Trio avec deux jardiniers

- Par l'auteur HDS Rêveuse -
Récit érotique écrit par Rêveuse [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Récit libertin : Trio avec deux jardiniers Histoire érotique Publiée sur HDS le 30-06-2008 dans la catégorie Plus on est
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Trio avec deux jardiniers
J'étais en train de m'épiler le pubis en prévision d'une journée de masturbation intense quand j'entendis dehors le bruit caractéristique d'une tondeuse à gazon. Le jardinier qui s'occupait des plates bandes de l'immeuble venait d'arriver. Je jetais un coup d'oeil à la fenêtre pour apercevoir non pas le vieux barbu fumant gitane sur gitane qui s'occupait des pelouses habituellement mais un homme beaucoup plus jeune, à peine la trentaine, habillé d'un vieux jean et d'un marcel blanc. Il tondait donc la pelouse et arrivé au bout de la bande de gazon qui amenait au parking, il fit faire demi tour à la machine et se trouva face à moi. Il m'aperçut à la fenêtre et jeta un coup d'oeil rapide, je ne fis pas tomber assez vite le rideau que j'avais soulevé pour qu'il ne le voit pas, et je compris qu'il avait vu que j'étais nue, car il tourna plusieurs fois la tête dans la direction de ma fenêtre d'un regard avide. Je terminais mon épilation, puis gagnait la cuisine pour boire car il faisait ce jour-là une chaleur étouffante.
On sonna à ma porte. J'allais ouvrir : c'était le fameux jardinier qui m'avait entraperçu quelques instants auparavant. C'était un bel homme, souriant, aux bras musclés et puissants et au poitrail profond. Son visage était régulier, éclairé par des yeux verts qui jetaient sur moi un regard intense. Une légère barbe assombrissait ses joues et son front laissait paraître un début de calvitie. Il était accompagné par l'autre jardinier, un homme un peu plus âgé et qui offrait un contraste avec lui car il était plus petit et offrait un physique beaucoup plus sec. Il était aussi moins sympathique à première vue et ses yeux sombres me dévisageaient avec une certaine sévérité.
-Bonjour mademoiselle, excusez nous de vous déranger, mais nous remplaçons les jardiniers habituels et nous ne possédons pas les clés qui permettent d'ouvrir le portail, pourriez-vous nous prêter les votres pour que nous ramenions du matériel ? Me demanda alors le plus jeune d'une voix aimable.
-Bien sûr, vous me ramènerez quand vous aurez fini.
-Naturellement, je suis venu vous demander car je vous ai vu à votre fenêtre tout à l'heure... vous êtes chez vous toute la journée ?
Je compris le sous-entendu, et je répondis presque malgré moi :
-Oui je reste ici. Je vous attends, vous accepterez volontiers une boisson fraîche je pense tout à l'heure.
Ma proposition le fit sourire, il semblait ravi de me voir réceptive. Et j'étais de plus en plus fascinée par cet homme beau comme une statue et je sentis mon intimité se tremper à l'idée de sa visite prochaine. Il repartit avec les clefs me lançant un dernier regard engageant.

***

Une heure et demi plus tard, j'entendis la tondeuse s'éteindre de nouveau puis le bruit des sangles que l'on resserrait. Leur travail était terminé.
Je m'attendis donc à la réapparition du jardinier à ma porte. Il sonna, et j'allais ouvrir, heureuse de pouvoir encore me laisser à contempler ses beaux yeux et ses bras puissants. Il n'était pas seul et son collègue l'accompagnait, j'en fut d'abord un peu déçue mais je ne laissais rien voir et j'accueillais chaleureusement les deux hommes, en me disant que je m'étais peut être fait des idées sur ces propos de tout à l'heure. Je leur servis une bière fraîche et fis un peu la conversation parlant du beau temps. Le deuxième homme ne semblait pas bavard et buvait son verre en silence, ne répondant que rarement aux propos de son collègue qui se montrait au contraire très gentil.
Au bout d'un moment, celui-ci me demanda de lui indiquer la salle de bain pour se laver les mains, je l'accompagnais jusqu'à celle-ci et lui montrait l'endroit où se trouvait le lavabo. Il n'avança pas vers le lavabo, mais resta près de moi et porta sa main sur ma poitrine. Je me laissais faire, je regardais toujours ses yeux verts et je posais mes mains sur ses épaules. Il m'attira à lui et m'embrassa. Ses caresses se firent plus précises et il glissa sa main sous mes vêtements. Alors que nous allions commencer à nous effeuiller mutuellement un toussotement se fit entendre : c'était son collègue qui nous regardait d'un air presque exaspéré.
-Nous devons repartir, on a un autre jardin à s'occuper à l'autre bout de la ville, dit il d'une voix dure.
Je pensais que l'homme allait me lâcher dans un soupir et rejoindre son collègue, mais il ne semblait pas vouloir s'en aller. Il lui dit alors :
-Joins-toi à nous, nous avons le temps.
La solution se compliquait, j'eu d'abord un petit mouvement de recul qu'il du sentir mais je réalisais vite à quel point la situation m'excitait. Je décidais de reprendre la situation en main.
-Peut être qu'une douche pourra vous délasser avant d'attaquer cet autre jardin ? Suggérais-je alors au plus vieux.
Je vis à son air que cette idée et tout ce qu'elle impliquait lui plaisait mais il ne laissa rien voir d'abord et dit d'un air bourru.
-Pourquoi pas...
Nous étions trois à présent dans la salle de bain, le premier homme ne m'avait pas lâché et ses mains papillonnaient toujours dans mon dos, sur mes fesses... je me délivrai de son étreinte et me dirigeai vers l'autre homme, qui bien qu'entré dans la salle de bain, restait les bras ballant et me regardait d'un air interdit.
-Laissez moi vous aider à vous déshabiller pour prendre votre douche...
Je défis sa chemise de toile verte et m'attaquais au pantalon dont je déboutonnais lentement les boutons, tandis que le plus jeune, revenu derrière moi m'ôtait mes vêtements, laissant courir ses mains chaudes sur les endroits qu'il dénudait.
-Prenons la douche ensemble, dit-il, c'est plus pratique...
J'entrais dans la baignoire, accompagnée par le plus vieux des deux et laissai couler une eau tiède sur nos corps. Il soupira d'aise et s'assit sur un coin de la baignoire et ferma les yeux. Pendant ce temps, le premier homme avait retiré son marcel blanc et son pantalon, il se tourna vers moi et j'aperçus un sexe magnifique, de belle taille, déjà pratiquement érigé. Cette vision m'excita encore plus et je sentis une chaleur encore plus intense qu'avant dans mon bas-ventre. Il nous rejoignit dans la baignoire, se glissant derrière moi, m'embrassant le cou
-Je m'occupe de toi, me susurra t-il à l'oreille, occupe-toi de lui.
Je me glissais alors au fond de la baignoire jusqu'à rejoindre le coin où se trouvait le deuxième homme et je posais mes mains sur ces cuisses ne m'agenouillant devant lui. Il comprit mes intentions et écarta légèrement les cuisses, le laissant la place pour accéder à son sexe dormant. Je le pris dans mes mains et le caressai lentement, provoquant son épanouissement. Il était de taille moindre que celui de son collègue mais il était doux et très agréable à tenir. Pendant ce temps, le deuxième avait imité ma position à genoux, il glissa une main sous mes jambes et caressa mon clitoris et mes grandes lèvres, apparemment ravi de me trouver imberbe. Je sentais son sexe derrière moi, bandant dur.
Après l'avoir assez caressé pour avoir une belle érection, je portai le sexe du plus vieux à mes lèvres et entamais une fellation, tandis que derrière moi s'affairait l'autre homme me caressant clitoris vagin et anus de façon savante, si bien que je faillis plus d'une fois mordre le sexe que j'avais en bouche.
Bientôt il cessa de me caresser et me fis me relever, je dus me pencher pour pouvoir continuer ma fellation et il s'introduisit en moi et commença des va-et-vient. Son sexe imposant glissait en moi avec une déconcertante facilité et provoquait des vagues de plaisir qui parcouraient mon dos. Tout à mon plaisir j'avais presque abandonné la fellation sur l'autre homme, qui me "rappela à l'ordre" en dirigeant mon visage vers son pénis. Mais les va-et-vient de son collègue étaient devenus plus brusques, il me tenait par les hanches et me pénétrait avec ardeur et je pouvais plus à présent assurer la fellation. Il se rendit compte alors que son collègue était délaissé et se retira.
-Dis-moi où est ta chambre, me dit-il.
Je lui indiquai et il me pris dans ces bras et me posa sur le lit, avant de venir se coucher près de moi. Son collègue le suivait son sexe en érection prêt et le regarda se demandant où aller...
-Viens sur moi ma belle...
Pressée de retrouver la sensation de son sexe en moi, je grimpais prestement sur lui et m'empalai sur sa virilité dressée. Nous commençâmes alors un superbe rodéo, mais il l'interrompit assez vite pour dire à son collègue :
-J'ai vu un flacon de crème hydratante dans la salle de bain, ramène-le.
Celui-ci ne se fit pas prier, et je compris rapidement quel usage il voulait en faire, il s'approcha de moi et caressa mes fesses. Bientôt il commença titiller mon anus, puis il versa un peu de crème dessus, et très vite cet endroit s'assouplit et fut bientôt en mesure de l'accueillir. Il se mit alors derrière moi, tandis que j'étais toujours empalé sur le sexe du premier, et s'insinua lentement en moi. J'eu d'abord une légère douleur, bien vite estompée par les sensations nouvelles qu'apportaient cette intrusion supplémentaire.
Ils réglèrent leurs va-et-vient et bientôt je fus parcourue d'ondes de plaisir si intense que j'eu l'impression de plus être maîtresse de mes mouvements. Le plus âgé fut le premier à jouir, il se retira assez rapidement, son sexe flasque ne pouvant être retenu plus longtemps en mon anus. Je continuai de chevaucher l'autre homme qui au bout d'un moment, plongea ses yeux verts dans les miens et jouit en plaquant son sexe tout au fond du mien. Il resta longtemps ainsi, immobile et encore planté en moi. Il continua alors la savante masturbation qu'il avait commencée sur moi dans la salle de bain et bientôt je le rejoignis dans l'orgasme, mes muscles internes se resserrant autour de son membre en contractions rythmées.
Je tombais à ces côtés dans un soupir de satisfaction. Mais il ne pouvait pas rester, son collègue, piaffant comme un cheval voulant repartir. Il me regarda une dernière fois et s'en alla.
J'entendis le bruit du camion qui démarrait, puis je m'endormis.

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