Jeanne fait du baby sitting mais ! ! ! ! ! ! ! suite et fin
Récit érotique écrit par Norbert [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 23-06-2008 dans la catégorie Plus on est
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Jeanne fait du baby sitting mais ! ! ! ! ! ! ! suite et fin
Jeanne qui est entreprise par le couple de sexagénaires, dont le mari lui empli la bouche et la femme lui dévore voracement le con lui enfonçant le pouce dans l'anus ou deux ou trois doigts dans la chatte.
Devant le sexe monstrueux de Pierre, Jeanne a du mal à respirer, et de plus elle est suffoquée par les manipulations de Lila sur son sexe et son anus. A force de léchouilles et d'efforts elle parvient à emboucher l'énorme gland violacé qui s'offre à sa gourmandise. Elle arrive à peine à enfoncer le tiers du sexe dans sa bouche alors qu'elle est la reine des suceuses du lycée pour avoir le don d'avaler les bites jusqu'aux couilles
Mais cette fois malgré toute sa bonne volonté elle ne peut s'empêcher d'avoir des hauts le coeur lorsque l'énorme tige va trop loin dans son gosier.
Lila, qui a cessé un instant de la gouiner, lui dit que de toutes façon, même les pires salopes n'ont jamais réussi à s'enfiler la bite d'âne de son homme. Qu'il n'a jamais pu l'enculer, et que pour se faire ils font appel à un cousin à la superbe bite mais beaucoup plus absorbable.
Jeanne qui a stoppé un instant de sucer le monstrueux chibre dit qu'elle n'est pas étonnée, car si elle est encore jeune elle a une bonne expérience et que des queues comme celle-là elle n'imaginait pas que cela puisse exister.
Lila lui dit alors qu'ils ont trouvé une solution, pour satisfaire Pierre sans pénétration, c'est tout d'abord de longues caresses de la langue, sur la tige les couilles et le gland, puis une énergique masturbation à deux ou quatre mains ce qui sans le combler entièrement lui procure le soulagement que son sexe éléphantesque exige et réclame chaque jour.
C'est aussi pourquoi Lila ne rechigne pas à demander le renfort d'une ou deux petites salopes comme Jeanne, qui bien sur sera récompensée à la hauteur de sa prestation, sans que cela puisse être interprété comme de la prostitution, puisque aucun problème d'argent n'avait été abordé avant qu'elle ne commence à entreprendre la queue de Pierre.
Jeanne fut donc invitée à quitter ses derniers vêtements, puis debout les jambes écartées mais pas trop, Pierre vint se placer derrière elle, passa sa bite entre ses cuisses pendant que Lila le suçait et le branlait par devant.
Cette situation était divine aux dires de Jeanne qui coulait copieusement sur la bite qu'elle chevauchait, alors que Pierre en des va et viens rythmés par le branle de Lila limait le con de la jeune salope en chaleur.
De temps à autres Pierre claquait l'une ou l'autre fesse de Jeanne se qui lui faisait oublier qu'elle était en train de partouzer avec deux vieux vicieux dont le mari était monté comme un âne.
Après un bon moment de ce manège, Pierre demanda à Jeanne de se mettre à genoux, il plaça alors sa mentule devant le visage d'ange de la jeune catin et lui fit prendre une véritable douche de sperme, épais, gluant, laiteux, que Lila se précipita
De récupérer de sa bouche goulue et de laper comme une chienne, avant de partager avec Jeanne en lui roulant une pelle magistrale.
Lorsque chacun eut repris ses esprits, Jeanne fut récompensée de fort belle manière et dit avant de partir qu'elle était prête à "garder" de nouveau le bébé de Pierre même si il rendait son lait après la tété.
Devant le sexe monstrueux de Pierre, Jeanne a du mal à respirer, et de plus elle est suffoquée par les manipulations de Lila sur son sexe et son anus. A force de léchouilles et d'efforts elle parvient à emboucher l'énorme gland violacé qui s'offre à sa gourmandise. Elle arrive à peine à enfoncer le tiers du sexe dans sa bouche alors qu'elle est la reine des suceuses du lycée pour avoir le don d'avaler les bites jusqu'aux couilles
Mais cette fois malgré toute sa bonne volonté elle ne peut s'empêcher d'avoir des hauts le coeur lorsque l'énorme tige va trop loin dans son gosier.
Lila, qui a cessé un instant de la gouiner, lui dit que de toutes façon, même les pires salopes n'ont jamais réussi à s'enfiler la bite d'âne de son homme. Qu'il n'a jamais pu l'enculer, et que pour se faire ils font appel à un cousin à la superbe bite mais beaucoup plus absorbable.
Jeanne qui a stoppé un instant de sucer le monstrueux chibre dit qu'elle n'est pas étonnée, car si elle est encore jeune elle a une bonne expérience et que des queues comme celle-là elle n'imaginait pas que cela puisse exister.
Lila lui dit alors qu'ils ont trouvé une solution, pour satisfaire Pierre sans pénétration, c'est tout d'abord de longues caresses de la langue, sur la tige les couilles et le gland, puis une énergique masturbation à deux ou quatre mains ce qui sans le combler entièrement lui procure le soulagement que son sexe éléphantesque exige et réclame chaque jour.
C'est aussi pourquoi Lila ne rechigne pas à demander le renfort d'une ou deux petites salopes comme Jeanne, qui bien sur sera récompensée à la hauteur de sa prestation, sans que cela puisse être interprété comme de la prostitution, puisque aucun problème d'argent n'avait été abordé avant qu'elle ne commence à entreprendre la queue de Pierre.
Jeanne fut donc invitée à quitter ses derniers vêtements, puis debout les jambes écartées mais pas trop, Pierre vint se placer derrière elle, passa sa bite entre ses cuisses pendant que Lila le suçait et le branlait par devant.
Cette situation était divine aux dires de Jeanne qui coulait copieusement sur la bite qu'elle chevauchait, alors que Pierre en des va et viens rythmés par le branle de Lila limait le con de la jeune salope en chaleur.
De temps à autres Pierre claquait l'une ou l'autre fesse de Jeanne se qui lui faisait oublier qu'elle était en train de partouzer avec deux vieux vicieux dont le mari était monté comme un âne.
Après un bon moment de ce manège, Pierre demanda à Jeanne de se mettre à genoux, il plaça alors sa mentule devant le visage d'ange de la jeune catin et lui fit prendre une véritable douche de sperme, épais, gluant, laiteux, que Lila se précipita
De récupérer de sa bouche goulue et de laper comme une chienne, avant de partager avec Jeanne en lui roulant une pelle magistrale.
Lorsque chacun eut repris ses esprits, Jeanne fut récompensée de fort belle manière et dit avant de partir qu'elle était prête à "garder" de nouveau le bébé de Pierre même si il rendait son lait après la tété.
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