Initiation bisexuelle sous les tropiques

- Par l'auteur HDS Bi-Tonio -
Récit érotique écrit par Bi-Tonio [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : Initiation bisexuelle sous les tropiques Histoire érotique Publiée sur HDS le 13-06-2008 dans la catégorie Plus on est
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Initiation bisexuelle sous les tropiques
Deuxième Partie: Plus de biroutes, plus de bien-être

Banane matinale

Le lendemain matin, contents de nous, Bandaï et moi reprenons notre travail de masseurs au spa de l’unique hôtel de l’île, un cinq étoiles dont les 12 pavillons luxueux sur pilotis sont disposés de part et d’autre d’un ponton qui s’avance dans la mer. A chaque suite est accolé un petit spa privé pour deux personnes pourvu d’un jacuzzi et où les clients peuvent se faire masser chez eux s’ils le souhaitent.
Dans la cour du centre de soins entourée de bananiers, nous sommes paresseusement vautrés sur la banquette d’accueil. Nos clients de ce matin ont commandé un massage en couple à leur bungalow dans une demi-heure. Nous tuons le temps en repassant le film de la nuit passée avec force commentaires, quand Bandaï me susurre: «on a raté une étape hier soir, tu es toujours vierge du cul, mon salaud, il faudrait qu’on corrige ça rapido». Je suis assez d’accord. C’est une expérience qui manque à mon initiation. Nous décidons de squatter une des salles de massage et mon complice cueille au passage une banane qu’il a choisie toute noire, manifestement trop mûre, et dont je devine facilement à quel usage il la destine.
J’envoie valser mon débardeur lâche et mon short que je porte sans slip, sous le regard intéressé du vicieux métèque qui se fout lui aussi rapidement à poil, exhibant une belle érection de bronze. Je me jette sur la table de massage, allongé sur le dos, les fesses au bord et les genoux relevés que mes deux mains tiennent écartés. Bandaï me fais face, les couilles posées sur le bord de la table, mes mollets appuyés sur ses épaules. Il se saisit de ma verge et la fais durcir en la manipulant entre ses doigts tentaculaires.
Dans son autre main, il tient la vieille banane dont il décalotte d’un coup de dents l’extrémité opposée à la tige, faisant apparaître un peu de chair brune et molle. Il la trempe d’huile de massage, et l’enfonce avec détermination dans mon cul offert, mes fesses largement écartées. Je sens coulisser la peau huileuse de la banane trop mûre le long des parois de mon anus qui se dilate sur son passage. Tout à la jouissance que me procure ce corps étranger qui l’envahit complètement, je bande à donf. Bandaï ne résiste pas à me sucer goulûment le nœud qui suinte, ce qui me fais contracter les sphincters dont les anneaux écrasent la banane qui répand sa chair pulpeuse dans mon derche affolé.
Il retire comme un préservatif usagé la pelure vidée de son contenu, présente sa putain de biroute hypertrophiée à mon trou de balle débordant de purée de banane, et m’encule avec détermination en faisant refouler la pulpe de fruit autant vers le fond qu’à l’extérieur à chaque poussée de son énorme gland qui force son chemin. Je sens bien toutes les contractions de sa grosse bite de pédé qui a investi mon cul comme on enfile un gant de soie et le ramone sur toute sa profondeur. D’une main impatiente, il a tiré ma trique vers lui à la verticale et me branle furieusement pendant que de l’autre il me lacère les couilles de ses ongles. J’ai empoigné les siennes et les étire à les décrocher. Nous poussons tous les deux des beuglements saccadés jusqu’à ce qu’avec un râle inarticulé, il me tapisse la prostate de rasades de son foutre brûlant en un orgasme sauvage. Tout mon corps se raidit autour de son phallus convulsé, et je lui éjacule à mon tour une puissante giclée de semence en plein dans la gueule. Lorsque son manche est redevenu moins sensible, il le retire de mon trou et le laisse dégorger sur la table, pendant que le mien finit de suppurer sur mon ventre. Ce gros porc passe un doigt le long de ma raie pour y récolter un peu de la purée de banane mêlée de foutre qui y a coulé et dont il se pourlèche.
Nous passons à la douche en échangeant nos impressions. De mon point de vue, l’essai est plus que concluant, même si je n’ai pas l’intention de faire de mon fion une outre à foutre. Quant à lui, de me branler en même temps qu’il me défonçait l’a plus fait jouir que d’enculer Moana en lui caressant seulement les seins. Baiser des mecs lui plaît bien, même si je le soupçonne de préférer se faire douloureusement bourrer le cul.

Massages pornos

Nous enfilons nos habits de travail, un short cargo et un T-shirt blanc moulant qui dessine bien nos pectoraux, et sur lequel est brodé notre slogan: ma mission: votre bien-être, juste au dessous du bout du sein qui affleure le tissu. Il est temps d’aller prodiguer nos talents et nous traînons nos pieds nus jusqu’au pavillon 9, presque au bout du ponton. Sven Nivquist, le client qui nous ouvre en robe de bain, est un beau grand Suédois d’une cinquantaine d’année, bien baraqué, les cheveux grisonnants, le regard bleu métallique éclairant un visage buriné par le soleil. Nous apprenons que la séance de massage est un cadeau que lui et sa femme Pernilla s’offrent pour leur anniversaire de mariage. Il ajoute en confidence qu’ils attendent de nous plus qu’un simple massage. Elle est lassée de ne baiser qu’avec lui depuis quinze ans et il nous a choisis pour y mettre un peu de piment, après avoir surpris Vulgine, la femme de chambre, vanter au téléphone nos mérites lors de notre initiation de la veille. Il se montre très clair sur ce qu’il attend de nous et la liasse de billets qu’il fait apparaître nous met d’autant plus d’accord que nous l’aurions fait rien que pour le plaisir. Nous traversons la suite, et le client nous présente au passage sa femme. Elle a beau avoir dans les quarante ans, c’est une blonde super bien foutue, avec un visage de cinéma, une taille mannequin et des formes que son kimono entrouvert peine à contenir. La trique que je me paye déjà prouve bien qu’elle aurait pu avoir mes services gratos. Le regard appuyé qu’elle jette à nos muscles saillants laisse penser que notre physique ne la laissent pas indifférente non plus.
Le mini-spa en plein air prolonge le bungalow, sur la même plate-forme en teck huilé, grand ouvert sur le large mais protégé des voisins par deux palissades de bambous sur les côtés. L’espace en est occupé par le jacuzzi, une paire de lits de repos, deux confortables tables de massage placées côte à côte et une étagère ou sont disposés les produits, les huiles de massage et les linges éponges. Pendant que nous préparons nos huiles, Sven et Pernilla se dénudent et s’allongent côte à côte chacun sur une des tables, le visage enfoncé dans l’orifice ovale pratiqué dans la partie supérieure, avec sous les yeux une vasque remplie de pétales de rose que nous avons disposé au sol, juste en dessous des deux trous.
Nous travaillons depuis le côté droit des tables. Je suis à l’extérieur pour masser la femme blonde, et Bandaï me tourne le dos, debout entre les deux tables pour masser le mari. Nous les enduisons d’huile et commençons par leur masser longuement la nuque, les bras et le dos. Puis je descends aux fesses fermes et charnues de la belle suédoise ou je m’attarde, avant de m’attaquer aux cuisses et aux mollets bronzés.
A l’aveugle, Pernilla laisse un de ses bras chercher le contact avec ma cuisse, glisse une main baladeuse dans la jambe de mon short et s’empare de mon paquet imberbe qu’elle soupèse en experte avant d’agripper mon gros salami qu’elle tâte et dont elle approuve le diamètre et la rigidité d’un grognement satisfait. Je vois que, son autre main est partie à l’assaut du cargo de Bandaï, toujours à tâtons, et s’y infiltre par l’arrière, à la recherche de sa trompe bien couillue qu’elle fait sortir du short par le canon retroussé et qu’elle met doucement en branle.
Trop excités pour nous concentrer sur notre travail, nous interrompons nos massages et Sven, flairant que quelque chose d’intéressant se passe, se relève à demi et se tourne vers nous, appuyé sur un coude. Une toison de poils gris cascade de son torse et mousse autour de ses couilles et de son pénis, de belle taille pour un blanc. Un anneau en or orné d’une boule incrustée d’un diamant pend en piercing de son sac, et un autre est accroché à la base de son gland. Bandaï le saisit entre ses dents et se met à lui pomper le nœud avec un bruit de succion mouillée, jouant avec ses couilles, un doigt passé dans l’anneau qui les décorent et qu’il tire gentiment. Il a glissé deux doigts de son autre main entre les lèvres de Sven qui les lui sucent et l’encourage en caressant ses longs cheveux, tandis que de l’autre main il le libère de son polo pour explorer sa poitrine lisse et musclée.
Je bande comme un bouc en rut, manipulé et branlé délicatement par la main experte de Pernilla. Ma main huileuse explore son entrejambes complètement épilé, et en réponse, elle lève la croupe et écarte largement les cuisses, dégageant à ma vue son trou du cul béant et les lèvres distendues de son vagin qu’elles drapent. J’insinue mon index entre les pans de ces tentures rose foncé pour explorer la tiédeur de son con moite. Je lâche un filet de bave sur la fleur de son anus dans lequel j’enfonce mon pouce, puis je resserre mes doigts en tenailles tout en la fourrageant en aller-venues humides.
J’envoie balader mon t-shirt par-dessus ma tête, guide la main de Pernilla à mes pectoraux qu’elle découvre des doigts et déboutonne mon froc que j’expédie du pied vers l’étagère. Je contourne le haut de la table et viens appuyer mon nombril contre le bord, le bassin versé vers l’avant. La blonde, le visage toujours enfoui dans l’orifice de la table, a maintenant mon énorme phallus de négro dardé en gros plan sous les yeux. Elle me saisi les burnes d’une main, happe le gland de mon magnum d’une bouche avide, y ventouse ses lèvres et me le suce avec application. Mes doigts travaillent toujours activement son trognon et elle en frétille du cul. Elle branle toujours activement Bandaï mais le tire par la bite vers le haut de la table, à coté de moi. Elle lui lâche la queue pour le libérer de son short qui tombe sur ses chevilles, avant de la reprendre en main pour l’attirer à sa portée et à sa vue. La salope se l’enfourner dans le bouche pourtant déjà bien remplie par la mienne et qui doit être complètement distendue. Le contact de cette biroute chaude et vivante collée contre la mienne décuple mes sensations, d’autant plus que Pernilla nous caresse les boules qui s’entrechoquent et se mélangent sous ses doigts. Je ne résiste pas à palper les fesses de Bandaï, qui est penché en avant, toujours affairé à sucer Sven et lui triturer les roupettes, et mon index trouve tout naturellement le chemin de sa fente et de son trou de balle dans lequel je le visse. Nous savourons tous les quatre ce moment de volupté intense en lâchant des soupirs et des halètements d’aise.

Bouches-trous besogneux

C’est Pernilla qui rompt le charme en premier. Elle laisse échapper nos verges de sa bouche, non sans les lécher encore une fois sur toute la longueur, et passe sur l’autre table rejoindre son mari qu’elle renverse sur le dos et enfourche. Elle s’agenouille au dessus de lui et s’empale du vagin sur son engin turgescent, bien lubrifié par la salive de Bandaï. Sven s’empare de ses mamelles aux bouts dilatés et les sucent goulûment, tout en imprimant à son bassin un lent va et vient lascif.
Bandaï sait ce qu’on attend de lui. Il s’enduit le cigare d’huile de massage, monte sur la table de massage derrière Prenillla, les pieds au niveau de ses genoux et s’accroupit pour enfoncer son énorme boudin brun dans son cul largement ouvert. Je ne veux pas être en reste, et voyant qu’il reste un peu de place, je viens aussi me joindre à la fête. Je m’agenouille derrière les fesses de Bandaï, à califourchon au dessus des cuisses de Sven, et conduit mon mandrin d’ébène au con de Pernilla déjà obstrué par le long poireau blanc de son mari que je comprime pour faire ma place dans la chatte écartelée. Pernilla pousse un cri affolé. Trois queues de beau diamètre qui la besognent, coulissant en cadence dans son cul et sa chatte, c’est plus qu’elle ne pouvait demander. Elle est en nage, et s’agite en tous sens, les seins pelotés par son mari qui cherche sa bouche.
En plus de la biroute du suédois qui pulse contre la mienne, je sens celle du métis à travers la fine membrane qui sépare le vagin de l’anus. Devant moi, le dos et les fesses en mouvement de Bandaï sont perlés de sueur, qui lui coule le long de la raie et gouttent de ses couilles sur mon pubis. Mon excitation est à son comble, mais s’est Sven qui jouit le premier, tout son corps raidit, lâchant une rageuse décharge de purée qui lubrifie le fourreau dont nous partageons l’étroitesse et refoule sur nos burnes qu’elle englue. A son tour, Pernilla se lâche, et le flux de son jus est si intense que je crois tout d’abord qu’elle me pisse dessus. Bandaï atteint lui aussi le point de non-retour et je sens qu’il envoie sa sauce jusqu’au fonds du cul de la femelle en secousses compulsives, et s’écroule, plaqué à son dos. Je me retiens encore, au paroxysme de l’excitation. Je retire ma bite enduite de foutre et de jus visqueux, me relève un peu et force le trou de balle mouillé de sueur de Bandaï en lui écartant les fesses à deux mains. Il approuve d’un oui plaintif. J’ai à peine poussé trois fois mon gland jusqu’au fonds de son cul étroit que la sève se rue de mes glandes et que j’éjacule en un festival de sperme épais.
Lorsque j’ai laissé ressortir ma queue de son cul inondé, Bandaï se dégage de celui de Pernilla et passe sur l’autre table, un filet de semence d’un blanc sale coulant encore le long de ses cuisses. Sven est toujours couché sous sa femme. Son sexe débandé à glissé hors du vagin ou il avait explosé et repose sur sa cuisse dans une mare de spermes mélangés. J’en récolte un peu sur mes doigts et les enfilent dans la fente de la suédoise à la recherche de son clito que je badigeonne de foutre et branle en un doux mouvement circulaire. Elle relève la croupe sous mes caresses, mettant son cul gorgé de foutre à portée de ma bouche et dans lequel je darde ma langue, avant de la conduire à sa touffe que je viens lui bouffer à grands coups gourmands. Tout son corps tendu comme une corde de violon, elle est complètement concentrée sur le travail de mon doigt et de ma langue, son bouton de rose mis en vibrations au rythme de mes caresses. Elle ne résiste pas longtemps à ce régime, serre les fesses et les cuisses en une crispation ultime et jouit violemment en poussant des petits cris d’extase, larguant une onde de choc qui m’inonde la bouche et me coule le long du menton.
Bandaï est à la recherche de son polo sous les tables. Il s’est essuyé le cul et les parties avec une serviette éponge et a déjà remballé son matériel dans son short. J’abandonne le couple enlacé affalé sur la table, et attrape à mon tour un linge, éponge mon service trois pièces maculé de nos sécrétions et le range bien sagement dans mon cargo. Nous sommes prêts à nous éclipser. Je marmonne un truc à la con: «bon, ben voilà, on va vous laisser, bonne journée», et nous nous dirigeons vers le ponton, mais Pernilla nous rappelle d’une voix alanguie: «Merci les gars, assez gratiné comme anniversaire, mais il faudra que vous reveniez pour terminer le massage que vous avez bâclé. Alors ramenez vos couilles demain matin à la même heure; et soyez d’attaque, il se pourrait que nous ayons encore envie de nous servir de vos belles grosses biroutes». Nous n’avons pas de peine à promettre d’être au rendez-vous et en forme. Nous regagnons notre base au centre de soins. Le reste de la journée risque d’être moins bandant: je dois masser une grosse allemande obèse puis un vieux crouton décharné, mais je me réjoui déjà de retrouver Vugine et Moana ce soir pour leur détailler notre matinée.
Voilà le récit que je voulais te faire partager. S’il t’a bien fait saliver ou peut-être même souiller ton slip, tu peux m’en faire part sur mon e-mail, black-thebo@windowslive.com. Si tu veux, je te donnerai les coordonnées de mon île. Nous sommes toujours prêts à accueillir un bon coup, alors viens te vautrer dans le stupre avec nous, tu ne seras pas déçu, et nous, on est toujours amateurs de chair fraîche. Alors à bientôt peut-être.

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