Ma femme s'offre sans condition ni limite.

- Par l'auteur HDS Frenchcokin -
Auteur homme.
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Récit libertin : Ma femme s'offre sans condition ni limite. Histoire érotique Publiée sur HDS le 07-07-2008 dans la catégorie Plus on est
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Ma femme s'offre sans condition ni limite.
Le 17 septembre 2005 au Prélude.

Comme souvent quand nous sommes dans le quartier, nous dînons, en tête à tête, dans un petit restaurant chinois où nous avons nos habitudes.
Ensuite, nous rejoignons un petit club que nous aimons bien. Il n'y a absolument personne à part nous, aussi, vers 1 heure, déçus, nous décidons d'aller au Prélude qui ne se situe pas très loin.
Il y a de nombreux hommes seuls et quelques couples finissants.
Nous buvons un verre au bar, puis, nous rejoignons les salons au sous-sol, nous y sommes suivis par quelques garçons, mais comme ils sont déserts, nous remontons. Dans la foulée, nous allons vers ceux qui se situent au premier étage. Nous nous y installons un moment sur une banquette, plus par dépit et pour nous reposer, que par calcul.
Petit à petit, deux autres couples et plusieurs hommes investissent les lieux.
L'un des couples échange des câlins dans un coin. L'autre est plus audacieux et attire aussitôt la convoitise de tous les hommes qui, de ce fait, nous ignorent totalement. Pourtant, j'ai baissé totalement le caraco de ma femme, offrant ainsi sa jolie poitrine aux regards de tous, et j'ai entrepris de caresser ses seins avec douceur.
Marie me dit que nous sommes mal placés, du coup, nous décidons de nous lever pour faire le tour des lieux. Quand nous passons devant une alcôve disponible, elle y pénètre spontanément, sans chercher mon assentiment, et elle s'allonge avec le plus grand naturel sur le vaste matelas. Je suis un peu surpris de cette détermination, toutefois, je m'allonge près d'elle et commence à l'embrasser en lui caressant les seins. Aussitôt, les mâles en chasse sont attirés par le spectacle que nous offrons. Deux d'entre eux pénètrent dans l'alcôve et nous regardent.
Le plus proche de nous, assez élégant en costume noir et chemise bleue et blanche, tend la main vers la jambe de Marie et me demande s'il peut poursuivre son geste. J'acquiesce d'un hochement de la tête.
Encouragé, il pose ses mains sur les genoux de Marie. Puis, il remonte doucement le long des ses jambes par l'intérieur de ses cuisses. Elle les écarte doucement pour lui permettre d'aller au plus haut. A leur carrefour, il bute sur la fine étoffe de son string. Il effleure le voile quelques secondes du revers de la main, puis, glisse ses doigts dessous pour investir la moite douceur de l'intimité de ma femme. Aussitôt, elle gémit et se cambre. Il la fouille et la tripote avec douceur. Finalement, il s'agenouille puis se penche pour coller sa bouche aux lèvres intimes de cette belle chatte délicieusement épilée. Il la suce, l'aspire, la pénètre avec sa langue, écartant rageusement sur le coté le string devenu gêneur.
Pendant ce temps, le couple audacieux nous a rejoint. La blonde a de gros seins lourds qui frémissent à chacun de ses mouvements. Ses mamelons sont piercés par des petites boucles dorées. Comme un rapace sur une petite proie, elle se laisse tomber complètement sur Marie. Elle saisit ses seins de la main gauche, en même temps qu'elle oblige le lécheur à céder du terrain. De sa main droite, elle se fraye un chemin jusqu'à la chatte de Marie qu'elle investit nerveusement. Elle lui malaxe la vulve, puis écarte ses lèvres pour plonger dans la moiteur de son abricot.
Rapidement, elle se place face à l'entrejambe de ma femme puis se penche pour la lécher. Très passive, presque soumise, Marie se laisse manipuler. Elle se contente de jouir des caresses et succions qu'on lui prodigue. Elle en gémit, sa respiration est saccadée, elle émet des feulements et des soupirs de satisfaction. Debout, penchée en avant, la blonde savoure sa chatte de ma chérie pendant qu'un garçon en chemise blanche la fourre rageusement. Chacun de ses coups de bite fait écho dans les spasmes de ma femme par la bouche de la blonde interposée. Le compagnon de celle-ci pétrit vigoureusement ses gros seins. En même temps, il caresse doucement les jambes de mon épouse.
Marie, pour sa part, s'est mise à sucer son premier partenaire, le "lécheur". Il est venu se placer à genoux près d'elle. Elle dévore sa grosse bite avec gourmandise. Elle fait entrer et sortir son gros gland rosé de sa bouche tout en le branlant et en malaxant ses grosses couilles. Elle le gobe tellement ardemment qu'il en perd son contrôle et éjacule abondamment sur sa robe et les coussins qui nous entourent.
Après avoir jouit, et s'être rassasier du jus et de la douceur de ma femme, la blonde se redresse puis s'écarte sur le coté. Elle est aussitôt remplacée par un grand chauve, plutôt beau mec, un peu mystérieux, habillé tout en noir. Il entreprend de dévorer à son tour la chatte de ma femme. L'amant de la blonde, lui, s'installe aussitôt sur le matelas près de nous, à la place du "lécheur", du coté de Marie. Il lui tend sa queue qu'elle ingurgite immédiatement. Il bande terriblement et remplit complètement la bouche de mon épouse.
Après quelques instants, survoltée, elle se redresse et s'installe en levrette. Elle tourne son cul vers celui qu'elle suçait puis lui tend sa chatte surexcitée. Il l'enfile directement pour son plus grand plaisir. Il la baise avec vitalité. Elle accueille chacun de ses assauts d'un gloussement sourd. Pendant qu'elle se fait tringler, elle me suce. De ma main gauche, je pétris son clitoris que je sens vibrer sous les coups de bite. Autour de nous, plusieurs garçons lui caressent le dos et les jambes ou lui pétrissent le cul et les seins. Elle semble prendre plaisir à tout accepter, tout subir.
Parfois, comme en transe, elle saisit au hasard une queue parmi toutes celles qui l'entourent. Elle la branle, la suce un peu ou la lape à petits coups de langue. Elle est dans un état second, à mi-chemin entre l'ivresse hystérique du désir et l'inconscience hypnotique du plaisir. Elle est au bord de l'orgasme, elle explose violemment. Son amant ne tarde pas à jouir.
Alors qu'il se retire, il est aussitôt remplacé par le chauve en noir.
Marie, elle, reste le cul en l'air, la chatte béante et bien offerte, montrant ainsi qu'elle attend de se faire baiser davantage.
Le chauve caresse d'abord son cul dressé. Ensuite, il descend sa main le long de sa raie, puis palpe sa vulve. Il enfonce ses doigts au fond de sa chatte trempée tout en préparant sa queue. Enfin, il oriente sa bite vers elle, pousse son gros gland contre ses lèvres intimes qui, sous la pression, s'écartent moelleusement pour le laisser s'enfoncer. Enfin, il la baise.
Pendant qu'elle se fait fourrer vigoureusement une fois de plus, elle me suce tout en grognant et en haletant au rythme du martèlement de son partenaire. En même temps, elle s'empare et branle la grosse queue d'un homme resté sur le coté. Plutôt beau mec, brun, il est vêtu d'une chemise bleue presque noire. Il la regarde se faire mettre tout en se laissant secouer la bite. Finalement, elle abandonne ma queue pour se consacrer pleinement à sucer la sienne. Il semble apprécier le traitement. Il ondule même du bassin pour donner un mouvement alternatif à sa tige et la faire coulisser dans la bouche de ma femme.
Elle est comme envoûtée par la situation, elle se laisse pistonner par ses deux orifices. Elle finit par succomber de plaisir dans une succession de souffles courts. Son amant chauve la rejoint. Lorsque qu'il se retire, Marie conserve sa position, le cul bien offert, tout en continuant à sucer et branler le mec à la chemise bleue. C'est le compagnon de la blonde qui prend place derrière ma femme. Alternativement, il la branle, fouille sa chatte, la lèche avec gourmandise. Il tente de l'enfiler à plusieurs reprises, mais ne bande pas suffisamment. Sans laisser tomber celui qui lui remplit la bouche, Marie, en passant sa main en dessous d'elle, essaye de stimuler le sexe du désespéré dans l'espoir de lui redonner de la vigueur. Elle le branle maladroitement sans réelle efficacité. Il m'agace un peu, aussi, je lui lance : "baise-la !". Cela à pour effet de le tétaniser complètement, il est vexé. Il se rhabille et s'en va. Marie m'en fait le reproche.
Aussitôt, le garçon, qu'elle est toujours en train de sucer, profite de l'opportunité. Il se dégage de sa bouche, la contourne, se place derrière elle, et la fourre instantanément de sa grosse bite. Elle est ravie.
Il la tringle avec application, très virilement, à grands coups de reins. Marie gémit de plaisir et, sous l'action de ces va-et-vient profonds, elle jouit rapidement, lui aussi.
Quand il la libère, elle conserve toujours sa position. Elle semble épuisée, mais elle n'est pas rassasiée. Elle montre qu'elle en veut encore. C'est à ce moment que réapparaît le premier garçon qu'elle avait fait jouir rapidement en le suçant et en le branlant. Celui au costume noir. Après s'être débarrassé de son pantalon et de son slip, il s'installe tranquillement, à genoux, derrière elle. Il la saisit par les hanches, la tient solidement et l'attire inexorablement vers sa bite pointée en direction de sa grotte intime. Doucement, la chatte de ma femme semble dévorer sa queue. Il la pénètre le plus profondément possible. Je vois les fesses de Marie s'écraser contre le ventre de son amant. Elle se soumet à cette profonde et lente insertion dans un râle rauque.
Il la baise délicatement, en puissance mais tranquillement. Parfois, il l'attrape par les seins et la tire vers lui en la redressant pour la plaquer contre son torse. Tous les deux sont alors à genoux, dressés même légèrement cambrés sur l'arrière, collés l'un à l'autre, comme deux pièces de puzzle compatibles emboîtées avec précision. Dans cette position, elle est quasiment assise sur lui. Ainsi, elle s'empale profondément sur sa queue. Elle grogne de plaisir. Puis, il la relâche et elle reprend sa position initiale, en appui sur les avant-bras, la bouche au dessus de ma queue qu'elle avale aussitôt. A plusieurs reprises, ils recommencent cet exercice, alternent les deux positions. Marie vibre de plaisir. Leur tension devient si forte, si intense, qu'ils succombent en même temps.
Cette fois elle ne tient plus. Elle s'affale doucement contre moi. Elle se laisse couler sur le dos à mes cotés. Elle reprend quelques forces, puis très câline, elle me demande de la prendre à mon tour.
J'ai envie de la baiser comme tous les autres, en levrette. Elle se redresse et se place pour orienter son cul vers moi. Je plonge doucement dans sa chatte complètement dilatée par toutes ces queues. Elle est très gonflée, humide et très douce. Pendant que je la pistonne, elle ne résiste pas au plaisir de branler une nouvelle belle bite qu'un jeune lui présente. Elle le fait avec frénésie comme pour le faire gicler rapidement. Parfois, elle l'engloutit goulûment au fond de sa gorge tout en continuant à le branler.
Je suis très excité, à la limite de l'explosion. Cependant, j'essaye de résister le plus longtemps possible pour la faire jouir en même temps que moi. Enfin, elle craque sous mes assauts et je me libère à mon tour. Je ressens une jouissance forte, terriblement intense et profonde. J'ai l'impression de me vider totalement. Enfin détendu, je reste au fond de sa chatte et je la regarde s'occuper avec ardeur de la tige du jeune homme. Elle ne semble pas vouloir abandonner sa mission. Elle le branle et le suce avec passion. Elle veut le faire jouir absolument. Finalement, il explose, à son tour, dans la main de mon épouse.
Lorsque nous nous rhabillons, le garçon chauve, qui plus tôt l'avait honoré, tend sa chaussure à Marie. Il lui explique qu'il lui avait enlevé pour caresser et embrasser son pied qu'il trouve magnifique. Il est plutôt sympathique aussi on échange quelques banalités avant de redescendre au bar.
Nous buvons un verre tranquillement avant de partir.

De retour à la maison, portés par l'excitation de la soirée, nous baisons encore. Nous avons, tous les deux, vraiment adoré notre aventure.

Quelque temps plus tard, alors que nous faisons l'amour, c'est Marie qui me reparle de cette soirée. Elle reste gravée dans sa mémoire. Elle y repense souvent. Elle a vraiment aimé se faire prendre ainsi, se faire baiser à la chaîne, par plusieurs hommes, comme une chienne, telle une jolie salope docile. Pour ma part, j'ai adoré la voir se livrer ainsi à tous ces mâles qui ne pensaient qu'à profiter de ses charmes.
"C'était un moment de folie", me confie t'elle dans un souffle.
Lorsque je lui demande si elle voulait le refaire elle me dit : "oui".

Frenchcokin


Nous sommes échangistes mais surtout triolistes et pluralistes le plus souvent en Club (les clubs parisiens : Les Chandelles, l'Overside, Emmanuelle, le Prélude, le Cupidon, l'Abys ou le Pluriel).
Marie est très belle, grande et mince, blonde aux yeux verts.
Bourgeoise à la ville, elle travaille dans un ministère parisien rue de Varenne, elle est en revanche très coquine quand nous sommes de sortie, toujours élégamment sexy et minutieusement épilée
D'une façon générale elle aime faire l'amour avec un ou plusieurs garçons très virils. Elle aime que je participe mais elle trouve aussi très excitant que je me contente de la regarder ou que, dans un coin câlin, je la laisse seule avec son ou ses complices. Les beaux mâles très fortement membrés sont ses amants préférés. Elle adore qu'on s'occupe de son corps et de son sexe, avec vigueur. Elle adore aussi donner du plaisir et sait être très active et entreprenante. Elle aime toutes les pratiques, se faire lécher, sucer de belles queues, se faire baiser, cependant, la sodomie n'est pas ce qu'elle préfère et se laisse tenter qu'exceptionnellement.
Mon plaisir le plus grand est de lui donner du plaisir ou que de bons amants la fasse crier de jouissance. J'adore l'offrir ou la partager et j'aime la voir s'abandonner à plusieurs amants virils et énergiques. J'aime qu'elle se sente reine.

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