jeux troublants

- Par l'auteur HDS Namiodeux -
Récit érotique écrit par Namiodeux [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : jeux troublants Histoire érotique Publiée sur HDS le 14-01-2005 dans la catégorie Pour la première fois
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jeux troublants
Je suis attiré par les femmes mûres bien en chair. Cette attirance je l’ai depuis l’adolescence, à l’âge ou les femmes commencent à troubler les jeunes garçons. Lorsque je ressentis les premiers émois de la sensualité, étant allé, je ne sais pourquoi, dans la chambre de ma tante, une belle femme plantureuse, je remarquais en entrant, posés sur un siège, les dessous qu'elle venait de quitter. À quel mobile ai-je obéi en saisissant ces lingeries encore toutes tièdes du contact de son corps ? Peut-être n'était-ce que le désir de retrouver sa chaleur? Toujours est-il, que j'enfouis mon visage dans ces fins tissus odorants et c'est alors que je perçus, tout à coup... en certains endroits plus secrets, des parfums très intimes... que je trouvai suprêmement émouvants.

A cet âge là, les belles formes de ma tante me faisaient déjà souvent fantasmer le soir dans mon lit. Il est certain quelle avait du remarquer cette attirance sensuelle que j’avais pour elle et d’ailleurs, elle avait quelques fois surpris mon regard sur elle, et quand je croyait quelle ne sen rendait pas compte et que sa jupe remontait quand elle croisait et décroisait lentement ses jambes assise dans son fauteuil ce n’était pas si innocent.

Plus tard, avant ma seconde au lycée, mes parents quittèrent Paris pour s’installer à Lyon à cause du travail de mon père. Moi, je n’avais aucune envie daller vivre à Lyon. Mon quartier à Paris, mes copains et une petite copine me retenaient ici ! C’était très important pour mon équilibre et mes études. Alors il fut décidé que ma tante me garderait chez elle en banlieue. J’étais heureux de cette décision. Vivre avec elle, elle que j’admirai tant ! Elle m’installait donc une chambre dans une pièce de sa maison et tout ce passait bien.

Au fil des mois l’attirance que j’avais pour elle prenait en moi avec force, de plus, je sentais une complicité de sa part et cela me troublait et m’excitait terriblement.

Un soir, j’allais dans la salle de bain juste après ma jolie Tata pour me laver les dents. Elle en était ressortie vêtue de sa simple combinaison de satin beige, dans l’étroitesse des lieux, nous nous somme heurté. Figé devant elle, j’aurai voulu me vautrer dans l’abondance de sa poitrine qui pointait sous le satin. Je lai regardé un moment bercé par la magie de l’érotisme qui se dégageait d’elle, admirant son chignon défait avec des mèches qui encadraient son beau visage souriant. J’admirais aussi ses épaules solides à la peau douce soulignée par les fines bretelles de sa combinaison, le sillon profond de sa poitrine lourdement généreuse, ainsi que ses hanches larges aux jolies courbes plantureuses. La combinaison qui descendait jusqu’à ses genoux cachait ses cuisses mais était un peu fendue sur un côté et finissait, comme sur sa poitrine, en une large bande de dentelle étourdissante laissant voir par transparence ce qui devrait m'être caché.. Ses jambes, que j’admirais souvent en secret étaient très bien faites, avec des genoux ronds bien dessinés, des mollets légèrement musclés et des chevilles nerveuses. Elle était chaussée de mules à talon, galbant encore plus ses jambes tout en lui donnant cette allure de femme altière qui impressionnait le jeune homme que j’étais alors.

Ensuite, nos regards se sont croisés. Ma tante se rendait compte que je la dévorait des yeux, et s’amusait de mon trouble. En m’adressant un petit sourire narquois, elle se dirigeait plus tard vers la cuisine sans dire un mot. Et moi je m’enfermais dans la salle de bain non sans, au par avant me retourner et jeter un dernier regard sur ses belles fesses larges et pleines quelle faisait danser dans sa démarche féline. Elle eut aussi le temps de se retourner sur moi et de fendre l’air avec son doigt en surprenant mon regard sur sa croupe interdite.

Je crois que ma tante s’amusait de cet amour d’enfant que j’avais pour elles. Je ne pense pas qu’à cette époque elle pensait consommer l’inceste, mais cela germait en elle et elle ne le rejetait pas.

Avant de prendre ma brosse à dents, j’apercevais son petit linge abandonné sur la machine à laver, près du lavabo. Elle venait juste de le retirer, il y avait ses bas et sa culotte encore tout imprégnés de la chaleur de son corps. Une envie irrésistible me faisait prendre ses affaires intimes pour les porter à mon visage et y enfouir ma figure comme je l’avais fait quand j’étais bien plus jeune, mon coeur battait très fort, le moment était délicieux d'interdit et terriblement excitent. Je décidais de garder sa culotte pour aller me coucher avec, je la dissimulais sous mon maillot et j’allais vite la cacher dans mon lit. En suite je retrouvais Tata dans la cuisine. Elle rangeait la vaisselle dans le placard, pour atteindre l’étagère du haut elle se soulevait sur la pointe des pieds et levait ses bras. Elle avait quelques poils sous les aisselles qui attiraient mon regard et me faisaient penser à son odeur de femme. Ses reins se creusaient pour accentuer sa belle cambrure, ses jambes se musclaient et son ventre dessinait sa rondeur attendrissante. Je la trouvais encore plus attirante comme ça et je m’approchai d’elle, je sentais la chaleur de son corps qui m’attirait.

- Que veux-tu ? Me demandait-elle en gardant la position.

- Heu… Je vais me coucher Tata, je voudrais te dire bonne nuit.

- Très bien mon chéri, attends une seconde, je fini de ranger ma vaisselle et te fais un baiser tout de suite, tiens passe moi le saladier derrière toi que je le range la haut.

- Tu veux que je le fasse, Tata ?

- Non ! Regarde en montant sur la chaise je vais y arriver.

Elle m’offrait encore un moment merveilleux. Tout près de moi, à l’idée de savoir que sous sa tenue légère elle n’avait pas de culotte j’étais très excité. Perchée sur sa chaise, si j’osais je passerais ma main sur ses jambes, sous sa combinaison! Mais je suis trop timide et je risque de recevoir une gifle et une bonne engueulée, du genre « Qu’est-ce que c’est ces manières, tu n’as pas honte… ? » Je lui ai donc passé le saladier et elle est redescendue. Quand elle laissait tomber une jambe pour poser son pied sur le sol carrelé de la cuisine, sa combinaison remontait sur ses cuisses charnues. J’ai cru distinguer l’ombre de son sexe caché dans l’abondance de sa broussaille, j'étais terriblement troublé et le sang me montait aux oreilles. J’ai remarqué aussi que Tata contrôlait mon regard, et ne se pressait pas de faire descendre son autre jambe dont le genou replié pointait vers moi et attirait irrésistiblement mon attention. Je lui souhaitais bonne nuit avec le désir d'elle. Elle m’embrassait avec insistance.

-Allez, vas vite au lit et fais de beaux rêves, mon petit !



Je me suis couché, des images de ma tante plein la tête. Me masturbant tout en imaginant des scènes érotiques avec elle, et m’endormais en reniflant son petit linge parfumé de délicieux interdits.

Le lendemain matin elle venait me réveiller, elle m’appelait doucement tout en retirant le drap qui recouvrait mon visage, et quelle ne fut pas sa surprise quand elle reconnaissait sa culotte coincée entre mon visage et l’oreiller, elle la retirait délicatement en s’exclamant à voix basse :

- Mais qu’est-ce que tu fais avec la culotte à Tata ? Je la cherchais partout hier soir pour la laver ?

Pris de panique, je me sentais comme un petit animal pris au piége, ma tante sen rendait compte et ne me grondait pas, je voulais me lever et sortir de la chambre, m’enfuir ! Mais, assise contre moi, elle m’en empêchait en me repoussant par les épaules.

-Reste là et sois bien sage !

Ecrasé dans mon lit, je ne disais rien et ne bougeai plus. Le moment était grave et il régnait un silence lourd. Elle faisait tourner son petit linge intime entre ses mains au-dessus de mon visage, un sourire narquois et amusé détendait son visage.

Elle cherchait l’entre jambe, l’endroit taché qui collait à sa vulve.

-Tu las pris pour la sentir et t’endormir avec, petit chéri ? Cela ne se fait pas tu sais Regarder sa tante comme ça, qui sort de la salle de bain à demi nue ! Et prendre sa culotte quelle vient juste de retirer, pour la sentir hein !...petit cochon

Tout en me parlant ainsi, avec une voix douce et chantante, elle approchait ses mains de mon visage et appliquait délicatement son petit linge porté sur ma figure, finissant en appuyant légèrement avec ses doigts sous mes narines

-Là, ne dis rien, laisse toi faire…c’est là que tu as senti ?

Sa question ne demandait pas de réponse. Elle plaçait précautionneusement le côté le mieux parfumé de sa culotte sous mon nez, j’en humais l’odeur aphrodisiaque.

Ma gorge se nouait, j’avais du mal à avaler ma salive dans une émotion forte et étrange.

Ma tante glissait une main derrière ma nuque et me relevait la tête en maintenant sa culotte contre mon visage avec l’autre. Puis elle faisait glisser les bretelles de sa combinaison sur ses bras pour libérer sa lourde poitrine quelle laissait tomber sur mon visage. Ainsi réfugié dans son corps, je pouvais me délecter à souhait du parfum piquant que me rendait sa culotte attisé par la chaleur exquise de ses gros nichons qui m’enfermaient dans leurre douceur charnelle. Tata était très douce, mais elle me maintenait avec fermeté. Sous mes draps, elle glissait une main à la rencontre de mon sexe, elle fut heureuse de constater l’effet quelle me faisait.



- Comme tu bandes, petit chéri !



Elle enserrait entre ses doits mon sexe et commençait un mouvement caressant, de haut en bas. C’était doux, délicat. Puis à un moment, elle retirait le drap nerveusement en accentuant sa pression sur mon visage.

Je me laissais faire, guidé dans un bien-être charnel et tourbillonnant



- Allez ! Respire bien fort, sens mes odeurs de femme, ça te fera bien bander petit garçon… !

Tu vas vider tes petites couilles, tata va t’aider ! Tu seras si bien après.



J’ai joui au bout de quelques minutes, tant l’instant était intense, ma tante transpirait entre ses seins

-Oui jouis, jouis mon amour…Oh ! Ouiii…Là…



Puis elle me félicitait longuement en gardant sa culotte sur ma figure

Elle m’embrassait, me serrait contre son corps en chuchotant des promesses et des mots tendres à mon oreille.





Je serais heureux de correspondre avec une femme qui a aimé mon récit et lui écrire la suite pour partager ce plaisir.

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