Marie offerte à son insu... mais pas déçue.

- Par l'auteur HDS Frenchcokin -
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Récit libertin : Marie offerte à son insu... mais pas déçue. Histoire érotique Publiée sur HDS le 02-07-2008 dans la catégorie Plus on est
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Marie offerte à son insu... mais pas déçue.
<p>Soirée doublement anniversaire à l'Abys en juin 2005.

Pour cette sortie, proche de son anniversaire, j'avais décidé de forcer le destin pour offrir à ma femme une soirée très chaude, et donc, un amant qui soit à son goût.
Dans la journée, j'avais contacté quelques admirateurs qui fréquentent notre site Internet ou avaient répondu à notre annonce sur la toile. Après quelques échanges et une sélection la plus rigoureuse possible, j'ai pris rendez-vous avec Eric, un beau black paraissant élégant et cultivé. Outre les modalités de retrouvaille, je lui demandais de ne rien dire de nos échanges à Marie.

Pour fêter son anniversaire, j'ai d'abord invité Marie dans un excellent restaurant de fruits de mer. Nous y avons merveilleusement dîné, beaucoup discuté et passé un moment très agréable et très complice.

Tranquillement nous avons rejoint l'Abys. A notre arrivée, vers minuit, nous avons découvert que c'était leur soirée anniversaire. Il y avait du monde, autant de couples que d'hommes seuls, beaucoup semblaient être des amis des patrons. Nous nous sommes installés dans un coin du club pour boire un verre et continué à papoter. Mon complice, lui, n'était pas encore présent.

La piste de danse était très fréquentée et l'ambiance était festive. Cependant, plus amicale que sensuelle, l'atmosphère était un peu timorée et rien ne se passait réellement. Les salons coquins restaient déserts.

Eric est arrivé vers deux heures. Je l'ai reconnu dès son arrivée, lui également. Nos regards se sont croisés et nous avons discrètement échangé un clin d'œil. Ensuite, il a fait comme si de rien était et s'est installé au bar pas loin de nous.
Je continuais à discuter avec ma femme tout en jetant quelques coups d'œil vers Eric qui discutait avec son voisin.
Après un moment, je demande à Marie ce qu'elle souhaite faire. Elle reste évasive. Elle aussi ressent l'ambiance plus festive que libertine. Si le moment ne semble pas le plus propice, je prends l'heure pour prétexte et lui propose d'aller tout de même faire un tour dans les petits salons que nous savons toujours inoccupés. Elle acquiesce silencieusement et me prend par la main.

Je constate qu'Eric a compris nos intentions. Au moment où nous disparaissons dans le petit couloir qui mène à notre coin préféré, je le vois qui s'apprête à nous suivre.

Nous sommes debout dans un recoin du petit salon, l'un contre l'autre, en train de nous embrasser gentiment quand Eric apparaît. Après avoir croisé mon regard, il aborde Marie : "Je voulais vous inviter à danser", lui dit-il. Etonnée par cette approche, Marie me regarde subrepticement, un petit sourire de surprise au coin des lèvres, puis déclare gentiment à Eric qu'elle n'a pas envie de danser. "Qu'est-ce qui vous ferait plaisir alors ?", continue t'il. Marie est désorientée par la question. Elle me regarde à nouveau mais je reste immobile et silencieux sans chercher à l'aider. Toujours souriante, à la fois amusée et interloquée, elle plante son regard dans les yeux d'Eric sans rien dire. Il s'approche plus près de nous, tend la main et la pose doucement sur la hanche de ma femme. Elle se laisse faire, sans aucune réaction, l'encourageant implicitement à poursuivre son approche. Il s'approche plus près encore et s'empare d'elle. Il l'embrasse dans le cou et parcourt tout son corps de ses mains, insistant sur les courbes de ses seins et de ses fesses. Elle se laisse investir.
Elle se laisse doucement couler entre nous deux pour s'asseoir sur la grande banquette. Nous nous asseyons de chaque coté et nous en profitons pour baisser son caraco et découvrir sa merveilleuse poitrine. Eric happe ses jolis seins bien bronzés, il les caresse et entreprend de sucer leurs pointes brunes et bien saillantes. Rapidement, Marie palpe la braguette de notre compagnon avec avidité. Eric glisse sa main sous sa jupe en suivant la douceur de ses cuisses qu'elle écarte spontanément pour l'encourager. Nous relevons sa jupe, dévoilant son ventre doré orné d'un petit string noir. Eric caresse l'intérieur de ses cuisses, puis, il écarte la fine étoffe. Il découvre avec émotion sa vulve bien épilée, si douce, juste surmontée d'un petit triangle d'une fine toison délicieuse. Il glisse ses doigts noirs et bien soignés entre les lèvres délicates du sexe de ma jolie femme. Roses, déjà gonflées et luisantes de liqueur d'amour, elles s'épanouissent pour lui. Il glisse ses doigts entre elles puis les ressort doucement. Il caresse ma femme délicatement. J'adore la voir se faire toucher ainsi et se laisser aller aux caresses qui l'investissent profondément.
Elle, tout en savourant ses caresses, a défait la fermeture de son pantalon et plongé sa main dedans, cherchant à extirper son sexe déjà raide. Voyant son impatience à le découvrir, il se déshabille complètement et dévoile un corps musclé et une bite bien noire, bandée et bien droite, grosse et longue avec un gros gland en forme d'abricot. Instantanément, ne pouvant résister à une telle gourmandise, Marie se penche et embouche ce phallus noir bien dressé. Elle le suce et le lèche avec gourmandise. Elle le tient fermement de sa main droite et monte et descend la tête pour faire glisser ce gros membre au fond de sa gorge. Eric tient sa tête pour rythmer ses mouvements et parfois la forcer à en engloutir davantage. Elle se régale de ce gros sucre d'orge. "Suce-moi Marie, suce-moi bien", lui souffle Eric qui me dit aussi, plusieurs fois, qu'elle le suce merveilleusement.

Après un moment, il l'écarte, la laisse se rallonger et va, à son tour plonger sa tête entre ses cuisses. Il lui aspire la chatte. Il la lèche gloutonnement et plonge sa langue profondément dedans. La bouche plaquée fortement contre la caverne de ma femme, il la baise à coups de langue. Parfois, il aspire entre ses lèvres brunes les petites lèvres rose et gonflées de plaisir de Marie, ou son clitoris lui aussi tout enflé. Il les allonge le plus possible en les aspirant énergiquement. Il insiste et les aspire à la limite de leur élasticité, puis replonge sa langue bien dardée entre les chairs toutes boursouflées par la succion et dégoulinantes de salive et de cyprine. Marie fond de plaisir. Elle lui tient la tête à deux mains pour qu'il continue à lui bouffer la chatte. Lui se régale à la faire jouir plusieurs fois.

La langue fatiguée, il se réinstalle près d'elle, sur le dos, puis lui dit : "Suce-moi encore Marie !". Comblée de ce qu'il vient de lui faire, elle obtempère sans résister. Elle attrape sa bite et la suce soigneusement.

Après tous ces préliminaires, l'envie de Marie est à son maximum. "Prends-moi maintenant", lui dit-elle. Il vient se placer au-dessus d'elle, en me demandant si j'ai une capote. Je lui donne et il l'enfile sous le regard gourmand de ma femme qui s'est réinstallée sur le dos. Ensuite, il lui relève et écarte les jambes, puis, plonge sa grosse bite directement tout au fond de son vagin. Instantanément elle décolle. Encouragé par ses soupirs, il commence à la baiser à grands coups de reins. Il sort doucement puis replonge vivement. En même temps, ils s'embrassent à pleine bouche. Parfois couché sur elle, parfois en appui sur les bras ou les avant bras, il lui assène de grands coups de bite au plus profond de son intimité. Marie se lâche complètement. Elle souffle, crie, suffoque. Moi, je caresse ses seins, son ventre, son visage. Je lui tiens la tête et l'embrasse à pleine bouche. Elle n'arrête pas de me répéter que c'est bon, qu'il la baise bien, qu'elle adore ça.
Pour la provoquer, je lui demande ce qu'il lui fait. Puis, je lui dis qu'il m'avait promis de bien la baiser. Elle semble ne pas comprendre vraiment. Lui chuchotant à l'oreille, je lui raconte comment, avec Eric, nous avons prémédité la rencontre. Je lui confie que je suis content qu'il tienne parole et qu'il la bourre bien. Dans un état second, elle m'écoute en me répétant, entre deux râles ou soupirs, que c'est vraiment bon.
Il la fait jouir plusieurs fois, mais ses réactions sont si intenses que j'ai du mal à reconnaître ses orgasmes de ses sensations de plaisir qui vont crescendo.
Sans se lâcher lui-même, il s'interrompt, après un orgasme de Marie, pour souffler un peu. Il est jovial, satisfait de lui, il l'embrasse. Elle lui rend ses sourires et baisers. Elle m'embrasse aussi et nous caresse doucement. Nous sommes presque hilares en échangeant nos perceptions réciproques.

"Suce-moi !", lance t'il pour marquer la fin de l'entracte. Une fois encore, elle embouche sa queue sans résistance et le suce quelques instants.
Ensuite, il la fait s'installer à quatre pattes, en levrette. Pendant que je me place devant elle pour qu'elle me suce à mon tour, il se place derrière et l'enfile sans sommation. Laissant échapper ma queue de sa bouche, ma femme se cabre sous l'assaut. Instantanément, elle reprend ses grognements rauques, les traits crispés de son visage dénoncent son plaisir. Lui, il la tient fermement par les hanches et la défonce méticuleusement à grands coups de reins. Dans le miroir, je vois sa longue queue épaisse sortir trempée de mouille, puis replongée brutalement et presque totalement, avant de buter brusquement au fond de la chatte de mon épouse. A chaque coup de bite, ma femme hurle son plaisir. Là encore, je ne distingue plus ses émotions de ses orgasmes. C'est comme si elle jouissait en continu. Elle est ailleurs, sur une autre planète, toute accaparée par ce qu'elle subit et le flot d'émotions que cela lui procure.
Après de longues minutes, essoufflé, il s'installe sur le dos et l'oblige, sans écouter ses réticences, à venir s'asseoir sur lui. Elle obtempère une fois encore. Elle se laisse diriger, l'enjambe et vient placer sa vulve au-dessus de sa verge dressée. Enfin, elle se laisse descendre doucement. Je la vois s'empaler sur ce pieu immense. Descendue au maximum de ce que sa chatte peut engloutir, elle commence à onduler doucement du bassin pour baiser Eric à son tour. Lui, tient ses seins ou ses hanches et se laisse faire. Elle bouge si bien qu'il ne résiste pas longtemps et s'abandonne rapidement. Il jouit profondément et se libère dans la chatte de ma chérie qui succombe au plaisir une fois de plus.
Marie est totalement épuisée. Elle m'embrasse tendrement puis nous nous rhabillons.

Au bar, pendant qu'on discute en buvant un verre, Eric nous rejoint et demande à Marie s'il peut s'installer près d'elle sur son tabouret. Elle lui montre un coin, du coup, il s'assoit à califourchon derrière elle, la plaquant contre lui. Tout en la complimentant gentiment, il la pelote doucement par-dessus son caraco et sa jupe. Marie me regarde amusée et se laisse happer. Rapidement, il glisse ses mains sous les étoffes légères. Sa main gauche s'insinue sous son caraco et remonte vers les seins de ma femme. Sa main droite passe sous sa jupe et caresse ses cuisses. D'abord Marie me lance un regard inquiet, elle semble gênée mais reste passive, presque soumise. Lentement, elle semble se détendre et s'abandonner. A ses réactions, à son regard qui se trouble légèrement, je comprends qu'Eric a à nouveau investi sa chatte et la branle imperceptiblement tout en continuant à discuter comme si de rien n'était.

C'est à ce moment qu'une musique antillaise commence. Sans hésiter, Eric se lève et demande à Marie de venir danser. Elle accepte spontanément et je les regarde se diriger vers la piste de danse. Je finis mon verre et fume une cigarette en attendant. Un client vient discuter un peu avec moi. Sans vraiment prêter attention à ce qu'il me raconte, je regarde vers la piste de danse où je vois ma femme serrée dans les bras de son amant du soir. Ils dansent plusieurs danses, lascivement, collés-sérrés et ondulant exagérément leurs hanches comme pour mieux se frotter l'un à l'autre.

De retour au bar, pour me rejoindre, ils sont souriants de complicité. Je devine qu'ils sont très excités. Arrivant devant moi, ils me regardent tous deux, droit dans les yeux, comme pour jauger ma réaction. Eric prend délicatement la main de ma femme dans la sienne et la tire doucement en direction des coins câlins. Sans lâcher mon regard, un doux sourire entendu aux coins des lèvres, elle se laisse doucement emporter. Je les suis.

Aussitôt arrivés dans notre petit salon, Marie s'assoit face à nous et palpe nos braguettes. Nous sortons nos queues et elle nous branle un peu tous les deux, une bite dans chaque main. Elle nous suce à tour de rôle produisant un effet rapide sur Eric à en croire le volume impressionnant de son membre ébène. Son gland remplit totalement la bouche de ma femme dont les lèvres roses ont du mal à encercler ce bâton de chair noire.
Me délaissant, elle entreprend de se glisser sur la banquette pour s'étendre confortablement. Ce faisant elle entraîne Eric à ses cotés. Il s'allonge sur le dos et Marie s'installe confortablement et le suce soigneusement. Elle me tourne le dos, mais je vois son reflet dans la glace qui couvre tout le mur contre la banquette. Elle le déguste. De sa main droite, elle tient délicatement les couilles bien noires et bien rondes de son amant. Ses doigts blancs et fins semblent charmés par ce gros paquet. De sa main gauche, elle tient fermement la longue et épaisse hampe noire. Doucement elle le branle. De sa bouche elle engloutit le bout de sa bite. Elle le lèche goulûment puis s'empale dessus, le plus loin possible. Parfois, Eric lui prend la tête pour la forcer à en gober davantage ou pour qu'elle le pompe plus rapidement. Elle semble apprécier énormément et c'est presque à regret qu'elle se laisse guider quand Eric lui dit qu'il veut la baiser.
Pendant qu'il se relève et enfile un préservatif, elle prend sa place, se met sur le dos et relève ses jambes en les écartant pour lui offrir sa chatte.
Il plonge en elle directement. Je vois cette grosse tige s'enfoncer sans ménagement dans l'abricot juteux de ma femme. Quand il ressort des lèvres distendues de la chatte de Marie, sa queue est luisante du jus abondant qu'elle produit. Puis il replonge fermement. Pour le forcer à venir plus profond, Marie attrape énergiquement ses fesses et le tire fermement en elle. Elle halète sous les assauts réguliers ne cessant de répéter qu'elle aime comme il la baise et que sa queue est très bonne. Encouragé, il la baise de plus en plus farouchement, faisant trembler tout son corps à chaque offensive et lui arrachant de longs cris de contentement. Elle en est essoufflée, cependant, elle lui réclame de continuer de plus belle. Il se donne à fond et la bourre rudement. Elle jouit à plusieurs reprises. Après de longues minutes à lui assener de grands coups de boutoir qui la font complètement chavirer, il se retire et lui demande de se mettre sur le ventre. Elle hésite, aussi il la force à se retourner. Elle se laisse diriger, se retourne et s'apprête à se placer en levrette, mais il l'oblige à s'allonger totalement sur le ventre, les jambes resserrées.
Il s'allonge de tout son long sur elle, la bite à la main pour la guider vers sa cible. Je ne vois rien, mais à la réaction instantanée de Marie je sais qu'il la pénétrée. Il commence par de lentes ondulations profondes puis accélère progressivement. Marie se pâme presque immédiatement. Elle souffle, halète, gémit, crie. Je la vois jouir mais son état est tel que je ne sais plus quand elle commence à jouir et quand elle finit. Il la pilonne durement et avec frénésie. Elle semble perdre toute notion du réel, elle s'envole portée par tant d'extase.
A un moment je lui demande :
- Qu'est ce qu'il te fait ?
- Oh, il me baise bien.
- Il te défonce ?
- Oui…
- Il te défonce bien la chatte ?
- Oui…
- Tu aimes ça ?
- Oh oui…
Eric lui demande :
- Tu veux que je continue ?
- Oui…
- Dis le !
- Continue…
- Non, ordonne t'il, demande-moi de te défoncer la chatte !
- Oh, défonce-moi…
- Quoi ?
- Oh, défonces moi la chatte…
- Tu es une salope ?
- Oui…
- Dis le !
- Oh oui, je suis une salope…
Dans cette position elle jouit à répétition. Son visage est crispé de plaisir et de douleur. Un instant je la sens prête à sangloter tellement les sensations sont intenses. "Je n'en peux plus", ne cesse t'elle de souffler entre deux râles de plaisir. Jamais je ne l'ai vue jouir aussi intensément et si longuement, presque en continu. Ils sont en nage tous les deux. Il finit par ralentir la cadence et reste un instant allongé sur elle, immobile, et reprend son souffle. Marie se dégage lascivement, puis s'allonge sur le dos. Je la câline doucement, je l'embrasse, je caresse doucement sa poitrine. Eric, à sa gauche caresse doucement son pubis et insère ses doigts entre ses cuisses pour toucher sa chatte. "Je suis trop épuisée." Lui dit-elle en le regardant affectueusement droit dans les yeux. Il l'embrasse à pleine bouche tout en la forçant à écarter les cuisses. Elle se laisse faire, il la tripote un peu, se redresse, plonge sa tête entre ses cuisses et la lèche délicatement quelques secondes. Finalement il se place entre ses jambes pour la prendre à nouveau. Ma femme s'abandonne encore avec complicité. Elle attrape sa grosse queue et la dirige dans son ventre. Il n'a aucun mal à s'enfoncer en elle. Dans la position du missionnaire, il la baise encore, d'abord doucement, puis énergiquement. Elle est complètement bousculée par ses grands coups de reins. Elle se laisse encore emporter et explose de plaisir rapidement. Elle lui demande de jouir, il continue à la bourrer. Elle le supplie, il se fait plus énergique lui arrachant encore de longs feulements. Enfin, il s'effondre sur elle, crispé par l'intensité de son plaisir.
Ils s'embrassent langoureusement comme pour se remercier mutuellement, puis Marie se tourne vers moi et m'embrasse à mon tour.
Eric entreprend de se rhabiller.
Ereintée, Marie s'échappe de mes bras pour se relever et commence à se rhabiller aussi.
Quelques minutes plus tard, il est déjà près de 5 heures, nous disons au revoir à Eric et aux patrons du club puis nous prenons le chemin du retour.
Marie dort tout le trajet. Arrivés chez nous nous faisons un tendre câlin en partageant nos émotions de la soirée. Une très bonne soirée.


Frenchcokin


Nous sommes échangistes mais surtout triolistes et pluralistes le plus souvent en Club (les clubs parisiens : Les Chandelles, l'Overside, Emmanuelle, le Prélude, le Cupidon, l'Abys ou le Pluriel).
Marie est très belle, grande et mince, blonde aux yeux verts.
Bourgeoise à la ville (elle travaille dans un ministère parisien rue de Varenne), elle est en revanche très coquine quand nous sommes de sortie, toujours élégamment sexy et minutieusement épilée
D'une façon générale elle aime faire l'amour avec un ou plusieurs garçons très virils. Elle aime que je participe mais elle trouve aussi très excitant que je me contente de la regarder ou que, dans un coin câlin, je la laisse seule avec son ou ses complices. Les beaux mâles très fortement membrés sont ses amants préférés. Elle adore qu'on s'occupe de son corps et de son sexe, avec vigueur. Elle adore aussi donner du plaisir et sait être très active et entreprenante. Elle aime toutes les pratiques,se faire lécher, sucer de belles queues, se faire baiser, cependant, la sodomie n'est pas ce qu'elle préfère et se laisse tenter qu'exceptionnellement.
Mon plaisir le plus grand est de lui donner du plaisir ou que de bons amants la fasse crier de jouissance. J'adore l'offrir ou la partager et j'aime la voir s'abandonner à plusieurs amants virils et énergiques. J'aime qu'elle se sente reine.


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