En manque de sexe .
Récit érotique écrit par Marie Anne [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
- • 4 récits publiés.
- • Cote moyenne attribuée par les lecteurs : 0.0 • Cote moyenne attribuée par HDS : 0.0
- • L'ensemble des récits érotiques de Marie Anne ont reçu un total de 14 900 visites.
Histoire érotique Publiée sur HDS le 25-06-2008 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
Cette histoire de sexe a été affichée 659 fois depuis sa publication.
Couleur du fond :
En manque de sexe .
Je me suis donc découverte salope (récits 1 et 2) Suite à cette dernière visite, je ne cessais d'y penser ! Je culpabilisais certes un peu mais le retour de mon époux m’a vite fait oublier mon infidélité me consacrant à lui. Les images du plaisir interdit que j’avais vécu me revenaient chaque soir une fois seule au lit. Heureusement mon mari m’y rejoignait rapidement et dans ses bras, je zappais ces images de débauches me blottissant dans le creux de son épaule. Nous faisions l’amour conventionnellement et je refusais de penser à tout autre plaisir.
Cependant toutes les bonnes choses ont une fin. C’est avec larme à l’œil que j’ai accompagné mon chéri sur Paris pour reprendre l’avion quelques semaines plus tard. Je ne voulais me l’avouer mais secrètement j’avais très envie de découvrir encore d’autre chose, de me laisser submerger par le plaisir physique… J’ai bien évacué mes envies, mes idées durant une bonne semaine. Malheureusement je dois bien me l’avouer, plus le temps passait, plus les images étaient présentes et plus j’avais des envies tenaces. Je me faisais plus aguichante, plus sexy, je rangeais mes longues jupes et sortais celle que je ne mets qu’en présence de mon époux, plus courte, plus moulantes, plus fendues … Plus sexy quoi ! Le regard des hommes me troublait d’avantage. Je me montrais souriante, bien plus accessible que d’ordinaire. Je n’allais pas au devant du plaisir, par timidité, par crainte, j’attendais que le plaisir vienne à ma rencontre. J’avais bien la solution de rappeler ce dépanneur mais j’hésitais toujours au moment de décrocher le téléphone. Bref, c’est sur la route que tout c’est décanté, j’avais en tête les regards, les sourires des beaux males dans la rue. Je partais pour une ballade de quelques heures dans les boutiques. J’avais prie soin d’enfiler une jolie petite robe carmin boutonnée sur le devant sous laquelle j’avais enfilé de sublime dessous chic noir mélangeant la dentelle et la soie. J’ai arpenté le centre ville et ses boutiques toute l’après midi me délectant des regards insistants de bien des hommes. Je m’étais même mise à provoquer un vendeur me mettant accroupie dans le rayon sous son nez les pans de la robe écartée laissant apparaître le haut de mes cuisses. Quel délice de croiser son regard confus. J’avais laissé les deux derniers boutons de ma robe ouverts afin d’attirer plus de regards. 17 heure je reprenais la route, la rocade pour rejoindre mon chez moi. Je suis interpellé par un long coup de klaxon suivit de quelques appels de phare. Dubitative, je m’interroge ? La voiture aurait elle un souci ? Je suis parfois innocente, il me faut quelques minutes et un poids lourd de plus pour comprendre que de leur position élevée les chauffeurs ont une vue plongeante sur l’habitacle de la voiture et surtout mes cuisses très dénudées. Le jeu me trouble et très rapidement j’amplifie le phénomène en écartant d’avantage les pans de la robe ! Au fil des camions le plaisir s’intensifie. Je ralentie même parfois en passant à leurs hauteurs leur permettant ainsi de se rincer l’œil ! Je frissonne à chaque coup de klaxon et pour tout dire, je m’excite comme une folle. L’envie pressente de caresse me deviens insupportable, je termine la route cuisses écartées la main plongée entre celle-ci me pinçant le clito au bord de la jouissance. Si j’avais osé m’arrêter sur une aire de repos ? Ho lala ! Trop coincé peu être, trop timide ….enfin pour l’heure car par la suite j’ai osé bien d’avantage. J’expliquerais cela dans d’autres futurs récits ! Ce jour là en rentrant à la maison. Je me suis jetée sur le lit conjugal la robe ouverte et mes doigts se sont perdus entre mes cuisses pour une longue jouissance folle garnie de râles aigues et d’une jouissance hors pair !
A bientôt pour la suite.
Cependant toutes les bonnes choses ont une fin. C’est avec larme à l’œil que j’ai accompagné mon chéri sur Paris pour reprendre l’avion quelques semaines plus tard. Je ne voulais me l’avouer mais secrètement j’avais très envie de découvrir encore d’autre chose, de me laisser submerger par le plaisir physique… J’ai bien évacué mes envies, mes idées durant une bonne semaine. Malheureusement je dois bien me l’avouer, plus le temps passait, plus les images étaient présentes et plus j’avais des envies tenaces. Je me faisais plus aguichante, plus sexy, je rangeais mes longues jupes et sortais celle que je ne mets qu’en présence de mon époux, plus courte, plus moulantes, plus fendues … Plus sexy quoi ! Le regard des hommes me troublait d’avantage. Je me montrais souriante, bien plus accessible que d’ordinaire. Je n’allais pas au devant du plaisir, par timidité, par crainte, j’attendais que le plaisir vienne à ma rencontre. J’avais bien la solution de rappeler ce dépanneur mais j’hésitais toujours au moment de décrocher le téléphone. Bref, c’est sur la route que tout c’est décanté, j’avais en tête les regards, les sourires des beaux males dans la rue. Je partais pour une ballade de quelques heures dans les boutiques. J’avais prie soin d’enfiler une jolie petite robe carmin boutonnée sur le devant sous laquelle j’avais enfilé de sublime dessous chic noir mélangeant la dentelle et la soie. J’ai arpenté le centre ville et ses boutiques toute l’après midi me délectant des regards insistants de bien des hommes. Je m’étais même mise à provoquer un vendeur me mettant accroupie dans le rayon sous son nez les pans de la robe écartée laissant apparaître le haut de mes cuisses. Quel délice de croiser son regard confus. J’avais laissé les deux derniers boutons de ma robe ouverts afin d’attirer plus de regards. 17 heure je reprenais la route, la rocade pour rejoindre mon chez moi. Je suis interpellé par un long coup de klaxon suivit de quelques appels de phare. Dubitative, je m’interroge ? La voiture aurait elle un souci ? Je suis parfois innocente, il me faut quelques minutes et un poids lourd de plus pour comprendre que de leur position élevée les chauffeurs ont une vue plongeante sur l’habitacle de la voiture et surtout mes cuisses très dénudées. Le jeu me trouble et très rapidement j’amplifie le phénomène en écartant d’avantage les pans de la robe ! Au fil des camions le plaisir s’intensifie. Je ralentie même parfois en passant à leurs hauteurs leur permettant ainsi de se rincer l’œil ! Je frissonne à chaque coup de klaxon et pour tout dire, je m’excite comme une folle. L’envie pressente de caresse me deviens insupportable, je termine la route cuisses écartées la main plongée entre celle-ci me pinçant le clito au bord de la jouissance. Si j’avais osé m’arrêter sur une aire de repos ? Ho lala ! Trop coincé peu être, trop timide ….enfin pour l’heure car par la suite j’ai osé bien d’avantage. J’expliquerais cela dans d’autres futurs récits ! Ce jour là en rentrant à la maison. Je me suis jetée sur le lit conjugal la robe ouverte et mes doigts se sont perdus entre mes cuisses pour une longue jouissance folle garnie de râles aigues et d’une jouissance hors pair !
A bientôt pour la suite.
→ Qu'avez-vous pensé de cette histoire ??? Donnez votre avis...
→ Autres histoires érotiques publiées par Marie Anne
1 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
délicieusement agréable comme suite ...merci
