Titre de l'histoire érotique : Notre trio kabyle

- Par l'auteur HDS Marie -
Récit érotique écrit par Marie [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Récit libertin : Titre de l'histoire érotique : Notre trio kabyle Histoire érotique Publiée sur HDS le 28-05-2004 dans la catégorie Plus on est
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Titre de l'histoire érotique : Notre trio kabyle
Nous sommes un couple de 55 ans chacun, libertins depuis plus de vingt ans, habitant le sud de la France. Nous aimons les rencontres simples et avons horreur de la vulgarité, de la violence, de toute déviance profonde….

Voici la dernière aventure que nous venons de vivre en matière de triolisme !


Mon mari Chris, à mon insu, avait étudié une rencontre pour mon anniversaire en cette fin de semaine dernière. Je me doutais bien un peu de quelque chose mais n’étais au courant de rien car cela fait trois ou quatre ans qu’il organise des rencontres coquines à cette occasion.

Je n’en ai été informée que le 11 pour une rencontre le 13 à partir de 12h45’. Le rendez vous a d’ailleurs bien failli avorter car au moment de partir, il a fallu transporter notre fille chez des amis qui devaient, à l’origine, la récupérer à 10h30’. Bref, elle me voyait avec des bas résille et croyait que nous allions à un bal. Son père portait une cravate qu’il ne porte en principe qu’en semaine. Inutile de vous dire que les explications étaient du type embrouillées, d’autant que nous avions un sac avec des effets à l’intérieur.

Je savais que ce Monsieur, contacté par téléphone à la suite d’une annonce déjà un peu ancienne sur la revue Loisirs 2000, avait 56 ans , nous recevait chez lui dans une maison déjà ancienne des quartiers nord de Marseille et qu’il était d’origine kabyle. Nous avions rendez vous avec lui dans une artère importante du secteur, il devait se trouver devant un bar dont il nous avait communiqué le nom pour des raisons de simplicité. Heureusement que nous avions un numéro de téléphone mobile pour le joindre car dans ces quartiers qui nous sont inconnus, tout se ressemble . bref, un vrai parcours de combattant ! ! !

Finalement, avec prés de trente minutes de retard, sept ou huit demi tours, quelques jurons malgré tout gentils de mon mari, le contact a pu être établi ! Notre rencontre était debout devant le petit bar indiqué, scrutait l’horizon de toutes parts. C’est mon mari, c’est logique, qui est allé discuter avec lui. Je n’entendais forcément rien de leur conversation mais je comprenais qu’il cherchait à me découvrir visuellement dans la voiture, un peut trop éloignée pour cela.

Ils finirent par tomber d’accord sur le fait que nous allions directement chez lui et que nous discuterions tranquillement, les bars du secteur étant plutôt vides de toute féminité.

Étant venu à pied, il était prêt à nous accompagner jusque chez lui. Chris, mon mari lui proposa de passer à l’avant mais il refusa !

Il entra à l’arrière de la voiture et mon mari fit les présentations, il s’appelle Akim, je suis Marie. Dans ce cas, j’avoue, je suis toute moite, les décharges d’adrénaline, je pense ! Je crois que lui aussi est un peu timide, il a en effet quelques difficultés à entrer dans la conversation. Ce qui m’attire, par contre, c’est son physique, Méditerranéen, certes ! mais pas exagéré avec les cheveux courts, très bien entretenu.

Il est installé au milieu de la banquette arrière et je l’aperçois par moments. La glace n’est pas encore brisée, il ne peut s’empêcher de dire, " oui Madame ", " oui Monsieur " !

Heureusement qu’il est venu nous attendre sur une artère principale, nous n’aurions sinon jamais trouvé.

Je me demande d’ailleurs, par endroits, tellement les ruelles sont étroites et encaissées si nous arriverions à faire, en cas de besoin, demi-tour avec la voiture. Au bout d’un moment, à force de monter, tourner, descendre et remonter, dans un dédale de rues, il nous signale l’arrivée ! une petite place pour cinq ou six voitures environ. Une fois la voiture garée, nous le suivons! Chris porte le sac avec les effets. Finalement, Akim ouvre la lourde porte d’une maison déjà ancienne avec rez-de-chaussée et un étage. La porte ouvre sur un couloir obscur avec deux portes au bas et un escalier plus très jeune et abrupt en face.

Très poliment, il m’invite à gravir les escaliers.

Arrivés en haut, juste en face de nous, une porte fenêtre donne la vue sur un petit balcon avec jardin au-dessous. il nous ouvre la porte de gauche sur le palier et nous convie à entrer. C’est l’espace de vie de la maison, avec une partie cuisine et une zone faisant effet de salle à manger d’un côté et salon de l’autre, le tout éclairé par trois fenêtres sans vis à vis très direct à priori. La pièce est malgré tout sombre car le temps est " bas " au dehors.

Nous nous mettons à l’aise et lorsque je retire mon manteau, je remarque de sa part un petit signe de contentement sur son visage. Il a tout prévu et organisé, il m’invite à m’asseoir dans un fauteuil bas, Chris occupe un autre d’un modèle différent tandis qu’il a prévu pour lui un pouf joliment décoré. Une petite table basse avec dessus en verre est approchée et il va chercher plusieurs verres, une bouteille de champagne, jus de fruits, et des amuse gueules avec du salé et du sucré.

Je le félicite pour son bon goût, il nous explique qu’après avoir été locataire de cette maison pendant plus de dix ans, il a pu l’acquérir et l’aménager à son goût y recevant parfois son fils ou sa fille qui sont dans la région. Il a refait l’intérieur avec des moquettes sur presque tous les sols .

Le champagne est servi et heureusement qu’il y a les amuse gueules car, il est presque 14 heures, nous n’avons rien mangé à midi et je crains les effets du champagne dans ce cas.

C’est Chris qui, le premier entre dans le sujet, il rappelle que nous sommes triolistes et échangistes, que nous disposons de tests H.I.V. négatifs, que nous prenons l’un et l’autre beaucoup de plaisirs dans cette complicité et ces jeux autour du sexe.

Akim nous explique qu’il ne pouvait pas supporter une vie sexuelle à zéro, qu’il s’est mis à fréquenter quelques clubs de la région et qu’à la suite d’un trio réussi s’est mis à publier des annonces et à recevoir des couples chez lui.

J’en profite, sous prétexte de m’extirper de ce fauteuil pour saisir mon verre et des amuse gueules, pour laisser remonter ma robe le long de mes cuisses laissant apparaître le haut de mes bas noirs et les attache jarretelles ainsi que mon string rouge. Ce garçon commence à me séduire, je ne sais si cela est dû aux premiers effets du champagne ou à l’ambiance qui commence à monter avec en arrière fond cette musique orientale qu’il a mise en route dès notre arrivée, mais la situation commence à me plaire. Chris, de son côté " vante " en quelque sorte sa marchandise, mon anniversaire, mon côté passionnel en amour ; notre hôte parait séduit par les propos.. Il m’appelle par mon prénom, c’est déjà bien, il fixe ma culotte, je comprends que la situation ne devrait pas tarder à évoluer.

Ce Monsieur a quelque chose d’attirant malgré son age, mais quoi ? ? ? ?Je m’interroge !

Son age l’a déjà marqué ! Pour nous, c’est pareil, quelques rides sur une peau mâte et hâlée, une chevelure sobre ! ! ! Soudain, je réalise, ses yeux, son regard, voici le mystère de ce garçon enfin résolu, ce sont ses yeux, son regard. Il a des yeux de chat, ni clairs, ni foncés qui vous " percent " et qui donnent à son regard quelque chose de mystérieux donnant envie d’en savoir plus !

Le champagne fait rapidement effet ! et voilà que j’ai déjà besoin de vider ma vessie, c’est un peu cela le problème des femmes !

J’explique que j’ai besoin d’aller aux toilettes et notre hôte me demande de le suivre, il va m’accompagner sur les lieux . Je prends mon sac à mains et nous ressortons sur le palier, il ouvre l’autre porte d’en face qui, en fait débouche sur un second pallier avec deux autres portes. Il ouvre celle d’en face et je découvre une salle de bain mi ancienne, mi moderne avec une fenêtre donnant sur le jardin, et des toilettes. Il me confirme, c’est là ! et au moment de se retirer abandonne sa main droite sur ma croupe avec délicatesses ! Il retire la porte et disparaît.

Je profite de l’occasion pour me libérer de ma contrainte et, compte tenu que je dois chaque fois dégrafer les jarretelles pour baisser ma culotte, je décide purement et simplement d’enlever cette dernière!

Je remets tout en ordre, glisse le string dans mon sac, jette un regard rapide sur le jardin qui à priori manque d’entretien, me lave les mains et rejoins la pièce principale.

Mes deux hommes sont à priori en discussions sur le terrorisme du moment en Espagne.

Je rejoins mon fauteuil en m’appliquant déjà à remonter ma robe. La musique continue. Chris se relève, nous propose un peu plus de champagne que nous acceptons ainsi que quelques " en cas ". Je me relève un peu m’avance pour saisir la flûte, m’assieds à nouveau, faisant ainsi remonter ma robe j’us qu’au niveau des fesses, laissant librement apparaître les jarretelles. Forcément, Chris qui est sur mon côté droit, remarque le jeu sans être, au courant de ma culotte. Akim, a, lui aussi forcément le visage attiré vers cette nouvelle position de ma robe, et cherche à découvrir la culotte rouge. Il revient, si je puis dire, plusieurs fois sur le sujet et tandis que je le complimente sur la qualité gustative d’un petit gâteau, j’en profite pour ouvrir mes cuisses et lui prouver que la situation a changé. Pas de touffe, bien sûr, j’ai le sexe lisse, je suis allée chez l’esthéticienne trois jours plus tôt ! Il marque un temps d’arrêt dans sa conversation et se relève de son " pouf " pour se donner une contenance et se placer parfaitement en face de moi. Je le fixe bien dans les yeux, les cuisses toujours écartées et comprends, à la forme que prend le devant de son pantalon, que mon manège a produit les effets escomptés. Par contre, compte tenu des lieux, je comprends mal comment va évoluer la situation, pas de banquette, pas de lit, pas de tapis au sol. Je n’ai même pas pu en faire part à Chris. Je me demande même si nous n’aurions pas à faire à un simple voyeur ! Pourtant, il " bande " et mon mari s’en aperçoit lui aussi. Il se lève à son tour et découvre mon exhibition discrète auprès de notre rencontre kabyle.

Notre ami du jour prend les choses en main :

- Nous allons, si vous le voulez bien, aller au rez de chaussée, où j’ai une chambre que je qualifie d’osée !

- Chris répond : Puisque tu nous invites aussi gentiment, nous te suivons ! Tiens, Chris s’est engagé dans le tutoiement, c’est bon signe, il est d’un naturel très réservé.

Je récupère sac à main et manteau, Chris de son côté récupère le sac avec les effets, et nous suivons notre kabyle qui redescend les escaliers, et, arrivé au fond, ouvre la porte de gauche, appuie sur un interrupteur et nous engage à y entrer !

J’entre dans cette pièce avec un peu de retenue, je l’avoue, je ne m’attendais pas à y découvrir autant d’aménagements dont certains sont coquins !

En fait, il s’agit d’une pièce immense entièrement consacrée au plaisir :

- Un très grand lit au centre, qui doit regrouper deux grands matelas, très haut entouré de miroirs sur les murs avec un au plafond. Quelques coussins sont disposés sur ce lit.

- Un canapé contre un mur avant ce lit

- Quatre fauteuils ainsi que des poufs à l’opposé. deux tables basses au moins prés des fauteuils.

- En face de l’entrée, un comptoir de bar en bois très clair avec devant trois chaises hautes à piétement en chrome avec des sièges de machine agricole. Derrière ce bar, un réfrigérateur, une étagère avec chaine musicale, un placard avec portes vitrées où sont rangés quelques verres et quelques bouteilles

- Après le lit, un grand poste de télévision est accroché au mur.

- Au fond de la pièce, une demi cloison cache un espace sanitaire avec WC, lavabos et douche.

- Une porte fenêtre équipée de rideaux doit communiquer sur le jardin arrière, tandis qu’une fenêtre aux volets clos, ouvre sur la rue.

Les murs sont peints en ocre ce qui donne de la chaleur à la pièce avec quelques tableaux accrochés au mur. Une odeur d’encens flotte dans l’atmosphère. La pièce est surchauffée !

Chris m’a expliqué à notre retour que cette pièce correspondait au départ à deux pièces avec salle de séjour sur l’avant et cuisine du coté jardin.


Il fait très chaud dans cette pièce et pour tout avouer, c’est la première fois que nous tombons sur un tel équipement.

Chris ne peut s’empêcher de faire part de son éblouissement, il félicite Akim qui ne cache pas sa joie.

Posez vos effets sur le portemanteau nous lance t’il en nous le désignant près de l’entrée, ce que nous faisons, Chris pose le sac à terre.

De ce temps, il referme la porte, se glisse derrière le bar où il actionne toute une série d’interrupteurs créant tout d’un coup une ambiance lumineuse feutrée, il introduit un disque compact dans la chaine et la musique orientale repart diffusée par cinq ou six haut parleurs répartis dans la pièce, il s’accroupit, glisse une cassette dans un magnétoscope placé dans la partie basse du placard et voilà que le poste TVse met lui aussi en route. Il a tout prévu, décidément !


Trois flutes de champagne sont à nouveau installées sur le comptoir du bar et, une bouteille au réfrigérateur est ouverte. Je me hasarde pour savoir si un jus de fruit n’est pas disponible mais je comprends que ce sera plus tard . Chris attrape à son tour une bouteille dans son sac et va jusqu’au réfrigérateur pour la mettre en réserve.

Nous trinquons une fois de plus et dégustons ce nouveau breuvage.

Chris prend alors les choses en main, il m’attrape par l’avant bras et m’attire devant le canapé sur l’espace consacré à priori à la danse . Cette musique orientale est maganifique. Je m’accroche au cou de Chris, ferme les yeux et danse un gentil slow. Je comprends que Chris fait signe à notre kabyle pour qu’il s’approche de nous car il me serre contre lui et ses mains sur mes hanches ou mes fesses ont pour effet de faire remonter ma robe!

J’attire Chris vers ma bouche et nous nous embrassons longuement tout en dansant. J’aime énormément ces danses serrées.

Je sents tout d’un coup un effleurement sur mon dos qui se déplace jusqu’au bas de mes reins puis à ma croupe. Je comprends que la partie à trois s’engage. dans ces moments, la chaleur envahit tout mon corps . Les caresses se poursuivent mais je comprends que notre ami, pour l’instant regarde, surtout que Chris a remonté ma robe jusqu’au haut de mes cuisses. Je sents que Chris me pousse vers lui, il ne réagit pas ! Chris m’engage à faire demi tour, j’obtempère. A peine retournée, j’enlace Akim de mes deux bras, il accepte et son tour m’enserre avec ses deux mains. Il doit être légèrement moins grand que Chris. Je me love contre lui. Je n’aime pas trop son eau de toilette mais au moins, il sent bon. Ses mains parcourent mon dos, mes épaules. Chris qui se tient un peu en retrait, revient et se plaque derrière moi, ses mains caressent mes hanches et le bout de mes jambes. Il me pousse contre notre garçon et là je sents très bien que son sexe est en émoi si je puis dire. Chris qui a du profiter de la complicité d’un miroir remonte ma robe à mi fesses, j’aime cela si c’est fait de façon progressive, sensuelle et suggestive, il le sait parfaitement. N’y tenant plus, je décide de monter d’un cran au niveau des sensations. Je relève la tête et attire la bouche d’Akim contre la mienne, nos nous lançons dans un " bécautage " puissant, profond et bruyant, il sait bien faire et apprécie semble-t-il, sa langue semble être partout à la fois, il ne fume heureusement pas car sinon, je ne me serais pas livrée à ce type d’exercice.

Chris remonte un peu plus ma robe et maintenant, je comprends que j’ai le derrière et le sexe à l’air libre. Chris me caresse les fesses, je sents le sexe de mon deuxième homme du moment contre le mien, je mouille !

Mon kabyle me presse toujours contre sa bouche, j’ai chaud.

Je me libère enfin et lâche un ouf ! Je dois être rouge, j’ai soif, je me précipite alors vers ma coupe de champagne restée sur le comptoir du bar et l’avale d’un seul trait.

J’ai la robe au niveau de la ceinture. Lorsque je reviens du bar, quatre yeux sont dirigés vers mon sexe ras. Blanc au milieu d’un porte jarretelles et de bas noirs.

Chris s’approche de moi, dégrafe le haut de ma robe et libère ma poitrine. Ma robe ne sert plus que de ceinture et je m’applique d’ailleurs à remonter un peu plus le bas. Elle cache mon estomac que je trouve, à mon age toujours trop important. Je m’approched’Akim, lui prends la main ainsi que celle de Chris et les entraîne à proximité du lit devant un miroir.

Là, je me place devant mon nouvel ami en lui tournant le dos et tout en appuyant mes mains sur mes genoux, joue des fesses et des hanches sur son sexe que je sents très bien sous son pantalon. Alors que nous observons tous les deux la scène devant un miroir, il ne peut s’empêcher de m’attirer plus à lui, sa main gauche enserre ma taille tandis que sa main droite veut enfin avoir accès à mon intimité. Il approche sa main de ma première " fente " et commence à pétrir, il constate que je mouille déjà et ne peut s’empêcher de dire " Oh putain ".

Je lui fais comprendre que j’apprécie et Chris lui lance : " branle là au dessus "

Ne sachant comment s’y prendre, Chris apporte sa connaissance du sujet, commence à me masturber le mont de vénus et guide la main de mon nouvel amant à en faire de même.

Il comprend vite le " bougre " et se met, toujours en me serrant par la taille à entreprendre un vas et vient sur mon mont de vénus qui me fait " perdre les pédales " . je sens la jouissance monter en moi, mon Kabyle est doué, il s’arrête parfois ! Cinq ou six minutes de cette trituration intense de mon sexe font monter en moi un premier orgasme ! Je regarde Chris un peu honteuse, mais le plaisir est là, ma respiration devient saccadée, j’explose enfin dans un râle bestial et incontrôlé, je viens de jouir ! Je dégringole au sol, exténuée !

Mes deux mâles m’aident à me relever et me conduisent jusqu’à un fauteuil. Je dois un peu récupérer.

Chris demande à notre rencontre, s’il n’aurait pas un peu de café. Il acquiesce, sort de son bar une boite de café instantané ainsi qu’une bouilloire qu’il emplit d’eau, la branche à une prise de courant et prépare trois tasses en plastique à cet effet. Ne prenant pas de sucre, le café est rapidement avalé. Il fait chaud dans cette pièce, je décide de quitter ma robe pour me retrouver nue en porte jarretelles et bas résille au milieu des deux mâles. Akim est assis prés du bar sur une chaise haute tout comme Chris, je m’approche de lui, l’embrasse sur la bouche et de ce temps, mets ma main sur son sexe durci. Après un soubresaut, il se laisse faire, le cochon ! J’ouvre son pantalon et constate qu’il n’a pas de slip, il avait prévu le coup !

J’attrape sa queue et rapidement la fais sortir du pantalon ! Quelle beauté malgré la lumière diffuse, arquée juste ce qu’il faut, longue et puissante, de plus, Akim dispose d’un sexe circoncis ! cela promet.

Je tiens cette verge en main et du temps que je la masturbe gentiment regarde mon amant au fond des yeux. Il veut aller sur le lit.

Je conseille à mes deux mecs de se dévêtir pour aller sur le grand lit, ce qui est fait en trente secondes.

J’ordonne à Akim de se coucher sur le bord du lit. À peine fait, je triture à nouveau son sexe tandis que Chris, par derrière s’occupe du mien. Mon nouvel amant relève la tête pour me regarder faire. A ce moment, j’approche ma bouche et saisis son sexe pour lui débuter une fellation. Il apprécie et j’avoue que cette longue queue est agréable en bouche, le seul dégoût temporaire est lié au fait que notre ami a du involontairement uriner ce qui confère à cette " pipe " un goût inhabituel. Chris caresse mon vagin, je vais bientôt être bonne à prendre.

Chris s’occupe de mes " arrières " si je puis dire, nous passons ici bien dix minutes, je crois, et Akim râle de plaisir mais semble tenir le coup. Pour ma part, je ne vais pas tarder à jouir à nouveau, Chris qui sait particulièrement bien trouver le nœud au dessus de mon clitoris est entrain de me masturber particulièrement bien, sa queue est dans ma raie culière, mes jambes flageolent, je jouis.

J’ai envie d’être prise. Akim sort de son état second, il a compris, Chris va dans le sac récupérer un préservatif qui, pour les avoir essayé favorise l’excitation de ma vulve. Je m’allonge sur ce lit très dur, en travers pour avoir accès à un miroir au moins. Akim éprouve semble t’il quelques difficultés à enfiler le capuchon, puis enfin grimpe sur le lit. J’écarte les cuisses et remonte un peu mon bassin, il m’enfourche et trouvant un vagin lubrifié, m’empale avec vigueur ! J’ai un haut le cœur, son sexe est long, il bute au fond. Il commence un va et viens bestial accompagné de gémissements et de mots cochons à mon égard, je le vois dans la glace, il sait faire le bougre, je ne tarde pas à jouir en le suppliant de continuer ! Il se reprend, je place mes jambes repliées sur son ventre, sa pénétration est encore plus perceptible, ensuite, je ne sais plus tôt, j’ai dû jouir cinq ou six fois, je suis réveillée par un hurlement de bête sauvage accompagné de " quelle grosse salope " ou quelque chosede similaire, Akim a pris son pied et éjaculé semble t’il !

Chris est assis sur la banquette entrain de nous voir faire tout en regardant le film, " le canapé rose ", sur l’écran de télévision. Au bout de cinq minutes de repos sur le lit, Akim et moi nous relevons, j’ai besoin d’une douche, Akim va au fond de la pièce et derrière une demi cloison allume cette douche, nous nous lavons ensembles, il me caresse encore un peu, m’embrasse, je me nettoie. De retour, Akim allume de l’encens, il aime cela, m’annonce aller chercher quelque chose à l’étage et de ce temps, Chris se douche. Je regarde l’heure, il est bientôt 16 heures !

Akim revient avec des pâtisseries orientales, cornes de gazelle, gâteaux au miel, bâtonnets au gingembre. J’ai faim, j’ai soif, j’ai chaud, je suis bien !

Nous nous retrouvons tous les trois autour du bar, je suis nue comme un ver puisque j’ai retiré porte jarretelles et bas résille pour me doucher. Akim a trouvé un petit peignoir léger et Chris a sa serviette autour de la taille. Je vais chercher un chemisier transparent dans le sac.

Une nouvelle tournée de champagne est servie, avec les gâteaux, cela nous vivifie. Un peu d’alcool et des sucres lents, cela nous revigore.

Nous restons là une bonne dizaine de minutes à discuter de tout et de rien, Akim est plus osé qu’au début, il m’embrasse sur la bouche, il me traite de cochonne, de salope…il est visiblement en forme. Chris lui explique que j’apprécie ces excitations à trois ou quatre. Il nous fait promettre de le revoir car il apprécie mon expérience.

Chris est " resté sur sa faim " depuis le début si je puis me permettre. J’ignore s’il a envie de prendre son pied avec moi ou s’il préfère regarder ?

La cassette vidéo est achevée et je demande à Akim de la remettre en service, je n’ai aperçu que quelques séances mais je les trouve non vulgaires et érotiques à la fois. Je profite du fait qu’il se précipite vers le magnétoscope afin de satisfaire ma demande, pour questionner rapidement Chris ! C’est, je l’avoue, un mari idéal, il me fait comprendre que du moment que je suis heureuse, il n’a pas d’exigence particulière ! Je suis donc libre d’entreprendre ce que j’estime de plus opportun !

Akim a remis en route la cassette vidéo, il est visiblement en forme et heureux !

Je vais embrasser Chris pour " provoquer " en quelque sorte Akim et l’inciter à réagir.

Chris me caresse, il me palpe les seins, laisse trainer ses mains sur mes hanches et mes jambes, je reconnais qu’il est très sensuel à ce niveau !

Akim regarde, il a manifestement lui aussi envie de me toucher, je m’approche de lui et m’assieds sur ses genoux, il se met à me caresser, il pétrit mes seins, me câline le dos ! Ce garçon est sensuel !

Je vérifie, il reprend des forces, son sexe reprend de la raideur ! Je ne sais pas trop s’il est en abstinence mais manifestement, il dispose de réserves !

Je me laisse aller contre lui, il me caresse, Chris nous regarde, je l’embrasse sur la bouche, il a une langue très agile et experte !

Il m’embrasse le coup pendant que ses mains caressent mon ventre.

De façon discrète, Akim me souffle à l’oreille qu’il apprécierait une belle " Pipe "

Il fallait que je m’attende à cette demande, les hommes sont en général très friands de ce type de gâterie.

Je propose à Akim d’aller s’allonger sur le lit tandis que je demande à Chris d’approcher une petite table basse prés du lit et de nous servir trois flûtes de champagne.

Je grimpe à mon tour sur le lit, défait mon chemisier et ôte la robe de chambre de mon Kabyle. Les coupes de champagne arrivent. Je suis à genoux devant Akim qui franchement a un regard perçant. Je me mets à le masser, le caresser sur tout le corps en partant des pieds, en évitant toutefois de toucher à son sexe en éveil manifeste. Chris nous regarde faire tout en regardant la cassette vidéo.

Je prends un verre de champagne, le tends à Akim, j’en prends un pour moi, nous trinquons et après une gorgée, je repose les deux verres.

Mes mains caressent maintenant le sexe d’Akim, la verge circoncise est dure, ses bourses fermes, il n’est pas trop velu, c’st agréable. Akim tremble un peu et ne peut s’empêcher de me lancer quelques mots cochons, j’avoue que j’aime beaucoup ce type de situation. Je reprends un peu de champagne, le conserve en bouche, me dirige vers cette queue et y déverse un peu de cette boisson pétillante, son propriétaire a un soubresaut et avant qu’il n’ait d’autre réaction, absorbe ce bâton chaud .

Je commence alors à exciter le gland avec ma langue qui en parcourt les différents endroits en essayant de s’enfoncer dans le méat central. Je me mets progressivement à pomper cette queue tout en caressant les bourses, Akim est animé de spasmes que l’on ressent y compris dans ma bouche. Je maintiens un rythme lent mais cadencé, j’ai souvent remarqué que le rythme lent donnait beaucoup de plaisirs aux hommes. Cette queue est longue, tape parfois au fond de ma bouche. Je comprends que le plaisir monte chez Akim, il parle de façon incompréhensible, ses muscles des jambes et des abdominaux se raidissent, il me pétrit de temps en temps la chevelure, j’accélère le rythme. J’éprouve dans ces moments un sentiment de domination car finalement les hommes sont fragiles ! Akim veut me palper les seins, il y parvient, ses jambes s’agitent, je continue imperturbable. Le sexe d’Akim est vraiment raide et gros. Soudain le corps d’Akim se fige, il pose ses deux mains sur ma tête, râle puissamment et au moyen de trois ou quatre jets m’emplit la bouche de son sperme à la fois âcre sucré et chaud . Je reste encore quelques instants avec cette sucette dans la bouche pour laisser la pression baisser, je me relève enfin et souhaite tout recracher, Chris est là avec une serviette à la main qu’il me tend. Akim ne tarit pas d’éloges sur ce moment de plaisir, soit disant inégalé ! J’en suis flattée, je vais me rincer la bouche à l’espace salle de bain et m’affale dans le canapé, Akim vient m’embrasser sur la bouche pour me remercier, il est déjà plus de 16 heures trente.

Akim discute avec Chris et lui explique qu’il travaille dans une entreprise d’équipements électriques et c’est grâce à cela qu’il a pu équiper à moindre frais cette pièce, les matériels ne lui coûtent rien et la main d’œuvre, c’est lui !

Chris le félicite à nouveau sur ses équipements et côté convivial de la pièce. Je crains que je vais m’endormir. Je rejoins mes deux hommes et propose à Akim d’en rester là pour aujourd’hui ! Je propose par contre que l’on revienne une prochaine fois avec notre couple d’amis de notre age avec lesquels nous sortons parfois. Akim est parfaitement d’accord, nous apporterons un peu de nourriture la prochaine fois.

Nous prenons tous les trois une douche revigorante, nous habillons, embarquons nos effets réciproques, je glisse les bas résille dans mon sac.

Nous prenons congé d’Akim en le remerciant un fois de plus. Chris assure qu’il trouvera le chemin de retour sans difficulté ! ! !

À peine entrée dans la voiture, je m’assoupis en repassant les évènements de cet après-midi dans ma tête. Je ne tarde pas à m’endormir ! C’est l’arrêt du moteur de la voiture qui me ramènera à la réalité ! Il est plus de dix huit heures, Chris repart aussitôt récupérer notre fille……..

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