Titre de l'histoire érotique : Ksokos jeune esclave dans l'antiquité

- Par l'auteur HDS Choludo -
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Récit libertin : Titre de l'histoire érotique : Ksokos jeune esclave dans l'antiquité Histoire érotique Publiée sur HDS le 14-04-2008 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Titre de l'histoire érotique : Ksokos jeune esclave dans l'antiquité
Ksokos est né très pauvre, dans l’antiquité, les enfants pauvres pouvaient être vendus par leurs parents et élevés dans des orphelinats pour garçon. Ksokos y passa son enfance jusqu’au jour de ses 18 ans.
Le jour de ses 18 ans, il fut envoyé devant le comité des maîtres : un comité qui disposait à leur majorité des jeunes esclaves à une seule condition : qu’ils soient vierges et musclés comme de vrais athlètes. Ksokos ne savait pas ce qui allait lui arriver durant cette journée.
Dès 10 heures, il fut présenté devant le comité des maîtres composé de 10 riches hommes habitant dans un palais : ils choisissaient les jeunes esclaves pour leur jeux sexuels et leur faisaient passer une journée d’initiation très rude.
Ksokos, se trouvait habillé en toge devant cette assemblée qui le scrutait sans broncher. Deux esclaves plus âgés firent leur entrer : ils allaient préparer l’initiation de Ksokos devant les 10 maîtres.
Ils commencèrent par lui enlever sa toge : Ksokos se retrouva nu devant le comité, un peu gêné : il disposait déjà d’un corps sculpté et de muscles robustes ainsi que d’un sexe long et épais qui pendait. Les deux esclaves le firent allonger sur la table placée en face des maîtres. Là, on le rasa de la tête aux pieds puis on lui enduit le corps d’huile parfumée. Ksokos ne bronchait pas et cette nouvelle sensation le gêna.
Ensuite, on le fit mettre à 4 pattes les fesses face aux maîtres. Un des esclaves lui écarta les fesses pendant que le second enfonça un tuyau dans son petit trou. Le tuyau entra facilement car il était bien huilé. Ksokos gémit : il sentait qu’on lui remplissait les boyaux d’un liquide pour procéder à un lavement. Ses boyaux gonflaient, quand il n’en puis plus, on lui retira le tuyau et il expulsa tout le liquide par terre. Son cul était maintenant bien propre.
Les deux esclaves vinrent ensuite s’occuper de son sexe et de ses couilles. Pendant que le premier attacha les mains de Ksokos à la table, l’autre lui attacha les deux pieds bien écartés. Il se retrouvait le sexe face aux maîtres.
Ksokos avait peur car un des esclaves venait de lui mettre un morceau de tissu dans la bouche. Il comprit que c’était pour éviter de l’entendre crier. Pendant que le premier esclave lui massait le gland et tirait sur son long prépuce, le second avait serré ses couilles avec une lanière de cuir : la lanière était trop serrée et Ksokos ne sentait plus ses couilles mais le supplice continua : on attacha à la lanière de cuir des poids qui firent descendre les couilles de Ksokos : les poids étaient tellement lourds qu’il avait peur que ses couilles ne s’arrachent.
Vint ensuite le tour de son sexe, on le badigeonna d’une pommade qui provoqua une énorme érection à Ksokos. Les esclaves en profitèrent pour attraper une sorte d’aiguille qui transperça le prépuce de Ksokos. La douleur était immense : le trou étant fait, on lui enfila dans le trou du prépuce un anneau lourd que l’on referma. Cet anneau très volumineux et inconfortable ne pouvait être retiré que par les maîtres : ainsi Ksokos ne pourrait jamais fait l’amour sauf si l’un des maîtres le souhaitait. Cet anneau très douloureux qui maltraitait les glands rappelait aux esclaves leur condition d’objet sexuel.
Quand on l’attacha à 4 pattes sur la table, Ksokos gémissait de douleur : mais le supplice n’était pas terminé, les 10 maîtres se levèrent et prirent le petit trou vierge de Ksokos chacun à leur tour. Ksokos, sous les coups de butoir avait mal : mal au cul car il était vierge, mal au sexe car l’anneau lui faisait mal et mal aux couilles pendues à un poids. Pourtant il ne débandait pas : la pommade le maintenait en érection forcée. Chacun à leur tour les 10 maîtres le limèrent avec force sans lui parler : juste en le pilonnant comme un chien. Tous se vidèrent dans ses fesses.
Au bout de 2 heures, tous étaient passés. Ksokos était resté attaché à la table le cul endolori et bien ouvert, avec du foutre qui n’arrêtait pas de sortir : 10 bonnes éjaculations dans son petit trou s’écoulaient sur ses jambes musclées. Ksokos avait joui 5 fois à la demande des maîtres : il avait maintenant le sexe endolori et le gland qui pendait, tiré par son anneau d’esclave de sexe…

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