je fantasme sur ma tante qui m'a provoqué

- Par l'auteur HDS Gilbert -
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Auteur homme.
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Récit libertin : je fantasme sur ma tante qui m'a provoqué Histoire érotique Publiée sur HDS le 21-01-2005 dans la catégorie A dormir debout
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je fantasme sur ma tante qui m'a provoqué
Ma tante s'appelle CAROLE, a actuellement 48 ans, mariée, délaissée corporellement par son époux de 60 ans mais lui est totalement dévouée.

Elle est blonde, a une voix très douce, une ligne très attirante pour son âge, un corps très souple, un visage sans rides, ce qui est rare.

Je tiens à préciser, que son mari est le frère de mon père, dc je n’ai aucun lien par le sang avec Carole, et c’est peut-être pour cela que je ne ressens aucune honte sur mes envies d’elle.

J'ai pour ma part 35 ans. A aucun moment je n’ai cherché à la séduire ou provoquer.

Tout à commencé qd j'avais 15 ans. Je ne faisais pas attention à elle.

Elle était à l’époque nerveuse, un peu autoritaire, sèche, austère, une allure coincée, soumise et maniérée.



J'ai été faire du baby-sitting chez elle à 15 ans.

CAROLE fait couler un bain. Pendant que je lisais des BD, Carole m'appelle ds sa cuisine pour me faire des recommandations.

Je me pointe, et stupeur, une flamme m'aveugle le visage, mes yeux firent « oh putain ! »:

Carole était en petite tenue, en peignoir, pieds nus, les jambes nues avec une peau bronzée, et son sein droit largement visible, ferme, qui bougeait à chacun de ses déplacements. Elle avait à l'époque des cheveux blonds d'or, elle était i r r e s i s t i b l e.

La vue d'un corps de femme adulte,à moins d'un mètre de moi très attirant, s e n s u e l, je la devinais toute nue sous son peignoir, me fit un effet très fort, mon « entre – jambes » était en alerte, c a p t i v é par ce que je voyais, et surpris par cette beauté cachée (à l’opposé de son aspect extérieur), et très bien dessinée. Incroyable ! ma tante est passée d’un look de femme quelconque à celui d’une belle

l i o n n e c h a u d e.

J'avais un autre regard sur ma tante maintenant: je la d é s i r a i, faisais tout pour ne pas bander, et écoutait ses paroles. C'était presque digne du film Le Lauréat avec Ben et Mme Robinson.

Je rejoignais malgré moi mes copains de classe qui avaient des pensées obscènes sur des femmes adultes.



Je la vis ensuite g a m b a d e r d'un pas léger pour arrêter son bain.



Carole s’éloignait d’une manière coincée, craignant ds sa course que le bas de son peignoir allait dévoiler ses fesses nues ou sa c u l o t t e que je devinais

i m p r é g n é e de son o d e u r vaginale, et enveloppant une fente chaude, cachée précieusement.

Elle avait une telle souplesse au niveau du b a s s i n, elle r o u l a i t du c u l difficilement.

Le tout me faisait ouvertement b a n d e r.

C’était un moment rare, mais quel plaisir j'en étais le témoin privilégié.

Mais je ne savais pas si c'était volontaire ou pas de sa part. J’ai comme même ressenti visuellement cela comme une invitation.



Tel un jouisseur Je la m a t a i s ds son dos insolemment,et étais encore + excité à l’idée que Carole peste de me voir profiter de son intimité.



J’avais l’envie soudaine, de courir derrière elle, de la plaquer sur le sol, de lui soulever son peignoir de la pénétrer fougueusement par derrière, en lui soufflant « tu es si excitante », et de peloter ses fameux seins tombants, sa peau, sa ligne sont tellement excitantes,quitte à se faire remarquer ou se faire gronder par elle, mais l’occasion était trop belle, je suis sûr que j’aurais eu le dessus.

Autre idée + prudente mais risquée : attendre qu’elle disparaisse ds sa salle de bain, monter, et me cacher ds une pièce tout à côté, me livrer au plaisir d’un g r o s v o y e u r se branlant, et/ou écouter avec précision ses gestes, déplacements de sa silhouette, sa respiration.

Mais j’étais contracté par l’enjeu, très timide, trop sous l’emprise hiérarchique adulte/enfant, et surtout craintif d’être découvert honteusement ds une attitude obscène par une tierce pers.

Je m'asseyais au salon, qui était situé juste en dessous de la salle de bain (je le découvrais à l’aide des bruits du dessus).

J’entendais ses pieds nus se déplacer et s’arrêter , elle plongeait sa main ds l’eau et faisait un petit va et vient pour tester la température.

Je l’imaginai, de dos ,son corps penché vers l’avant, sa tête orientée vers le bas, ses jambes légèrement écartées, entraînant sans surveillance ses fesses nues à découvert et son sexe tout chaud, ses seins fermes magnifiques se balançant doucement(ouille ! ouille !), le tout dégageant des effluves fortes de corps féminin.

Je salivais de la situation.

Je fut pris d'un f a n t a s m e le plus bandant possible sur elle (mes sens se développaient à une telle vitesse à cet âge là), faisant d u r e r mon plaisir.

Un film é r o t i q u e se mettait en place ds ma tête, j’en étais le m a î t r e absolu, pas d’interdit sur ma route.



J'imaginais Carole laissant tomber son peignoir sur le sol, entrer toute n u e sur la pointe des pieds ds son bain d é l i c a t e m e n t, mettant p r u d e m m e n t un pas après l'autre c a l m e m e n t, émettant des petits cris de sa voix si douce au toucher de l'eau brûlante, touchant son corps, ses seins, tellement la chaleur est forte .





Tout à coup je rentre ds son bain, en chaussure, ne lui laisse aucune chance (elle ne peut crier,ses enfants jouent à côté). Je m'élance derrière elle, en lui disant « Attends Carole », elle : « mais qu’est- ce que tu fais ? ».

J' a b a i s s e brutalement mon jean, elle entend :le glissement de mon slip le long de mes jambes ainsi que le bruit sourd de ma bite libérée par le coton du slip, un hennissement masculin silencieux hautement motivé.

Je lui souffle à voix basse :

« bon sang, que t’es belle !», tout en posant mes mains sur ses hanches elle réagit par des vifs « mais… ça va pas non », hennissant d’envie, je continue « oh Carole, j’ai envie de toi, je vais te b a i s e r, .. o u i…oui.. hum », j’expire un soupire puissant contre ses cheveux. Mes jambes tremblent un peu devant une femme que je connais.

Je me colle n u contre cette vraie belle femme toute n u e , là mon corps apprécie et se lâche.

je la ceinture lentement avec mon bras gauche (sa peau est tellement bonne au toucher),

je tiens ds ma main droite ma b i t e,

à l’ a i r l i b r e , chauffée , qui monte à l’horizontal et qui se gonfle très vite.

Je m'apprête à g l i s s e r mon pénis, Carole rouge de honte de se retrouver ainsi, dans cette position impuissante, à l’idée de se faire

t i r e r p a r s u r p r i se, sentant comme un gros v e r s immonde, affamé frôlant l’extrémité de son corps, se retourne et laisse échapper en chuchotant:« c’est mal, ne fais pas ça ».

Elle tente de protéger son derrière,en

p l o n g e a n t ses m a i n s à l’entrée de ses fesses, avec son comportement maniéré, me lance des t a p e t t e s sèches à l’aveuglette qui atteignent le bout de mon sexe

(qui s’ e n i v r a i t du contact physique de ses jolies mains), Carole n’arrivant pas, lâche, en vain : «je vais crier ! », je sais qu’elle ne le fera pas,je lui répond « oh oui excite-moi ! ».

Je ne me contrôle plus, je suis ds un état second, mon côté animal prend le dessus au contact de ce corps et de cette peau , imprégnée d’une odeur érotique trop forte.

Malgré ses protestations,et ses tentatives de dégagement,elle se déplace ds sa baignoire, entraînant des mouvements de vague ds son bain,moi toujours agrippé contre elle,

ma b i t e coincée dans la rayure de son délicieux postérieur , b a l l o t é e entre de belles fesses moelleuses ,

je n'arrive pas à la plonger ds une ouverture, que je sens à ma portée.

Je tente de l’immobiliser, lui lance « laisse toi faire, tu vas jouir », elle me jette des petits coups de pieds en arrière, qui en fait la déstabilise.

J' é c a r t e enfin ses fesses si appétissantes, elle r e t i e n t son souffle,je sens mon gland prêt à entrer ds ce petit trou, tel un suppositoire ,

qui s' i n t r o d u i t enfin en e l l e et r a m p e p u i s s a m m e n t:

Carole pousse un long petit cri, je savoure l’instant.



En revenant à la réalité, mon excitation montait, montait, j’entendais des frottements lents du corps de Carole contre les parois de sa baignoire, des mouvements plongeant ds l’eau, comme si elle se lavait.



Je repris mon rêve :



Mon attention délicate à l’égard de ma tante, disparaît.

Un comportement macho sans retenue se met en place , pour faire céder « jouissivement » la sévérité de Carole.

En plus l’eau de son bain, faisait monter des vapeurs chaudes, qui accentuaient encore plus mes envies.

Je nous voyais de biais telle une caméra : ma tante o combien d é s i r a b l e ,

se faire e n c u l é e par m o i à l’air hyper ravi, fermant les yeux de plaisir.

Je regardais de profil ses joues devenir roses, elle ressentait de la honte de se faire pénétrer par son cul : des « oh la là » de surprise, et sur un ton grave jaillissaient de sa bouche, m’indiquant que c’était la 1ère fois qu’elle se faisait e n c u l é e.

je savais que j’avais touché un point très sensible chez elle, interdit à l’homme, à son époux, je bravais l’interdit, cambriolais sexuellement en toute impunité..



Je la p é n é t r e nettement en

e x a g é r a n t mes mouvements de bassin humant tel un taureau, des lâchers de sperme facilite mes allers-retours en elle. Je pelote sans honte ses seins magnifiques qui se dressent à mon toucher et les touche intensément, fais descendre mes mains le long de son ventre, caresse ses jambes, touche parfois

f o r t e m e n t ce corps si délicieux, le tout

l e n t e m e n t, en accroissant la

s e n s u a l i t é de la scène.

J’entendais les « flops…flops », frottements de mon pénis en elle (je jouissais de cet instant), et poussa des « mmm ! mmm ! », dans son oreille pour la stimuler.

Elle résiste verbalement difficilement :Je la sens e x c i t é e, désireuse que je continue, des «mmm!, mmm !», et inspirations sifflantes en cul de poule « schhh » commencent à arriver de sa bouche.

elle m'excite de + en + par ses expressions , je continue plus profond et varie mes mouvements, passe mes lèvres lentement sur ses épaules,

h u m a n t fort sa chair, et remonter vers son cou, je la m a l a x e sans relâche et dis presque à voix normale « bon sang que t’es bonne ! » .



Me sentant complètement d o m i n a t e u r,

p r e s s a n t, d é p l o y a n t une

i n t e n s i t é ascendante, e l l e, engluée, vulnérable à la merci d’un gros

p r é d a t e u r en r u t qui l’use,

me dit « attends ».

Carole tente d'attraper devant elle en faisant un effort, le rabattant pour nous cacher, de ces ébats de plus en plus torrides, elle n'arrive pas.

Je me dégage de son cul m i e l l e u x,

r u i s s e l a n t de sperme, ses fesses restaient agitées un court moment.

Je souriais et était fier en voyant des poils à moi laissés à l’entrée de son cul, son anus imbibé, vulgairement écarté, et laissant des empreintes de mon passage.

Je la pousse r a p i d e m e n t en avant en me c o l l a n t toujours contre e l l e et en la calant entre mes jambes, moi râlant d’envie, pour qu'elle ressente toujours cette emprise masculine, ferme cette porte qui nous dissimule des regards, l' e n c u l e de nouveau, elle, toujours surprise de mon culot,

pousse des cris plus j o u i s s i f s mais toujours silencieux.



Durant mes agissements, Carole subissant la position,appose ses coudes sur le mur en face d’elle.

je fus pris d’une ENERGIE encore + FOUDROYANTE, et encore + s t i m u l é par ce geste soudain!



Je pénétrais + rapidement ses fesses profondément en apposant mes bras sur les siens, et nous voyaient sur le lit en position levrette, moi au dessus d’elle.

A l’idée de baiser une belle femme adulte, je commençais à éjaculer, j’abusais de ses seins très secoués pendant la scène, je les touchais intensément, en passant mes pouces sur ses tétons, je pressais ses belles mamelles, et les faisait se toucher entre elles, j’imaginai les voir pisser quelques gouttes de lait !



Carole était incroyablement b a l l o t t é e , ramonée sans relâche, elle soufflait, balbutiait.

On entendait nettement le bruit sourd des frottements de mon entre - jambe avec le haut de ses cuisses. Tout en la pénétrant je faisais frotter mon corps en hauteur du haut de ses cuisses jusqu’à ses épaules, qui la faisait vivement réagir . J’imaginais son visage en transe , fondre,ses yeux appréciant l’acte.



Son attitude maniérée disparaissait rapidement : elle émettait des frémissements, des pincements de lèvres jusqu’à éjecter de la salive. Je sentais qu’elle allait haleter bruyamment !



Je fis couler un jet d’eau puissant par la pommette de sa douche ds le bain pour couvrir nos ébats.

Elle lâchait des cris stridents : AH…AH.. HUM…HUM !!!! à chaque passage de mon pénis emballé par l’entre -jambe de ma tante.



Je passais longuement mes lèvres ds son cou, ses épaules.

je lui caresse le bas de son ventre, elle accompagne ma main ds son sexe en faisant des allers-retours, je l'entends couiner: ahhh! humm! m’oui...oui! ohh..mmm….p f f f f !.

Un de ses bras se retourne vers moi, pose sa main sur ma tête et caresse mes cheveux comme pour m’encourager, sa jambe gauche se frotte contre moi, je sens la sève arriver.



Mais je voulais + égoïstement.

Je désirai profiter de son visage, écouter et sentir au plus près cette femme si sensuelle.

Je me r e t i r a i d’elle à son étonnement, je me f r o t t a i s doucement mais

"j o u s s i v e m e n t" sur chacune de ses jambes en remontant vers ses fesses, fit pivoter ma tante en face de moi.

Son visage remplit de sueur, respirait une chaleur mélangée de colère d’avoir été abusée de la sorte et de plaisir difficilement dissimulable.

Je caressais les poils de son sexe, et remontait mes mains sur ses hanches et l’a fit avancer vers moi.



Carole, de face, retrouvait un peu ses esprits, craignant mes intentions toujours présentes, tentait un refus autoritaire et coincé d’un « Mais.. », en me collant ses mains contre mon ventre, je lui plaque mes mains contre ses fesses et les caresse allègrement, l’embrasse en passant longuement mes lèvres sur sa joue, et lui glisse ds l’oreille « c o m m e

t u es b e l l e …. t u es à m o i ».

elle retire ses mains : son corps, son sexe m’étaient complètement s o u m i s.

Carole était assez subjuguée de mon envie perpétuelle de la toucher, la façon de la caresser, savourer sa peau.



Je lève lentement sa j a m b e gauche pour la coller autour de moi,Carole sait maintenant ce que je veux,son visage si b a i s a b l e, se prépare à de nouvelles extases.

Mais sentant ma b i t e se tendre au niveau de son sexe et f r ô l e r son entre - jambe, Carole prend conscience de l’acte qui va suivre, devient frileuse, voire menaçante.

Ne lui laissant pas le temps de m’influencer, j’écarte vite son autre jambe tout en l’entourant autour de moi, qui me dévoile un volcan b r û l a n t irrésistible : je la p é n è t r e.

Elle réagit très vite en se retenant par mes épaules.

Ses 2 j a m b e s é c a r t é e s autour de ma taille, je la regardai comme un vicieux qui avait pris le dessus sur une femme intouchable.

Je la tiens fermement par ses fesses toujours dégoulinantes, mon sexe est e n g l o b é de

sa c h a t te tout excitée,

je donne l’impulsion de coups de bassin en avant.

J’entends ses expirations régulières plus insistantes. Elle se mit à m’enlacer de ses 2 bras.

Là, je la pris intensément en arc boutant , du sexe pur, nous jouissions ensemble pendant ce rythme torride.

j’étais excité, et r a v i d’avoir ses seins contre moi, ses bras qui se frottaient contre moi, ses mains collantes caressantes mon dos , son visage et ses lèvres si sensuelles face à moi.

Son corps tout entier était à moi, je voulais

f u s i o n n e r au maximum avec elle.

Je voulais la goûter, mon visage en biais s’approche de sa face, je m’extase »ma beauté, ma beauté », mes lèvres aspirent ses lèvres qui ne me quittent pas, son haleine chaude m’explose littéralement. Je suis envahi par son odeur de lionne excitée.

Au bout d’un moment je sens sa langue désireuse contre mes lèvres, et cède à cette envie, nos baisers devinrent littéralement langoureux à n’en plus finir, je pinçais ses fesses de plaisir.



J’étais en transe au salon, les yeux fermés, je couvrais à l’aide d’une BD, ma bite à la verticale , en direction d’ailleurs de ma tante allongée ds son bain , à 3 mètres au dessus de moi, jambes légèrement écartées, détendue, son corps frottait encore.

L’impression jouissive était trop forte :

j’ é j a c u l a i s ds mon slip, remplit de sperme tout chaud.

Ce rêve a comme même duré une demi heure .

Je rouvris mes yeux, je craignais de voir apparaître en face de moi ma tante habillée, l'air sévère, choquée par mon attitude.

Ouf, il n’y avait personne, d’ailleurs je l’entendais se sécher les cheveux.

Depuis, elle est la femme de mes rêves!

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Histoire sexe : Une rose rouge
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