Dans un centre de formation pour adultes.. - histoire érotique

Pour parfaire nos connaissances techniques et commerciales, j'avais adhéré à une période de stage dans un centre pour adultes. Nous étions une douzaine, 8 garçons et 4 filles. Nos âges allaient de 25 à 45 ans et nous provenions de toutes les régions de France. Et comme dans toute assemblée, quelques uns sympathisèrent plus avec uns qu'avec les autres. Ce qui fait que nous nous retrouvâmes à 5 dans un gîte rural, où nous avions élu domicile durant la période. Nous étions tous mariés et venant de milieux différents et de situations différentes.
Nadine et Françoise, les deux seules filles de notre mini-groupe. Nous parlâmes de cul et de nos compagnes et compagnons. Très excité par Nadine,durant la conversation, je posais ma main sur la sienne. Elle serra la mienne avec violence, comme pour me dire "il est temps que tu réagisses". Nadine était un petit bout de femme, très snob, très distinguée, très bien habillée ; chemisier blanc Nina Riici, jupe Cardin, N° 5 de Chanel... Son mari était DRH dans une grande entreprise nationale.
Ses lèvres légèrement gonfflées et recouvertes de rose à lèvre, attiraient le baiser.
Ses yeux de biche, languichants derrière une mèche blonde, montraient à quel point elle n'était pas farouche et qu'elle voulait profiter de ces moments de liberté pour s'éclater !
Nous étions assis sur des bancs et c'est elle qui fit le premier pas et qui, cachée par la table qui nous séparait de nos convives, attira ma main vers son entre-cuisses. Ma main fut mise en contact direct avec sa peau chaude et lisse. Les autres, pris par leur conversation, n'avaient pas encore deviné ce qui se passait entre nous. Ma main donc, une fois installée entre les cuisses commença à bouger et Nadine écarta les jambes au plus larges pour que je puisse atteindre sa chatte. Elle rencontra une culotte en dentelles, mais en insistant plus bas elle toucha un tissu humide. Je caressais cette chatte à cet endroit et Nadine ferma légèrement les yeux... Notre voisin d'en face dit "Eh bien Nadine, tu ne sens pas bien ?" Elle rouvrit les paupières et éclata de rire "Si, si, ça va trop bien!" et encore rire. Nos compagnons comprirent et rigolèrent tous ensemble. Mes doigts avaient contourné sa culotte et je pouvais caressais aisément les lèvres de sa chatte et le petit bouton érigé. Maintenant, nous nous cachions plus, et la caresse que je lui prodiguais s'accompagna d'un pelle à gorge profonde... Excité au plus haut point, je tirais sur l'entrejambe de sa culotte qui cèda dans un grand bruit de déchirement. Le voisin direct de Nadine pouvait aisément voir son entrejambe fouillé par ma main et entendre les petits clapotis du glissement de mes doigts dans son vagin. Puis elle se leva et dit "allez les garçons venez sur le canapé avec moi !". En arrivant sur le canapé, elle s'affala en remontant tous ses cotillons jusqu'à la ceinture libèrant totalment son sexe inondé. Arrivé le premier sur les lieux, je me précipitais à genoux et commençais à lui dévorer sa corolle juteuse : lèchant, titillant, aspirant, fourant... l'autre compagnon l'embrassait et lui caressait les seins par dessus le chemisier, puis il arracha les boutons de celui-ci et dégraffa le soutien-gorge, libèrant ses seins généreux. J'entendis que les deux autres s'amusaient entre eux et que je ne pouvais voir, vu ma situation. Tout en lèchant, j'entrepris de me déshabiller, ne voulant pas perdre le contact avec cette vulve si apétissante et dégoulinant de cyprine. L'autre lui tètait les seins, et j'entendais Nadine gémir pour chacune de nos caresse. Son bassin décrivait des cercles et ondulait, son clitoris bien raide et bien lubrifié par son jus et ma salive brillait de toute sa forme. Mon "associé" se mit debout sur le canapé et je m'aperçus qu'il était nu. Je voyais ses fesses, alors qu'il donnait à Nadine son sexe à avaler. En soulevant les yeux je pouvais voir la lèvres inférieures de Nadine glisser sur son membre épais.
Je quittais ma position, puis je la pris par les hanches et attira son bassin vers le bord du siège. A genoux, ma bite tendue aarrivait à hauteur de son sexe largemant ouvert et plongea dans cet antre merveilleux. Elle se mit à hurler de plaisir, gesticulant dans tous les sens en faisant des "Oh! Oui les garçons...!" à chaque lacher de bite. Excité de plus en plus je décrochais du wagon et en relevant ses genoux, je promenais mon gland sur sa chatte pour bien le lubrifier et le posa sur son petit oeillet à moitié dilaté. Un léger appuyé et il pénètra d'un coup... Lentement je continuais ma progression et arrivé à fond, je commençais à limer par petites cadences. Le troisième du trio lacha tout son jus dans la bouche de Nadine et je l'entendais déglutir comme une morte de faim avec des humm... hummm... Une fois les couilles vidées, il se retira me laissant seul avec ma belle, qui hurlait à chaque coup de boutoir... Je sentis la sève monter et au dernier moment, je changeai d'orifice et finis par me vider dans le fond de son vagin. M'arqueboutant, comme pour m'enfoncer au plus loin dans ce nid de bonheur, je restais corps tendu les boules nageant dans un flot de sperme et de cyprine. Je lui roulais une pelle et je sentis le goût de sa bouche et le goût du sperme de mon ami. Quel bonheur !
Nous avons varié nos compositions, jusqu'à la fin du stage... A raconter pour une prochaine fois...