La vie aprés l'aventure avec les policiers - histoire érotique

Suite de la femme et le policier
Ce récit est une pure fiction fruit de mon imagination il est écrit comme si j’étais le mari.
M’ayant tout raconté dans les moindres détails comment elle s’est faite sauté par les deux policiers. A la fin de l’histoire étant très excité j’ai mis ma femme à poil dans le salon et je l’ai prise sans préliminaires, je n’ai pas eu de mal à la pénétrer car elle mouillait énormément. Une fois que l’on a repris nos esprit il lui a dit : à partir de ce jour interdiction de mettre culottes sauf pendant tes règles, plus de pantalon et quand tu es à la maison au maximum une robe très légère et transparente, tu as le droit d’avoir des aventures avec toutes les personnes que tu veux homme ou femme à la condition de tout me raconter, mais tu n’as pas le droit de refuser que je te prenne quelque soit l’endroit ou le lieu à ce quoi elle a répondu qu’elle était d’accord à partir du moment que l’on reste ensemble car même si elle a eu cette aventure elle me dit qu’elle m’aime encore et qu’elle avait peur que l’on se sépare après avoir eu connaissance de son aventure.
Le lendemain je rentre chez moi, après une journée de travail, elle m’accueille dans l’entrée :
« Bonjour mon chéri, la journée c’est bien passée ?
_ Oui très bien merci, tu me rappelles ce que je t’ai dit hier quand tu restes à la maison ?
_ Robe légère dans la maison et de ne plus mettre de pantalon.
_ Je t’ai dit aussi plus de culotte et ta robe n’est pas légère ni transparente donc je vais te punir, va ouvrir tous les rideaux et met toi toute nue, tu y resteras jusqu’à demain et plus de soutien gorge jusqu’à nouvel ordre
_ Non ! Je m’excuse j’ai oublié pour la culotte ça n’arrivera plus
_ J’espère pour toi mais tu seras puni quand même, allé à poil que je te donne la fessée comme aux petites filles désobéissantes.
Elle exécute l’ordre, se met nue et prend appui sur la table de salle, dos à la fenêtre pour recevoir la fessée. Apres la dernière fessée je passe ma main entre ses cuisses légèrement écartées et je constate que son sexe est trempé et je lui dis :
«Mais tu es toute mouillée donc existée alors je vais te prendre »
Sans lui laisser le temps de répondre je retire mon pantalon et mon caleçon puis je la pénètre très sauvagement et elle a l’air d’aimer ça :
« Tu aimes que je prenne ?
-Oh ! Oui c’est bon, baise moi fort
-Qu’est ce qui t’excite le plus la fessée ou le fait que les rideaux soit ouverts et que l’on puisse nous voir ?
-Tout et surtout de savoir que l’on allait baiser. J’aime ta queue dans ma chatte je ne vais plus tarder à jouir continu c’est trop bon, Oh ! Oui pénètre moi bien à fond, oui encore baise moi plus fort.
-Moi aussi je vais bientôt jouir oui c’est bon »
Nous avons joui ensemble et c’était très fort. Au soir quand nous nous sommes couchés elle m’a demandé de lui redonner quelques fessées car elle estimait que je ne lui en avais pas donné assez, après la dernière fessée sassant très bien qu’elle avait envie d’être prise je ne fis rien attendant qu’elle me le demande, passant délicatement sa main sur mon entre jambe et sentant mon pénis dur car j’étais aussi très existé elle me dit :
« Chéri prend moi, j’ai encore envie de te sentir en moi.
-Oui d’accord mais dit le moi avec des mots plus sexe.
-Chéri baise moi, défonce moi la chatte, j’ai très envie de sentir ta bite dans mon vagin et aussi dans mon cul. »
Après cette demande je ne pouvais pas refuser car j’en avais envie aussi. Je commencé par sucer ses seins dont les pointes durcirent encore plus puis je lèche sa vulve déjà très humide :
« C’est bon, tu aimes que l’on te bouffe le sexe ?
Oh ! Oui c’est bon mon chéri va s’y bouffe moi bien. »
J’arrête de la lécher et lui demande de se mettre à quatre pattes, une fois dans cette position je lui claque de nouveau les fesses et elle me dit :
« Oui, donne moi la fessée ça m’excite, allez viens prend moi, fais moi jouir. »
Je présente donc mon sexe à l’entrée de son vagin où je rentre sans difficulté. Après quelques va et viens je sors de son sexe et présente ma pine à son anus que j’ai pris soins de dilater avec mes doigts le temps que je lui ramoné la chatte, je la pénétrais sans trop de mal :
« Tu aimes te faire sodomiser par des grosse queues ?
-Oui, j’aime ça, me faire prendre le cul par des gros membres, oh ! Oui continue je vais bientôt jouir, c’est trop bon.
-Oui ma chérie jouie moi aussi je viens. »
Nous avons de nouveau joui ensemble et très fort, il y a longtemps que cela ne nous était pas arrivé.
P.S si mon histoire est publié faites moi savoir si je continu les aventures de ce couple.