. Le lendemain, je lui ai envoyé un message assez salace en masquant mon identité. Puis, j'ai demandé à sa copine d'un air innocent: "Il a quoi, Jérémie, en ce moment? Il est tout bizarre!"
Bien sûr, cette pétasse, inquiétée par mes soupçons, est allée fouiller dans son portable et a trouvé le message qu'il n'avait pas eu le temps d'effacer! Bien sûr, elle l'a jeté! Bien sûr, je l'ai consolé en lui donnant mes gros nichons à sucer! Bien sûr, il m'a baisée et maintenant, il est à moi! Le plus beau mec du lycée!
Évidemment, avoir Jérémie, c'est bien, mais ça vaut pas Victor! Victor, c'est un homme, un vrai, pas un gamin de 18 ans!
En plus, il a une femme splendide, une métisse originaire de la Réunion. Grande, superbe, à la peau dorée, aux yeux verts avec un charme fou! Pour le détourner de cette tigresse, il faut mettre le paquet!
Du coup, depuis les vacances et jusqu'à ce jour béni où ma mère m'a demandé de garder leurs mioches, je n'avais aucune idée sur la manière de l'aborder. Je me contentais de rêver à son gros sexe en me masturbant, c'était mon fantasme favori.
Avoir du sexe avec Jérémie m'avait calmée un peu, mais j'étais toujours désireuse de me faire baiser par cet étalon noir!
Depuis ma quinzième année, ma mère me faisait prendre la pilule. Depuis mes premières règles, j'étais sous surveillance constante.
Je n'avais plus une mère, j'avais un flic à la maison. J'ai surpris une conversation entre elle et mon père où elle se plaignait de ne plus pouvoir me "tenir", que j'étais "de pire en pire", et qu'il fallait me "protéger"!
Mon père a protesté en râlant que j'étais trop jeune, pas question, mais ma mère lui a fait peur en lui disant:
"Tu seras content quand elle rentrera à la maison avec un polichinelle dans le tiroir!"
Du coup, j'ai pris la pilule et j'ai commencé à faire les 400 coups!
Ce samedi soir, Victor s'était mis d'accord avec mon père, il devait me récupérer au terminus du métro pour m'emmener chez lui, dans sa luxueuse villa de banlieue chic, et me ramener chez moi, après ...
Il était à l'heure au rendez-vous, splendide dans son beau costume qui mettait en valeur sa haute taille et sa carrure. J'étais fière d'être escortée par un si bel homme en sortant de la gare du métro.
"Merci de perdre ta soirée pour nous, Christine," dit-il quand je m'installais dans sa grosse berline allemande. "La jeune fille qui s'occupe de nos enfants habituellement est malade. Je suis désolé de m'y prendre à la dernière minute."
"C'est mon plaisir, monsieur Daviers," dis-je en déposant mon sac à dos d'écolière à mes pieds et en m'attachant.
"Hé, on se connaît depuis longtemps. Appelle-moi Victor, d'accord?"
"Oui, monsieur Daviers," dis-je automatiquement. "Pardon, Victor!" ajoutais-je en riant, pour briser la glace.
Ce soir-là, j'avais opté pour un look écolière sage. Bluejean, baskets, et en haut un pull ample qui cachait mes formes. Un maquillage minimaliste complétait le tableau. Mme Daviers m'a détaillée de la tête au pieds et m'a trouvée "très bien"! Si elle savait, la pauvre!
Grande, voluptueuse, scintillante de mille feux avec ses diamants, elle me dominait et ressemblait à ces pin-up des magazines, vêtue d'une longue et élégante robe de cocktail rouge.
Je me demandais si elle savait que je brûlais de désir pour son mari.
Leurs deux enfants étaient couchés, peut-être déjà endormis. Je me suis assise devant la monumentale cheminée pour étudier mes cours, révisant en vue des partielles, le reste de la soirée. La grande salle était richement décorée en vue de Noël. Derrière la grande baie vitrée, la vue sur la campagne environnante était masquée par la nuit et le brouillard.
Échafauder un plan pour séduire M. Daviers rendait difficile ma concentration sur les devoirs. Plus je pensais à lui, plus mon sang bouillait dans mes veines, alimentait mon imagination, ma chatte s'ouvrait et devenait humide. Plus j'étais chaude, plus j'étais certaine d'oser tenter le séduire.
Jérémie m'a appelé vers 22 heures. Ils avaient remporté leur match de basket. Je me suis excusée de mon absence. Il est si gentil et si doux au lit. Parfois, les garçons deviennent sauvages quand ils sont couchés sur une fille, mais pas lui. J'aimais bien être avec lui, pas seulement pour rendre jalouses toutes mes copines, mais parce qu'il était agréable au lit.
Ça m'avait pris trois semaines pour le piquer à la fille avec qui il sortait. Mais j'étais récompensée de mes efforts. Je l'avais dépucelé et maintenant il me mangeait dans la main.
Il voulait venir me rejoindre. Comme les Daviers ne devaient pas rentrer tôt chez eux, c'était possible mais ça gâchait mes plans.
Je lui ai dit que M. Daviers m'avait conduite ici sans que je regarde l'adresse, que leur maison était protégée par un système de vidéo-surveillance, et que je ne savais pas sortir du périmètre.
Il y a cru. C'était aussi bien, a-t-il dit, puisqu'il devait aussi se qualifier pour les finales. Ce qu'il ne savait pas, c'est que j'avais besoin d'avoir les coudées franches pour faire tomber le collègue de mon père dans mes filets.
L'anaconda et sa femme sont rentrés chez eux un peu après minuit. Leur sourire et leur mine réjouie me disaient qu'ils avaient passé une bonne soirée. Après avoir vérifié si tout allait bien du côté des enfants endormis, ils sont revenus dans le salon. Mme Daviers était si belle et si élégante que je me sentais complètement minable à côté d'elle.
Impossible que son mari s'intéresse à moi. C'est aussi pour cela que je souhaitais lui prendre.
Un peu ivre, elle me paya en ajoutant un pourboire. Elle a souhaité une bonne nuit à son mari en l'embrassant et en lui disant qu'elle se sentait trop fatiguée pour l'attendre.
Nous sommes montés dans la luxueuse berline. Mon cœur battait la chamade assise seule à côté de lui. Je m'étais installée de guingois, orientée vers lui, admirant son profil. Il était si beau. Fin de la trentaine. Grand. Athlétique. Riche. Je croisais mes jambes.
Je mouillais ma culotte en me remémorant son beau corps d'athlète en maillot de bain.
La journée passée au lac l'été précédent avait enflammée mon fantasme. Tout en lui me plaisait. Sa taille, sa carrure, la cambrure de ses reins puissants, mais surtout la bosse de son maillot de bain. Ce renflement avait éveillé mes sens et je brûlais de désir pour lui.
J'avais osé, ce jour-là, m'asseoir face à lui en écartant les jambes. J'avais attrapé son regard sur moi, sur mon bikini mouillé qui dessinait ma chatte. J'avais ouvert un peu plus mes cuisses pour qu'il comprenne bien que c'était pour lui, que j'étais à lui s'il le désirait, mais il avait rompu le contact visuel.
Mais ici, nous étions seuls, il était tard, il était fatigué, ses défenses étaient émoussées par la bonne soirée qu'il avait passé avec sa femme, je devais le séduire sans tarder. Ma proie était là, à portée de mes griffes, je n'avais qu'à me servir.
Assise là, silencieuse, en écoutant le ronronnement du moteur, je me mordillais la lèvre. Je savais que c'était une chose folle à faire, mais j'ai tendu la main et je l'ai posée sur sa cuisse. Aussitôt, il l'enleva et la posa sur mes genoux. Comme il n'a pas protesté, après quelques instant, j'ai recommencé. Il l'enleva de nouveau, mais moins rapidement. Cette fois encore, il n'a pas rouspété. J'ai attendu quelques instant et j'ai recommencé.
"Fillette?" dit-il en me regardant dans les yeux. Je lui ai souri. Il n'a pas enlevé ma main.
"Tu joues un jeu dangereux, jeune fille, je pourrais être ton père!"
"Tu n'es pas mon père! Je suis majeure depuis 2 mois et dépucelée depuis plus de 2 ans!"
En regardant droit devant, je caressais sa cuisse avec ma main avant de la poser sur sa bosse. Bientôt, je sentais sa queue gonfler dans son pantalon de costume. Mes doigts ont dessiné les contours. C'était épais. Je pouvais sentir sa chaleur à travers le tissu. Quand j'ai baissé les yeux sur ses genoux, il a dégrafé son pantalon et sorti son gros anaconda noir en soupirant de soulagement. Je me suis penchée vers lui et je l'ai caressé délicatement, comme avec Jérémie. Il a glissé une main entre mes jambes pour me caresser la cuisse. Je le caressais lentement, pressant fermement sa colonne de chair noire. Ses gros doigts appuyaient sur ma chatte à travers le bluejean et j'ai senti une chaude humidité m'envahir.
Je me suis penchée un peu plus, j'ai embrassé son gland puis je l'ai léché pour récupérer la goutte qui suintait du méat.
"C'est fou!" haleta-t-il.
Il a sorti son téléphone, a appelé sa femme, lui a dit que nous étions coincés sur l'autoroute probablement à cause d'un accident et il a ajouté qu'il ne savait pas combien de temps il resterait bloqué et à quelle heure il rentrerait, qu'elle ne s'inquiète pas. J'ai admiré son sang-froid et son ingéniosité pour duper sa femme et je me suis dit qu'il n'en était probablement pas à son coup d'essai.
J'ai commencé à lui sucer le gland avec mes lèvres. Ma main s'est emparée de son scrotum pour lui masser délicatement les bourses.
Je les faisais rouler entre mes doigts, il avait l'air d'aimer ça.
Sa main est passée dans mon dos, sous mon pull, il a tenté de décrocher mon soutien-gorge, sans succès. J'ai senti sa grosse main noire tenter de descendre dans mon bluejean.
Pour lui faciliter la tâche, j'ai dégrafé mon bluejean. Il a glissé sa grosse main dans ma culotte pour empoigner mes fesses.
Je frétillais de bonheur. Je sentais tout mon sang affluer vers ma chatte. Sa main courait tout le long de mon dos, des omoplates jusqu'aux fesses. Finalement, sa main a glissé dans ma raie culière, son doigt s'est immiscé dans mon rectum et il est resté tapi là, pendant que je suçais sa bite.
J'ai fait presque tout le chemin penchée sur sa bite, suçant et aspirant son liquide pré-séminal. Il est venu dans ma bouche juste avant qu'on arrive chez moi. Il s'est garé le long du trottoir afin que je puisse le terminer sans risque.
La grosse berline de luxe allemande avait les vitres latérales et arrière en verre sur-teinté presque obscures. Mais pas le pare-brise, en verre très peu teinté. À travers le pare-brise, un passant ou un insomniaque à sa fenêtre aurait pu assister au spectacle d'une fille se faire doigter le cul pendant qu'elle suçait la grosse bite d'un vieux noir en avalant tout son foutre.
J'ai gardé les lèvres serrées autour de son gland en avalant sa semence gluante pour ne pas tacher son pantalon de costume.
Je suçais la lie de son tuyau d'amour jusqu'à ce que sa virilité s'étiole.
Je me suis relevée, j'ai remis mes cheveux en place, et je lui ai souri en léchant mes lèvres. Il a rangé son anaconda et refermé sa braguette, puis il a glissé sa main dans ma culotte par devant, insérant son gros putain de majeur dans ma chatte. Après quelques va-et-vient, il l'a ressortit, puis il m'a mis deux doigts. J'ai sorti mon nécessaire de mon sac et j'ai retouché mon maquillage dans le miroir de courtoisie. Il a redémarré pour me ramener en bas de mon immeuble.
Pendant le reste du trajet, je me suis blottie amoureusement contre lui pendant qu'il me baisait avec ses gros doigts.
"Je connais un endroit où tu peux te garer!"
"Quoi?"
"Je connais un endroit où tu peux te garer si tu veux me baiser"
Il réfléchit un instant: "Putain, fillette. Tu vas encore au lycée!"
J'ai pris ma voix rauque, ma voix la plus douce et sensuelle que je pouvais pratiquer:
"Ça fait bientôt 3 ans que j'ai perdu mon pucelage et je suis majeure depuis fin septembre"
Il m'a regardé avec des yeux affamés. Je lui ai fait mon regard de chienne, le caressant des yeux en papillonnant des paupières, passant la pointe de ma langue sur mes lèvres légèrement entrouvertes, caressant ma poitrine gonflée, le souffle court à cause de ses doigts qui me fouillent: "J'ai envie ..."
Il a sorti ses deux doigts et il est revenu avec trois, épiant ma réaction.
Je me suis mordue les lèvres pour ne laisser échapper rien de plus qu'un petit halètement.
Je l'ai guidé vers une petite impasse derrière chez moi. Au fond de l'impasse, un emplacement que Jérémie utilise pour me faire un petit coup rapide quand mon domicile est occupé.
Dès qu'il a coupé le moteur, mon amant noir m'attira fermement pour m'embrasser passionnément. Je posais ma main sur son sexe, le sentant redevenir dur. Il a soulevé mon pull, caressé mes seins puis a commencé à les mordiller. J'ai ouvert sa braguette pour palper sa virilité.
"Je n'ai pas de préservatif."
"Je prends la pilule et je suis saine."
"Déshabille-toi et passe à l'arrière."
Je me déshabillais plus rapidement qu'il ne faut de temps pour le dire et me faufilais entièrement nue jusqu'à la banquette arrière. Victor est sortit, s'est déshabillé à côté de la voiture et à tranquillement plié ses vêtements sur le siège avant.
Il s'est assis sur la banquette arrière et m'a prise dans ses bras forts. Je me suis assise à califourchon sur ses genoux et je me suis cramponnée à ses épaules musculeuses pendant que sa langue fouillait ma bouche.
J'aimais sa main caressant mon sein, pinçant mon téton comme s'il voulait traire mon lait.
Son autre main caressait mon cul, puis passait en-dessous pour me peloter et me doigter la chatte et l'anus.
Sa bouche prenait possession de la mienne. J'aimais sa longue langue chaude envahissant ma bouche. J'ai sucé sa langue et ses lèvres.
J'ai mis une main sur sa nuque rasée pour me tenir, et avec l'autre main j'ai frotté son sexe érigé contre mon clitoris.
Il a baissé la tête et m'a soulevée pour embrasser et sucer mes mamelons. J'ai pantelé de plaisir avec ses doigts en moi. J'étais ruisselante de désir.
"Je suis prête" je lui soufflais.
"Grimpe dessus!"
Je l'ai chevauché, j'ai maintenu son anaconda droit et je me suis lentement laissée glisser.
"Ooh putain" je palpitais en sentant ma chatte s'ouvrir à son épaisseur, déjà amoureuse de son dard noir écartant mes chairs.
J'ai glissé plusieurs fois de haut en bas en m'enfonçant progressivement. Il me tenait par les hanches pour m'aider à enfoncer son gros anaconda noir jusqu'au fond de ma petite chatte blanche.
Une fois que je l'ai senti bien à l'intérieur, je me suis jetée dessus comme une folle, oscillant des hanches, le broyant et le baisant jusqu'à ma jouissance. J'ai crié quand l'orgasme m'a foudroyé.
Puis, pantelante et accrochée à lui comme une moule à son rocher, il m'a pilonnée d'en dessous, en grognant quand il a éjaculé.
"Ooh Christine!" haletait-il, ses énormes bras autour de moi écrasant mes loches contre son torse musclé.
"Ooh, chéri, tu m'as bien fais jouir!" murmurais-je en mordillant son oreille, mes hanches broyant sa bite dans une oscillation réflexe.
Je me suis agenouillée sur la banquette à côté de lui avec une poignée de mouchoirs en papier coincée entre les fesses et j'ai nettoyé son anaconda mollissant plein de nos liquides mélangés avec des mouchoirs en papier. Puis nous nous sommes rhabillés dans le noir, à côté de sa voiture, et je me souviens que je le regardais amoureusement. J'aime les hommes bien habillés et j'étais fière d'avoir conquise celui-ci. Enfin, il m'a raccompagnée jusqu'à la maison.
"Pas un mot à personne, ton père me tuerait!"
Souriante et taquine: "Et ta femme?"
Il soupira. "Promets moi!"
J'ai pris son visage entre mes mains et je l'ai embrassé: "Je te promets!"
"La semaine prochaine, mercredi soir, nous allons à une fête. Même si la babysitteur est rétablie, je suggérerai à ma femme de te récompenser pour nous avoir si gentiment dépanné ce soir."
Je l'ai embrassé profondément pour le remercier, lui donnant ma langue à sucer. Il en a profité pour me peloter les fesses. J'ai dû faire un gros effort pour le quitter.
Sa femme m'a téléphoné le lendemain. Elle m'a demandé si je pouvais garder les enfants mercredi soir prochain. J'ai dit d'accord. Nous avons convenu de prendre les mêmes dispositions, son mari viendrait me récupérer au terminus du métro et me raccompagnerais chez moi après.
Le soir, Jérémie est passé me prendre en voiture et il s'est garé au fond de l'impasse. Quand il m'a baisée, il n'a pas pu retenir sa surprise: "Putain, comme t'es large!"
J'ai répondu: "C'est parce que j'ai très envie de toi, chéri, baise-moi fort!"
Le mercredi soir, j'ai mis une jupe ample descendant sagement en-dessous des genoux, mais pas de culotte. À peine le moteur en route, j'avais son doigt dans la chatte. Quelques centaines de mètres et j'avais sorti son gros anaconda noir de son pantalon.
Je l'ai sucé pendant une bonne partie du trajet avec ses doigts dans mes orifices. Il s'est arrêté le long du trottoir pour inonder ma gorge avec sa semence, une main sur ma nuque, l'autre dans mon cul. Je l'ai sucé et léché longtemps pour le faire tout propre avec des frétillements dans mon ventre.
"T'es une putain de coquine! Où as-tu appris à faire tout ça?"
"Mes petits copains m'ont donné une bonne formation" répondis-je, la voix rauque, mes cordes vocales tyrannisées par sa grosse viande noire pressée contre elles. "Ma mère m'a fait prendre la pilule à 15 ans, mais avant je savais faire plaisir aux garçons!"
"Où sommes-nous?" J'ai demandé quand j'ai regardé autour de moi.
"Au travail, nous avons un jeune stagiaire qui a une piaule dans ce quartier. Il est rentré dans sa famille pour les vacances de Noël. Je lui ai emprunté ses clés. Nous aurons plus d'aisance que dans la voiture. D'accord?"
"D'accord" dis-je "mais nous pouvons rester garés ici, si tu veux?"
"C'était vraiment très agréable, mais je ne peux pas prendre le risque de me faire choper en train de faire des trucs comme ça avec toi. Tu peux comprendre ça, bébé."
"Je comprends, et je préfère dans un lit."
Il s'est garé sur le parking, derrière un petit immeuble.
"Nous n'avons pas beaucoup de temps" dit-il en introduisant la clé dans la serrure.
J'ai souri: "Pas de bouchon sur l'autoroute, cette fois?"
"Je suis prête pour toi" je lui murmurais, en passant devant lui pendant qu'il me tenait la porte.
C'était vraiment une piaule de garçon. Il n'y avait aucune photo personnelle. Des affiches de voitures punaisées sur les murs. Mais c'était propre, c'est l'essentiel.
J'étais nue bien avant Victor qui pliait et rangeait soigneusement son costume.
Je me demandais combien de femmes avaient apprécié cette grosse bite noire avant moi. Et depuis son mariage?
J'ai aimé son regard qui détaillait mon corps en s'approchant du lit. Il semblait hypnotisé par mes gros nichons. Je savais le pouvoir qu'ils avaient sur les garçons. Grâce à eux, j'avais chopé le garçon le plus désiré du bahut. Mais je découvrais que cet homme mûr, marié avec une femme splendide, ne pouvais résister au doux balancement de mes loches.
Couchée sur le dos, appuyée sur les coussins de la tête de lit, je le regardais s'approcher en tenant son anaconda dans sa grosse paluche. J'ai tendu les bras vers lui: "Viens, chéri!"
Il s'est allongé à côté de moi, je l'ai chevauché, j'ai attrapé son anaconda pour le guider en moi, haletante tandis que je le faisais pénétrer lentement, de plus en plus profond dans mes parties intimes. Mon cœur s'est épanoui. Comme s'il pénétrait mon âme.
"Putain, t'es serrée!" haletait-il, ses mains caressant mes hanches, m'aidant à engloutir sa grosse viande noire.
J'ai répondu: "C'est parce que j'ai très envie de toi, chéri, baise-moi fort!"
Je ne me rappelle pas avoir dit autre chose. Nous ne parlons pas beaucoup pendant les rapports sexuels.
Je cambrais mes reins, mes mains sur ses pectoraux, je perdais le contrôle de mes hanches qui se balançaient sur sa grosse queue.
Le désir dans mes reins grandissait au fur et à mesure de ma danse d'amour sur son anaconda dressé, mes gémissements se sont transformés en plainte tandis que je m'effondrais sur lui, secouée de convulsions par un violent orgasme.
"Tu viens facilement, Christine" me murmura-t-il à l'oreille tandis que mon ventre était secoué par la rémanence.
"Ta grosse queue me fait venir facilement, chéri" murmurai-je en l'embrassant.
Il nous a roulés toujours attelés, a relevé mes jambes en glissant ses mains sous mes fesses et m'a pilonné furieusement. J'aimais être prise et écartelée sous lui. Le poids de son grand corps athlétique sur moi était délicieux. Je cramponnais mes mains sur ses larges épaules, écartais mes jambes pour les enrouler autour de ses fesses. Ses mains puissantes pétrissaient mes fesses, son anaconda noir forait des profondeurs qu'aucun de mes petits copains n'avaient atteintes.
Je gémissais, geignais et criais tandis que sa grosse bite noire me fouillait encore et encore au plus profond de ma vulve. J'ai adoré quand il m'a embrassée en m'étouffant, lèvres soudées, sa langue envahissant ma bouche, son ventre frappant le mien. Il me baisait furieusement en grognant son ardeur à chaque poussée.
Il m'a baisée si fort que mes cuisses se sont mises à trembler. Quelques instant plus tard, j'ai crié de bonheur sous le plus merveilleux orgasme de ma vie. Mon orgasme a déclenché le sien. Son orgasme a prolongé le mien. Nous avons crié ensemble. Ses derniers soubresauts ont rempli ma chatte. Il s'est soulevé sur les coudes et il est resté en suspend au-dessus de moi, les yeux dans les miens, son bassin animé des dernières secousses, son anaconda palpitant déposant ses dernières gouttes au plus profond de mon utérus. Je tentais de reprendre mon souffle, incapable de bouger, envahie de béatitude.
J'ai adoré la façon dont il s'est attardé en moi, haletant comme un taureau furieux, tandis que son énorme bite noire dominait ma chatte bourdonnante. En ce moment je me sentais femme, vivante et accomplie. Grâce à lui, je n'étais plus une gamine de 18 ans. J'étais une créature capable de séduire l'homme le plus sexy que j'ai désiré. Je me sentais toute-puissante. Belle. Épanouie.
Nous ne nous sommes pas attardés. Victor devait rentrer avant que sa femme soupçonne quelque chose. Je m'arrangeais juste un peu les cheveux. Tant pis pour le maquillage.
"Je n'ai pas arrêté de penser à toi depuis samedi, il faut qu'on reste en contact, j'ai besoin de toi" a-t-il déclaré.
J'ai pris un air détaché en comprenant que je l'avais bien ferré: "Je serais disponible pour toi quand tu voudras, chéri!"
Il m'a raccompagnée chez moi en voiture. Maman m'avait attendu. Il était tard. Elle m'a embrassée puis est allée se coucher. Je me laissais tomber sur mon lit.
Étendue sur le dos, j'ai réalisé que mon appétit n'était pas rassasié. J'ai inséré une main dans ma culotte et j'ai frotté mon clitoris. Très vite, je suis venue et j'ai trempé ma culotte. Ensuite, j'ai sorti mon vibromasseur de mon tiroir de ma table de chevet et je me suis donnée deux autres orgasmes avant que mon corps ne soit complètement rassasié. J'ai résisté à la tentation de lui envoyer un texto pour lui crier mon amour.
C'est comme ça que ça a commencé. Je ne savais pas où cette affaire nous mènerait ...

Les avis des lecteurs

Voilà un texte qui me donne envie de devenir dresseuse de serpent, option anaconda...
Bravo, l'analyse et la description de la montée du désir de la jeune fille est talentueuse et l'histoire très jouissive.
J'aimerais échanger avec vous Tamalou



Texte coquin : ANACONDA
Histoire sexe : Une rose rouge
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