FANTASIA DEVIENT FOLLE DE PLAISIR
Récit érotique écrit par Virilo2008 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 25-06-2008 dans la catégorie Plus on est
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FANTASIA DEVIENT FOLLE DE PLAISIR
Fantasia avait téléphoné à chacun d'entre nous car elle avait envie d'être défoncée, et elle savait bien que nous étions les trois plus belles queues de la région... Elle les avait toutes essayées.
Elle était donc sur le lit devant nous, qui étions confortablement installés dans des fauteuils en cuir, un verre de scotch dans une main, l'autre main servant à secouer de plus en plus violemment nos queues bandées à mort.
Fantasia elle aussi buvait beaucoup, et ses mouvements étaient de plus en plus vicieux. Elle s'était mise au bord du lit, face à nous, accroupi, les jambes très écartées, et nous montrait son cul, qu'elle avait relevé très haut.
Pour nous exciter, la petite salope, elle s’enfonçait un puis deux puis trois doigts dans le cul, et de sa main laissée libre elle massait violemment son clito. Ça la rendait folle de nous exciter, et je suis sûr que la petite perverse faisait tout ce qu'elle pouvait pour que l'un d'entre nous lâche son foutre, pour pouvoir venir le lécher. Elle adorait voir des queues gicler de grands jets de foutre dans l'espace et entendre râler le mâle dans sa jouissance. Visiblement elle était saoûle, elle n'avait plus aucune retenue : elle saisissait au hasard des godes de toutes tailles qui traînaient sur le lit, et se défonçait tous les orifices, les godes étaient énormes et elle les enfonçait profondément, frénétiquement, et elle râlait de plaisir, disait des cochonneries en hurlant à travers la pièce :
JE SUIS UNE VRAIE SALOPE, SECOUEZ VOS QUEUES MES SALAUDS, CAR JE VEUX QU'ELLES SOIENT DURES, BRÛLANTES, GONFLÉES DE FOUTRE. VOUS ALLEZ ME DÉFONCER PROFOND, M'ÉCLATER LA CHATTE ET LE CUL, JE NE SAIS PLUS CE QUE JE DIS, SI MON MARI ME VOYAIT !.
Alors on s'est brusquement levés, et on l'a rejointe sur le lit. Elle s'est mise à faire couler du scotch sur nos queues, puis s'est précipitée sur nos couilles toutes gonflées par l'attente. Elle nous mordait, nous pompait, elle crachait sur nos queues qui devenaient baveuses. Elle s'attarda brusquement sur moi, et à ma grande surprise elle me retourna, me mit à plat ventre, écarta violemment mes fesses, mis sa langue profond dans mon cul, saisit un gode et me l'enfila violemment, si bien que je ma queue lâcha brusquement son jus. Abandonnant le gode, qui glissa hors de mon cul, elle se précipita sur ma queue pleine de bave et de foutre, pressa le gland pour bien faire sortir les dernières gouttes, eut un énorme orgasme qui la fit hurler. Elle retomba pantelante sur le dos, cuisses écartées, les lèvres pleines de mon foutre.
Elle sembla se calmer un moment... Mais c'était sans compter avec les deux autres engins qui attendaient leur part de vice...
Presque inconsciente, ivre d'alcool et de plaisir, Fantasia vit ces deux énormes queues s'approcher d'elle et comprit vite ce qui l'attendait... Quelques secondes plus tard, elle était secouée par une double pénétration en règle !! Les deux hommes échangeaient leurs rôles fréquemment, et Fantasia à demi consciente, se prêtait à leur vice, à la fois comblée et humiliée, comblée d'être humiliée; ses orgasmes multiples ressemblaient de plus en plus à des douces plaintes, et lorsque les deux queues, au bout de leur vice, déchargèrent violemment en elle, elle accueillit ces flots de sperme comme une liqueur bienfaisante qui apaisa ses chairs. Et dans le même temps, les deux étalons allaient jusqu'au bout de leur plaisir, et leurs deux queues, devenues fraternelles, mélangeaient leur sperme sur les fesses de Fantasia.
Je n'avais rien perdu de la scène, et quand Fantasia s'abattit à plat ventre sur le lit, ma queue était à nouveau à son comble et, n' y tenant plus, je déchargeais en râlant sur les fesses luisantes de Fantasia, qui se tortillèrent légèrement
-- un dernier spasme de vice avant la paix retrouvée.
Elle était donc sur le lit devant nous, qui étions confortablement installés dans des fauteuils en cuir, un verre de scotch dans une main, l'autre main servant à secouer de plus en plus violemment nos queues bandées à mort.
Fantasia elle aussi buvait beaucoup, et ses mouvements étaient de plus en plus vicieux. Elle s'était mise au bord du lit, face à nous, accroupi, les jambes très écartées, et nous montrait son cul, qu'elle avait relevé très haut.
Pour nous exciter, la petite salope, elle s’enfonçait un puis deux puis trois doigts dans le cul, et de sa main laissée libre elle massait violemment son clito. Ça la rendait folle de nous exciter, et je suis sûr que la petite perverse faisait tout ce qu'elle pouvait pour que l'un d'entre nous lâche son foutre, pour pouvoir venir le lécher. Elle adorait voir des queues gicler de grands jets de foutre dans l'espace et entendre râler le mâle dans sa jouissance. Visiblement elle était saoûle, elle n'avait plus aucune retenue : elle saisissait au hasard des godes de toutes tailles qui traînaient sur le lit, et se défonçait tous les orifices, les godes étaient énormes et elle les enfonçait profondément, frénétiquement, et elle râlait de plaisir, disait des cochonneries en hurlant à travers la pièce :
JE SUIS UNE VRAIE SALOPE, SECOUEZ VOS QUEUES MES SALAUDS, CAR JE VEUX QU'ELLES SOIENT DURES, BRÛLANTES, GONFLÉES DE FOUTRE. VOUS ALLEZ ME DÉFONCER PROFOND, M'ÉCLATER LA CHATTE ET LE CUL, JE NE SAIS PLUS CE QUE JE DIS, SI MON MARI ME VOYAIT !.
Alors on s'est brusquement levés, et on l'a rejointe sur le lit. Elle s'est mise à faire couler du scotch sur nos queues, puis s'est précipitée sur nos couilles toutes gonflées par l'attente. Elle nous mordait, nous pompait, elle crachait sur nos queues qui devenaient baveuses. Elle s'attarda brusquement sur moi, et à ma grande surprise elle me retourna, me mit à plat ventre, écarta violemment mes fesses, mis sa langue profond dans mon cul, saisit un gode et me l'enfila violemment, si bien que je ma queue lâcha brusquement son jus. Abandonnant le gode, qui glissa hors de mon cul, elle se précipita sur ma queue pleine de bave et de foutre, pressa le gland pour bien faire sortir les dernières gouttes, eut un énorme orgasme qui la fit hurler. Elle retomba pantelante sur le dos, cuisses écartées, les lèvres pleines de mon foutre.
Elle sembla se calmer un moment... Mais c'était sans compter avec les deux autres engins qui attendaient leur part de vice...
Presque inconsciente, ivre d'alcool et de plaisir, Fantasia vit ces deux énormes queues s'approcher d'elle et comprit vite ce qui l'attendait... Quelques secondes plus tard, elle était secouée par une double pénétration en règle !! Les deux hommes échangeaient leurs rôles fréquemment, et Fantasia à demi consciente, se prêtait à leur vice, à la fois comblée et humiliée, comblée d'être humiliée; ses orgasmes multiples ressemblaient de plus en plus à des douces plaintes, et lorsque les deux queues, au bout de leur vice, déchargèrent violemment en elle, elle accueillit ces flots de sperme comme une liqueur bienfaisante qui apaisa ses chairs. Et dans le même temps, les deux étalons allaient jusqu'au bout de leur plaisir, et leurs deux queues, devenues fraternelles, mélangeaient leur sperme sur les fesses de Fantasia.
Je n'avais rien perdu de la scène, et quand Fantasia s'abattit à plat ventre sur le lit, ma queue était à nouveau à son comble et, n' y tenant plus, je déchargeais en râlant sur les fesses luisantes de Fantasia, qui se tortillèrent légèrement
-- un dernier spasme de vice avant la paix retrouvée.
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